Game 1 : Miami Heat-San Antonio Spurs88-92
Game 2 : Miami Heat-San Antonio Spurs 103-84
Game 3 : San Antonio Spurs-Miami Heat 113-77
Game 4 : San Antonio Spurs-Miami Heat93-109
Game 5 : San Antonio Spurs-Miami Heat 114-104
Game 6 : Miami Heat-San Antonio Spurs 103-100
Game 7 : Miami Heat-San Antonio Spurs 95-88
Dice a dit : En fait on nous l'a vendu tellement fort des le départ qu'on a eu peur qu'il survole toutes compétitions, chaque faux pas était donc un soulagement et une occasion de se déchainer pour les haters. Le hating c'est une forme de respect en fait Cette finale c'est un peu spécial pour Stopweb, 2 hating qui se rencontrent, faut pas oublier qu'on est quand même pas mal a vouloir que SA se ramasse.
Pas faux
LBJ et sa clique sont encore jeunes, ils iront glaner d'autres bagues, c'est certainement le dernier passage de Duncan dans une finale, j'aimerais que l'autiste parte avec un titre de plus par respect pour sa carriere impeccable, que Tmac soit enfin champion par respect pour ses genoux niqués et que le MVP soit français par respect pour le drapeau, tout ça justrifie amplement un LBJ hating discret mais tenace chez moi
Banania a dit :Niveau Hating Jojo a l'epoque c'etait deja pas mal, ou peut etre que c'etait mes potes et moi mais j'ai l'impression qu'on veut toujours voir david battre Goliath. La seule fois ou j'ai soutenu le Jazz c'etait en face des Bulls, et faut qu'il y ait Miami pour que je soutienne les spurs aujourd'hui...
Comme tu le dis, avec le recul on se souvient tous de Jordan le dieu du basket, mais quand on était dedans on devait être pas mal a vouloir voir les Bulls perdre (bon pas jusqu’à soutenir le Jazz )... Ça me semble normal qu'en dehors des vrais fans, les autres aient envie de voir le dominant tomber.
Banania a dit : Lebron c'est un peu comme MJ c'est le joueur qui surclasse les autres et qui agace. Jojo je le regardais pour le voir perdre, un peu comme avec James, je voulais voir le geant se ramasser. Les mêmes qui crachent sur LBJ aujourd'hui diront dans 15 ans à leur momes : "je l'ai vu debuter ce Lebron , j'etais là, j'etais un witness "...Y a pas grand interet a haîr Scalabrine, quitte a etre un hater de premiere classe autant detester le meilleur.
Cela dit LBJ est un cas spécial, il avait déjà son lot de Haters bien avant de gagner quoique ce soit.
En fait on nous l'a vendu tellement fort des le départ qu'on a eu peur qu'il survole toutes compétitions, chaque faux pas était donc un soulagement et une occasion de se déchainer pour les haters. Le hating c'est une forme de respect en fait
Cette finale c'est un peu spécial pour Stopweb, 2 hating qui se rencontrent, faut pas oublier qu'on est quand même pas mal a vouloir que SA se ramasse.
Banania a dit : Jojo je le regardais pour le voir perdre, un peu comme avec James, je voulais voir le geant se ramasser.
T'as du être très souvent déçu alors. Ou tu regardais le base-ball du coup? J'ai jamais regardé MJ de cette façon en fait. Et j'ai l'impression que LBJ a plus de haters que n'en avait MJ d'ailleurs.
Niveau Hating Jojo a l'epoque c'etait deja pas mal, ou peut etre que c'etait mes potes et moi mais j'ai l'impression qu'on veut toujours voir david battre Goliath. La seule fois ou j'ai soutenu le Jazz c'etait en face des Bulls, et faut qu'il y ait Miami pour que je soutienne les spurs aujourd'hui...
Lebron c'est un peu comme MJ c'est le joueur qui surclasse les autres et qui agace. Jojo je le regardais pour le voir perdre, un peu comme avec James, je voulais voir le geant se ramasser.
