PSG Champion de France 2014 / 2015...

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 posté par Jean-Louis : 
Ancelotti : Je serai meilleur cette saison

Près de huit mois après son arrivée au PSG, l'entraineur italien estime qu'il dispose désormais de tous les ingrédients pour bâtir une grande équipe à Paris et gagner enfin des titres.

Mercredi dernier, Saint-Germain-en-Laye. Fin de l'entrainement matinal au Camp des Loges. Carlo Ancelotti a rendez-vous avec la BBC et France Football. Il commence par la télé. Puis vient nous retrouver dans la salle de presse surplombant les terrains d'entrainement. Habillé d'un survêt aux couleurs du club, le coach est souriant, détendu, presque débonnaire. On lui montre l'Equipe du matin. Où trois pas sont consacrées à son équipe.

Carlo Ancelotti, avez vous lu la presse, ce matin ?
Non, pourquoi ?

Quatre-vingt cinq pour cent des joueurs et entraineurs de L1 vous voient champion en fin de saison.
C'est facile de dire ça...

C'est vrai non ? Qu'est ce qui pourrait vous empêcher de l'être ?
De croire que c'est gagné d'avance, justement. Les matches, il va falloir les jouer. C'est bien de savoir qu'on est favoris de ce Championnat, mais encore faudra-t-il le prouver sur le terrain. D'autant que nous n'aurons pas pour seule ambition de remporter le titre. Nous voulons aussi pratiquer un beau football, offrir du spectacle aux gens pour donner une bonne image du club en France et en Europe.

Quand on compare votre effectif et celui de vos concurrents, il y'a deux ou trois classes d'écart !
Je ne sais pas. Je ne peux pas juger les équipes adverses. Ce dont je suis sur, c'est que nous avons réussi un très bon mercato. Nous avons pris des joueurs avec beaucoup d'expérience et de qualités. Je suis très content. quand je suis arrivé, l'objectif du club était de recruter des bons joueurs. Aujourd'hui, je constate qu'ils sont bien la. Ce qui veut dire que nous avons les bases pour construire quelque chose de très grand à Paris.

Quelle est désormais la prochaine étape ?
Que les joueurs qui intégreront l'effectif dans les années qui viennent soient issus de notre centre de formation. On travaille déjà pour ça. Je ne crois pas que le club ait intérêt à recruter trois ou quatre jours de top niveau tous les ans. On va donc essayer de monter une structure suffisamment performante pour les jeunes joueurs de la région Ile-de-France aient très envie de venir au PSG.

Mais y'a t-il encore une place pour les jeunes dans ce PSG truffé de stars ?
Bien sûr ! Aujourd'hui, on s'aperçoit qu'on manque de joueurs formés au club. Au point qu'on a eu du mal à en trouver quatre à mettre sur la liste des vingt-cinq engagés pour la Ligue des Champions, comme le règlement de l'UEFA nous l'impose. On a mis Sakho et Chantôme, plus Rabiot et Areola, le quatrième gardien. Un autre exemple, dernièrement, Lilian Thuram est venu nous rendre visite au Camp des Loges. Il m'a dit que son fils, un milieu de terrain, était parti jouer à Sochaux. Je lui ai répondu que le prochain devrai venir ici, avec nous ! (rires)

Revenons à la L1. Quels sont les adversaires que vous craignez le plus ?
Les mêmes que la saison dernière. Lille a perdu Hazard mais recruté Kalou. Je connais Salomon. C'est un très bon. Lille sera compétitif. Comme Marseille ou Lyon, qui ne referont pas la même saison que l'an passé. Je pense aussi à Montpellier, qui est probablement l'équipe la mieux organisée de toutes. Elle n'a plus Giroud, mais elle semble lui avoir trouvé un remplaçant (Nldr: Herrera) avec un excellent feelinf devant le but.

Avez-vous mis du temps à digérer la perte du titre de la saison dernière ?
Non. Ce n'était pas facile. Mais l'objectif prioritaire du club était de se qualifier pour la Ligue des Champions, et il a été atteint. Après, quand tu te bats pour le titre jusqu'à la dernière journée, tu ne peux pas être satisfait de terminer deuxième. Mais, à titre personnel, ç'a été une bonne expérience. Ces six premiers mois m'ont permis de bien connaître les joueurs et le Championnat Français. Je serai sans doute meilleur cette saison.

Votre orgueil a quand meme dû morfler, non, car le PSG était leader à votre arrivée l'hiver dernier ?
Je connais très bien le sport et le foot. Je sais qu'on ne peut pas gagner à tous les coups. La saison dernière, je trouve que les joueurs ont bien bossé, mais ils sont tombés sur des Montpelliérains qui évoluaient mieux en équipe qu'eux. C'est sur le collectif, sur le vécu commun des joueurs, que la différence s'est faite. L'an passé, le PSG a recruté beaucoup de joueurs. Il a donc fallu dans un premier temps reconstruire une équipe avec des gars qui ne se connaissaient pas. Montpellier, lui, avait déjà son équipe.

