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Statistiques

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Cousins est passé en mode Chamberlain, 39-20-2 puis 24-21-10 puis 24-20-13
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36e match de l'histoire où 3 joueurs scorent 30pts pour la même équipe : Westbrook 31, Kanter 30, Morrow 32.
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NBA.com/Stats ‏@nbastats : Cousins joined Kareem as only players to have 20+pts, 20+reb,10+ast, 5+blk in a game (since blks became official, ’73-74)
MC Jean Gab1
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Anonyme a dit :
Anonyme a dit : Et je dis : dans la première comparaison, je préfère ce que LA fait (meilleur palmarès que SA en moins de temps), dans la deuxième comparaison je préfère ce que LA fait (meilleur bilan en moins de temps), et dans la troisième comparaison je préfère ce que SA fait, parce qu'ils ont été plus réguliers à résultat égal.
C'est un peu tordu quand même.



Oui, mais c'est pas ma faute
Moi je parlais de LA'80 à la base, et c'était pas du tout tordu
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Anonyme a dit : Et je dis : dans la première comparaison, je préfère ce que LA fait (meilleur palmarès que SA en moins de temps), dans la deuxième comparaison je préfère ce que LA fait (meilleur bilan en moins de temps), et dans la troisième comparaison je préfère ce que SA fait, parce qu'ils ont été plus réguliers à résultat égal.


C'est un peu tordu quand même.

Tu considères que les Lakers font mieux en moins de temps mais quand tu enlèves la période ou les Spurs font 2 finales dont 1 victoire tu arrives à la conclusion que les Spurs ont été plus réguliers à résultat égal sur la même période.

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Lady M a dit : on a aussi décennie 2000-2010 avec seul Kobe qui fait la période l'équipe du triplé en 2000-2002 est totalement différente de celle qui gagne en 2009-2010 pour les spurs si on ne prend pas 99 qui n'a que Duncan en commun avec le reste (et le coach) sur 2002-2015 on a les 3 principaux joueurs qui sont toujours là les Lakers 2000-2010 personne ne les voit comme une seule équipe



Moi à la base je parlais de LA'80 vs Spurs

Les Lakers ont changé entre leurs deux séries de titre mais que dire de SA dans ce cas ? Tu ne peux pas vraiment comparer des Spurs complètement centrés autour de TD au début, puis en mode Big3 au milieu, et tournés vers un gros collectif sur la fin (oui, ça jouait collectif aussi avant ) où le héros du match sera Duncan ou TP ou Green ou Leonard ou Diaw. Sur les deux finales vs Miami, y a pas de Big 3.
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Anonyme a dit :
Anonyme a dit : Je préfère les Lakers 2000/2010 aux Spurs 1999/2015 (meilleur palmarès sur une période plus concentrée) ; je préfère la décennie 2000 des Spurs à celle des Lakers (succès équivalent mais plus de régularité chez les Spurs).
Rien compris. Tu préfères les Lakers 2000/2010 (donc décennie 2000) au Spurs 1999/2015 car meilleur palmarès en moins de temps mais tu préfères la décennie 2000 (donc jusqu'en 2010) Spurs à la décennie (même période) des Lakers? Donc Spurs 2000-2010 > Spurs 1999-2015 ? Oui, j'ai vraiment rien compris pour le coup. Surtout que la décennie 2000-2010 Lakers = 5 titres contre 3 pour les Spurs. Qu'entends-tu par décennie 2000? C'est la ou on doit pas être d'accord visiblement.




J'établis 3 comparaisons distinctes entre: LA'80 et les Spurs version TD (parce qu'on parlait de ça au début), Lakers 2000/2010 et Spurs 1999/2015 (parce que ça a été fait dans le post juste avant: je rebondis dessus), puis entre strictement la décennie 2000 des Spurs et des Lakers (ce qu'ils ont fait entre 2000 et 2010, en excluant la période 2011-2014 de SA).

Et je dis : dans la première comparaison, je préfère ce que LA fait (meilleur palmarès que SA en moins de temps), dans la deuxième comparaison je préfère ce que LA fait (meilleur bilan en moins de temps), et dans la troisième comparaison je préfère ce que SA fait, parce qu'ils ont été plus réguliers à résultat égal.

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Fisher-Kobe-Jackson en commun sur la décennie 2000-2010.

Parker arrive en 2001 et Ginobili en 2002.

Donc depuis 2002:Gino,Duncan,TP,Popovich
Et puis on peut pas vraiment parler de Big 3 dès la saison rookie de Gino en 2002...il me semble.