Les mêmes qui crachent sur LBJ aujourd'hui diront dans 15 ans à leur momes : "je l'ai vu debuter ce Lebron , j'etais là, j'etais un witness "...Y a pas grand interet a haîr Scalabrine, quitte a etre un hater de premiere classe autant detester le meilleur.
En fait, je pense qu'il pourra gagner plusieurs finales, plusieurs MVP, ça suffira pas. Il lui manque une class, un genre d'élégance qui font que je préférerai toujours MJ et plein d'autres joueurs.
Seb #33 a dit : celui de Lebron permets au Heat de renverser le cour du match 2 d'une finale NBA et relancer la série et le joueur.
Quel match tu regardais Seb?
Sinon, il a beau faire des efforts, il a tout de même une com' pas terrible, voire dégueulasse. L'époque de The Decision + le bordel avec ces 2 potes ensuite (pas 1, pas 2, pas 3...), ça lui a fait du mal tout de même.
Pour ensuite faire une finale toute moisie face à Dallas...
Le coup du flopping récemment aussi... Ou du DPY...
Puis ses marchés réguliers aussi. Puis faut admettre que c'est pas un joueur très élégant. Puis il est souvent en train de chialer auprès de ref aussi...
Non, vraiment, je trouve qu'il y a plein de raisons d'être un hater.
Anonyme a dit : Je serais toujours fasciné par l'ampleur de la haine que peuvent avoir les gens envers certains sportifs dont ils ne connaissent pas grand chose C'est vraiment un phénomène qui mérite d'être étudié dans les détails. Je me porte volontaire pour servir de cobaye d'ailleurs, ma haine envers Messi ferait un excellent sujet d'étude String
Faut pas non plus exagérer le phénomène.
On est loin des absurdités qu'on voit dans le foot ("Moi vivant, ma fille n'épousera jamais un Marseillais!" )
Le hating, c'est plus un jeu qu'autre chose.
La plupart du temps, le hater est de mauvaise foi et ne s'en cache pas. C'est plus du mouche à merdage pour faire réagir les groupies qu'autre chose.
Je me souviens que James était vachement critiqué même avant The Decision, ça a juste amplifié le truc mais depuis 2007-2008, il était devenu le gars à détester avec Kobe.
Mais au delà de LBJ, c'est un phénomène qui s'étend à plusieurs sportifs à la renommée internationale.
Messi, CR7, Nadal, ils sont adulés par beaucoup mais leur potentiel de haters est assez impressionnant.
C'est pas un scoop mais "The decision", avec tout ce que cela englobe : s'associer avec les meilleurs joueurs de sa promo, faire une annonce solennelle etc... est la principale cause de cette haine générale.
Et c'est complètement mérité
Chaque semaine, Basket USA vous propose un débat abordé mercredi soir lors de notre podcast hebdomadaire. Cette semaine, nous avons décidé de nous pencher sur l’image de LeBron James. Après le premier match des finales, le joueur du Heat a vu les critiques s’abattre sur lui malgré un énième triple double. Après le second match, le MVP n’a encore pas satisfait tout le monde en ne marquant que 17 points dans la très large victoire de son équipe. Phénomène physique et technique attendu comme la nouvelle star de la ligue depuis le lycée, James a plutôt bien tenu devant l’énorme hype en accumulant quatre titres de MVP, un titre NBA, mais aussi deux titres olympiques et de nombreux records de précocité. Mais pour certains, ce n’est toujours pas suffisant. Quoi qu’il fasse, James semble donc condamné à décevoir. La faute aux attentes ? À « The Decision » ? D’où notre question de la semaine : est-on trop sévère, ou exigeant, avec LeBron James ?