Paradoxalement, c'est quand vous avez évolué sans vértiable avant-centre que vous avez le mieux joué...
Oui, on a commencé à manifester une vraie identité dans le jeu à deux mois de la fin du Championnat. Depuis, on a recruté quatre autres joueurs, qui vont certainement nous amener encore plus de talent, mais cette identité, on veut la garder et on la gardera.

Les arrivées d'Ibrahimovic et de Lavezzi ne vous contraignent-elles pas à changer encore une fois d'organisation tactique ?
Non, je ne crois pas. Ibrahimovic est, certes, un avant-centre, mais il peut aussi décrocher et jouer un peu derrière pour favoriser les mouvements dans la profondeur des joueurs de couloir, comme Nene, Menez, Lavezzi ou Gameiro. Ibra ne sera pas seulement avant-centre. Ce serait trop restrictif pour un joueur comme lui. Je veux pouvoir utiliser toutes ses qualités, comme son adresse pour contrôler les ballons ou sa justesse de passes.

Est-il vraiment le joueur idéal pour aider le PSG à gagner la Ligue des Champions dans les cinq ans à venir ?
Il est fort, oui, mais il a surtout beaucoup d'expérience. Et c'est un compétiteur. Quelqu'un qui a gagné des titres partout ou il est passé. Sur les neuf dernières années, il a été champion à huit reprises dans les pays ou il a évolué. C'est surtout à travers cet état d'esprit-là, cette culture de la gagne, qu'il pourra aider l'équipe. C'est un exemple et un modèle pour beaucoup. Un grand professionnel, aussi, qui s'entraîne comme il joue, en essayant de gagner tous les jeux et tous les matchs auxquels il participe.

Vous jouez désormais avec Pastore comme milieu relayeur. A-t-il vraiment toutes les qualités pour être un élément tout-terrain, c'est-à-dire un type qui marque, qui fait marquer, qui défend et qui récupère des ballons ?
Javier a beaucoup travaillé. C'est un joueur très résistant, qui peut courir beaucoup et qui, surtout, est très habile avec le ballon. L'avoir au milieu, ça améliore forcément la qualité de jeu de l'équipe, et ça correspond à ce qu'on recherche, c'est-à-dire avoir le ballon, jouer vers l'avant, donner du spectacle. En plus, je sais que cette position lui plaît. Nous en avons parlé. Du coup, on travaille tous les jours pour qu'il se familiarise encore plus avec ce poste et qu'il améliore sa complémentarité avec les autres milieux.

En revanche, comptez-vous toujours sur Nene ?
Les choses sont claires. Je le répète tous les jours à tout le groupe. Pas seulement à Nene. Si le PSG veut être à la fois compétitif en L1 et en Ligue des Champions, il doit disposer d'un gros effectif. Et qui dit gros effectif, dit concurrence plus importante. Aujourd'hui, je ne peux meme pas dire à quelqu'un qu'il jouera tous les matchs. Même pas à Ibrahimovic ou Thiago Silva. Je pense avoir suffisamment d'expérience pour savoir qu'un joueur ne peut pas faire cinquante ou soixante matches dans une saison. Nous avons étoffé l'effectif pour ne pas avoir à subir les conséquences d'une ou plusieurs blessures de joueurs importants. Or, si je veux que mes hommes soient en bonne condition physique à chaque fois, je me dois de faire tourner. Demain, peut-être qu'un joueur alignera trois matchs d'affilée avant de laisser sa place à un coéquipier pour le quatrième. Et ça, c'est pour bon pour Nene, mais aussi pour Ménez, Ibrahimovic, Gameiro et Lavezzi.

Nene attend aussi un signe de confiance, comme une prolongation de contrat...
C'est une décision qui appartient à mes dirigeants. Moi, je dis juste que Nene peut rester ici sans problème. Techniquement, il a largement sa place dans cette équipe. Mais il faut juste qu'il prenne conscience, comme tous ses coéquipiers, qu'il y aura des soirs où je lui demanderai d'aller s'asseoir sur le banc.

Mamadou Sakho semble disposé à se battre pour regagner sa place de titulaire. Êtes vous sensible à son état d'esprit du moment ?
Mamadou adopte la bonne attitude. Je suis ravi de constater qu'il s'est amélioré dans tous les domaines. Physiquement, techniquement et mentalement, il a fait un très bon mois de juillet. C'est bien, mais il peut encore faire mieux parce qu'il est jeune. Il a connu quelques difficultés la saison dernière, mais ça semble oublié. Aujourd'hui, je découvre un autre Mamadou Sakho.

