Après une nouvelle saison aux portes des Playoffs, le front office des Rockets s'est décidé à tout détruire exit les Lowry, Dragic et autre Scola.
L'heure de la reconstruction a sonné, place aux jeunes et cap sur la free-agency 2013 (J-Smoove par exemple).
JEREMY LIN
Nanti d'un contrat pharaonique (25 millions/3 ans), Linsanity va devoir prouver au monde de la balle orange qu'il mérite ce pont d'or alors coup de maître ou folie??. Comment va t-il gérer la pression, s'est-il remis de la blessure au genou qui a mis fin à sa saison chez les Knicks, a t-il travaillé sa main gauche, son dribble, la gestion de l'horloge ou encore ses turnovers. Wait and see.
JAMES HARDEN
Arrivée de dernière minute en échange du fragile (unidimensionnel) Kevin Martin et du prometteur Jeremy Lamb, The Beardman débarque dans le Texas avec un nouveau statut de franchise-player et le salaire qui va avec (près de 80 millions/5ans). L'ancien meilleur sixième homme de luxe et troisième lame du dernier finaliste va t-il réussir a s'imposer dans une équipe en pleine reconstruction dont il sera à coup sûr la tête de gondole avec Lin.
CHANDLER PARSONS
Bonne pioche de la dernière draft, l'ancien Gator a réussi à s'imposer dans le starting-five grâce ses qualité défensives, doit impérativement progresser à mi-distance et surtout aux lancers-francs s'il veut poursuivre son ascension.
MARCUS MORRIS
Le nouveau Melo avec des qualités défensives ( ) s'est tout simplement vautré au point d'être envoyé en D-League au bout de 17 matchs. Barré par Scola voir Patterson la saison dernière, le frère de Markieff nous doit une revanche.
OMER ASIK
25 millions de billets verts pour un simple back-up. C'est la réflexion qu'a dû se faire un grand nombre de fans en apprenant la signature du géant Turc. Asik est grand, physique, rapide pour sa taille, bon défenseur/rebondeur/contreur mais il n'a pas de main et ses passages sur la ligne des lancers-francs sont un véritable supplice (moins de 48% en carrière).
BENCH:
CARLOS DELFINO: L'ailier Argentin va apporter son expérience ( joueur le plus âgé de l'effectif, il vient d'avoir 30 ans...), sa grinta et la réussite extérieure.
DONATAS MOTIEJUNAS: La petite merveille Lituanienne débarque en NBA avec un bagage technique unique pour un jeune de cet âge, grand, athlétique, délié, adroit,rapide, il détient le record de rebonds défensifs dans une rencontre d'Euroligue avec 18 prises. D-Mo a tout pour devenir un tout bon dans un avenir proche; à lui de saisir sa chance. Il est à mon avis beaucoup plus complet qu'un Bargnani.
PATRICK PATTERSON: Après une saison rookie prometteuse, Patterson a été par la suite ralenti dans sa progression suite à des problèmes de santé. A l'instar de Motiejunas, il a un arsenal offensif complet et une forte présence physique.
TERRENCE JONES: L'ancien de Kentucky a une vraie palette offensive, un body et des qualités athlétiques intéressantes le tout avec un état d'esprit irréprochable. Malheureusement pour lui, il joue à un poste déjà bien (trop?) fourni pour réussir à s'y imposer.
ROYCE WHITE: La définition du point-foward, capable de remonter la balle, faire,des passes, prendre du rebond,le tout dans un corps lebronesque. Malheureusement, son hyperanxiété (notamment sa peur de l'avion) va sans doute être un frein à sa progression/intégration dans l'équipe.
SCOTT MACHADO: Un vrai playmaker avec un sens de la passe au-dessus de la moyenne avec peu de déchet dans son jeu (un ratio assist/turnover intéressant), son manque de qualité offensive (pas de shoot fiable) et défensive (vraiment trop lent sur les déplacements) explique pourquoi le New-Yorkais n'a pas été drafté.
TONEY DOUGLAS: Bon défenseur sur l'homme, doté d'un shoot à 3 points plutôt efficace, Douglas pêche par un dribble vraiment pas assuré et une sélection de shoot hideuse.
COLE ALDRICH: Arrivée d'OKC avec James Harden, Aldrich va apporter quelques minutes lorsqu'Asik sera sur le banc.
DEQUAN COOK: Ancien vainqueur du 3 point shootout, l'ancien du Thunder ne devrait pas beaucoup voir le terrain cette saison.
GREG SMITH: Le taureau de Fresno State, un physique à la Carlos Boozer avec une vraie présence sous le cercle. Il n'a pas raté un tir entre le 24 et le 31 octobre (12/12).
Vu la concurrence aux Rockets, Harden pourrait faire une saison à la Stackhouse 2000-2001 à Detroit (29,8pts par match qui sortaient carrément de nul part) ou alors les 29pts d'Arenas à Washington. Mais ça m'étonnerait que ça dépasse la 12ème place de la conférence...
