 Equipe de France - Champions d'Europe 2013 |
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posté par DWill : | Peur de rêver !
On vous confiait au début de l'Euro notre «Envie d'y croire». Voilà que les Bleus nous donnent maintenant peur de rêver. Un comble.
Arrêtez tout, ils sont trop bons, ça fout les jetons ! Une équipe de France à ce point concentrée, disciplinée, et si dure au mal qu'elle finit par décrocher le petit coup de pouce de la chance qui fait basculer un match, vraiment ça fait peur... On écrivait au début de l'Euro notre «Envie d'y croire», on en est aujourd'hui à avoir peur de rêver, tant le réveil pourrait être brutal. Car après cinq victoires d'affilée, il en faudra bien au moins trois autres pour poser les pieds en finale, donc aux Jeux, et la route s'élève encore.
Franchement, le dénommé Dusko Savanovic a dû être tellement surpris de recevoir aussi proprement le ballon de la gagne qu'il en a loupé le shoot le plus facile du match. Il devait tellement s'attendre à ramasser un énorme «cake» qui lui rabattrait le cuir sur le museau qu'il s'est précipité pour envoyer la gonfle. Et les Bleus ont pu déguster ce 97-96 plus doux qu'un loukoum.
Tout au prix fort
Cela dit, avez-vous noté à quel point dans ce match à couper le souffle, les Serbes gardèrent jusqu'au bout -sauf Savanovic donc...- un contrôle gestuel assez inouï dans leurs tirs, comme si, à mi-distance, il était strictement impossible de les sortir de leur zone de confort. Et avec ça, une circulation de balle d'une fluidité si grande que l'on est tombé à la renverse devant le total de leurs balles perdues : dix-huit, tant que ça ? Oui, pour vingt-quatre passes décisives tout de même.
A l'inverse, les Français se firent peur plus souvent qu'à leur tour dans le money time : gigantesque hésitation de Charles Kahudi dans le corner, bafouillage non moins copieux de Kevin Seraphin, lancers cruciaux de Batum qui auraient pu éviter la prolongation. C'était en permanence sur le fil du rasoir, à l'arrache, drive ici, claquette là, tout se méritait, se payait au prix fort dans une option intérieure et un enchaînement de percussions auxquels les arbitres, malheureusement, ne donnent pas forcément le plus grand crédit. Si bien qu'au final, on se retrouve chapeau bas devant les as du rebond-relance ou interception-relance en bleu, mais on en reste bêtement à leur souhaiter de faire enfin un peu de gras à trois points. Pour ne pas finir par y laisser la peau.
Jean-Luc THOMAS
lequipe.fr |
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<blockquote class="citation"><cite><strong>Untel</strong> a dit :</cite> Son message</blockquote>
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On doit donc toujours avoir une seule balise "<blockquote class="citation">" et elle doit forcément être refermée par "</blockquote>" avant le début de votre message.
Tout ce qui se trouve entre le premier <cite><strong>Untel</strong> a dit :</cite> et le message que vous souhaitez conserver peut être effacé.
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