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Les 20 meilleurs westerns
28 fév 2011 Par Fabien Hagege


Alors que True Grit vient de sortir, l'occasion est trop belle de revenir sur les plus grands westerns du cinéma. Le choix fut difficile, les votes ne se firent pas sans affrontements et âpres négociations. Le grand dilemne qui s'était posé lors de nos précédents tops (horreur et science-fiction), est revenu encore plus duremment ici : devait-on s'en tenir qu'à un seul film par réalisateur afin d'offrir un panel plus large ? Il a été impossible de le faire car, ici plus que dans tout autre genre, certains cinéastes ont réalisé des incontournables. Nous ne pouvions pas parvenir à occulter par exemple L'Homme qui tua Liberty Valance d'un top 20 sous prétexte que John Ford a également signé La Prisonnière du désert.

En résulte un classement où de grands noms et beaucoup de grands films manquent à l'appel (à partir de la 10ème place et jusqu'à la 35ème, ça se joue parfois à pas grand chose, une poignée de points) mais qui prouvent en tout cas bien que le western est sans aucun doute un des genres qui a apporté le plus de chefs d'oeuvre au 7ème art. Voici selon la rédaction d'Ecran Large, les 20 westerns les plus indispensables...

20. Duel au soleil (Duel in the sun, 1946) de King Vidor

Ce film étonnant et multiple de King Vidor (entre autres) a pour narrateur pas moins qu'Orson Welles dont la voix fait passer le récit de la fable à la tragédie. Les caractères des personnages peut rappeler par moment la pièce la plus noire de Corneille, Rodogune. Deux frères se disputent l'amour d'une femme au beau milieu d'un drame familial, la jeune Pearl est une métisse indienne, dont le père est emprisonné pour avoir assassiné son épouse infidèle. Un mélodrame qui gagne en intensité jusqu'à un climax qui est encore aujourd'hui un aboutissement de la passion vénéneuse au cinéma. Ce récit baroque doit beaucoup à la participation de plusieurs réalisateurs : Otto Brower, William Dieterle, Josef Von Sternberg, David O. Selznick...

19. L'Homme de la plaine (The Man from Laramie, 1955) d'Anthony Mann

Pierre angulaire d’une œuvre qui définissait complètement le héros dit « mannien », L’Homme de la Plaine fut le dernier des westerns qu’Anthony Mann tourna avec James Stewart. Dépeignant à nouveau l’histoire d’un solitaire qui est à la fois aux prises aux passions humaines, qu’il tente d’éviter sans succès, et à une nature parfois hostile, mais dont il fait intiment partie, L’Homme de la Plaine est la forme d’expression la plus pure du western, magnifiée par des prises de vue au Cinémascope qui supplantent en beauté même celles de John Ford, et dominée de la tête et des épaules par un acteur qui réussit à faire oublier son style « all-american » pour incarner un des héros les plus ambivalents du genre.

18. Josey Wales, Hors-la-loi (The Outlaw Josey Whales, 1976) Clint Eastwood

Abandonnant les oripeaux du western italien qui imprégnaient encore L’Homme des Hautes Plaines, son précédent film dans le genre, Clint Eastwood signe ici le retour à une certaine forme de lyrisme non exempt de vérité, qui emprunte autant à John Ford qu’à Arthur Penn. Non exempte d’humour, cette odyssée dans un Ouest dont la sauvagerie est désormais du ressort de l’homme blanc (les indiens étant présents mais réduits au niveau de spectateurs goguenards) marqua un tournant indéniable dans la carrière de cinéaste de l’ancien homme sans nom. Il complètera par la suite son costume de héros ultime du western avec des œuvres comme Pale Rider et Impitoyable, mais c’est celui du outlaw Josey Wales qui reste le plus parfait.

17. Les Sept mercenaires (The Magnificent seven, 1960) John Sturges

50 plus tard, le film est toujours d'une force évidente. Plus que le plaisir d'assister à un remake américain du chef d'oeuvre de Kurosawa, Les 7 samouraïs, le spectateur a le droit à une véritable relecture à l'aune des valeurs américaines, servie par un casting exceptionnel. Yul Brynner, loin d'être un habitué du genre, s'y révèle exceptionnel, à ses côtés, Steve Mcqueen et Charles Bronson habitent leur personnage de leur charisme. Tout ce beau monde bénéficie du talent de cinéaste de John Sturges (La Grande Évasion) et de la partition de Bernstein, qui rend le long-métrage reconnaissable entre mille tout en lui conférant un véritable souffle.