Lady M
TP fan :)
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dreemtim a dit :
The Number 9 a dit :
dreemtim a dit : La 2ème mi-temps de Horry dans le game 5 contre les Pistons en 2005, ponctuée par le trey pour la win, c'est pas mal non plus
Je suis à deux doigts de modérer ton post.
Avec le recul, je suis sûr que tu es capable d'apprécier la perf à sa juste valeur 21pts pour papy horry, avec un dunk venu de nulle part. Je me demande encore ce qu'ils ont bien pu lui filer à la mi-temps...

un truc a action lente parce qu'il a commencé à 30s de la fin du 3ème quart
dreemtim
1,000 wins & 5 titles
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The Number 9 a dit :
dreemtim a dit : La 2ème mi-temps de Horry dans le game 5 contre les Pistons en 2005, ponctuée par le trey pour la win, c'est pas mal non plus
Je suis à deux doigts de modérer ton post.


Avec le recul, je suis sûr que tu es capable d'apprécier la perf à sa juste valeur
21pts pour papy horry, avec un dunk venu de nulle part. Je me demande encore ce qu'ils ont bien pu lui filer à la mi-temps...
Lady M
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on a aussi décennie 2000-2010 avec seul Kobe qui fait la période l'équipe du triplé en 2000-2002 est totalement différente de celle qui gagne en 2009-2010

pour les spurs si on ne prend pas 99 qui n'a que Duncan en commun avec le reste (et le coach) sur 2002-2015 on a les 3 principaux joueurs qui sont toujours là

les Lakers 2000-2010 personne ne les voit comme une seule équipe
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Anonyme a dit : Je préfère les Lakers 2000/2010 aux Spurs 1999/2015 (meilleur palmarès sur une période plus concentrée) ;
je préfère la décennie 2000 des Spurs à celle des Lakers (succès équivalent mais plus de régularité chez les Spurs).


Rien compris.

Tu préfères les Lakers 2000/2010 (donc décennie 2000) au Spurs 1999/2015 car meilleur palmarès en moins de temps mais tu préfères la décennie 2000 (donc jusqu'en 2010) Spurs à la décennie (même période) des Lakers?

Donc Spurs 2000-2010 > Spurs 1999-2015 ?

Oui, j'ai vraiment rien compris pour le coup.

Surtout que la décennie 2000-2010 Lakers = 5 titres contre 3 pour les Spurs.

Qu'entends-tu par décennie 2000? C'est la ou on doit pas être d'accord visiblement.
The Number 9

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dreemtim a dit : La 2ème mi-temps de Horry dans le game 5 contre les Pistons en 2005, ponctuée par le trey pour la win, c'est pas mal non plus


Je suis à deux doigts de modérer ton post.
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Anonyme a dit : "on ne retient que ça, pas le bilan en SR.", parle pour toi. Perso les quasi 20 participations consécutives en PO, ça compte vachement dans la dynastie des SPurs. Si on ne retient que les titres on oublie une énorme partie de l'histoire de la NBA.


Certes, mais ça fait une belle jambe à tout le monde que SA se soit qualifié en PO avant de se faire lourder prématurément de 2008 à 2012 grosso modo. une qualif en PO c'est notable pour une équipe moyenne, pas pour une équipe qui vise le titre ou les Finales.
dreemtim
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La 2ème mi-temps de Horry dans le game 5 contre les Pistons en 2005, ponctuée par le trey pour la win, c'est pas mal non plus
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Lady M a dit : parfois il n'y a pas que le niveau de l'équipe qui compte dans le fait d'aller au bout est ce que Miami aurait fait 4 finales d'affilé en jouant à l'ouest ces 4 années. la faute de Manu sur Dirk en 2006 alors que les spurs ont 3 pts d'avance et que Dirk fait 2+1 ou le 3 pts d'allen c'est un détail, la chance aussi sur les 17 ans les spurs ont été éliminé 2 fois au 1er tour des PO


