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Ils nous ont quittés

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jbtahiti
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En effet, il s’est isolé dans cette image de franc tireur du cinéma français et c’est bien regrettable. J’aurais été extrêmement curieux de savoir ce que ce type aurait pu faire avec peut-être plus de tempérance dans son discours et un parti pris moins virulent, même si je reste sceptique. Difficile de le critiquer réellement sur ce genre de positions remarque, tant le cinéma français se complet depuis deux décennies dans un nombrilisme lénifiant. Et puis ce n’est pas à toi il me semble que je vais apprendre qu’il est le théâtre du népotisme le plus affirmé et le reflet d’un certain élitisme parisiano-parisien qui l’asphyxie réellement. Il tourne en circuit fermé et n’apporte plus grand-chose.

D’ailleurs je pense que nous n’avons plus de cinéastes majeurs depuis au moins trente ans. Mais ceci est un autre débat.
MC Jean Gab1
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Frédéric Mitterrand enguirlandé par Beineix
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Beineix vs Mitterrand
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : mais tu parlais de Claude Miller comme d'un cinéaste has been, qu'a fait Beineix ces dernières années ? --

Rien. Il s'est isolé d'une industrie cinématrographique et d'un public qui, de toute façon, ne peuvent pas le comprendre et "ne le méritent pas". Je pense qu'il n'en attend plus rien et que donc, il s'est mis en retrait. Il me semble qu'il a fait une série de docs sur le Japon où il a vécu.

Je ne sais pas s'il carbure à la coke (on m'a dit qu'il avait un tempérament parfois imprévisible) ou s'il s'est inventé un personnage mais ses prestations comme celle face à Frédéric Mitterrand ne font rien pour réhabiliter le personnage.

La différence, c'est que lui s'abstient de tourner et que s'il le faisait, ce serait sans doute pour proposer un truc un minimum inclassable. Alors que Miller, qui n'a strictement plus rien à dire, continue à enquiller les petits drames sans intérêt (pour entretenir son image d'intello ?).

"Un secret", pour moi, ça repose sur le néant absolu…
jbtahiti
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Partiellement d'accord. Génie de l'image sans doute (je pense que sa réalisation a scotché pas mal de gars de ma génération), mais tu parlais de Claude Miller comme d'un cinéaste has been, qu'a fait Beineix ces dernières années ?

Sa carrière se résume à une poignée de films réellement marquants, et on ne parle pas de Kubrick là !
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : Dans le genre croute sismique... --

Du tout. Mais si tu n'es pas sensible à la beauté de la mer, de la plongée, etc., tu fais immédiatement un blocage.
Besson est un scénariste affligeant, Barr un acteur inexpressif au possible (et Reno à peine meilleur) mais ce film était une ode magnifique à la mer, portée par une musique sublime. Après, je le répète, il faut être un minimum sensible à la poésie de la chose…
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : Tu es ironique quand tu parles de Beineix comme plus grand réalisateur français vivant avec JLG ? --

Du tout.
Il a été décrié tout au long de sa carrière alors que c'est réellement un génie de l'image. Tous ses films m'ont mis une claque, notamment "La lune dans le caniveau".
Même un film raté comme "IP5" écrasait, cinématographiquement parlant, tout ce qui se faisait à l'époque.

Son rêve était d'adapter "La vierge de glace" de Marc Behm (l'auteur de "Mortelle randonnée"). Il n'a jamais eu le budget, donc il a sorti le truc en BD mais c'est une histoire fascinante - des vampires mutants qui montent un casse dans une tour - qui aurait pu donner un truc génial, surtout avec lui derrière la caméra.