Ce qui veut dire que la hiérarchie qui se dessinait en défense centrale, avec la paire Thiago Silva - Alex en pole, pourrait être remise en cause ?
Rien n'est figé, bien sur. Mais vous oubliez aussi Camara et Lugano. Nous avons beaucoup de défenseurs. Ce ne sera pas facile de choisir.

Qu'est-ce qui est le plus compliqué, pour un entraineur, quand on dispose d'un tel effectif ?
C'est de gérer ceux qui ne figureront pas sur la feuille de match. C'est de faire en sorte qu'il gardent leur motivation pour s'entrainer normalement et pousser les autres, ceux qui jouent, à donner le meilleur d'eux mêmes. Pour qu'un entrainement soit bon et utile pour le match du week-end, il doit être intense. Ce qui veut dire que tout le monde doit jouer le jeu. Et ce n'est pas toujours facile.

C'est votre boulot de parler aux remplaçants, ou vous laissez ça à vos adjoints ?
Non, non, c'est mon travail.

A Milan et à Chelsea, vous aviez un adjoint psychologue, Bruno Demichelis, qui gérait tout ça. Pourquoi n'est-il plus auprès de vous aujourd'hui ?
Bruno, c'est mon ami, mais il a choisi une autre voie. Et puis, même s'il était avec moi à Milan et à Chelsea, il ne s'occupait pas de ça. C'est l'entraîneur qui doit parler aux joueurs.

La mentalité des joueurs de L1 est-elle différence de celles de ceux que vous entrainiez en Italie et en Angleterre ?
En Angleterre, les joueurs se donnent à 100% à chaque entrainement. Ils sont tout le temps à fond, très professionnels. Les joueurs italiens ou français, ils sont peut-être plus créatifs sur le terrain, mais tu dois davantage les bousculer pour qu'ils donnent le maximum. Voila la différence.

L'effectif dont vous disposez aujourd'hui est-il comparable à celui que vous aviez au Milan AC ou à Chelsea ?
C'est difficile de comparer. Tous les joueurs sont différents. Quand je suis arrivé à Milan (2001), l'équipe était prête pour jouer et gagner. Pareil quand j'ai débarqué à Chelsea (2009). Ici, je suis arrivé à la tête d'une équipe en construction qui, il y a six mois, n'était pas encore prête pour cela. Aujourd'hui, c'est différent. Je sens vraiment tout le monde, dans et autour du club, motivé pour gagner. J'ai l'impression que tous les gens qui aiment ce club ont pris conscience de l'importance qu'est en train de prendre le PSG. Il flotte dans l'air comme une excitation particulière. Comme quand on attend un grand événement.

A Milan et à Chelsea, vous dirigiez aussi des stars habituées à la concurrence. Ici, un Nene ou un Sakho, pour prendre des exemples concrets, n'avaient jamais vraiment été soumis à une remise en cause de leur statut d'incontournable avant votre arrivée...
Peut-être, mais ce n'est pas une raison pour trouver la concurrence anormale, surtout quand tu sais que ton club cherche à bâtir l'équipe la plus compétitive possible. Maintenant, si un joueur vient me voir demain afin de me dire qu'il n'aime pas la concurrence et qu'il préfère une équipe qui lui assure du temps de jeu plus important, pas de problème. On essayera de trouver une solution.

Justement, Milan Bisevac aimerait bien aller voir du côté de Lyon si la concurrence est moins âpre. On parle d'un échange avec Réveillère...
C'est possible, oui...

Vous seriez intéressé par Anthony Réveillère ?
C'est un très bon joueur, expérimenté. Mais je suis content aussi de Bisevac qui est un joueur très professionnel, qui peut évoluer comme défenseur central ou latéral. Or, dans le foot d'aujourd'hui, on ne peut pas avoir un élément qui ne soit capable de jouer qu'à un seul poste. Tu as besoin d'avoir des gars polyvalents.

Et Lucas Moura, est-ce le type de joueur polyvalent que vous affectionnez ?
(sourires) Oui, mais il n'est pas encore dans l'équipe. J'ai déjà assez à faire avec les joueurs qui sont là. Pour lui, on verra en janvier. Janvier, c'est loin.

Pourquoi avez-vous choisi Christophe Jallet comme capitaine ?
Parce qu'il saura assumer cette responsabilité. Christophe, c'est l'exemple parfait du joueur professionnel et sérieux qui donne tout pour l'équipe. Il est tout sauf égoiste.

Pourquoi souhaitiez-vous absolument donner le brassard à un joueur français ?
Aujourd'hui, c'est la solution la plus pertinente. C'est difficile de donner le brassard à un joueur étranger qui n'évolue ici que depuis six mois ou un an. Jallet, lui, est là depuis plusieurs saisons, il connaît bien l'ambiance et le club.

