Certainement la 5ème passe qui n'est pas validée, Matt Maloney fait 2 dribbles avant d'aller marquer.
Puis pour les interceptions quand Drexler pousse la balle et qu'un autre joueur la récupère, on lui accorde une interception et quand c'est l'inverse on lui compte quand même.
Bullet in the head a dit : Collector : le vrai-faux quadruple double de Clyde Drexler (1996) 1er novembre 1996, premier match de la saison 1996-1997, Houston reçoit Sacramento. Houston et son nouveau Big Three composé d’Hakeem Olajuwon, de Clyde Drexler et de Charles Barkley. Mais « Sir Charles » est absent pour cette première, suspendu pour s’être battu avec Charles Oakley pendant un match exhibition. Pas de problème pour Drexler, qui va être au four et au moulin pendant toute la rencontre. L’ancien Blazer rend une copie parfaite de 25 pts, 10 rebonds, 10 interceptions et 9 passes. Il passe à une passe du quadruple double, seulement réalisé par quatre joueurs, dont son coéquipier Hakeem Olajuwon. La légende et les images racontent aussi que les statisticiens de la NBA ne lui ont pas compté sa dixième passe. L’empêchant ainsi de marquer l’histoire. C’est en quelques sorte le même scénario qu’Olajwuon qui en 1990 avait réalisé un quadruple double que la ligue n’avait pas homologué malgré la présence de 10 unités dans quatre catégories statistiques. busa
me rappelle pas de cette histoire de stat annulée... Pourtant, j'ai vu ce match (commandé sur Pontel) et à la fin, il cherche la dixième passe mais je ne sais plus qui rate le shoot. Peut-être qu'il y a eu une passe oubliée dans le match?
Collector : le vrai-faux quadruple double de Clyde Drexler (1996)
1er novembre 1996, premier match de la saison 1996-1997, Houston reçoit Sacramento. Houston et son nouveau Big Three composé d’Hakeem Olajuwon, de Clyde Drexler et de Charles Barkley.
Mais « Sir Charles » est absent pour cette première, suspendu pour s’être battu avec Charles Oakley pendant un match exhibition. Pas de problème pour Drexler, qui va être au four et au moulin pendant toute la rencontre.
L’ancien Blazer rend une copie parfaite de 25 pts, 10 rebonds, 10 interceptions et 9 passes. Il passe à une passe du quadruple double, seulement réalisé par quatre joueurs, dont son coéquipier Hakeem Olajuwon.
La légende et les images racontent aussi que les statisticiens de la NBA ne lui ont pas compté sa dixième passe. L’empêchant ainsi de marquer l’histoire.
C’est en quelques sorte le même scénario qu’Olajwuon qui en 1990 avait réalisé un quadruple double que la ligue n’avait pas homologué malgré la présence de 10 unités dans quatre catégories statistiques.
busa
Portland va garder Brandon Roy si il ne se blesse pas
Les dernières rumeurs annonçaient que Portland allait des débarrasser de Brandon Roy en utilisant la clause d’amnistie mais l'Oregonian rapporte que ce ne devrait pas être le cas. En effet le GM des Blazers Larry Miller voudrait le garder si il ne se blessait pas en pré-saison avant la date limite pou utiliser la clause d'amnistie.
« Notre plan actuellement est de ne pas utiliser la clause d'amnistie. On veut que Brandon fasse partie de l'équipe pour débuter la saison. Il a été là pour nous et nous voulons qu'il sache qu'il a notre soutiens. Paul Allen est d'accord avec cela. »
Les Blazers auraient rencontré Roy en face à face et son attitude a convaincu d'où leur désir de le voir à Portland pour le début des camps. (NBA infos)
A l'issue de l'entretien avec B-Roy.
Nate McMillan : "One of the things that you have to look at is Brandon going back into that starting lineup. That's something you didn't see last year due to medical reasons. Brandon is feeling better so Brandon back at the two position is something that I'm leaning towards and making our adjustments from that."