Un pote l'avait rencontré à l'époque, il avait une idée très précise du film. Il voulait utiliser "Kashmir" de Led Zeppelin comme zik par exemple. Et peu de temps après, Puff Daddy faisait le remix pour "Godzilla"…

Et mention aussi à Carax, of course. En fait, si je ne dois en retenir que trois, c'est Godard, Beineix et Carax
J'ai déjà dit ce que je pensais de Audiard, Resnais, Sautet, Blier… A la limite, je sauve Téchiné.
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Ce qui me fait penser à JM Barr, un acteur inclassable qui ne s'est jamais remis du "Grand bleu" --

Dans le genre croute sismique...
jbtahiti
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-- William A. Rawls a dit : Ça me fait penser à Claude Miller, un cinéaste has been qui n'a plus rien à dire depuis longtemps… --

C’est une façon de voir les choses. Difficile d’être créatif sur des périodes qui couvrent plusieurs décennies, en tout cas c’est extrêmement rare et dans tous les domaines d’ailleurs. Miller a réalisé de grands films c’est ce que je préfère retenir.

Tu es ironique quand tu parles de Beineix comme plus grand réalisateur français vivant avec JLG ?
MC Jean Gab1
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Sinon, je voulais dire que j'adore JJ Beineix, définitivement le plus grand cinéaste français encore en vie Devant JL Godard.
MC Jean Gab1
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Ce qui me fait penser à JM Barr, un acteur inclassable qui ne s'est jamais remis du "Grand bleu" et qui a enchaîné les rôles… inclassables
MC Jean Gab1
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Ça me fait penser à Claude Miller, un cinéaste has been qui n'a plus rien à dire depuis longtemps…
MC Jean Gab1
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-- jbtahiti a dit : c’est un cinéaste qui a clairement marqué son époque. --

Mouais… Je trouve que sa filmo est justement trop inégale pour ça. Sans même parler du "Deuxième souffle", je n'ai pas compris l'intérêt d'un film comme "Le cousin" où Patrick Timsit faisait du sous-Joe Pesci version "Casino". C'était une tentative assez maladroite pour utiliser Chabat et Timsit à contre-emploi, façon Coluche dans "Tchao Pantin".
Je ne sais pas, tout ça est confus (comme la filmo)… J'ai l'impression d'être en face d'un grand - inoubliables "PP 357", "Série noire" et "Nocturne indien" - qui s'est fourvoyé dans des projets bidons ou pompeux faute d'inspiration. "Fort Saganne" et "Tous les matins du monde", ça m'a pompé l'air, perso.
jbtahiti
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Merde alors, il est parti tôt celui-là ! Une carrière vraiment inégale que celle d’Alain Corneau. J’avais beaucoup aimé sa période polar des années 70 et même si ça fait longtemps que je ne suis pas retombé dessus, j’en garde un très bon souvenir. Tous les matins du monde avait été une belle réussite également. Je vais passer sur ses croutes pour souligner son remake inexplicable du Deuxième Souffle. Je n’avais pas compris le principe du remake d’un film qui est, pour moi et beaucoup d’ailleurs, intemporel.
Je crois que c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à remettre en question son talent, puisque ses polars pouvaient être aussi considérés comme des adaptations de thrillers américains à la sauce française…mais quelle sauce. Quoi qu’il en soit c’est un cinéaste qui a clairement marqué son époque.
MC Jean Gab1
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Alain Corneau est mort

Le réalisateur français Alain Corneau, 67 ans, est décédé d'un cancer dans la nuit de dimanche à lundi. Son agent Artmedia a annoncé le décès lundi à la mi journée. L'ultime long-métrage d'Alain Corneau, «Crime d'amour» avec les splendides Kristin Scott Thomas et Ludivine Sagnier est sorti sur les écrans le 18 août dernier.
Musicien de formation, Alain Corneau s'est très vite tourné vers le cinéma. Il a notamment débuté aux côtés de Costa-Gavras, dont il est devenu le premier assistant en 1970 sur «L'Aveu». L'occasion pour lui de travailler une première fois avec Yves Montand qu'il dirigera par la suite à trois reprises. Egalement assistant de Nadine Trintignant pour «Ca n'arrive qu'aux autres», il a co-écrit avec elle «Défense de savoir en 1973». Cette même année, il réalise son premier film.

