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Ils nous ont quittés

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rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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Le truc "marrant" concernant le titrre du roi de Rock'n soul, c'est qu'à la base (début 60's), le surnom de Burke (qu'il s'était auto attribué mais qui était assez largement repris) c'était le "roi de la soul", tout court. Il débarquait toujours sur scène avec une cape et une couronne. Sauf que tout le monde savait que le vrai roi de la soul, c'était James Brown. On a donc inventé "rock'n soul" (genre qui ne veut a peu près rien dire et qui a été créé juste pour défnir la musique de Solomon Burke) pour continuer a appeller Burke le roi de quelques chose.
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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Complètement d'accord
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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"Everybody needs somebody", c'est juste insupportable
rantanplan
M'Benga DPY 2012
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RIP

MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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L'auteur d'«Everybody needs somebody» est mort

Surnommé « The king of rock n' soul », Solomon Burke est mort dimanche à Amsterdam. L'auteur de la chanson «Everybody needs somebody», rendue célèbre par le film «The Blues Brothers» (John Landis, 1980), est «décédé» à l'âge de 70 ans, a confirmé Antoinette Spaans, une porte-parole de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol. Elle a indiqué ne pas être en mesure de préciser si le chanteur était décédé dans l'avion ou à son arrivée à l'aéroport.
Solomon Burke devait donner un concert mardi soir au Paradiso à Amsterdam, avec le groupe néerlandais De Dijk avec lequel il avait enregistré un album.
Né le 21 mars 1940 à Philadelphie, cette vedette du rythm'n blues et de la soul empruntait largement au gospel et se teintait parfois de country. Ses prestations scéniques rappelaient celles de James Brown, le «roi de la Soul».

Père de 21 enfants

Père de 21 enfants, Solomon Burke, qui avait 90 petits-enfants et 19 arrière-petits-enfants, comptait parmi ses fans le pape Jean Paul II, selon son site officiel. Il avait récemment laissé un message exhortant les gens «en ces temps difficiles (...) de trouver les ressources -spirituelles- pour donner aux autres».
Le chanteur avait enregistré en 1956 son premier album, «Christmas Present from Heaven», qui sera vendu à un million d'exemplaires. Prédicateur, il a aussi dirigé une entreprise de pompes funèbres.
Entre 1961 et 1968, Solomon M. Burke sortira 32 singles chez Atlantic Records. Il continuera à enregistrer des albums et à se produire en concert ensuite au cours des années 70, 80 et 90.
En 2001, il est reconnu mondialement en entrant au «Hall of Fame of Rock and Roll», la même année que Michael Jackson et Paul Simon, notamment. En 2002, il est récompensé par le Grammy du meilleur album de blues pour «Don't give up on me».

leparisien.fr
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Colette Renard, Rachel dans «Plus belle la vie», est décédée

La comédienne Colette Renard est décédée mercredi à l'âge de 86 ans dans le département des Yvelines. Chanteuse de formation, elle a connu une seconde carrière de comédienne grâce notamment à la série télévisée de France 3, «Plus belle la vie» dans laquelle elle jouait Rachel Lévy, une veuve de confession juive, vieille tante de Guillaume. Ce rôle lui valait d'être la doyenne du petit écran.
Elle avait quitté momentanément la série vedette de France 3 en septembre dernier.
Ses chansons populaires venaient d'être reprises par l'actrice et princesse Clotilde Coureau pour son spectacle osé au Crazy Horse.
Dice
Day Man
(Légende)
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-- PEPS a dit : C est le mec qui balancait une feuille apres l avoir retire de la machine a ecrire a la fin du generique de Rick Hunter nan? --

PEPS
tradamus
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-- Ervin H. Burrell a dit :

Décès du producteur Stephen Cannell Le producteur américain Stephen Cannell, à qui l'on doit les séries "L'Agence tous risques", "Rick Hunter" ou encore "21 Jump Street", est mort à l'âge de 69 ans, a annoncé sa famille vendredi. Stephen Cannell avait créé en 1974 le détective privé Jim Rockford, pour "The Rockford Files" (200 dollars plus les frais), une série qui a duré six saisons et a remporté un Emmy Award. Il avait aussi écrit des centaines d'épisodes de diverses séries télé dans les années 1970 et 1980. Au total, son nom apparaît au générique d'une quarantaine de séries. jdd.fr
--

