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Séries spoilers

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MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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"Rewind"
Origine de la série : Américaine.
Acteurs : Shane McRae, Keisha Castle-Hughes, Jennifer Ferrin.
Genre : Drame, Fantastique, Thriller.
Synopsis : Une équipe de militaires et de scientifiques doit utiliser une nouvelle technologie qui n'a encore jamais été testée pour voyager dans le passé afin de changer des événements qui ont conduit à une attaque terroriste dévastatrice...
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Le coup des ados extraterrestres qui s'amusaient en mettant sous cloche les habitants, à la fin du dome, c'est d'un ridicule...
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Hank devient un putain d'acteur
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C'est quoi ce thon ?
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Héhéhé
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Spectaculaire
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Et l'avion qui se crashe sur la bulle, wow
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Enorme, l'arrivée du dome
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Ça démarre fort, "Under the dome"
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27 août 2013, par Pierre Sérisier
Top Boy – Un peu d’humanité dans un monde de béton

Comme The Wire, la série britannique Top Boy dont la deuxième saison vient de débuter sur Channel 4 requiert l'usage des sous-titres. La parole y est aussi rapide et brutale que l'action, portée par l'accent des petits et des gros trafiquants de drogue d'Hackney, quartier populaire situé dans l'est de Londres, principalement peuplé de cités HLM. Savoir si cette fiction que l'on doit à Ronan Bennett est l'héritière ou la version britannique de la saga imaginée par David Simon n'a que peu d'intérêt.

L'essentiel est de constater que les épisodes fondés sur une structure très classique, rappelant celle employée par l'ancien journaliste du Baltimore Sun, offrent un récit rythmé, exigeant l'attention du spectateur pour comprendre qui est qui et qui fait quoi. L'explication des enjeux est réduite à sa plus simple expression, on est immédiatement plongé dans l'univers du trafic, des caïds, des rivalités entre bandes concurrentes et des flics en embuscade. Rien n'est surligné et il est préférable de suivre.

La première saison diffusée en 2011 mettait en scène les hésitations de Dushane (Ashley Walters) et de son pote Sully (Kane Robinson), petits trafiquants de la cité de Summerhouse, qui se retrouvaient avec sur les bras le cadavre de Kamale, un rival qui avait piqué leur réserve de came. La saison 2 démarre alors que Dushane est monté en grade, il est désormais le "Top Boy", celui qui se tient au sommet de la pyramide alimentaire du quartier.

Beaucoup plus exposé et beaucoup plus surveillé, Dushane est traqué par les feds qui ont acquis la conviction qu'il est responsable de la mort de Kamale. Mais le jeune homme apprend vite et ses nouveaux revenus financiers lui permettent de bénéficier de l'assistance d'une avocate aussi pugnace que cynique dès qu'il se retrouve en garde à vue. Il y a bien sûr la tension liée à toute histoire de gangsters, aux risques inhérents à l'activité de Dushane et à la violence induite.

Mais ce n'est pas sur ce terrain, assez connu, que Top Boy trouve son originalité. Le talent de Ronan Bennett s'exprime le mieux dans les scènes qui paraissent a priori secondaires, celles qui introduisent du ciment entre les grands blocs de l'intrigue. Il s'agit d'une conversation dans le salon de coiffure de la mère de Ra'Nell au moment où entre un un homme entièrement nu. Il s'agit d'une livraison que fait le jeune Michael chez un type vivant dans un quartier aisé où il découvre une bibliothèque qui dépasse son imagination. Ce même Michael se lance dans une improvisation de rap et se fait moucher par un plus grand qui lui sous les exclamations moqueuses des filles.

Dans tous ces moments, soigneusement filmés, s'exprime une humanité qui vient compenser la violence urbaine ambiante, les interrogatoires de police et les tractations tendues. On se prend même à sourire quand Ra'Nell et son pote Gem, qui a laissé crever les pieds de cannabis de Vincent, un trafiquant local, tentent de trouver une explication capable d'éviter à ce dernier de gros ennuis. Ra'Nell, jamais à court d'imagination, propose à son copain de dire que les plants ont été détruits par des sauterelles, le fléau dont furent victimes les Egyptiens dans la Bible.