Spécialiste du film policier

Alain Corneau a trouvé sa voie dans le registre policier. En 1976, il s'inspire du personnage de «L'Inspecteur Harry» pour sa deuxième réalisation, «Police Python 357» interprété par Yves Montand.
Les deux hommes collaboreront à nouveau sur La Menace (1977) et Le Choix des armes (1981), deux autres classiques du film noir à la française. Entre-temps, Alain Corneau signe l'adaptation de Série noire (1979), film pour lequel la prestation de Patrick Dewaere en représentant de commerce au bout du rouleau est unanimement saluée par la critique.

Fort Saganne et ses succès télévisés

A partir des années 80, le réalisateur s'essaie à d'autres genres, mettant en scène la prestigieuse fresque coloniale Fort Saganne (1984), filmant la société indienne dans Nocturne indien (1989) et remportant le César du Meilleur film en 1992 pour le long métrage d'époque Tous les matins du monde.
Plus récemment, Alain Corneau est retourné au film policier avec «Le Cousin» (1998). Dans ce film, il dirige à contre-emploi les comiques Alain Chabat et Patrick Timsit.
Son film suivant, l'ambitieux Prince du Pacifique, réalisé en 2000 avec le même Patrick Timsit et son complice Thierry Lhermitte, se solde par un échec, tant commercial que critique. Le cinéaste abandonne alors la comédie à gros budget au profit d'oeuvres plus intimistes comme «Stupeur et tremblement»s (2003), adapté du roman homonyme d'Amélie Nothomb.
L'année suivante, Alain Corneau concrétise un rêve de trente ans avec «Le Deuxième souffle », emmené par un luxueux casting composé notamment de Daniel Auteuil, Monica Bellucci, Jacques Dutronc et Michel Blanc.
En 2009, il passe devant la caméra pour un rôle dans «La Guerre des miss» de Patrice Leconte.

leparisien.fr
MC Jean Gab1
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Décès de l'écrivain Patrick Cauvin à l'âge de 77 ans

L'écrivain Patrick Cauvin est décédé vendredi dernier à l'âge de 77 ans, a-t-on appris ce mercredi après-midi du site Internet de l'Express.
De son vrai nom Claude Klotz, l'écrivain s'était rendu célébre du grand public avec le roman "E=MC2 mon amour" publié en 1977.
On lui devait également la pièce, "Héloïse" montée par Patrice Leconte il y a deux ans.
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Décès de la chanteuse Abbey Lincoln

L'actrice et chanteuse de jazz américaine, Abbey Lincoln, qui s'engagea en faveur de la reconnaissance des droits civiques dans les années 60, est décédée hier à New York à l'âge de 80 ans.
Née à Chicago en août 1930, Abbey Lincoln, qui avouait avoir été fortement influencée dans son art par Billie Holliday, avait entamé sa carrière au milieu des années 50 et continuait à se produire jusqu'à un passé récent.
Lincoln était apparue dans plusieurs films dont "For Love of Ivy" où elle donnait la réplique à Sidney Poitier en 1968, ce qui lui avait valu une nomination pour les Golden Globes l'année suivante.
Elle était également à l'affiche de "The Girl Can't Help It", film de 1956 dans lequel elle portait une robe que Marilyn Monroe arborait dans "Les Hommes Préfèrent les Blondes".
Au cours des années 70, elle apparut dans de nombreuses émissions de télévision.
MC Jean Gab1
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Décès de l'écrivain Roger Munier, spécialiste d'Heidegger