C est le mec qui balancait une feuille apres l avoir retire de la machine a ecrire a la fin du generique de Rick Hunter nan?
MC Jean Gab1
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Décès de l'écrivain Bernard Clavel à l'âge de 87 ans

L'écrivain français Bernard Clavel, auteur prolifique dont l'oeuvre était nourrie de réalisme social et ancrée dans le terroir, est décédé mardi à l'âge de 87 ans, a indiqué à l'AFP son éditeur Albin Michel, prévenu par sa famille.
Né le 29 mai 1923 à Lons-Le-Saulnier (Jura) dans une famille modeste, il devient apprenti pâtissier à 14 ans avant de se former en autodidacte en exerçant les métiers les plus divers et de devenir journaliste dans les années 1950.
Soutenu lors de sa sortie par Hervé Bazin et Marcel Aymé, son premier roman, "L'ouvrier de la nuit", publié en 1956, marque le début d'une oeuvre importante, riche d'une centaines de titres, avec des contes et nouvelles pour la jeunesse, près de 40 romans, dont plusieurs sagas, des essais et des poèmes.
En 1968, il avait obtenu le prix Goncourt pour "Les fruits de l'hiver". Elu à l'Académie Goncourt en 1971, il en démissionnera six ans plus tard.
Plusieurs de ses oeuvres ont été adaptées au cinéma et à la télévision.

leparisien.fr
MC Jean Gab1
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Décès du producteur Stephen Cannell

Le producteur américain Stephen Cannell, à qui l'on doit les séries "L'Agence tous risques", "Rick Hunter" ou encore "21 Jump Street", est mort à l'âge de 69 ans, a annoncé sa famille vendredi. Stephen Cannell avait créé en 1974 le détective privé Jim Rockford, pour "The Rockford Files" (200 dollars plus les frais), une série qui a duré six saisons et a remporté un Emmy Award. Il avait aussi écrit des centaines d'épisodes de diverses séries télé dans les années 1970 et 1980. Au total, son nom apparaît au générique d'une quarantaine de séries.

jdd.fr
jbtahiti
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Pseudo branchée ?? Tu plaisantes ? C'est une série qui était très populaire en France et dont on garde un très bon souvenir. Par nostalgie d'une époque d'une part, et aussi grâce à ce générique. Enfin le duo Curtis/Moore fonctionnait très bien et reste dans les mémoires pour son humour et sa cool attitude. D'ailleurs la série reposait en grande partie sur cette alchimie, le scénario des épisodes étant très sommaire d'après ce que je me souviens.

Daube ? A celà je réponds que la série a 40 ans.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Définitivement une grosse daube pseudo-branchée, "Amicalement vôtre"
jbtahiti
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Attention, il ne l’a pas dit dans le sens où elle embrassait mal ou comme sil elle avait de la moustache. Il pouvait tellement plus la blairer après quelques semaines de tournage, que le simple fait de l’embrasser lui faisait horreur. Faut dire que la miss avait atteint une telle extrémité dans ses caprices et ses comportements agaçants, que ses partenaires n’en pouvaient plus.

Curtis c’est aussi L’étrangleur de Boston, Les vikings, et bien sûr Amicalement vôtre avec le plus grand générique de l’histoire des séries TV.

MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Tony Curtis qui disait à propos de Marilyn Monroe : "J'ai l'impression d'avoir embrassé Hitler"
MC Jean Gab1
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Actor Tony Curtis Dies At 85-Years-Old
September 30, 2010

NEW YORK (WCBS 880) - Oscar-nominated actor Tony Curtis died at his home Wednesday night at the age of 85. A representative of his daughter, actress Jamie Lee Curtis, confirmed the death.
Tony Curtis, born Bernard Schwartz in the Bronx, was nominated for an Oscar for his dramatic role in “The Defiant Ones” with Sidney Poitier.
He’s also known for his comedic acting in the 1959 movie “Some Like It Hot” with Marilyn Monroe and Jack Lemmon. Lemmon and Curtis are musicians who see a mob hit and disguise themselves as women to elude the gangsters who want to rub out any witnesses.
Curtis is also known for his role in “Spartacus” with Kirk Douglas.
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Mort de Tony Curtis !
Putin mais c'est l'hécatombe !
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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La mort du physicien Georges Charpak

Connu pour ses travaux sur les détecteurs des particules à hautes énergies, il avait reçu le Prix Nobel de physique en 1992. Retour sur le parcours unique d'un immense chercheur disparu à 86 ans.

On peut être un grand physicien et avoir de l'humour. Charpak en avait beaucoup. Alors qu'on lui faisait remarquer l'ironie qui avait situé son appartement parisien juste au-dessus des toits de l'Institut Curie, il nous avait un jour répondu : «Vous voulez dire que ce sera pratique quand j'aurai un cancer ?»

Né en Pologne en 1924 à Dąbrowica dans une famille juive pauvre non loin de Tchernobyl, il s'appelle d'abord Grisha. Deux ans plus tard, ses parents partent pour la Palestine, à Haïfa, alors sous mandat britannique. Les temps sont difficiles : ils travaillent dans une entreprise pour casser des cailloux qui serviront à la construction d'une route et décident, au bout de deux ans, de rentrer en Pologne. Les parents font le choix de l'envoyer à l'école publique. Le petit garçon juif se souviendra longtemps du signe de croix qu'il devait faire à l'entrée devant la Vierge Marie. A 8 ans, il rejoint la France et se prénomme désormais Georges. L'objectif du voyage est l'exposition coloniale de 1931 mais les Charpak, comme des milliers de Polonais s'installent définitivement et deviennent des immigrés en situation irrégulière.

Georges Charpak découvre avec délectation l'école de la IIIe République. Il devient rapidement le premier de sa classe en mathématiques, passe son temps à la bibliothèque où il dévore les œuvres d'Alexandre Dumas, Jules Verne mais également les Pieds Nickelés et Mickey. «Nous n'étions pas français mais nous aspirions à le devenir !», écrivait-il dans La vie à fil tendu (1993). Il se met à fréquenter les Faucons rouges, scouts laïcs d'obédience socialiste. Un jour, âgé seulement de 14 ans et alors qu'il n'est qu'en classe de 4e, il fait «un grand coup de bluff» : sans ses parents, il se rend au prestigieux lycée Saint Louis boulevard Saint-Michel pour passer un examen qui le conduit directement en… première. Il passe son bac philo en même temps que son bac scientifique en 1941 avant d'entrer en classe préparatoire. Il refuse de porter l'étoile jaune et s'insurge contre ses camarades «bourgeois» qu'il juge trop «passifs» dans la guerre contre le nazisme. L'antisémitisme prend de l'ampleur au lycée et Charpak sent la nécessité de s'engager. Les socialistes le lassent, le non engagement de Léon Blum lors de la guerre d'Espagne le choque.

La lecture de La condition humaine est déterminante, il devient communiste. Averti par le père d'un copain policier d'une prochaine arrestation de juifs, la famille fuit Paris et le jeune Georges atterrit à Montpellier où il intègre la Résistance. C'est dans ce contexte particulier qu'il passe le concours de Polytechnique et des Mines avant d'être condamné en 1943 par les tribunaux de Vichy à deux ans de prison. De cette période, il retiendra la solidarité qui consistait notamment à prélever deux cuillerées de soupe dans chacune des gamelles pour les plus faibles.