Top Boy est un pur moment de plaisir télévisuel, une série qui se regarde avec attention pour profiter pleinement de la richesse de ses personnages, principaux et surtout secondaires.
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29 août 2013, par Pierre Sérisier
Rogue – Juste une série de plus ?
par Benjamin Campion

La télévision américaine n’a jamais produit autant de séries. Tout au long de l’année, des nouveautés envahissent les grilles de programmes et tentent de se faire une place au soleil d’un marché de plus en plus saturé. Il devient quasiment impossible de garder le fil de toutes les séries qui débarquent sur nos écrans chaque semaine, à tel point que certaines passent inaperçues alors qu’elles auraient pu attirer l’attention quelques années plus tôt.

Rogue est de celles-là. Souvent malmenée par la critique, voire tout simplement boudée, la série mettant en scène Thandie Newton dans le rôle d’une flic dont l’infiltration dans un gang se met à déraper après la mort de son fils souffre d’un trop-plein de concurrence. Et ce n’est pas près de s’arrêter, puisque même des chaînes installées comme Syfy ou FX (via sa petite sœur, FXX, qui sera lancée le 2 septembre prochain) envisagent d’étendre leur catalogue dans les mois qui viennent.

Rogue n’est pourtant qu’une première étape dans le plan de développement de DirecTV, un puissant opérateur de télévision par satellite qui s’était déjà distingué quelques années plus tôt en sauvant Friday Night Lights et Damages de l’annulation. Audience Network, la chaîne de divertissement accessible en exclusivité à ses 32 millions d’abonnés, doit accueillir trois autres séries originales dans les trois à cinq années qui viennent (à commencer par Full Circle, avec Neil LaBute aux commandes et le duo David Boreanaz-Kate Walsh dans les premiers rôles). La machine est lancée ; mais ce choix stratégique est-il judicieux ?

« Si t’as pas ta série à 40 ans… »
Pourquoi se lancer dans la production de séries originales quand vous donnez déjà accès à vos abonnés à tout un éventail de chaînes avec lesquelles il vous sera impossible de rivaliser ? Pourquoi louer les droits d’exploitation de catalogues qui ont coûté beaucoup d’argent à leurs sociétés de production, si c’est pour les affronter sur leur propre terrain ?

Peut-être parce qu’AMC s’est offert une renommée internationale en lançant, en l’espace de six mois, Mad Men (juillet 2007) et Breaking Bad (janvier 2008), après avoir fondé une réputation confidentielle sur la diffusion de classiques de l’âge d’or hollywoodien. Sans doute parce que Netflix s’est invité à la cérémonie des Emmy Awards en produisant la première série originale d’un opérateur de vidéo à la demande, House of Cards, portée par l’aura de David Fincher, de Kevin Spacey et de Robin Wright. Mais aussi parce qu’une chaîne dédiée au cinéma indépendant comme Sundance Channel peut se permettre de recueillir tous les suffrages dès le lancement de sa première série maison, Rectify.

La série est devenue le nouvel objet à la mode. Tout le monde en veut une à son poignet, quitte à renier ses engagements initiaux. Et pour l’obtenir, tous les moyens sont bons : s’attaquer à un sujet choc, attirer de grands noms du cinéma, offrir des conditions de tournage dignes d’un film indépendant, partager les coûts de production avec des partenaires étrangers, miser sur une distribution internationale, etc.

Il n’y a pas de formule magique ; mais pour tirer son épingle du jeu, il faut se démarquer. Le (télé)spectateur d’aujourd’hui possède tellement de références et de points de comparaison qu’il sera difficile de le convaincre en s’appuyant sur des recettes éprouvées. Il suffit de voir la tiédeur des réactions suscitées par les premiers pilotes produits par Amazon, l’un des quatre grands d’Internet, qui se lance à son tour sur le marché des séries « originales »…

Éparpillés façon puzzle
Dans ce contexte surchargé, DirecTV opte pourtant pour un démarrage en douceur avec Rogue. Son actrice vedette, Thandie Newton, ne figure pas sur la « A-list » d’Hollywood, même si son CV est déjà bien rempli. Ses thématiques ont déjà été vues mille fois au cinéma, où le thriller policier sur fond d’intrigue mafieuse constitue un genre à part entière. Quant au mélange de sexe (voulu « à l’européenne » par le créateur anglais de la série, Matthew Parkhill), de violence et de langage crû, il constitue le cocktail de base des chaînes du câble premium qui entendent surfer sur l’espace de liberté qu’implique leur modèle sans publicité.