16. La Chevauchée fantastique (Stagecoach, 1939), John Ford

Western matriciel à plus d’un titre, à l’influence capitale pour bon nombre de cinéastes (Welles ayant avoué l’avoir vu 40 fois à l’époque du tournage de Citizen Kane pour comprendre comment raconter une histoire au cinéma), La Chevauchée fantastique est le film qui a imposé mondialement le nom de John Ford. En s’inspirant d’une nouvelle de Guy de Maupassant (Boule de suif), le cinéaste offre à son western l’une des narrations les plus américaines qui soit : le road movie.
Avec une économie de mouvements de caméra qui nous fait rêver aujourd’hui, Ford parvient néanmoins à créer un dynamisme et une tension extrême au cours de cette poursuite spectaculaire entre une diligence et les indiens. Huis clos le plus majestueux du monde (ah ces plans grandioses de Monument Valley que le réalisateur sait et saura filmer comme personne), La Chevauchée fantastique est à plus d’un titre comme l’écrit si justement Jacques Lourcelles, « la quintessence du western classique ».

15. Impitoyable (Unforgiven, 1992) Clint Eastwood

Clint Eastwood parvient avec Impitoyable à transcender le genre qui fit de lui une star, le western. Par cette oeuvre, il redonne vie à un mythe moribond, autant qu'il le dépasse et en acte la disparition. Avec ce film, il clôture en beauté son cycle sur l'Ouest à l'aune de ses thèmes favoris, à savoir révéler la part d'humanité, de faiblesse et donc de vérité, que cachent les mythes et légendes. Le réalisateur détourne sciemment la symbole du duel pour abattre la figure chevaleresque et noble du pistolero. Muny, cowboy vieilli, rattrapé par la réalité, marque le spectateur, et lui offre un chant du cygne mémorable. Morgan Freeman n'est pas en reste, ni Gene Hackman, à qui sa prestation vaudra un Oscar.

14. La Rivière rouge (Red River, 1948) de Howard Hawks et Arthur Rosson

Devant la prestation de John Wayne, John Ford aurait déclaré : "I didn't know the big son of a bitch could act !" ( Je ne savais pas que le grand con pouvait vraiment jouer !). Le fait est que le comédien confère une profondeur psychologique peu commune à La Rivière rouge. La relation de son personnage avec son fils adoptif (Montgomery Clift) injecte une dose de psychologie rarement aussi présente dans le genre. Il s'agit du premier western de Howard Hawks, qui, comme l'indique ce classement, s'apprêtait à rentrer dans la légende du western.

13. La Porte du Paradis (Heaven's gate, 1980) Michael Cimino

Film maudit qui fit beaucoup couler d’encre autant qu’il coula la vénérable United Artists, le western épique de Michael Cimino est l’expression la plus extrême de la mauvaise conscience de l’Amérique, et le constat amer et sanglant qu’au pays de la bannière étoilée c’est la volonté du plus riche qui prime d’abord. Mettant en relief des héros ambigus et en souffrance, La Porte du Paradis rejoint par certains côtés la vision jusqu’au-boutiste de Sam Peckinpah et reste en mémoire par le biais de séquences tout proprement hallucinantes de beauté et de sauvagerie, et dont le summum est la bataille finale dont le déroulement meurtrier et concentrique n’est que la concrétisation d’une société américaine qui sera ainsi stratifiée. A voir et à revoir inlassablement.

12. Rio Grande (1951), John Ford

Rio Grande est le dernier des trois films de Ford sur la cavalerie américaine après Le massacre de Fort Apache et La charge héroïque. C'est aussi la première rencontre du couple mythique John Wayne/Maureen O'Hara. Au travers des codes du western, John Ford laisse ici parler ses sentiments et particulièrement son humanisme. Au détriment de l'action, il s'intéresse au couple. Il met en opposition leur amour et le devoir du soldat. Kirby (Wayne) est ainsi rongé entre son amour pour sa femme qu'il se refuse de laisser transparaitre et son obligation envers le drapeau.
John Wayne joue là un de ses meilleurs rôles, le plus humain, celui où ses sentiments sont les plus visibles. A l’image de la relation avec son fils, touchante et admirable de retenue. Western poignant, Rio Grande conclue avec maestria une « trilogie » d’exception. Ford délaissera alors le genre pour y revenir 5 ans plus tard pour ce qui est pour beaucoup, son chef d’œuvre : La Prisonnière du désert.

11. Johnny Guitare (Johnny Guitar, 1954) Nicholas Ray

Le film de Nicholas Ray occupe une place à part parmi les autres westerns. Oeuvre baroque et féministe, son véritable personnage principal est une femme (Joan Crawford), à moins qu'il ne s'agisse du décor, un immense saloon vide, à flanc de montagne, semblable à une grotte. La photographie rougeoyante dûe au procédé Truecolor confère à Johnny Guitare une identité visuelle immédiatement reconnaissable, qui accentue encore la tension de l'ensemble. Cette dernière parcourt tout le film pour atteindre son paroxysme lors des scènes entre Crawford et Sterling Hayden.