Quelques temps après, il est déporté à Dachau. Avec ses compagnons, il se persuade que l'Allemagne va bientôt capituler et leur objectif est de «survivre». Puis, arrive 1945 et les GI qui l'embarquent, lui offrent des haricots blancs. Il arrive à l'hôtel Lutetia. Ses parents lui apprennent qu'il a réussi le concours des Mines mais sa mère insiste pour qu'il recommence afin de décrocher Polytechnique. Mais après Dachau, son envie de repasser les concours est limitée. Il suit les cours de Joliot, admire Boris Vian. En 1956, les évènements en Hongrie ébranlent ces convictions communistes. C'est désormais la physique qui remplit sa vie : «La physique ressemble à la plus exigeante et parfois à la plus destructive des maîtresses. Nuit et jour, été, hiver, matin et soir, elle vous poursuit, vous envahit, vous comble ou vous désespère», écrira-t-il. La rencontre avec Frédéric Joliot-Curie fut déterminante, aussi bien en raison de sa personnalité scientifique que pour son passé de résistant et de militant communiste. Après les Mines, Charpak entre comme stagiaire au CNRS. Puis Léon Lederman, (prix Nobel en 1988) lui propose de rejoindre l'équipe qu'il créait au Cern pour travailler sur les hautes énergies et il quitte alors la France pour Genève.

A partir de ce moment là, «la recherche fondamentale allait engloutir ma vie». Il obtient le prix Nobel en 1992.

Inspiré par ce qui se fait dans certaines banlieues américaines, Charpak lance en 1996 la «main à la pâte» dans le but de rénover l'enseignement des sciences et de la technologie à l'école primaire en favorisant un enseignement fondé sur une démarche d'investigation scientifique. «Inculquer, dès l'enfance, les méthodes de base du raisonnement scientifique est la seule chance de doter les générations futures des moyens d'un rapport dépassionné, raisonnable avec la science. C'est là un enjeu de civilisation», écrivait-il.

En 1997, il est figurant avec Pierre-Gilles de Gennes qui avait lui reçu le prix Nobel de Physique en 1991 dans Les palmes de monsieur Schutz. Le film raconte la vie de Pierre et Marie Curie et les travaux qui les ont menés à découvrir le polonium et le radium à l'Ecole de physique et de chimie industrielle de la ville de Paris, école dans laquelle travaillaient Charpak et De Gennes.

L'homme est un grand militant de l'énergie nucléaire. «Le «tout nucléaire», pour lequel notre pays a opté il y a cinquante ans, a rendu un nombre considérable de services à la France. Il a conforté son indépendance énergétique. Il lui a permis de réduire en partie ses achats de pétrole à des pays arabes qui pratiquent un véritable racket des pays importateurs, et dont les connexions avec le terrorisme sont souvent préoccupantes», déclarait-il dans une interview au Le Figaro le 13 octobre 2005

Il avait proposé en 2001, une nouvelle unité de mesure de la radioactivité, le DARI (dose annuelle due aux radiations internes), correspondant à environ 0,25 milli-Sievert.

Cet été, il avait publié une tribune dans Libération dans laquelle il demandait l'arrêt du projet de réacteur expérimental ITER. Il le jugeait «hors de prix» et «inutilisable».


lefigaro.fr
jbtahiti
Stopweb
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Arthur Penn est mort. J'avoue que je ne savais pas qu'il était encore en vie. L'occasion de saluer l'oeuvre d'un des cinéastes marquants des années 60, réalisateur engagé de La poursuite impitoyable (Redford, Brando, Jane Fonda), Le gaucher (Newman), La fugue (Hackman, Griffith), Little big man (Hoffman, Dunaway) ou Bonnie and Clyde (Beatty, Dunaway).

Je décrirais le cinéma de Penn comme libertaire et engagé, radical, subversif et à vif. Un réalisateur majeur en tout cas, l'un des derniers géants d'Hollywood.
MC Jean Gab1
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Gloria Stuart : l'actrice, doyenne du film Titanic, est décédée