Rogue n’a donc pas la prétention de renverser l’ordre établi. Mais ce qui frappe dès ses premiers instants, c’est l’intensité dont témoigne le jeu de ses acteurs. Thandie Newton, que l’on pourrait croire en dilettante après avoir tourné dans des blockbusters comme Mission impossible 2 ou 2012, donne tout pour ce rôle de femme flic résolue à connaître la vérité sur la mort de son fils : son corps, ses tripes, sa rage, ses larmes. Plusieurs scènes l’exposent seins nus, sans érotisme, sans lumière avantageuse pour mettre ses formes en valeur. Au plus fort de sa détresse, elle apparaît prostrée au fond d’une baignoire, le corps couvert de bleus, le sang tourbillonnant autour de la cuvette : l’immersion est alors totale.

Mais elle n’est pas la seule à croire dur comme fer au projet. Qu’ils soient canadiens, anglais ou néo-zélandais (la série est une coproduction anglo-canadienne), tous les acteurs ou presque donnent l’impression de jouer chaque scène comme s’il s’agissait de la dernière. Et pour cause : dans Rogue, hormis l’héroïne (« too tough to die », pour paraphraser la chanson du générique interprétée par l'ex-compagne de Tricky, Martina Topley-Bird), n’importe qui peut disparaître en un claquement de doigts. L’intrigue progresse par élimination, au sens propre du terme. Un bras tendu peut s’immiscer dans un coin du cadre, tirer une balle au silencieux et mettre fin au contrat d’un acteur qui se croyait pourtant à l’abri.

« J’aime l’audace de ces séries qui n’hésitent pas à sacrifier des figures de premier plan », explique Matthew Parkhill, nourri au polar anglais. « Cela crée un effet de surprise : le téléspectateur ne sait plus à quoi s’attendre… Maintenant, je mentirais si je prétendais ne pas regretter d’avoir tué certains personnages ! ».

Dans le même temps, un second rôle dont on avait à peine remarqué l’existence jusque-là peut sortir de l’ombre et se révéler décisif dans le déroulement de l’histoire. Rien n’est figé : le téléspectateur n’a jamais tout le loisir de s’installer confortablement dans son fauteuil et de lever un œil de temps en temps de sa tablette pour reprendre le fil du récit. Ou alors, il risque de ne plus rien y comprendre…

Moisson rouge
Rogue puise ses racines dans la littérature « hard-boiled ». Son écriture sèche, ses scènes d’action ciselées, ses caractères en acier trempé, son rejet du manichéisme (les « bad guys » ne sont pas forcément ceux que l’on croit), son état de tension permanente l’apparentent à un roman noir de Dashiell Hammett dans lequel le rôle du Continental Op serait tenu par une femme.

Tous les trucs de la « pulp fiction » y passent : chausse-trappes, fausses pistes, jeux de dupes, retournements de situation, réapparition d'indices trop vite écartés, complots sur fond de mensonges, de manipulations, de trahisons. Les mauvais coups se préparent, les familles se déchirent, les affaires se règlent dans le sang. Les générations s’entrechoquent, et les personnalités se révèlent souvent multiples : mère aimante à la ville, Grace Travis devient Jackie lorsqu’elle opère en sous-marin. Une renégate prête à tout pour parvenir à ses fins, même à tuer de sang-froid.

Dans la plus pure tradition du roman noir, l’atmosphère générale se veut moite, crispée, parfois irrespirable. De nombreuses scènes sont tournées en extérieur nuit, ou dans des pièces dont les occupants ont tiré les volets afin d’échapper aux tirs de sniper. L’action se déroule à Oakland, dans la baie de San Francisco, mais la majeure partie du tournage s’est tenue à Vancouver, ce qui a permis à la production de bénéficier d’un allègement fiscal de 30%. Et imposé un climat gris et pluvieux qui colle parfaitement à l’esprit de la série.