L'écrivain Roger Munier, traducteur de Martin Heidegger et d'Octavio Paz et spécialiste d'Arthur Rimbaud, est décédé mardi à l'âge de 87 ans.
Né le 21 décembre 1923 à Nancy, Roger Munier a notamment traduit «Lettre sur l'humanisme» d'Heidegger en 1957 et organisé en 1955 la première rencontre entre le poète René Char et le philosophe allemand, dont il a également traduit «Le Retour au fondement de la métaphysique» en 1968.
Roger Munier a également traduit plusieurs livres du poète et essayiste mexicain Octavio Paz, comme «L'Arc et la lyre» (1965) ou «Point de convergence» (1976).
A partir de 1980, il s'intéresse plus particulièrement à l'oeuvre de Rimbaud à laquelle il consacre deux ouvrages, «Génie de Rimbaud (1988) et »l'Ardente patience d'Arthur Rimbaud« (1993).\( Roger Munier a également publié de nombreux essais et des recueils de poèmes (»Le Moins du monde«, »L'Instant«).
Outre René Char, qui a préfacé un de ses ouvrages, il a entretenu des relations amicales avec l'écrivain allemand Paul Celan, qui lui a dédié un de ses ouvrages, et depuis 1976, avec le poète Yves Bonnefoy.
Entré chez les Jésuites en 1944, Roger Munier a quitté l'ordre en 1953. Il était marié et père de trois enfants.
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Dana Dawson : La chanteuse célèbre des années 90 est morte à 36 ans...

La chanteuse et actrice Dana Dawson est décédée à l'âge de 36 ans, le 10 août 2010, des suites d'un cancer du côlon.
Très connue dans les années 90, surtout grâce à son tube 3 Is Family, Dana Dawson avait plusieurs fois été au sommet des charts européens et avait commencé le chant à l'âge de 14 ans. Egalement comédienne, Dana Dawson avait fait ses premiers pas sur les planches à l'âge de 7 ans dans une comédie musicale sur Broadway.
La chanteuse américaine avait travaillé avec des producteurs français sur son pemier album baptisé Paris, New York and Me et reste célèbre pour ses titres comme Tell Me Bonita ou encore Romantic World.
En 2001, elle avait sorti un nouveau titre, Have a Nice Life, qui a servi de bande-son pour la série Lizzie McGuire avec Hilary Duff.
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Une star US de l'athlétisme retrouvée morte

L'ancien athlète américain Antonio Pettigrew, déchu de ses médailles des Jeux Olympiques en 2000 pour dopage, a été retrouvé mort mardi dans sa voiture.
Selon le quotidien américain "USA Today", l'athlète, âgé de 42 ans, était allongé à l'arrière de son véhicule, stationné près d'un pont dans le comté de Chatham (Caroline du nord) quand la police a fait la macabre découverte.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme aurait avalé des somnifères. Sur place, le sheriff du comté, Gary Blankenship, préfère rester prudent. «Nous ne savons pas pour l'instant s'il s'agit d'un suicide ou d'un accident. L'autopsie le dira».
Pettigrew n'avait jamais été contrôlé positif durant toute une carrière au palmarès impressionnant : un titre mondial du 400 m en 1991 à Tokyo, plusieurs titres en relais 4x400 m aux Mondiaux de 1997 à Athènes et 1999 à Séville... Jusqu'au triomphe olympique en 2000, à Sydney.
Appelé à témoigner lors du procès de l'entraîneur Trevor Graham, Pettigrew avait reconnu devant un tribunal américain s'être dopé à partir de 1997.
Le Comité international olympique avait alors retiré toutes ses médailles à compter des Mondiaux d'Athènes, dont celui du relais américain aux JO 2000 à Sydney dans lequel figurait son illustre compatriote Michael Johnson. Pettigrew laisse derrière lui une femme et un enfant.
MC Jean Gab1
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Décès du comédien Bruno Cremer victime d'un cancer