Au mois de juillet, le réalisateur de Titanic - James Cameron - célébrait les cent ans de Gloria Stuart, l'actrice à qui il avait offert le magnifique rôle de Rose, survivante du naufrage du Titanic qui se remémore son histoire d'amour sur le bateau. Le réalisateur, qui a rencontré son épouse Suzy Amis grâce à Gloria, doit désormais faire face à la triste nouvelle du décès de l'actrice, survenu le dimanche 26 septembre à Los Angeles, des suites d'un cancer du poumon.
Son visage et sa voix pleine de sagesse ont été vus et entendus par des millions de personnes dès 1997 grâce au film de Cameron en incarnant Rose âgée, le personnage que Kate Winslet jouait dans les flash-backs. Avant de jouer dans cette oeuvre, elle avait participé a plus de quarante films dans les années 30 comme L'Homme invisible.
Toutefois, sa carrière n'a jamais réellement pris son envol et elle a préféré travailler pour le syndicat des acteurs américains. En 1970, elle était revenu sur les écrans mais c'est réellement en 1997, avec Titanic, qu'est venue la consécration et qu'elle a d'ailleurs obtenu une nomination aux Oscars, ainsi qu'une étoile sur le Hollywood Walk of Fame.
Dans son livre I Just Kept Hoping (J'ai simplement gardé espoir), elle déclarait avec humour : "Quand j'ai été diplômée de l'école de Santa Monica en 1927, j'ai été élue jeune femme la plus prometteuse. Je ne pensais pas que cela prendrait tant de temps."
Gloria Stuart est partie, centenaire et laissant derrière elle une vie pleine de passion et de moments inoubliables...
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Spurs9
Ace of Spades
(Mythe)
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R.I.P

MC Jean Gab1
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Claude Chabrol est mort

Le cinéaste Claude Chabrol est décédé dimanche matin à l'âge de 80 ans, a confirmé à l'AFP Christophe Girard, adjoint du maire PS de Paris, Bertrand Delanoë.
Christophe Girard l'avait d'abord annoncé sur son blog : "C’est depuis Gennes-sur-Loire en Anjou où il habita longtemps que j’apprends le décès de Claude Chabrol, immense cinéaste français, libre, impertinent, politique et prolixe. Me viennent en mémoire 'Le Beau Serge', 'Le Boucher' avec la sublime Stéphane Audran, 'Violette Noziere', 'Madame Bovary' et 'L’Ivresse'. Merci Claude Chabrol, merci pour le cinéma", avait-il écrit.
Le cinéaste était né le 24 juin 1930 à Paris.
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Merci pour cette petite discussion cinéma, JB, c'était bien sympathique --

D'autant plus sympathique pour moi que je suis au boulot et que je me fais copieusement chier. On remet ça quand tu veux mec !
Easy !
SuperBulls !
(Historique)
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Laurent Fignon ...
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Merci pour cette petite discussion cinéma, JB, c'était bien sympathique
MC Jean Gab1
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Enfin, plus exactement, c'est Nicolas Cage qui raconte sa nuit avec une nana… Il lui colle la main aux fesses quand elle monte les escaliers.

NC : Elle m'a dit : "Ça ne se fait pas, ça"…
LD (reprenant, ironique) : "Ça ne se fait pas, ça"…
NC : Dans la chambre, elle me dit : "Compte pas que j'te suce"…
LD : Mon pauvre lapin, elle ne sait pas ce qu'elle a manqué

Je signale aussi à Sam une scène où Laura se fait prendre en force par derrière, allongée sur le ventre, la tête cognant le haut du lit
jbtahiti
Stopweb
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Bonne mémoire ! J'avais oublié qu'en effet y'avait quelques petits dialogues savoureux dans ce genre là
MC Jean Gab1
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C'est quand même rare d'entendre une héroïne déclarer : "Elle a refusé de te sucer ? Mon pauvre lapin… Elle ne sait pas ce qu'elle a manqué"
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Je pense que "S&L" est torpillé par le casting. Y'a plusieurs films où Nicolas Cage tente le registre déjanté mais ça ne lui va définitivement pas. Laura Dern, c'est pire, elle manque tout simplement de magnétisme et fait un peu trop cruche. Dans le genre "totale défonce", je préfère "Larry Flint" --