Le choix de tourner dans la ville portuaire la plus dense du Canada n’a pourtant pas toujours été couronné de succès, comme le rapporte le chef décorateur de la série, Ricardo Spinacé, qui a dû composer avec le refus des autorités maritimes locales de lui ouvrir l’accès aux entrepôts de conteneurs, synonymes d’approvisionnement en drogues et en armes de contrebande.

Qu’à cela ne tienne : Vancouver est une ville de plus en plus prisée par les maisons de production, en premier lieu pour ses avantages fiscaux. C’est d’ailleurs là qu’ont été tournées les trois saisons de The Killing, dont Rogue partage le goût pour les couleurs froides et les espaces confinés. Mais s’il est bien une leçon qu’a retenue Matthew Parkhill en voyant les reproches déferler sur la tête de la pauvre Veena Sud, qui avait choisi de laisser son whodunit ouvert à l’issue de sa première saison, c’est de ne pas trop tirer sur la corde !

Dès les premières séances en salle d’écriture, l’auteur anglais a exposé l’arc narratif qu’il avait en tête pour l’ensemble de la saison, ainsi que des moments-clés pour chaque épisode. Quant aux dessous de l’affaire, l’un de ses personnages les révélerait en détail lors du dernier épisode, à la manière d’un Hercule Poirot faisant toute la lumière sur l’identité du meurtrier et le motif de son crime. Ainsi, pas de risque de se faire agonir par des fans en colère…

Rogue était initialement destinée au marché anglais, mais Parkhill avait besoin de temps pour installer ses personnages et multiplier les rebondissements. Ça tombe bien : du temps, il en aura encore pour développer une nouvelle intrigue, DirecTV ayant renouvelé la série pour une deuxième saison de 10 épisodes. Sa diffusion est attendue en 2014. D’ici là, nul doute que la concurrence deviendra encore plus féroce !
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Matisse
BARCA BARCA BARCA 6-1 !!
(Mythe)
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MC Jean Gab1 a dit :
Matisse a dit : Reste plus qu'à trouver un moyen de faire apprendre à Jesse que Walt est responsable de la mort de sa nana à la fin de la saison 2.
Elle fait une overdose et s'étouffe avec son vomi. Walter n'intervient pas mais il n'est pas directement responsable de sa mort, si ? -

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Non certes.
Mais c'est là même chose pour moi, si Walt était intervenu la nana aurait probablement eu la vie sauve hein.
Si Jesse l'apprend, il le tue
MC Jean Gab1
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D'une certaine façon, il est davantage responsable du crash provoqué par les mauvaises indications du père de la fille qui perd les pédales après sa mort.
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MC Jean Gab1
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Matisse a dit : Reste plus qu'à trouver un moyen de faire apprendre à Jesse que Walt est responsable de la mort de sa nana à la fin de la saison 2.


Elle fait une overdose et s'étouffe avec son vomi. Walter n'intervient pas mais il n'est pas directement responsable de sa mort, si ?
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Matisse
BARCA BARCA BARCA 6-1 !!
(Mythe)
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MC Jean Gab1 a dit : Dans la foulée, je me suis repassé les derniers épisodes de la saison 4 en accéléré. Tout est parfaitement cohérent mais le phoque Huell qui fait un numéro de pickpocket pour chourer la cigarette ou la came ni vu, ni connu, voilà quoi…


Pas faux
Mais bon je crois qu'à cette époque là Jesse passait son temps à fumer de l'herbe et à picoler, il était surement pas aux aguets.

MC Jean Gab1 a dit :Sinon, bravo à tous ceux qui avaient pronostiqué que la découverte de la supercherie de Walt par Jesse constituerait la clé de cette deuxième partie. Je ne sais plus qui en avait parlé (Nicaps ? Rantanplan ? Sam ?). Je ne voyais pas comment Jesse pouvait découvrir la vérité (c'est quand même tiré par les cheveux) et je pensais que la deuxième partie de la saison 5 serait uniquement occupée par le duel Walter-Hank.