Au train ou vont les choses, ça risque de devenir bientot très compliqué de trouver un joueur français dans votre équipe, non ?
Non, parce que comme je vous l'ai dit plus tôt, on a pour ambition de recruter et de former des jeunes français.

Quels rapports entretenez-vous avec Leonardo ?
C'est mon ami. Je lui fais confiance et il me fait confiance. On a tous les deux le même objectif pour Paris : construire une grande équipe le plus vite possible.

Une amitié entre un entraineur et un directeur sportif est-elle vraiment possible ? Peut-être Leonardo sera t-il obligé de vous virer un jour...
Deux amis peuvent parfaitement fonctionner ensemble. J'ai même déjà travaillé avec des joueurs qui étaient mes amis. Gattuso, par exemple, était et est toujours mon ami, et ça n'a jamais posé le moindre problème. Le plus important, c'est le respect. C'est que le joueur respecte ma position et que moi je respecte la sienne ou celle de mon directeur sportif.

Et ici, voyez-vous certains de vos joueurs en dehors du travail ? A Milan, on raconte que vous aviez échangé quelques balles au tennis avec Yoann Gourcuff...
Non, ce n'est pas vrai. (il se marre) Bon, il m'est déjà arrivé de voir quelques-uns après l'entrainement, mais pas encore ici, à Paris. Mais ca ne veut pas dire que ca n'arrivera jamais. Moi, mon souhait, c'est d'être au même niveau que mes joueurs. Ni plus haut qu'eux, ni plus bas. Parce que si tu leur parles d'égal à égal, ta communication et tes échanges avec eux seront beaucoup plus riches.

Parlez-vous beaucoup à vos joueurs ?
J'essaie. D'autant que c'est en parlant avec eux qu'on trouve parfois des solutions dans le jeu. C'est arrivé comme ça avec Pirlo, à Milan. C'est en discutant tous les deux qu'on a trouvé ce poste de milieu axial devant la défense qui lui a permis d'optimiser ses qualités et d'aider l'équipe à pratiquer un meilleur football. C'est lui, un jour, qui est venu me dire qu'il aimerait bien essayer ce poste là. Je lui ai dit OK, on peut essayer quelques matches et voir comment ca marche. Et ca s'est très bien passé. J'apprécie que les joueurs viennent me voir pour me donner leurs sensations. Mais ce n'est pas évident pour eux. En général, ils préfèrent rester dans leur coin, surtout quand ils sont en groupe.

Vous avez connu Berlusconi à Milan, Abramovitch à Chelsea et désormais, al-Khelaifi à Paris. Si vous deviez les définir en quelques mots ?
Ce sont des passionnés. Ils aiment vraiment le foot et s'intéressent beaucoup à leur équipe.

Lequel des trois est le plus interventionniste ?
En Italie, je sais qu'il se disait que Berlusconi m'envoyait la composition de l'équipe le matin des matchs. Evidemment, ce n'est pas vrai ! Il est bien trop intelligent pour ça. Ce qui est vrai, c'est qu'il aimait bien savoir pourquoi j'avais pris la décisions de faire jouer un attaquant plutôt qu'un milieu, par exemple. Parfois, il me donnait son avis. Pas de problème. J'estime que si le président veut savoir pourquoi tel joueur a été préfèré à tel autre, l'entraineur doit lui expliquer.

Nasser vous appelle-t-il parfois, le samedi matin, pour avoir la composition de l'équipe ?
(rires) Non, pas du tout, mais si je le vois avant le match, je lui donne la compo. Enfin, si je la connais. Parce qu'il y'a des fois où je ne la connais pas moi-même deux heures avant le match !

Habitez-vous à Paris ?
Oui. Cette ville est fantastique.

Avez-vous pris le temps de la découvrir ?
Pas autant que je le voudrais, parce que je suis au Camp des Loges de 9h à 18h, mais je suis déjà allé plusieurs fois me balader sur les Champs-Elysées et place de la Concorde. A chaque fois que j'y vais, c'est la même magie qui opère.

Vous avez grandi à la campagne, mais vous n'avez joué ou entraîné que dans des grandes villes : Rome, Milan, Londres, Paris...
J'aime la campagne. Mon père était agriculteur. J'ai eu beaucoup de chance parce que j'ai travaillé dans quatre des plus belles villes du monde. Je ne sais vraiment pas ou je pourrais aller la prochaine fois... (sourires)

A Madrid ?
Hum... (moue dubitative) Non, je suis très content d'être ici. A Paris, les gens sont très respectueux. Tu peux marcher dans la rue ou aller au cinéma sans être importuné. Les gens me reconnaissent mais ils me laissent tranquille.

Vous êtes la pour longtemps, alors ?
J'espère, mais dans notre travail, on ne peut pas être sur. Jamais.

FF



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