Je pense que c’est clairement l’effet recherché par le réalisateur puisque c’est une de ses actrices fétiches. Elle a un châssis de Muguette Propane mais une allure de potiche et une tronche qui verse dans le pathétique, voir carrément la grimace lorsqu’elle se met à chialer. Cage est pas mal, mais je trouve que la sauce ne prend plus à partir de la seconde moitié du film alors que le début fonctionne bien.
En parlant de casting, on y retrouve quasiment la moitié des acteurs de la série TP.
MC Jean Gab1
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Je pense que "S&L" est torpillé par le casting. Y'a plusieurs films où Nicolas Cage tente le registre déjanté mais ça ne lui va définitivement pas. Laura Dern, c'est pire, elle manque tout simplement de magnétisme et fait un peu trop cruche.
Dans le genre "totale défonce", je préfère "Larry Flint"
jbtahiti
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Evite Inland Empire, ou prends un truc.
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Mon préféré de Lynch, c'est "Blue velvet". J'aime beaucoup aussi "Lost highway" et "Une histoire vraie", un film qui a passablement énervé les Ricains, dit-on, alors qu'on voit juste un vieux traverser le pays sur sa tondeuse Les autres m'ont gavé à des degrés divers et pour des raisons diverses. "Inland empire", pas vu. --

Blue Velvet en 2, Lost Highway en 3, et Elephant Man en 4.
Par contre Sailor&Lula j’ai pas accroché. Je me demande s’il n’a pas eu cette Palme d’Or pour la série Twin Peaks et Blue Velvet justement.

Twin Peaks d’ailleurs, ce que j’ai vu de mieux en matière de création pour le petit écran. La saison 1 en tout cas.
MC Jean Gab1
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Mon préféré de Lynch, c'est "Blue velvet". J'aime beaucoup aussi "Lost highway" et "Une histoire vraie", un film qui a passablement énervé les Ricains, dit-on, alors qu'on voit juste un vieux traverser le pays sur sa tondeuse
Les autres m'ont gavé à des degrés divers et pour des raisons diverses.
"Inland empire", pas vu.
Lady M
TP fan :)
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-- SM12 a dit : -- William A. Rawls a dit : Déjà dit il y a 1h34, mon grand. Si tu viens ici, c'est pour débattre de la mort du vrai cinéma -- J'avais pas vu. Et je me joindrais volontiers à la discussion, mais il faudra d'abord que je lise tous vos messages précédents. --

bonne chance
jbtahiti
Stopweb
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J’avais sans doute oublié Audiard .
Concernant Lynch, Twin Peaks le film est très accessible à quelqu’un qui a vu la série (ce n’est pas Mon curé chez les nudistes mais bon…), c’est d’ailleurs la raison pour laquelle il demeure l’un de mes films préférés du réalisateur. Ensuite je suis assez d’accord pour Mulholland Drive et surtout pour Inland Empire, un grand foutoir qui a fini par me déclencher un fou rire dans la salle où j’avais été le voir. Suis assez curieux de savoir ce qu’il va nous pondre après cet ovni d’ailleurs.
On va voir ce qu’a PTA dans le slip après un film aussi dense et incroyable que There will be blood.
SM12
SM12
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-- William A. Rawls a dit : Déjà dit il y a 1h34, mon grand. Si tu viens ici, c'est pour débattre de la mort du vrai cinéma --

J'avais pas vu.
Et je me joindrais volontiers à la discussion, mais il faudra d'abord que je lise tous vos messages précédents.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Déjà dit il y a 1h34, mon grand. Si tu viens ici, c'est pour débattre de la mort du vrai cinéma
SM12
SM12
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Laurent Fignon est mort. Repose en paix, champion.
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : Paul Thomas Anderson, les frères Cohen, Clint Eastwood, Gus Van Sant, Wong Kar-Wai, David Lynch pour ne citer qu’eux sont de grands cinéastes. Je précise que je ne suis pas un adorateur de tous ces réalisateurs ou plus exactement de tous leurs films. On n’a personne en France qui peut se vanter de faire des films aussi touchants, intelligents, parfois expérimentaux mais accessibles. Universels en quelque sorte. --

Audiard ?

Lynch, Wong Kar-Wai ou les frères Cohen, tu trouves ça accessible et universel ? Tu cites des noms de cinéastes indépendants qui creusent leur sillon (et en France aussi, tu en as, comme Ozon) en s'accommodant plus ou moins du système et des règles du marché (parce que Eastwood fait un cinéma très personnel mais aussi grand public). Evidemment qu'il y en a. Et qu'il y en aura toujours. Cinéma underground, indépendant, expérimental, etc.