Reste plus qu'à trouver un moyen de faire apprendre à Jesse que Walt est responsable de la mort de sa nana à la fin de la saison 2.
Hormis des aveux de Walt je vois pas d'autre moyen vu qu'il est le seul à être au courant. Peu probable néanmoins car je vois pas l’Intérêt pour lui de faire des aveux.
MC Jean Gab1
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Ça pine dans tous les sens dans MM
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Mmm
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Je me suis repassé la séquence de BB où Jesse comprend tout et c'est très mal mis en scène… Il cherche sa came, fouille toutes ses poches et sort le paquet de cigarettes, comprend qu'il s'est fait dépouiller, tâte à nouveau toutes ses poches, regarde le paquet et comprend immédiatement qu'il s'était fait gauler la cigarette à la ricine comme il s'est fait gauler le shit… Il jette un regard sur sa gauche, ramasse son sac et se barre, provoquant le départ de la voiture.

Ce n'est pas crédible. Je l'aurais vu fouiller ses poches longuement puis sortir son paquet, le regarder de longues secondes et tout comprendre. Quelques FB n'auraient pas été de trop, comment quand Hank chie, bouquine et tombe sur la dédicace de Boetticher (on voit un FB de Walter qui répond à "Qui est W.W. ? Walter White ?" par "Tu m'as eu !").

Dans la foulée, je me suis repassé les derniers épisodes de la saison 4 en accéléré. Tout est parfaitement cohérent mais le phoque Huell qui fait un numéro de pickpocket pour chourer la cigarette ou la came ni vu, ni connu, voilà quoi…

Sinon, bravo à tous ceux qui avaient pronostiqué que la découverte de la supercherie de Walt par Jesse constituerait la clé de cette deuxième partie. Je ne sais plus qui en avait parlé (Nicaps ? Rantanplan ? Sam ?). Je ne voyais pas comment Jesse pouvait découvrir la vérité (c'est quand même tiré par les cheveux) et je pensais que la deuxième partie de la saison 5 serait uniquement occupée par le duel Walter-Hank.
MC Jean Gab1
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Plus que 3 épisodes… Apparemment, le final tourne à un duel Dexter-Saxon et donc, la police n'apprendra rien de ses activités. Il s'en sortira
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Yvonne…
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Matisse a dit : J'ai toujours pensé qu'Hank n'aurais jamais la peau de Walt (trop moral pour cette série que le flic gagne la partie)


D'accord avec ça mais je pense que Walter paiera d'une façon ou d'une autre. La série n'est pas assez tordue pour empêcher une forme de justice de triompher. D'ailleurs, c'est ce qui se dit au cours de la discussion dans le resto.
Hank : "Vous croyez pouvoir vous en sortir comme ça ? Jamais de la vie !"
Walter : "On ne dit pas ça…"

Walter et Skyler parlent de reprendre une vie normale (Walter répète ça à Jesse) mais personne n'y croit. Et peut-être n'y croient-ils pas eux-mêmes. Tout indique que Hank n'arrivera pas à coincer Walter mais aussi que Walter ne pourra jamais reprendre une vie ordinaire. Y'aura toujours un grain de sable (Jesse, la nana à la tête du cartel ou un autre) pour tout foutre en l'air, sans parler de son cancer.

La scène des faux aveux est vraiment cruciale. Elle piège Hank mais elle finit aussi de rendre Walter complètement détestable et tu n'as plus qu'une envie, le voir tomber. Même chose avec la disparition de Laguerta dans "Dexter". C'est l'acte de trop qui flingue ce qui reste du capital sympathie du héros.
Matisse
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MC Jean Gab1 a dit : Je ne sais pas si les auteurs vont réussir à tenir la cadence mais depuis trois épisodes, BB monte follement en intensité…