L’arrivée de James Harden a contraint les Rockets à récupérer un wagon de joueurs, et les voilà désormais à la tête d’un effectif de 20 joueurs !
C’est cinq de trop, et ils ont la journée pour s’en séparer puisqu’ils doivent envoyer ce dimanche, à minuit, la liste des 15 joueurs qui composeront son effectif pour cette saison.
Voici les 20 joueurs.
Meneurs : Jeremy Lin, Scott Machado, Toney Douglas.
Extérieurs : James Harden, Carlos Delfino, Chandler Parsons, Shaun Livingston, Jon Brockman, Gary Forbes, Royce White, Daequan Cook, JaJuan Johnson, Lazar Hayward.
Harden aux Rockets !!!
Jamais à court d'idées nos dirigeants
On perd juste Martin qui ne rentraient plus dans les plans de Houston (mais qui semblait quand même en forme en cette présaison) et le prometteur Lamb.
L'équipe semble plus consistante, à voir si Harden confirme son gros potentiel.
Au-delà de la victoire les Rockets ont de quoi être ravi.
Tout d'abord sur la manière. Dominateur dès le premier quart temps, les Texans vont faire l'écart juste avant de rejoindre les vestiaires. Au retour, les titulaires avaient laissé leur place mais les hommes de Kevin McHale ont su tenir tête aux remplaçants du Magic bien décidé à réduire l'écart.
Outre l'implication de tous ses joueurs, McHale devrait aussi noter le premier bon match de Jeremy Lin auteur de 13 points (5/10 aux shoots dont 3/4 à 3points), plus 5 passes décisives et 2 interceptions en seulement 23 minutes. Sur le banc Greg Smith ajoute 15 points, Donatas Motiejunas 12 et Carlos Delfino en signe 11 en 11 minutes.
Côté Magic le 5 majeur est complètement passé au travers de la rencontre. Maladroit il a fallu attendre les entrées de Etwaun Moore et de DeQuan Jones, auteur respectivement de 18 et 16 points pour voir un sursaut d’orgueil chez la franchise floridienne.
Gros match encore, la présaison me donne des bonnes raisons d'espérer une assez bonne saison.
La colonne vertebrale Lin-Martin-Asik-Parsons va tirer l'équipe vers le haut.
C’est parti pour les grands voyages de Royce White sur les routes des États-Unis. CSN Houston annonce que le rookie des Rockets, qui a peur de l’avion, va embarquer dans un camping car pour aller jouer à New Orleans ce mercredi, puis à Orlando vendredi.
Pour aller affronter les Hornets, White va rouler un peu moins de six heures. Ensuite, direction la Floride, avec presque dix heures et demi de route.
Le gros morceau, ce sera de rentrer ensuite à Houston. Un voyage du retour de dix-sept heures. En avion ? Il aurait mis un peu plus de cinq heures…
Ca va durer un temps mais ça ne pourra pas s'éterniser cette histoire. J'espère qu'il en vaut le coup.
C'est clair que sur cette vidéo il donne pas envie.
Bon, ça fait des mois qu'il a pas joué et c'est son premier entrainement avec l'équipe, on va pas le juger sur cette seule vidéo.
Je ne l'ai jamais vu jouer mais Baz m'en a dit le plus grand bien.
Grâce notamment à Arian Foster, auteur d’une course de 152 yards et d’un touchdown, Houston a dominé les New York Jets pour la première fois de son histoire, lundi soir au MetLife Stadium (17-23). Les Texans sont toujours invaincus après 5 journées de NFL.
Houston : Royce White fera finalement les trajets en bus
Aviophobe, Royce White avait demandé aux dirigeants des Rockets d’effectuer les trajets de l’équipe en bus.
Le club a accepté sa requête et dans la mesure du possible, White pourra faire les déplacements en bus.
« On a trouvé un accord de confiance avec les Rockets, ce n’est pas un contrat mais un accord donc il y a quelques détails techniques. » explique White au Houston Chronicle. « Ce qu’ont fait les Rockets est très appréciable pour moi et ma santé mentale. »
White va donc devoir s’habituer à faire des trajets de parfois 9 heures, mais pour lui ce n’est pas un problème et ses habitudes de sommeil ne seront pas affectées par ce mode de vie.
Matisse a dit : « Je vais tout faire pour que mon niveau de stress reste au plus bas. Mes phases de repos, mes repas et le reste seront faits de manière la plus régulière possible pour que j’ai une routine, malgré mes problèmes. » Selon ESPN, White attend d’avoir l’accord du club pour rejoindre le groupe. BUSA Il est sérieux lui ? Les seuls déplacements qu'il pourra effectuer en voiture c'est à San Antonio et Dallas. Un sacré cas qu'il vienne de recruter les Rockets
Il parait qu'il a une peur bleue de certains aliments tel que le yaourt, les carottes rapées et les pieds paquets !