Maintenant, je ne pense pas que tu puisses forcément en tirer des généralités. Lynch, c'est quand même le mec qui après avoir finir de tourner en rond dans un univers déjanté, sublimement déglingué, a pris son spectateur pour le dernier des cons ("Mulholland Drive" et autres "Twin Peaks, le film").

Et perso, je pense que GVS est un imposteur complètement surfait Je lui préfère encore Lars Von Trier qui est complètement parti en sucette depuis l'époque du "Dogme" mais qui a signé des bribes de films hallucinantes.
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Je précise que le Fincher sort le 13/10 et que le film n'a pas été autorisé par Zuckerberg. --

Je reste persuadé que nous nous laissons entrainer par ce flot technologique et qu’il reste une place pour un autre cinéma. Tout ne s’arrête pas à Fincher ou à Cameron.
Paul Thomas Anderson, les frères Cohen, Clint Eastwood, Gus Van Sant, Wong Kar-Wai, David Lynch pour ne citer qu’eux sont de grands cinéastes. Je précise que je ne suis pas un adorateur de tous ces réalisateurs ou plus exactement de tous leurs films. On n’a personne en France qui peut se vanter de faire des films aussi touchants, intelligents, parfois expérimentaux mais accessibles. Universels en quelque sorte. Ils font partis de cette caste de réalisateurs marquants dont je parlais en tout cas.
MC Jean Gab1
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Le vrai rebelle du cinéma français, le seul avant-gardiste, ne cherchez pas, c'est JP Mocky
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : En revanche pour le côté Spielberg Français c’est un peu fort. Je reconnais à Annaud au moins une chose, c’est qu’il demeure conserver une approche artisanal de son métier, à l'inverse de Spielberg (je voulais écrire ses initiales mais j’ai préféré renoncer…). --

Moi, je retrouve le même populisme un peu dégoulinant…
MC Jean Gab1
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Facebook qui vient de se faire hacker, apparemment
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Il y a un côté "Spielberg français" un peu agaçant… Ce n'est que mon avis. Qu'en pense JB ? --

Bah un peu la même chose que toi. Je n’ai pas vu 7 ans au Tibet car je me fiche totalement du sujet. Pareil pour les Deux Frères ou Sa Majesté Minor. Ce dont je suis sûr c’est que les images doivent être bien propres et les musiques bien belles.
J’ai vu Stalingrad y’a pas longtemps, et j’ai pas passé un mauvais moment. J’avais bien aimé L’Ours que je n’ai vu qu’une fois quand j’étais ado et Le Nom de la Rose. En revanche pour le côté Spielberg Français c’est un peu fort. Je reconnais à Annaud au moins une chose, c’est qu’il demeure conserver une approche artisanal de son métier, à l'inverse de Spielberg (je voulais écrire ses initiales mais j’ai préféré renoncer…).
MC Jean Gab1
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Je précise que le Fincher sort le 13/10 et que le film n'a pas été autorisé par Zuckerberg.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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-- jbtahiti a dit : Sans faire de particularisme, mon propos n’était pas de dire que tous les cinéastes français sont des imposteurs, mais plutôt que nous manquions de cinéastes marquants comme dans les années 50, 60, 70 ou même 80. De nos jours, quel cinéaste va citer JJ Annaud comme source d’inspiration ? Nan, ils vont tous te citer Méliès, Godard, Truffaut, Melville, Clouzot, Renoir et peut-être Bresson, Tati, Rivette, Demy, Resnais ou plus accessoirement Desplechin, Teschiné ou Rohmer. Parce que je doute que des Chabrol, Doillon ou Garrel aient une réelle audience en dehors de la France et des cercles intellos prétentieux que l’on peut trouver dans quelques grandes villes occidentales. --

C'est vrai mais c'est peut-être un peu plus compliqué.