La chance marche dans les deux sens, la gamelle de Horry au G5 en 2003 qui permet à SA de prendre l'avantage sur LA dans la série, le shoot de Fisher en 2004 qui rend la pareille, la stupidité de Gino en 2006 mais l'arnaque contre les Suns en 2007, les matchs perdus exprès face à OKC...
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Anonyme a dit :
Anonyme a dit : Leur régularité depuis 17 ans est IMO plus impressionant que la collection de finales/titres des Celtics et Lakers même si le bilan chiffré est moins bon.
C'est exactement ça: au final régularité ne rime pas toujours avec efficacité. Mais le bilan chiffré est ce qui permet de comparer des dynasties, on ne retient que ça, pas le bilan en SR. Lakers 2000/2010, 5 titres / 7 finales. Spurs 1999/2015, 5 titres / 6 finales. Les Lakers ont le côté efficacité, ils ont exploités le max de chances qu'ils avaient d'aller au bout, 2 finales perdues certes mais les 7 qu'ils jouent, c'est bien le max qu'ils ont pu faire. Par contre les Spurs ont seulement 6 finales alors qu'ils ont fini un nombre de fois incalculable premier de conf en se faisant upset par la suite en PO..ils n'ont pas eu la même efficacité et finalement bien que la période fut énorme ils avaient les moyens de faire bien mieux niveau comptable.



Non mais surtout tu compares ce que les uns font en 11 ans avec ce que les autres font en 16. A ce moment là, on peut cumuler les périodes Showtime et Kobe/Shaq et réfléchir sur la période 1980/2004 ça n'a plus vraiment de sens.

Je préfère le run de LA'80 à celui des Spurs (plus de régularité et d'efficacité, y a pas photo) ;
Je préfère les Lakers 2000/2010 aux Spurs 1999/2015 (meilleur palmarès sur une période plus concentrée) ;
je préfère la décennie 2000 des Spurs à celle des Lakers (succès équivalent mais plus de régularité chez les Spurs).

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"on ne retient que ça, pas le bilan en SR.", parle pour toi.
Perso les quasi 20 participations consécutives en PO, ça compte vachement dans la dynastie des SPurs.
Si on ne retient que les titres on oublie une énorme partie de l'histoire de la NBA.
Lady M
TP fan :)
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parfois il n'y a pas que le niveau de l'équipe qui compte dans le fait d'aller au bout
est ce que Miami aurait fait 4 finales d'affilé en jouant à l'ouest ces 4 années.
la faute de Manu sur Dirk en 2006 alors que les spurs ont 3 pts d'avance et que Dirk fait 2+1 ou le 3 pts d'allen c'est un détail, la chance aussi
sur les 17 ans les spurs ont été éliminé 2 fois au 1er tour des PO
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Anonyme a dit : Leur régularité depuis 17 ans est IMO plus impressionant que la collection de finales/titres des Celtics et Lakers même si le bilan chiffré est moins bon.


C'est exactement ça: au final régularité ne rime pas toujours avec efficacité.

Mais le bilan chiffré est ce qui permet de comparer des dynasties, on ne retient que ça, pas le bilan en SR.

Lakers 2000/2010, 5 titres / 7 finales.
Spurs 1999/2015, 5 titres / 6 finales.

Les Lakers ont le côté efficacité, ils ont exploités le max de chances qu'ils avaient d'aller au bout, 2 finales perdues certes mais les 7 qu'ils jouent, c'est bien le max qu'ils ont pu faire.

Par contre les Spurs ont seulement 6 finales alors qu'ils ont fini un nombre de fois incalculable premier de conf en se faisant upset par la suite en PO..ils n'ont pas eu la même efficacité et finalement bien que la période fut énorme ils avaient les moyens de faire bien mieux niveau comptable.
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Anonyme a dit : Dans les années 80 et surtout les années 60 yavait moins d'équipes, les PO avaient un tour de moins si on était dans le top 2 etc... donc faut aussi tenir compte de cela quand on compare les Spurs avec les autres équipes du passé. Leur régularité depuis 17 ans est IMO plus impressionant que la collection de finales/titres des Celtics et Lakers même si le bilan chiffré est moins bon.



Le fait qu'il y ait moins d'équipes dans les 80's et 60's est généralement considéré comme un argument en faveur de ces époques. Je ne pense pas que les Bulls aient eu plus de mal à faire le triplé au motif que 6 nouvelles équipes sont arrivées entre 89 et 96 Après, moi je pense que ça s'annule: le niveau de talent était plus concentré à l'époque (grosso modo, le champion NBA pouvait choisir tous les ans l'un des 8 meilleurs joueurs NCAA) mais les talents sont plus nombreux aujourd'hui (développement du basket aux USA mais surtout à l'international).