10. Winchester 73 (1950) Anthony Mann

Premier des westerns du cycle Stewart-Mann (initialement prévu avec Fritz Lang à la réalisation), Winchester 73 a gagné la postérité grâce à son scénario astucieux, basé sur la fameuse arme qui passe de main en main et traverse la grande légende de l’Ouest, que par son côté sec et sans fioriture. Violence et exacerbation de la nature sont aussi au rendez-vous mais c’est surtout la définition d’un nouvel héros américain qui est notable ici, presque antipathique par sa volonté d’indépendance absolue mais dont on admire au final la résolution et la volonté de justice.

9. Le Bon, la Brute et le Truand (il bono, il brutto, cattivo, 1966) Sergio Leone

La mise en scène iconique de Sergio Leone rencontre trois personnages hors-normes, troubles et ambigus, pour un affrontement mortel devenu mythique. Clint Eastwood et Lee Van Cleef n'en sont pas à leur première collaboration avec le cinéaste, mais c'est celle de Eli Wallach qui impressionne véritablement la pellicule, entre fulgurances comiques et répliques cultes. Son interprétation de Tuco est formidable de force, de truculence et d'énergie, après Les sept mercenaires, c'est pour lui l'heure de la consécration. Le rythme haletant du film est enrichi par la partition d'Ennio Moricone, faisant du long-métrage une des plus belles réussites du western spaghetti.

8. La Captive aux Yeux Clairs (The Big sky, 1952) Howard Hawks

Exaltation de ces trappeurs qui défrichèrent les territoires inconnus au-delà de la dernière frontière, La Captive aux Yeux Clairs est un des modèles les plus « hawksiens » du genre. En s’appuyant sur la rivalité de deux aventuriers aux caractères trempés qui s’affrontent pour les beaux yeux d’une indienne à la séduction sauvage, Howard Hawks s’amuse à assoir la représentation du mâle moderne américain. Mais il n’oublie pas le côté picaresque de l’aventure, avec ses excellents seconds rôles et un merveilleux catalogue d’images, et le relief philosophique qui affleure par moment trouve des échos dans une période qui prône le respect de la nature.

7. La Charge héroïque (She wore a yellow ribbon, 1949), John Ford

Des trois films que Ford consacra à la cavalerie (Le Massacre de Fort Apache ouvrant le bal et Rio Grande le fermant), La Charge héroïque est sans doute celui où transparaît le plus l’humanisme du cinéaste. A l’image de son titre anglais infiniment plus juste (une femme amoureuse dans l’univers de la cavalerie se pare d’un ruban jaune pour indiquer à tous que son cœur est pris), ce sont ici les rapports humains qui priment, bien plus que cette fameuse charge. A ce titre, la performance de John Wayne noue plus d’une fois les tripes. Et Ford de le filmer avec une tendresse et admiration qui n’ont peut être jamais paru aussi évidentes. Picturalement splendide (quel technicolor) et dotée d’une charge émotionnelle rare explosant dans un final inoubliable, She wore a yellow ribbon mérite amplement de figurer dans le top 10 des meilleurs westerns du monde.

6. La Charge Fantastique (They died with their boots on, 1941) de Raoul Walsh

Raoul Walsh n'a cure de la vérité historique du personnage de Custer et profite donc de sa rencontre avec Errol Flynn (ils feront encore 6 films ensemble) pour délivrer sa vision du héros et des valeurs morales qui l'accompagnent. Western épique, tragique et politique qui donne toute la mesure du génie de son auteur et marque la dernière -et probablement la plus belle- collaboration du couple mythique de la Warner formé par Olivia de Havilland et Errol Flynn (quelle scène d'adieu), They die with their boots on est aussi une sublime et bouleversante histoire d'amour

5. Il était une fois dans l'Ouest (Once upon a time in the west, 1969) Sergio Leone

La vision de Sergio Leone est purement fantasmagorique, et c'est en cela qu'elle touche au grandiose. Le réalisateur transforme son western en fresque épique et accouche d'une oeuvre d'une ampleur phénoménale. Le film est parcouru de scènes à l'intensité remarquable (de la séquence d'ouverture au flash-back de l'Harmonica) qui impriment immédiatement la rétine du spectateur. Leone, à la limite de la parodie, rassemble les ingrédients du western pour les magnifier et amener le genre jusqu'à sa limite. Peut-être le western qui fait définitivement basculer l'Ouest dans le mythe.