+1
Et je regrette aussi énormément ce flash forward qui ruine un peu le plaisir et nous prive de surprises.
J'ai toujours pensé qu'Hank n'aurais jamais la peau de Walt (trop moral pour cette série que le flic gagne la partie) mais qu'en revanche Jesse, le jeune dealer au grand cœur bourré de remords d'avoir commis tous ses vilains actes pourrait se le faire.
Manque plus qu'il apprenne que Walt aurait pu sauver sa belle à la fin de la saison 2 et personne ne pourra l'arrêter.
MC Jean Gab1
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Vu le buzz créé par HoC, Kevin Spacey paraît favori.
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6e nomination consécutive pour Jon Hamm (Don Draper dans "Mad men") qui va encore se faire carotter C'est un record (6 nominations sans victoire) partagé par Martin Sheen, Hugh Laurie (Dr House) et Michael C. Hall (6 Feet Under + Dexter).
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MC Jean Gab1
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Les Emmy Awards, c'est le 22 septembre. Bryan Cranston peut décrocher une quatrième récompense comme meilleur acteur dans une série dramatique et rejoindre Dennis Franz, seul acteur distingué 4 fois.
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"BREAKING BAD" : ANNA GUNN DÉNONCE LES ATTAQUES DONT ELLE EST VICTIME À CAUSE DE SON PERSONNAGE
La comédienne Anna Gunn, qui joue Skyler White dans "Breaking Bad", s'inquiète des nombreuses attaques envers son personnage mais également sa propre personne.

Les audiences ont beau être excellentes depuis le début de la deuxième partie de la saison 5 , le sort de "Breaking Bad" est scellé : la série acclamée par la critique et le public s'arrêtera le 29 septembre prochain, sur décision du créateur Vince Gilligan. D'ici là, la série pourrait bien décrocher un ou plusieurs Emmy Awards lors de la cérémonie qui se tiendra le 22 septembre prochain. "Breaking Bad" y est nommée en meilleure série dramatique, mais aussi en meilleur acteur (Bryan Cranston), meilleur second rôle masculin (Jonathan Banks et Aaron Paul) ainsi que meilleur second rôle féminin (Anna Gunn).

"Jouer dans 'Breaking Bad' a été l'une des expériences les plus instructives mais..."
Il s'agit de la deuxième nomination d'affilée pour Anna Gunn dans cette catégorie aux Emmy Awards. La comédienne, habituée jusqu'ici des petits rôles dans diverses séries, joue dans "Breaking Bad" le personnage de Skyler White, la femme de Walter White (Bryan Cranston). Celle-ci voit d'un mauvais oeil la reconversion de son mari en trafiquant de drogue, une situation qui selon elle met en danger la vie de la famille. Mais les décisions du personnage - partagé entre le soutien conjugal et le conflit - ne plaisent pas vraiment à certains téléspectateurs, passionnés par "Breaking Bad".
Une situation qui, malgré l'arrêt de la série dans quelques semaines, touche Anna Gunn. Ce week-end, la comédienne a publié une tribune dans les colonnes du New York Times, intitulée "J'ai un problème de personnage". "Jouer Skyler White dans Breaking Bad au cours des cinq dernières saisons a été l'une des expériences les plus instructives dans ma carrière d'actrice. Mais le rôle m'a aussi amenée à une autre facette - une que je n'aurais jamais imaginée" a écrit Anna Gunn, faisant référence aux nombreuses messages de haine envers son personnage.

"Je n'étais pas préparée aux violentes réactions"
"Au fur et à mesure que la haine envers Skyler s'est transformée en dégoût envers ma personne, j'ai eu un aperçu de cette colère qui, au début, m'a abasourdie" a poursuivi la comédienne, rappelant que Walter White était un anti-héros et que Skyler, sa femme, était en quelque sorte un antagoniste. "Donc, dès le début, je savais qu'elle n'allait pas être le personnage le plus populaire de la série. Mais je n'étais pas préparée aux violentes réactions qu'elle a suscité" a ajouté Anna Gunn, déclarant que certains voyaient Skyler comme une "pétasse ennuyante."
"J'aime prendre des personnages complexes et j'essaye toujours de capturer l'âme de ces personnages, qu'ils soient populaires ou non" a écrit la comédienne, précisant que Vince Gilligan, le créateur de "Breaking Bad" souhaitait un personnage fort. "En tant qu'être humain, je m'inquiète des réactions si violentes envers Skyler. Ne supportent-ils pas une femme qui ne souffre pas silence ou qui suit son mari ? Est-ce le fait qu'elle n'abandonne pas ? Ou parce qu'elle est, en fait, l'égal de Walter ?" s'est-elle interrogée.