Au final ça ne se joue pas forcément à grand chose, on se rejoindra là dessus je pense, mais 5 titres/9 finales en 12 ans et dans une ligue déjà compétitive ça reste à mon sens plus impressionnant que 5 titres/6 finales en 16 ans.
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Dans les années 80 et surtout les années 60 yavait moins d'équipes, les PO avaient un tour de moins si on était dans le top 2 etc... donc faut aussi tenir compte de cela quand on compare les Spurs avec les autres équipes du passé.
Leur régularité depuis 17 ans est IMO plus impressionant que la collection de finales/titres des Celtics et Lakers même si le bilan chiffré est moins bon.
Lady M
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MC Jean Gab1 a dit :

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il faut plus de 3 saisons à TP pour atteindre le nombre de matchs actuel (qui va encore grimper) de Dirk
Il devrait tranquillement atteindre le top 3, pour la première place va déjà falloir mettre à la retraite l'allemand
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Pas d'accord pour les Lakers'80, ils font 5 titres et 9 finales en 12 ans, ça reste plus fort que les 5 titres et 6 finales des Spurs en 16 ans. LA affiche un meilleur bilan en 4 ans de moins !

Mais au final, la caractéristique commune de toutes ces équipes, c'est la stabilité. Stabilité des équipes, mais aussi souvent stabilité des coachs/front office.
Veji1

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MC Jean Gab1 a dit :

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c'est quand même dingue que Parker soit devant un mec qui a gagné 6 titres surs ses 11 premières saisons ! ça montre une fois de plus le niveau de guedin des Spurs. Entre ça et le fait que le trio TD/TP/Gino soit devant le trio Bird/McHale/Parish sur le nombre de victoires, etc.. on se rend compte que dans leurs style tout en discrétion, les Spurs des années 2000 sont sur le podium des plus grandes équipes NBA de tout les temps dans la durée :
- 1 les Celtics des années 60
- 2 Les Bulls des années 90
- 3 Les Spurs des années 2000/10

Les Celtics et Lakers des années 80 sont maintenant derrière eux (de peu certes). C'est vraiment un truc de fou.
MC Jean Gab1
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MC Jean Gab1
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Pour les stats bidons je reconnais qu'Harden domine systématiquement.
Prenons par ex celle de la tête à claque (la TAC), et bien à la TAC ( ) Harden est inaccessible (moins en défense )

Martin
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Anonyme a dit :
Anonyme a dit : C'est quoi le Win Shares ?
C'est bidon en plus d'être limite incompréhensible Martin


Anonyme a dit : Encore une statistique où Harden domine Curry...




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Miami c'est pas fait non plus

Surtout au vu du calendrier qui les attend ...
MC Jean Gab1
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The @celtics visit the @hornets tonight in an important matchup in the race for the final playoff spot in the East:


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Anonyme a dit : C'est quoi le Win Shares ?



ça correspond grosso modo au poids du joueur dans le succès de son équipe.

Ce qui récompense donc le poids d'une part, et le succès de l'équipe d'autre part. Il s'agit alors d'une bonne stat pour valoriser un peu le RP d'une excellente équipe, comme Kerr, ou pour ne pas oublier un excellent joueur au seul motif que son équipe est moyenne, comme KG. Le seul défaut de cette stat, en fait, est son mode de calcul un peu ésotérique. Pour le reste, l'intention est excellente : ce n'est pas strictement les stats du joueur, ce n'est pas uniquement le bilan W/L, c'est un bon équilibre des deux. Et d'ailleurs, les résultats obtenus sont loin d'être farfelus.
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Encore une statistique où Harden domine Curry...
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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Et Bill James, l'inventeur du Win Share, continue de mettre à jour ses méthodes pour calculer le Win share

C'est une usine a gaz que personne prend vraiment au sérieux même au baseball où on préfère le concept de War (Win Above Replacement).
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Anonyme a dit : C'est quoi le Win Shares ?

C'est bidon en plus d'être limite incompréhensible

Martin


Win Shares is a book (ISBN 1-931584-03-6) about baseball written by Bill James and Jim Henzler, published by STATS, Inc. in 2002.

As ESPN's Jim Baker put it, "we've been talking about Win shares, the baseball metric Bill James introduced in .... a book titled, oddly enough, Win Shares.[1] It explains the concepts of win shares, a baseball statistic. It takes a sabermetric approach to evaluating the contribution of individual players to their teams' overall performance, and focuses primarily on the many formulae involved in computing the final number of win shares accumulated, as well as presenting many lists of players ranked in various ways using the rating.