Qu'en pensent les membres de Stopweb ? String
J'en pense que cela dépend des résultats de Miami... Tant que le Heat gagne, on ne pourra pas lui reprocher de dominer avec une approche all-around. Mais sinon, personne n'est trop sévère avec James. On l'attend là où il a dit qu'il voulait finir : numéro 1 all-time. Alors qu'and l n'a pas d'impact pendant 1 match et demi, en finale NBA, on se souvient que cela n'arrivait pas forcément avec celui que James veut détrôner.
D'autant qu'il a de belles casseroles aux culs niveau impact en finale.
Là il a "déçu" un match et demi cette saison (sur 2 ) mais contre Dallas il y a 2 ans, c'était un must.
Chaque semaine, Basket USA vous propose un débat abordé mercredi soir lors de notre podcast hebdomadaire. Cette semaine, nous avons décidé de nous pencher sur l’image de LeBron James. Après le premier match des finales, le joueur du Heat a vu les critiques s’abattre sur lui malgré un énième triple double. Après le second match, le MVP n’a encore pas satisfait tout le monde en ne marquant que 17 points dans la très large victoire de son équipe. Phénomène physique et technique attendu comme la nouvelle star de la ligue depuis le lycée, James a plutôt bien tenu devant l’énorme hype en accumulant quatre titres de MVP, un titre NBA, mais aussi deux titres olympiques et de nombreux records de précocité. Mais pour certains, ce n’est toujours pas suffisant. Quoi qu’il fasse, James semble donc condamné à décevoir. La faute aux attentes ? À « The Decision » ? D’où notre question de la semaine : est-on trop sévère, ou exigeant, avec LeBron James ?
Qu'en pensent les membres de Stopweb ? String
J'en pense que cela dépend des résultats de Miami...
Tant que le Heat gagne, on ne pourra pas lui reprocher de dominer avec une approche all-around.
Mais sinon, personne n'est trop sévère avec James. On l'attend là où il a dit qu'il voulait finir : numéro 1 all-time.
Alors qu'and l n'a pas d'impact pendant 1 match et demi, en finale NBA, on se souvient que cela n'arrivait pas forcément avec celui que James veut détrôner.
Chaque semaine, Basket USA vous propose un débat abordé mercredi soir lors de notre podcast hebdomadaire. Cette semaine, nous avons décidé de nous pencher sur l’image de LeBron James.
Après le premier match des finales, le joueur du Heat a vu les critiques s’abattre sur lui malgré un énième triple double. Après le second match, le MVP n’a encore pas satisfait tout le monde en ne marquant que 17 points dans la très large victoire de son équipe.
Phénomène physique et technique attendu comme la nouvelle star de la ligue depuis le lycée, James a plutôt bien tenu devant l’énorme hype en accumulant quatre titres de MVP, un titre NBA, mais aussi deux titres olympiques et de nombreux records de précocité. Mais pour certains, ce n’est toujours pas suffisant.
Quoi qu’il fasse, James semble donc condamné à décevoir. La faute aux attentes ? À « The Decision » ? D’où notre question de la semaine : est-on trop sévère, ou exigeant, avec LeBron James ?
Matisse a dit : Il fait chier ce Hibbert, il prive James du block de la saison
Moi je préfère celui de James parce qu'il met une grosse gifle sur son contre. C'est un block smashé comme dans un épisode de Jeanne et Serge.
Hibbert met sa main en opposition, James met un gros taqué à Splitter.
Famine a dit : Et 12 fois sur 13, l'équipe qui a gagné le G3 a remporté la finale.
Marrant que personne ne précise que la seule team a s'etre foirée apres avoir gagné un game 3, c'est... Miami en 2011
D'ailleurs, ils avaient aussi gagné le game 1 a domicile, alors qu'on sait qu'en grande majorité des cas l'équipe qui gagne le game 1 @ home est championne. Ils avaient fait fort cette année là
Matisse a dit : Il fait chier ce Hibbert, il prive James du block de la saison
Pas d accords avec toi..
Perso celui de James est largement au dessus pour une simple raison, je m'explique.