"Est-ce que quelqu'un peut me dire où trouver Anna Gunn pour que je puisse la tuer ?"
Mais désormais, certains téléspectateurs aimeraient s'en prendre directement à Anna Gunn, et non à son personnage. "Un commentaire dit 'Est-ce que quelqu'un peut me dire où trouver Anna Gunn pour que je puisse la tuer ?'. En plus d'être effrayée (et d'avoir pris des mesures pour ma sécurité), j'ai également été estomaquée : comment détester un personnage peut mener à une envie d'homicide envers son actrice ?" a raconté l'actrice. "Mais j'ai finalement réalisé que les gens qui détestaient Skyler n'en avait pas après moi mais après leur propre perception des femmes et des épouses. (...) Je ne peux pas dire que j'ai apprécié être au centre de la haine envers Skyler. Mais au final, je suis contente que cette discussion soit intervenue et éclairé certaines lanternes" a-t-elle conclu.
Pure Médias
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65e EMMY AWARDS

Meilleur drame.
Sont nominés : Breaking Bad, Downton Abbey, Game of Thrones, Homeland, House of Cards, Mad Men.

Mon pari : Breaking Bad. Il faut bien se mouiller, et la fin de la série lui donne une longueur d’avance, même si la concurrence est très rude.
Outsider : House of Cards. L’arrivée tonitruante de Netflix dans le monde des séries pourrait permettre cette surprise.
Qui je voudrais voir gagner : Breaking Bad. Tout simplement ma série préférée en ce moment. Mais la saison 6 de Mad Men est grandiose, et j’applaudirais aussi sa victoire, d’autant qu’il restera l’an prochain une dernière occasion de célébrer la série de Vince Gilligan…
P.S : Rectify, anyone ?

Meilleure comédie.
Sont nominés : 30 Rock, The Big Bang Theory, Girls, Louie, Modern Family, Veep.

Mon pari : Veep. Le vent va bien finir par tourner pour Modern Family…
Outsider : 30 Rock, pour cause de fin d’une série un peu vite oubliée mais marquante.
Qui je voudrais voir gagner : Louie, évidemment. Aucune comédie n’arrive à la cheville du sommet de noirceur et d’intelligence de C.K. Mais ça n’est pas une bête de concours.

Meilleure minisérie ou téléfilm.
Sont nominés : American Horror Story, Ma Vie avec Liberace, The Bible, Phil Spector, Political Animal, Top of the Lake.

Mon pari : Ma Vie avec Liberace, précédée d’une belle critique, a tout du champion de la statuette.
Outsider : The Bible, ce qui serait une ignominie critique, mais il ne faut jamais sous-estimer la bigoterie d’un jury américain, ni l’influence d’audiences record.
Qui je voudrais voir gagner : Top of the Lake, superbe travail de Jane Campion, porté par des acteurs remarquables. Et une vraie minisérie, à la différence de American Horror Story et de Political Animal.

Meilleure actrice dramatique.
Sont nominées : Connie Britton, Claire Danes, Michelle Dockery, Vera Farmiga, Elisabeth Moss, Kerry Washington, Robin Wright.

Mon pari : Vera Farmiga. C’est un poil risqué, mais je prend le risque, tant la cote de l’actrice de Bates Motel semble élevée.
Outsider : Robin Wright, plus subtile que la froideur de son personnage dans House of Cards ne le laisse d’abord penser.
Qui je voudrais voir gagner : Robin Wright. Choix difficile, d’autant que j’aime beaucoup Elisabeth Moss, mais qui à mon avis aura la statuette sur la minisérie.

Meilleur acteur dramatique.
Sont nominés : Hugh Bonneville, Bryan Cranston, Jeff Daniels, Jon Hamm, Damian Lewis, Kevin Spacey.