Baseball author and columnist Rob Neyer, writing for ESPN, called the book "groundbreaking".[2] Glenn Guzzo echoed him in The New Ballgame: Baseball Statistics for the Casual Fan, calling it a "groundbreaking volume".[3] In A Mathematician at the Ballpark: Odds and Probabilities for Baseball Fans, Professor Ken Ross describes the book as "erudite and interesting".[4] John Erardi of The Cincinnati Enquirer referred to it, while discussing some of its, conclusions as James' "acclaimed book".[5]

Leigh Grossman, in The Red Sox Fan Handbook: Everything You Need to Know to Be a Red Sox Fan Or to Marry One, called it "a book that statheads had been anticipating for years."[6] In the Seattle Post-Intelligencer, David Andriesen wrote of the book:

James, our foremost sabermetrician (a made-up word that means "guy who uses mathematics to study baseball"), has spent years developing a system called "win shares" a number that at its most basic level represents how many victories a player created for his team. His book on the system, titled "Win Shares," was recently published ... The result is a simple number. The method used to arrive at the number is enough to make John Forbes Nash pound his head against a brick wall.[7]

The Oakland Tribune pointed out, however, that it took James more than 100 pages in the book to explain his formula.[8] Bill Felber, in The Book on the Book: An Inquiry Into Which Strategies in the Modern Game Actually Work, compared James' philosophy as to use of relievers in the book, with those he endorsed as a Boston Red Sox executive.[9]

Hardball Times noted that based on reader responses, it appeared that the book was well received, and detailed what it liked and disliked about it,[10] and Dave Studeman wrote for it:

When Bill James rolled out his Win Shares opus, he included a chapter called "Win Shares and Replacement Level (Or...Pandora, shut your trap)." In that chapter, he conceded that the Win Shares work wasn't quite done, that Replacement-level Win Shares were a logical next step. But the extra work would be complex, and James wasn't quite ready to tackle it at the time. So this past winter, I gave it a shot.... I didn't address all the issues that Bill James raised in his book, but I think I came up with a decent approach.[11]

Keith Scherer of ESPN measured the Chicago White Sox defense by it, writing: "Jorge Orta is the only second baseman in history to get an F for his defense in Bill James' book, Win Shares."[12] In a later article for ESPN Scherer pointed out that "when Bill James published his book about Win Shares, he contemplated using the method to study the draft."[13] The Concord Monitor noted that at a game "A few ultradedicated fans even sit in the back row with their Bill James books and calculators tabulating Mainers win shares".[14]

In Practicing Sabermetrics: Putting the Science of Baseball Statistics to Work, by Gabriel B. Costa, Michael R. Huber, and John T. Saccoman, the authors discuss how James provides both a short form method and a long form method for calculation in his book, and that the easier short form method appears to work well for years after 1920.[15]

Dayn Perry notes in Winners: how good baseball teams become great ones (and it's not the way you think) how James points out correctly in the book that when a first baseman gets an assist for throwing to a player other than the pitcher, it is almost always a vital play.[16]

The Bill James Historical Baseball Abstract, 2001 edition, also written by James, uses win shares to evaluate the careers of many players, and to place them in contexts where they can be compared. The two books are effectively companions to one another.

Contents

1 Concept
1.1 Criticism of win shares
1.2 Basketball
2 References

Concept

Win shares is the name of the metric developed by James in his book. It considers statistics for baseball and basketball players, in the context of their team and in a sabermetric way, and assigns a single number to each player for his contributions for the year. A win share represents one-third of a team win, by definition.[17] If a team wins 80 games in a season, then its players will share 240 win shares. The formula for calculating win shares is complicated; it takes up pages 16–100 in the book. The general approach is to take the team's win shares (i.e., 3 times its number of wins), then divide them between offense and defense.

In baseball, all pitching, hitting and defensive contributions by the player are taken into account. Statistics are adjusted for park, league and era. On a team with equal offensive and defensive prowess, hitters receive 48% of the win shares and those win shares are allocated among the hitters based on runs created. An estimation is then made to decide what amount of the defensive credit goes to pitchers and what amount goes to fielders. Pitching contributions typically receive 35% (or 36%) of the win shares, defensive contributions receive 17% (or 16%) of the win shares. The pitching contributions are allocated among the pitchers based on runs prevented, the pitchers' analogue to runs created. Fielding contributions are allocated among the fielders based on a number of assumptions and a selection of traditional defensive statistics.[18]

In Major League Baseball, based on a 162-game schedule, a typical All-Star might amass 20 win shares in a season. More than 30 win shares (i.e. the player is directly responsible for 10 wins by his team) is indicative of MVP-level performance, and 40+ win shares represents an exceptional, historic season. For pitchers, Win Shares levels are typically lower—in fact, they often come close to mirroring actual wins.