Quant aux déplacements en car, tous calculs faits il en sera environ au 50 ème game lorsqu'en Avril les autres Rockets boucleront la SR
Il ne disputera donc que 3 matchs avec ses coéquipiers : les 2 premiers sur la côte Est en partant 3 jours avant eux et enfin à Denver le 6 avril (ou il se pointera 2 mois et demi en retard pour la 1ère confrontation avec les Nuggets mais à l'heure pour la 2ème )
La phobie de l’avion existe chez les sportifs de haut niveau. Le cas le plus célèbre étant celui de Dennis Bergkamp, l’ancien attaquant vedette d’Arsenal, obligé parfois de manquer des matches à l’extérieur, ou carrément de partir plusieurs jours à l’avance, en voiture, pour rejoindre ses coéquipiers.
En NBA, le premier cas de l’histoire se nomme Royce White, le rookie des Rockets.
Actuellement absent du camp d’entraînement, il suit un traitement contre l’hyper-anxiété, et l’idée de prendre l’avion provoque justement des crises chez lui. A un tel point que ESPN révèle qu’il a demandé à effectuer tous les déplacements de son équipe en car.
« J’espère qu’ils accepteront. Je suis prêt à payer de ma poche ces déplacements. Je ferai tout mon possible pour que ce ne soit pas un souci pour le groupe. »
Comme White l’avait expliqué mardi, ses troubles ne sont pas uniquement psychiques.
« Je vais tout faire pour que mon niveau de stress reste au plus bas. Mes phases de repos, mes repas et le reste seront faits de manière la plus régulière possible pour que j’ai une routine, malgré mes problèmes. »
Selon ESPN, White attend d’avoir l’accord du club pour rejoindre le groupe.
BUSA
Il est sérieux lui ? Les seuls déplacements qu'il pourra effectuer en voiture c'est à San Antonio et Dallas.
Un sacré cas qu'il vienne de recruter les Rockets
Avec le numéro 14, Luis Scola effectuait hier sa première rentrée NBA sous une autre tenue que celle des Rockets.
Amnistié par Houston durant l’été, le nouvel intérieur des Suns est revenu sur le processus de son départ manifestement éprouvant mentalement.
« Ils m’ont appelé 3 ou 4 semaines avant de m’amnistier et ils m’ont dit qu’ils allaient m’échanger, car ils cherchaient à faire un gros coup et qu’ils avaient besoin de marge financière. Donc je savais que je ne serai plus avec eux. »
Le problème, c’est que les choses ne sont pas passées aussi simplement et les nerfs de Scola ont été mis à rude épreuve.
« Les options qu’ils avaient sont tombées à l’eau et ça a commencé à trainer. J’ai commencé à stresser à propos de ce qui allait m’arriver car je savais qu’ils ne me garderaient pas. »
Décidé à économiser 21 millions sur les trois prochaines années afin de tenter d’attirer Dwight Howard, les Rockets ont finalement mis fin au calvaire de Scola.
« Au bout de trois semaines ils m’ont appelé pour me dire qu’ils allaient m’amnistier ce que j’ai pris comme une bonne nouvelle car ça signifiait que tout cela allait prendre fin. »
Signé depuis par Phoenix pour un peu plus de 12 millions sur 3 ans, Scola se dit désormais prêt à relever de nouveaux défis et n’en veut pas du tout aux Rockets. Au contraire.
« Quelques jours après avoir été amnistié, j’ai commencé à me sentir triste car cela faisait cinq ans que j’étais là-bas et c’était ma première équipe en NBA. Ils ont été super avec moi, je me suis vraiment amusé et ils ont réalisé mon rêve. C’était un peu dur. »
Beaman a dit : Officiellement, les dirigeants justifient cette absence par des « problèmes personnels », mais c’est malheureusement son hyper-anxiété qui lui joue des tours
Le mec ne supporte pas la foule, ni les espaces clos
Il va donc falloir faire jouer les matchs des Rockets à huis clos et en plein air !
A moins que la lecture de "Guérir l'anxiété pour les nuls"..
Vu sur Doctissimo :
Houston : Royce White rattrapé par ses problèmes mentaux
Absent du « media day », Royce White n’est toujours pas apparu à l’entraînement des Rockets.
Officiellement, les dirigeants justifient cette absence par des « problèmes personnels », mais c’est malheureusement son hyper-anxiété qui lui joue des tours.
« C’est évidemment lié à ce problème, mais c’est quelque peu différent, a-t-il expliqué sur Fox Sports. Avec mon médecin, on travaille sur un plan me permettant de m’adapter à la vie professionnelle. Ce plan n’est pas uniquement centré sur ma santé. »
Incapable de donner une date sur ses débuts avec Houston, White souhaite être prêt à 100% avant de rejoindre le groupe.
« Il faut que tout le monde soit gagnant. Moi, comme les Rockets. Si j’échoue, ce sera un échec pour eux comme pour moi. C’est un investissement et c’est un travail sur le long terme. »
PG : Jeremy Lin, Scott Machado, Toney Douglas
SG : Kevin Martin, Jeremy Lamb, Shaun Livingston
SF : Chandler Parsons, Carlos Delfino
PF : Patrick Patterson, Marcus Morris, Terrence Jones, Royce White
C : Omer Asik, Donatas Motiejunas, Greg Smith