4. La Horde Sauvage (The Wild bunch, 1969) Sam Peckinpah

Film mythique dont la portée dépasse le cadre du western, La Horde Sauvage est autant une épopée furieuse et nihiliste que le portrait intime de héros vieillissants que le changement de siècle a affecté. Au zenith de son art, Sam Peckinpah imprime un nouveau style au cinéma d’action avec son usage extrême du ralenti et du montage éclaté, tout en appuyant à fond sur la violence au limite du sadisme, et en renvoyant définitivement les bons et les méchants dos à dos. Rompant définitivement une forme de règle implicite qui faisait du cowboy américain un chevalier sans reproche, La Horde Sauvage peut être perçu comme une œuvre crépusculaire sur un certain Hollywood et aussi une forme de renaissance qui continue à faire des émules maintenant. C’est à cela que l’on reconnait un chef d’œuvre.

3. L’Homme qui tua Liberty Valance (The Man who shot Liberty Valance, 1961), John Ford

L'Homme qui tua Liberty Valance possède un attrait particulier, celui d'être tout simplement le dernier immense western de celui qui personnifie le mieux le genre. Pour l'occasion, John Ford retrouve le noir et blanc de ses débuts (celui de La Chevauchée fantastique) tout en continuant d'explorer les thèmes qui lui sont chers. C'est sans doute avec Liberty Valance qu'il aura su le plus magnifiquement mettre en évidence son profond et viscéral attachement à la justice et aux valeurs humaines. Formidable évocation d'un Ouest en pleine mutation, le film met en balance et dans la plus intense des confrontations la violence des armes (John Wayne vs. Lee Marvin) face à la volonté d'imposer un état de droit en la personne de l'avocat Stoddard (James Stewart dans un rôle proche de celui qu'il tenait chez Capra).
Habilement construit autour d'un flash-back, L'Homme qui tua Liberty Valance est empreint d'une fascinante mélancolie qui explose lors des derniers instants au détour d'une phrase lancée par le contrôleur du train (« On n'en fera jamais assez pour l'homme qui tua Liberty Valance »). C'est seulement à ce moment que Stoddard, et plus encore le spectateur, réalise que sa vie et donc par là même en filigrane l'Histoire de l'Amérique, s'est construite sur un mensonge, sur un secret enfoui et jamais révélé. Western intimiste, profondément humain et terriblement touchant, L'Homme qui tua Liberty Valance est tout simplement l'un des plus grands films qu'Hollywood ait jamais produit.

2. La Prisonnière du désert (The Searchers, 1956) de John Ford

Un film puissant qui détonne avec le reste de l'oeuvre de Ford. Plus pessimiste, plus noir, John Wayne y interprête Ethan, un homme à la recherche de sa nièce enlevée par les indiens après que sa famille eut été massacrée. Héros fordien de par sa quête et sa volonté inflexible, Wayne en est aussi la négation, un homme qui renoncera à ses valeurs pour atteindre son but. Doté d'une ouverture exceptionnelle, le film illustre sans pareil la mutation et la déréliction d'un certain Ouest, alors en pleine transformation.
Fable philosophique et politique, La Prisonnière du désert transcende pas à pas les codes du cinéma dont il est issu, jusqu'à un final poignant en forme d'adieu. L'image de John Wayne s'éloignant de dos n'est d'ailleurs pas devenue célèbre sans raison, elle est le meilleur héraut de ce film à part, comme de la filmographie de son auteur.

1. Rio Bravo (1959), Howard Hawks

La bataille entre Rio Bravo et La Prisonnière du désert fut plus que rude. Seuls films cités par tous nos votants, les deux westerns ne sont séparés au final que de 8 points. C’est donc Hawks qui devance dans nos cœurs Ford. On peut s’en réjouir quelque part tant dans Rio Bravo, il y a tout ce qui fait l'essence du genre : shérif droit et juste, méchants retords prêt à abattre lâchement le héros, longue rue déserte et poussiéreuse, saloon où l’on se prélasse, gunfights éclairs, suspense crescendo jusqu'à un final où tout le monde fait parler la poudre. Mais Rio Bravo, c'est aussi une histoire de rédemption émouvante, une romance pittoresque sublime et un humour truculent sans oublier un aparté musical anthologique.
Allant de scènes d'exception en moments inoubliables : l'entrée par devant du saloon de Dude tentant de surmonter son alcoolisme, les joutes verbales entre Chance et Feathers, éternels tourtereaux qui ont du mal à avouer leurs sentiments, le sauvetage éclair de Chance par Colorado, le duel final à coups de dynamite, cadré de manière aussi stupéfiante qu'évidente avec une musique lancinante magique de Dimitri Tiomkin, Rio Bravo respire le Cinéma à chaque plan. Plus que d’être à nos yeux le meilleur western de l’Histoire, Rio Bravo est tout simplement l’un des films les plus essentiels jamais tournés.

Dossier réalisé par Patrick Antona, Nicolas Thys, Renaud Moran, Fabien Hagege, Simon Riaux et Laurent Pécha.

Ecran large



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