Win shares differs from other sabermetric player rating metrics such as Total player rating and VORP in that it is based on total team wins, not runs above replacement.
Criticism of win shares

Players cannot be awarded "loss shares", or negative win shares, by definition. Some critics of the system argue that negative win shares are necessary. In defense of the system, proponents argue that very few players in a season would amass a negative total, if it were possible. However, critics argue, when one player does amass a negative total, he is zeroed out, thus diminishing other players' win-share totals. In an attempt to fix this error, some have developed a modified system in which negative win shares are indeed possible.
The allocation of win shares 48% offense and 52% defense is justified by James in that pitchers typically receive less credit than hitters in win shares and would receive far too few win shares if they were divided evenly.
One criticism of this metric is that players who play for teams that win more games than expected, based on the Pythagorean expectation, receive more win shares than players whose team wins fewer games than expected. Since a team exceeding or falling short of its Pythagorean expectation is generally acknowledged as chance, some believe[who?] that credit should not be assigned purely based on team wins. However, team wins are the bedrock of the system, whose purpose is to assign credit for what happened. Win shares are intended to represent player value (what they were responsible for) rather than player ability (what the player's true skill level is).

Within the sabermetric community there is ongoing debate as to the details of the system. The Hardball Times has developed its own Win Shares, as well as a number of derivative statistics, such as Win Shares Above Bench, Win Shares Percentage, Win Shares Above Average, and All Star Win Shares.
Basketball

Win shares has recently been applied sabermetrically to basketball players as well as baseball players.
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C'est quoi le Win Shares ?
MC Jean Gab1
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Win shares of the Top 5 MVP candidates.

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MC Jean Gab1 a dit : Western Conference teams: Games missed by Top 5 players so far this season.

Complètement bidon ce graph uniquement destiné à alimenter le lobbying "Harden MVP"
C'est quoi leur "Top5 players" ? ce ne sont ni les starters, ni les joueurs les plus importants mais les joueurs qui ont le plus de temps de jeu..
Stupide puisque par définition quand les vrais meilleurs joueurs sont HS ce sont leurs backups qui jouent..
Du coup un Bogut n'est pas dans le Top5 et ses nombreuses absences ne sont pas comptabilisées, un Iguodola est moins important qu'un Barnes donc même punition, même topo pour David Lee qui pourtant aurait sûrement gardé sa place de starter toute la saison sans sa blessure..
Si on est plus objectif et qu'on retient le vrai Top5 des Warriors tel qu'imaginé au démarrage de la saison (Curry, Thompson, Iggy, Lee et Bogut) GSW comptabilise plus d'absences que POR.
J'ai pris GSW parce que c'est la team que je connais évidemment le mieux mais si j'avais le temps de fouiller je suis sûr que je trouverais d'autres cas, par ex le nombre de matchs accordé à MIN me parait suspect sachant qu'ils ont été décimés toute la saison, à priori bien plus que HOU.
Bref faut arrêter tout ce cirque, Curry est le MVP de cette saison et il mérite plus que quiconque cette récompense malgré sa barbe peu fournie et le fait qu'il ne shoote que le 10ème des LF de qui vous savez

Martin
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Depuis le début de saison, la révélation Whiteside a réussi 4 passes décisives.
MC Jean Gab1
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Only Michael Jordan (retired) & Bill Walton (injured) played fewer games as reigning MVP than Kevin Durant this year:


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Leaders in PPG, Post All-Star Break #FridayLeaderboard

1.Westbrook: 30.5
2.Harden: 26.4
3.LeBron: 25.5
4.A.Davis: 24.9
5.Cousins: 23.9
MC Jean Gab1
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Ça vous fera la bite
Beaman
Houston fait peur !!
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Et c'est pas fini pour nous
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Western Conference teams: Games missed by Top 5 players so far this season.

MC Jean Gab1
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Most Game-Winning Buzzer-Beaters, Last 10 Seasons

Celtics 12
Bucks 10
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Tim Duncan leads all players above 35 in PER. It's not even that close.

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Westbrook privé de son triple double à 12-10-17, la NBA lui retire un rebond.
MC Jean Gab1
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Games with at least 40 pts (2014-15):

MC Jean Gab1
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Most PPG In 4th Quarter, Since March 1

Nikola Mirotic 9.5,
LeBron James 8.5,
Russell Westbrook 8.3
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