Ce que tu décris pour le cinéma français est valable pour le cinéma US. Qui sont les Capra, Curtiz, Mankiewicz, Cukor d'aujourd'hui ?

Le cinéma d'avant les années 80 conserve une dimension mythique, et pas seulement parce que les grosses majors hollywoodiennes ont torpillé la créativité.
Les années 80, c'est l'explosion des communications.
Les années 90, l'explosion d'Internet.
Aujourd'hui, tout le monde a accès à tout, partout… Tu peux avoir des images de n'importe quoi instantanément sur ton iPhone… Fatalement, cette révolution/explosion des images dilue la nouveauté, l'innovation et la créativité.

Ce n'est quand même pas un hasard si le cinéma US, à court d'idées et de scénarios, se met à piller les personnages de BD, les jeux vidéo, les héros de bouquins pour enfants, la télé réalité, les success story d'Internet…

Le prochain David Fincher (Seven, Fight Club, The Game, Benjamin Button…), c'est sur quoi ? La création de Facebook par Mark Zuckerberg…

C'est quoi les films phares d'aujourd'hui ? Des grosses prods style "Avatars" qui reposent sur une utilisation poussée de la technologie. Mais en dehors de cette progression visuelle, il n'y a plus guère d'évolution dans la façon de filmer et surtout dans ce qu'on raconte.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
(Dieu vivant du forum)
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Jean-Jacques Ano ? Il a beaucoup de succès sur Stopweb

Annaud a fait du cinéma populaire de qualité (ou cinéma de qualité populaire), deux trucs assez difficiles à concilier, avant de se crasher en beauté. Sans même parler de "Sa Majesté Minor", "7 ans au Tibet" était déjà un échec cinématographique dans le sens où le film était censé te montrer la "rédemption" d'un SS touché par la grâce lors d'un voyage au Tibet et qu'au final, il n'en fait rien.

Tu vois Brad Pitt faire du patin avec le Tibétain, aller au cinéma avec le Tibétain, tout ça est très-très gentil mais ça n'apporte rien à ce qui aurait dû être la trame principale.

Le film est assez symptomatique du cinéma d'Annaud qui se fait déborder tôt au tard par des aspirations contraires. Aspirations intellos, aspirations esthétiques, aspirations populo…

Un cinéaste ambitieux, perfectionniste, respectable mais qui n'a jamais su trouver réellement sa voie et s'est mis une partie de la critique à dos, il me semble. Filmographie très inégale là aussi. Je pense que JJA avait de grosses ambitions mais pas forcément les moyens de les réaliser, pour des raisons diverses.

Et quand tu fais "L'ours" ou "Deux frères", tu ne peux pas décemment revendiquer révolutionner ton art Il y a un côté "Spielberg français" un peu agaçant…

Ce n'est que mon avis. Qu'en pense JB ?
PEPS
tradamus
(Légende)
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-- Anonyme a dit : Et J.J. Annaud? La Guerre du feu et le Nom de la Rose c'est deux des films français les plus cultes de ces 30 dernières années. --

Y'a pas l Ours non plus et aussi 7 ans au Tibet avec B Pitt...

Sinon je viens d apprendre le deces de Laurent Fignon. On perd un sacre champion.
Paix a son ame.
jbtahiti
Stopweb
(Légende)
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Sans faire de particularisme, mon propos n’était pas de dire que tous les cinéastes français sont des imposteurs, mais plutôt que nous manquions de cinéastes marquants comme dans les années 50, 60, 70 ou même 80.
De nos jours, quel cinéaste va citer JJ Annaud comme source d’inspiration ? Nan, ils vont tous te citer Méliès, Godard, Truffaut, Melville, Clouzot, Renoir et peut-être Bresson, Tati, Rivette, Demy, Resnais ou plus accessoirement Desplechin, Teschiné ou Rohmer. Parce que je doute que des Chabrol, Doillon ou Garrel aient une réelle audience en dehors de la France et des cercles intellos prétentieux que l’on peut trouver dans quelques grandes villes occidentales.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Et J.J. Annaud? La Guerre du feu et le Nom de la Rose c'est deux des films français les plus cultes de ces 30 dernières années.
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