Mon pari : Bryan Cranston. Il est immense. Au pire, il doit être récompensé l’an prochain, à la dernière apparition de Breaking Bad aux Emmys. Et Jon Hamm aura le droit à la même l’année d’après — Mad Men excite moins qu’avant, mais sa performance a encore gagner en profondeur.
Outsider : Kevin Spacey, même si sa performance dans House of Cards ne m’a pas tout de suite emballée.
Qui je voudrais voir gagner : Bryan Cranston. Un immense acteur, un personnage qui marquera l’histoire des séries, et un type très chouette. Ou Jon Hamm, injustement ignoré des Emmys jusqu’ici.

Meilleure actrice comique.
Sont nominées : Laura Dern, Lena Dunham, Edie Falco, Tina Fey, Julia Louis-Dreyfus, Amy Poehler.

Mon pari : Lena Dunham. C’est un pari risqué, la compétition étant très incertaine, mais l’effet Girls pourrait finir par profiter à la Dunham actrice.
Outsider : Julia Louis-Dreyfus, sur le papier la plus drôle de la bande. Tina Fey ne me surprendrait pas non plus, fin de série oblige.
Qui je voudrais voir gagner : Laura Dern, héroïne d’une série incomprise, qu’elle a aussi coproduite, la formidable Enlightened. Sur ce coup-là, les téléspectateurs et HBO se sont plantés. Et si les votants leur faisaient remarquer ?

Meilleur acteur comique.
Sont nominés : Alec Baldwin, Jason Bateman, Louis C.K, Don Cheadle, Matt LeBlanc, Jim Parsons.

Mon paris : Jim Parsons. En terme de comédie, les votants jouent souvent la sécurité. Il y a beaucoup d’acteurs de câble ici, et Parsons pourrait profiter de son côté grand public.
Outsider : Jason Bateman, pour marquer le retour de Arrested Development, pas nominée dans la catégorie meilleure comédie.
Qui je voudrais voir gagner : Louis C.K, évidemment. Et ça ne serait pas complètement inattendu, tant la cote de C.K gonfle avec le temps. Et malgré son absence de nouveauté cette saison.

Meilleure actrice dans une minisérie ou téléfilm.
Sont nominées : Jessica Lange, Laura Linney, Helen Mirren, Elisabeth Moss, Sigourney Weaver.

Mon pari : Elisabeth Moss, comme dit plus haut. Elle confirme dans Top of the Lake son talent.
Outsider : Jessica Lange, parce qu’il faut bien que American Horror Story, très appréciée de la critique US, gagne quelque chose.
Qui je voudrais voir gagner : Elisabeth Moss.
P.S : Laura Linney pour The Big C n’a rien à faire dans cette catégorie, même si la dernière saison de la comédie dramatique de Showtime est un peu à part.

Meilleur acteur dans une minisérie ou téléfilm.
Sont nominés : Benedict Cumberbatch, Matt Damon, Michael Douglas, Toby Jones, Al Pacino.

Mon pari : Michael Douglas, au milieu de Matt Damon et Al Pacino. Les Emmys ressemblent de plus en plus aux Oscars…
Outsider : Al Pacino, qui en fait des caisses dans un vrai rôle à statuettes dans Phil Spector.
Qui je voudrais voir gagner : Benedict Cumberbatch, seul acteur de série ici présent, pas mal du tout dans Parade’s End.

Et aussi :
Je vois bien Adam Driver, Mayim Bialik, Peter Dinklage, Anna Gunn, Peter Mullan et Sarah Paulson ramasser les statuettes sur les seconds rôles. Mais c’est un mélange de pari et d’envie.
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MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Numéro d'acteur extraordinaire de Bryan Cranston lors des faux aveux.
MC Jean Gab1
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Je ne sais pas si les auteurs vont réussir à tenir la cadence mais depuis trois épisodes, BB monte follement en intensité…
MC Jean Gab1
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Héhéhé
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lol, le téléphone Hello Kitty
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Putain de monologue… Il envoie du très lourd, cet épisode
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C'est d'la bonne
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ENORMISSIMES, PUTAIN, LES AVEUX
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Mais LOL
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Bien parlé
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Eh ouais
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Le kif
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Yeah
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