Le comédien Bruno Cremer, qui incarna à la télévision le commissaire Maigret, est décédé samedi dans un hôpital parisien des suites d'une longue maladie, à l'âge de 80 ans.
Né le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, dans le Val-de-Marne, le comédien luttait depuis plusieurs années contre un cancer.
Il a incarné le commissaire Maigret dans plus de quarante épisodes de la célèbre série télévisée, entre 1991 et 2005, mais a aussi joué dans une quarantaine de films et de nombreuses pièces de théâtre.
"De Maigret, je n'ai gardé que ce qui me convenait, j'ai essayé de gommer le côté vieillot, pantouflard, paternaliste. Ce qui lui manque, c'est l'humour", disait-il, ajoutant : "Mon seul regret est de ne pas avoir obtenu de lui faire fumer le cigare et non la pipe".
Bruno Cremer est né le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, près de Paris, d'une mère d'origine belge et d'un père qui prendra la nationalité belge parce que la France n'a pas voulu l'accepter comme soldat durant la guerre, contrairement à la Belgique. Sa cicatrice à la lèvre remonte à ses 7 ans, alors qu'il faisait la course avec son frère sur un vieux vélo. Une descente, des freins qui lâchent, un virage et un mur...
Il confie avoir eu très jeune le désir de devenir acteur. "Ca m'a pris à 12 ans. Cette porte de sortie m'a sauvé la vie. Sans cela, je ne sais pas ce que j'aurais fait", confiait-il en 2000 lors de la parution de son autobiographie "Un certain jeune homme".
Après ses études secondaires, il suit des cours de théâtre au Conservatoire à Paris. Il fait partie de la cuvée 1952, celle de Belmondo, Marielle et Rochefort: "C'était ma jeunesse, nous formions une bande insouciante qui ne se prenait pas du tout au sérieux". Il joue Oscar Wilde, Shakespeare, Anouilh.
Pas de plan de carrière avec lui. Il reconnaît volontiers que la chance lui a souri. S'il débute au cinéma avec Alain Delon dans "Quand la femme s'en mêle" en 1957, sa carrière s'accélère vraiment en 1964 avec la "317e section" de Pierre Schoendoerffer.
Il se spécialise dans les films militaires, les rôles de flic teigneux et les histoires d'espionnage où il fait le coup de poing tout en usant de délicatesse et d'intelligence. Au fil des années, son registre se fera plus discret et émouvant. Il travaille beaucoup avec Yves Boisset et Jean-Claude Brisseau et joue, entre autre, dans "Le Bon et le méchant" de Claude Lelouch, "L'Etranger" de Luchino Visconti, "Le Convoi de la peur" de William Friedkin, "Noce blanche" de Jean-Claude Brisseau avec Vanessa Paradis. A son actif, plus de 110 films et téléfilms, selon son agent.
A partir de 1991, il succède à Jean Richard pour incarner à la télévision Maigret, le flic le plus célèbre de France. "Il y a cent mille Maigret. Simenon le fait évoluer, se contredire. Je l'ai tiré vers sa part de mystère et je lui ai apporté un semblant d'humour, un regard un peu ironique", dit-il.
Il ne renoue avec le long métrage qu'en 2000, avec le film "Sous le sable" de François Ozon et "Mon père, il m'a sauvé la vie", film autobiographique de José Giovanni. En 2002, il retrouve Pierre Schoendoerffer dans "Là-haut, un roi au-dessus des nuages".
Son autobiographie publiée en 2000 retrace sa jeunesse, ses débuts de comédien et sa vie jusqu'au décès de son père et permet à l'acteur de se livrer avec sincérité dans un portrait sans complaisance. D'autant que l'homme est secret, solitaire et déteste les interviews.
Dans "Maigret et l'Etoile du Nord" diffusé en 2005, il apparaît amaigri et fatigué et sa voix a dû être doublée en raison de son cancer. Ce sera son adieu au commissaire.
Bruno Cremer avait trois enfants, un fils Stéphane d'un premier mariage, et deux filles de son épouse Chantal, avec laquelle il est marié depuis 1984.
MC Jean Gab1
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Mort de Cécile Aubry, auteure du feuilleton télévisé "Belle et Sébastien"