Puis la déclaration de Larry Miller : "Our plan right now is not to use the Amnesty. We expect Brandon to be a part of this team when the season starts... He has been there for us, and we want him to know we are supporting him. Paul is on board with this and feels the same way.’’
ESPN annonçait hier que Greg Oden pourrait éventuellement prendre la direction de Miami. Aujourd'hui, on apprend qu'il devrait finalement rester une année supplémentaire à Portland, sa "ville de coeur".
Le pivot devrait signer une qualifying offer de 8.8 millions de dollars pour un an chez les Trail Blazers et serait ainsi Free Agent l'été prochain. La saison 2011/12 l'épargnera-t-elle de tout pépin physique ? Espérons-le pour lui...
From Real GM : The Portland Trail Blazers are considering giving Nicolas Batum a multi-year contract extension.
“We’re definitely talking about that,” Miller said. “Nic is somebody that we see as part of the organization going forward. He’s part of the future of this organization.”
Batum — who averaged career highs in points (12.4), rebounds (4.5) and assists (1.5) last season — is equally eager to listen.
“Why not?” Batum said in a phone interview from France. “I came up with the Blazers. I love Portland. I love the fans. If I can continue with them, of course I want to. Why not?”
matisse a dit : Camby se faisant un peu vieux est-il totalement inenvisageable de décaler LMA et de l'associer dans la raquette à Landry ?
T'as oublié Oden, mec
Ben non mais pour Oden faire une saison "moyenne" serait déjà une bonne très nouvelle pour les Blazers mais je le vois pas du tout obtenir une place de starter, au Blazers ou dans n'importe quelle autre team d'ailleurs.
Bullet in the head a dit : Landry mérite mieux que d'être back-up, non ? Ou alors 6e homme mais pas moins
Quand t'as une rotation à 3, à l'intérieur, je suis pas sur qu'on puisse encore parler de 6ème homme... Mais il serait le 3ème homme à l'intérieur, ouais.
Après, je sais pas. Wallace peut jouer 4, Aldridge peut jouer 5. Landry est sans doute trop bon pour ramasser les miettes.
Sam Amick of SI.com reports that the Portland Trail Blazers have "expressed very real interest" in unrestricted free agent forward Carl Landry in the first day that teams have been officially make contact with agents. The New Orleans Hornets, Indiana Pacers and Boston Celtics have all reportedly done the same.
Landry is among a group of free agent big men who might be available for a Mid-Level Exception.
Le portrait du jour dans Libé ... Bat00000000000m ! je le mets ici Nancy c'est fini !
De Bambi à Batman
Le jeune surdoué du basket français a passé un cap à Nancy et devrait retrouver bientôt le championnat nord-américain.
Par WILLY LE DEVIN
C’est un haut-parleur téléphonique qui a fait de Nicolas Batum «un adulte». Juin 2008, alors qu’il se prépare à la draft NBA, la grand-messe où les jeunes espoirs du monde entier sont recrutés par les franchises nord-américaines, le cardiologue des Raptors de Toronto détecte chez lui une grave anomalie cardiaque. «Au départ, il m’avait pourtant déclaré apte, murmure-t-il, le ton sans importance. C’est une fois que je lui ai raconté mon histoire qu’il m’a diagnostiqué une putain de maladie.» L’hérédité a-t-elle ses penchants irréversibles ?