Mélo est un 4 et se fait bacher par un 5 expert en block qui fait son job en venant en deuxième rideau.
Alors que Lebron est un 3/4 qui block Splitter un 5 qui est plus grand que lui.. et c'est un defi en face à face.
Pour l'importance les deux en ont.
Celui de Hibbert relance les Pacers pour finir le job at home en 1/2 finale de conf, et celui de Lebron permets au Heat de renverser le cour du match 2 d'une finale NBA et relancer la série et le joueur.
Famine a dit : Stat à la carte bis : depuis 1986, LBJ est le 1er joueur à cumuler au moins 35 pts, 26 reb et 17 ast lors des 2 premiers matches d'une finale.
Depuis 1985 (format 2-3-2), c'est la 13è fois que la finale est à 1-1 après les 2 premiers matches.
Evolution des scores possibles :
4-1 = 3 sur 13
4-2 = 2 sur 13
4-3 = 3 sur 13
2-4 = 3 sur 13
1-4 = 2 sur 13
Bizarrement, 9 fois sur 13 c'est l'équipe qui se déplaçait qui a gagné le 3è match.
Et 12 fois sur 13, l'équipe qui a gagné le G3 a remporté la finale.
Famine a dit : D'un autre côté, Miami est l'équipe la plus à même de réussir des runs. San Antonio construit sa win sur la durée d'un match, Miami peut aller la chercher en 3, 4 minutes. D'ailleurs, à -10 au bout de 3 QT, plus personne n'y croyait. Pas même les joueurs qui ont explosé dès le début du 4è QT.
Leur run a partir de la fin du 3ème, emmené par un Chalmers de gala (...), était très impressionnant
Je les avais déjà vu faire, mais quand c'est contre ta team ça donne pas la même impression...
On a rempli l'objectif en allant a SA a 1-1, mais le game 2 a calmé les ardeurs de ceux qui imaginaient que SA était devenu favori après le 1er game
D'un autre côté, Miami est l'équipe la plus à même de réussir des runs.
San Antonio construit sa win sur la durée d'un match, Miami peut aller la chercher en 3, 4 minutes.
D'ailleurs, à -10 au bout de 3 QT, plus personne n'y croyait.
Pas même les joueurs qui ont explosé dès le début du 4è QT.
MC Jean Gab1 a dit : Succès un peu "flatteur" pour Miami. San Antonio a pris un éclat sur des turnovers puis laissé filer le match. Ça donne l'impression que le Heat a trouvé la solution alors que LeBron était à 2/11 et que les Spurs sont restés longtemps au contact.
Assez d'accord avec ça même si on peut aussi dire que SA restait à flot grâce à une réussite quasi insolente à 3 points. Mais dans l'ensemble, je suis d'accord, le score final ne reflète en rien le déroulement de la rencontre.
MC Jean Gab1 a dit : Succès un peu "flatteur" pour Miami. San Antonio a pris un éclat sur des turnovers puis laissé filer le match. Ça donne l'impression que le Heat a trouvé la solution alors que LeBron était à 2/11 et que les Spurs sont restés longtemps au contact.
+1. C'est exactement ce que je me disais. Il y a 19 pts d'écart à la fin, mais c'est pas représentatif.
Les 2 équipes ont été nulles, et SA aurait même pu voler le match sans leurs multiples TO en fin de 3 ème quart, ou s'ils avaient tout simplement jouer juste correctement quand Miami était à la rue en première mi-temps.
Succès un peu "flatteur" pour Miami. San Antonio a pris un éclat sur des turnovers puis laissé filer le match. Ça donne l'impression que le Heat a trouvé la solution alors que LeBron était à 2/11 et que les Spurs sont restés longtemps au contact.
A noter que sur les deux premiers matches, Miami a à chaque fois fait plus de passes que SA et le banc du Heat a été plus prolifique que celui des Spurs.
Un gros coup porté au poncif "opposition de style entre le jeu collectif des Spurs et les individualités de Miami"