Vingt ans plus tôt, le père de Nicolas, Richard Batum, joueur de basket lui aussi, meurt en plein match, foudroyé par un malaise cardiaque. Nicolas a 3 ans et ne saura jamais vraiment la vérité. «Ma mère, je crois, a toujours voulu me protéger de ça. Elle savait que je rêvais, moi aussi, d’être basketteur. Et puis, je ne posais pas de questions non plus. Je n’y arrivais pas.» Lorsque le verdict du médecin canadien tombe, la vie de Nicolas Batum «est foutue. En rester là, c’était mourir». Accompagné de son agent, Bouna N’Diaye, il décide alors de se soumettre à une contre-expertise à la clinique de Cleveland, «le plus grand centre cardio du monde». Deux jours durant, son anatomie est disséquée. Epaisseur des parois ventriculaires, taille des artères, systolique, pouls. «On m’a fait passer tous les tests dont la médecine moderne dispose.» Et la réponse est sans équivoque : pour le professeur de Cleveland, Nicolas est apte. Reste à savoir pourquoi celui de Toronto, «un mec qu’il ne faut pas que je recroise», a failli caviarder sa carrière. Lever le voile sur le passé devient indispensable. Terré dans un coin du cabinet, il écoute son rédempteur interroger, sur le fameux haut-parleur, le médecin français qui, en 1991, a autopsié son père. «Là, j’apprends tout. L’heure de sa mort, les circonstances, la pathologie dont il souffrait. Je prends une énorme claque. C’est comme si mon père devenait réel après tout ce temps. Ce coup de téléphone m’a fait prendre dix ans d’un coup…» Désormais, il bouffera la vie façon Maxi Best of. A l’instar de ceux qui ont pris du retard. Fin juin, Batum est choisi par les Houston Rockets, mais est immédiatement envoyé sur les rives du Pacifique. Bonjour Portland.
Tout de suite, on pense millions de dollars, grosses bagnoles, gangsta rap et aquarium avec des piranhas. Mais Nicolas, lui, emmène sa mère, Sylvie, et sa sœur. «J’avais besoin de garder mon cocon. A 19 ans, un nouveau pays, une nouvelle culture, à 9 000 bornes de la France, ça fait flipper. Elles sont restées les deux premières années. Aujourd’hui, je ne suis plus un jeune homme. Je vis avec ma copine.» A l’époque, c’est vrai, il ressemble encore à un albatros tombé du nid. Pour ses coéquipiers du Mans, son club formateur, il n’est alors que «Bambi». 2,03 mètres pour à peine 90 kilos. Des biceps à paumer à chaque fois au bras de fer. Gauche et veule, disait le poète. Sauf avec un ballon de basket. Batum est déjà ce joueur au jump gargantuesque. Capable de prendre son impulsion à Portland et d’atterrir à Atlanta. Lesté de quelques kilos par les Ricains, il n’a aujourd’hui rien perdu de son incroyable agilité. Pour preuve, lorsqu’il dunke, Jacques Monclar, commentateur loufoque à la voix rocailleuse, beugle à s’en faire péter les nerfs du cul comme des cordes de violons. Batum ? Les salles en sont folles.
«Nicolas a un potentiel phénoménal. Il a de quoi devenir l’un des meilleurs ailiers du monde. Sur un terrain, il sait tout faire. Shooter, construire, défendre. On dirait qu’il a été créé en trois dimensions», dit son coéquipier en équipe de France, Mickaël Gelabale. L’entraîneur des Bleus, Vincent Collet, celui qui le fit aussi débuter en pro A alors qu’il n’avait encore que l’âge de jouer en cadet, confirme l’évidence : «Ce qui impressionne avec Nicolas, c’est qu’il est si bon, si jeune. Il peut encore progresser énormément s’il ne se laisse pas rattraper par sa nonchalance. Parfois, il s’endort un peu. Il faut le secouer.»
On a essayé désespérément de trouver quelqu’un pouvant dire du mal de Nicolas Batum. Inclinons-nous, beau joueur, c’est raté. Même la gardienne de la salle de Nancy, son club actuel pour cause de lock-out [grève du championnat NBA, en passe d’être résolue, ndlr], s’étonne «qu’on ne l’entende jamais. Il fait partie de ces grands joueurs qui tiennent la porte». Lui se définit comme «réservé, voire timide. J’ai le gros défaut de faire trop attention aux regards des autres», s’excuse-t-il. Il en a longtemps souffert : «Un mauvais article et j’avais la tête dans le sac.» Sur le terrain, il est un joueur sans expression. A côté d’un Parker qui houspille l’arbitre pour qu’on le protège, Batum s’écrase trop. Au point qu’un jour, il sera le gentil con qui n’aura pas su flinguer pour gagner ? «L’affirmation, ça viendra, je pense. Chacun va à son rythme.»
A 23 ans, il n’y a plus que le basket qui le turlupine. Faire la paix avec l’histoire de son père camerounais, c’était aussi accepter ce qu’il y a d’africain en lui. «Avant, lorsque l’on me demandait mes origines, je disais, je suis français, point.» De l’Afrique, il ne connaît pas grand-chose. «J’y suis allé trois fois en vingt ans, presque à chaque fois pour des obsèques…» Il reconnaît ne pas s’y sentir «très à l’aise», mais entend rattraper le train : «J’ai créé une fondation [Batum Mama] pour aider les femmes sénégalaises seules. Pour éviter que certaines déposent leurs bébés dans des poubelles parce qu’elles n’ont pas les moyens de s’en occuper.» Evidemment, il en a confié la direction à sa mère. «Elle a une aisance innée dans le rapport humain. Là-bas, elle est dans son élément. Les gens l’adorent. Lorsqu’elle était aux Etats-Unis avec moi, elle enseignait le français à des lycéens. En tant qu’ancienne assistante maternelle, le courant passait super-bien. Et lorsqu’ils ont su qu’elle était la mère de Nicolas Batum, c’est carrément devenue une star.» Si lui en était une ? «Elle n’accepterait pas. Si je m’enflamme, elle me chope et me dit : "Redescends gamin".» C’est d’ailleurs toujours Sylvie qui tient les cordons de la bourse. «Elle gère l’argent de la fondation, et veille à ce que je ne fasse pas n’importe quoi.» Lors de sa dernière année au Mans, il avoue qu’il claquait tout assez vite. Les sorties ? Officiellement, il ne faisait le mur «que les soirs de victoires à domicile». Cette saison-là, le MSB n’a perdu qu’une fois, à Antarès… Sa pige nancéienne a été négociée contre 17 000 euros par mois. Beaucoup au vu de la moyenne des salaires du basket français. Rien pour un joueur de son envergure qui pèse 2,2 millions de dollars la saison en NBA.
Seul secret gardé jalousement par Batum : son vote à l’élection présidentielle de 2007. «Héééé, c’est confidentiel, ça ! Mais je ne manquerai pas de suivre celle de 2012. Non, je ne suis pas expert pour me lancer dans une analyse là-dessus. Je suis réservé je vous dis !» On n’en attendait pas tant. Mais quand même un peu plus d’un mec que toute la France appelle désormais «Batman».
En 6 dates
14 décembre 1988 Naissance à Lisieux.
2004 Champion d’Europe cadets.
2006 Champion d’Europe juniors.
22 juillet 2008 Signature de son contrat aux Portland TrailBlazers.
Eté 2009 Première sélection en équipe de France A.
L’intérêt des Blazers pour Jamal Crawford est réciproque (Basket jusqu'à pas d'heure )
Dimanche soir, Jamal Crawford s’est confié à CBSSports.com au sujet de sa relation avec Portland. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le joueur fait preuve de franchise.
“Oui, je suis clairement intéressé par les Blazers. J’ai passé tellement de temps à les regarder jouer,notamment Brandon Roy, un de mes meilleurs amis. Avec Lamarcus Aldridge, Ray Felton & Wes Matthews, je jouerais presque à domicile. Je suis de Seattle. C’est la franchise la plus proche de chez moi pour jouer au basketball.
Âgé de 31 ans, Jamal Crawford tournait l’an passé à 14,2 pts et 3,2 passes par match avec les Hawks et a été nommé meilleur 6ème homme de la ligue en 2010. Atlanta a déboursé tellement d’argent pour prolonger Joe Johnson & Al Horford, et avec Josh Smith qui va réclamer une somme importante, la franchise a décidé de ne pas offrir d’extension de contrat durant l’année.
Et lorsque l’on lui demande ce qu’il pourrait apporter à Portland, Crawford explique :
“Je pense que je pourrais apporter un peu de tout aux Blazers. Du scoring, de la création pour mes coéquipiers, leur rendre le jeu plus facile. Cette équipe a un grand potentiel.
Avec Raymond Felton, Nolan & Patty Smith, Wesley Matthews, Brandon Roy et la possible venue de Jamal Crawford, les lignes arrières de Portland s’annoncent comme parmi les plus dangereuses de la ligue…
Les Blazers vont utiliser la qualifying offer qui prolonge Oden d'un an et un peu moins de 9M de $. Il sera restricted FA à la fin de l'année prochaine.
C'est un bon choix je pense même si 9M pour un joueur qui n'a toujours pas de date de retour ça fait cher...
Un joueur de 35 contre un joueur de 28, c'est clairement un upgrade par le simple fait que Miller commence à décliner alors que Felton a encore quelques belles années devant lui... Après sur le plan du jeu, Miller etait extrèmement important dans le collectif de Portland mais Felton n'est pas mauvais dans ce domaine et il a un meilleur shoot...
En tout cas y'a du trade qui se prépare parce qu'avec l'arrivée de Nolan Smith, ça fait une sacrée palanquée de Guard (Mills, Johnson, Williams) qui ne servent plus trop à grand chose, sans oublier que Roy est plus que sur la sellette. On peut également s'attendre à ce que les Blazers donne un peu de temps de jeu à Babbit ce qui est incompatible avec le fait de garder Batum ET Wallace donc l'un des deux pourrait partir... ça pourrait donner un package Roy, Wallace ou Batum, Mills, Johnson ou Williams pour choper un intérieur de qualités... (Pour infos les Jazz ont Kanter, Jefferson, Millsap et Favors)
-- Garcy22 a dit : Personne n'en parle mais les Blazers ont recupere Nolan Smith a la draft et c'est un tres bon joueur qui peutapporter immediatement dans un role de guard -
C'est clair que c'est un bon joueur, une très bonne vision de jeu (et je dis pas ça parce qu'il vient de Duke ), mais il va devoir bosser dur pendant l'été pour gagner du muscle et travailler son explosivité car en 1/1, en NBA, j'ai bien peur qu'il se fasse manger assez souvent, aussi bien offensivement que défensivement mais vu le très faible niveau de Mills, il peut faire un bon back up pour Felton
Personne n'en parle mais les Blazers ont recupere Nolan Smith a la draft et c'est un tres bon joueur qui peutapporter immediatement dans un role de guard
Felton-Mathews-Wallace-Alridge-Camby ça a de la geule... S'ils arrivent à choper un ou deux bons intérieurs en plus ça peut etre une equipe a suivre ...
The Portland Trail Blazers have reportedly agreed to trade starting point guard Andre Miller to the Denver Nuggets for point guard Raymond Felton.
The Blazers have also reportedly traded guard Rudy Fernandez to the Dallas Mavericks for the No. 26 pick, Texas forward Jordan Hamilton, who will be re-routed to the Nuggets. The Blazers have also reportedly sent the draft rights to Finnish guard Petteri Koponen to the Mavericks for the No. 57 pick.
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), mais il va devoir bosser dur pendant l'été pour gagner du muscle et travailler son explosivité car en 1/1, en NBA, j'ai bien peur qu'il se fasse manger assez souvent, aussi bien offensivement que défensivement mais vu le très faible niveau de Mills, il peut faire un bon back up pour Felton