L'actrice, réalisatrice et écrivaine Cécile Aubry est décédée lundi soir 19 juillet à Dourdan (Essonne) d'un cancer du poumon à l'âge de 81 ans, a indiqué sa belle-fille.
Célèbre notamment pour avoir écrit le feuilleton télévisé à succès des années 1960 "Belle et Sébastien", tiré de son roman et interprété notamment par son fils Mehdi El-Glaoui, ainsi que la série "Coups de foudre", Cécile Aubry avait acquis une renommée internationale dès ses débuts, en incarnant une Manon à fossettes et au sourire faussement candide librement adapté du roman éponyme de l'abbé Prévost dans le film d'Henri-Georges Clouzot, Lion d'or à la Mostra de Venise en 1949.
Née à Paris sous le nom d'Anne-Marie Benard le 3 août 1928, elle avait débuté comme danseuse, suivant une formation de comédienne au Cours Simon. Après Manon, elle signera ensuite un contrat avec le studio américain 20th Century Fox, mais ne tournera que dans quelques films. Dans La Rose noire, elle côtoie Tyrone Power et Orson Welles et, dans Barbe-Bleue (1952) de Christian-Jaque, Hans Albers.
Après avoir épousé Si Brahim El-Glaoui, fils du pacha de Marrakech, elle avait abandonné son métier d'actrice pour devenir écrivain pour enfants, adaptant elle-même ses romans pour la télévision.
Elle est notamment l'auteure de la série des "Poly" et du feuilleton "Belle et Sébastien" qui durera trois saisons, entre 1965 et 1968, avant d'être adapté en série d'animation au Japon.
Elle fut également la scénariste, en 1973, de la série "Le Jeune Fabre" dont le rôle-titre était également tenu par son fils Mehdi, et qui révéla l'actrice Véronique Jeannot.
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Le comédien Sacha Briquet s'est éteint

Le comédien Sacha Briquet, figure de la Nouvelle Vague et second rôle populaire au cinéma, au théâtre et à la télévision pendant 50 ans, est décédé début juillet à Deauville (Calvados) à l'âge de 80 ans, a annoncé son agent. Intervenu à son domicile, le décès, visiblement de causes naturelles, a été découvert plusieurs jours après.
Né Alexandre Edouard Albert Briquet en avril 1930, Sacha Briquet qui a démarré sa carrière en 1950 dans "Sous le ciel de Paris" de Julien Duvivier, a tourné une soixantaine de films dont "La tour de Nesle" d'Abel Gance, "Sénéchal le magnifique" de Jean Boyer, "Un témoin dans la ville" d' Edouard Molinaro, "Archimède le clochard" de Gilles Grangier, "Les Bonnes femmes" de Claude Chabrol qui en a fait l'un de ses personnages fétiches, séduit par son registre et sa personnalité extravertie.
En 1961, Jean Renoir l'a fait tourner dans "Le Caporal épinglé". Sacha Briquet qui a été l'un des grands amis de Marlene Dietrich, a été engagé aussi par Jean Girault, Philippe de Broca, Michel Deville, Costa-Gavras, Gérard Oury, Claude Miller, Jean-Marie Poiré...
Sacha Briquet fut aussi "monsieur travling" dans l'émission "L'Ile aux enfants" à la télévision. En 1995, il joue dans "Pédale douce" puis "Belle Maman" de Gabriel Aghion. Au théâtre, le comédien s'est illustré dans de nombreuses pièces à succès dont "Folle Amanda" de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy, et "La Puce à l'oreille" de Georges Feydeau. Il avait publié à la fin des années 70 un livre de souvenirs signé "Comédien, pourquoi pas ?"
jbtahiti
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Un acteur qui a vraiment bien évolué et qui a accepté de vieillir au cinéma, délaissant ses rôles de "beau gosse" des années 80 pour aborder des registres plus ambigus et sombres. J'ai eu beaucoup de mal avec lui à ses débuts, ses grands yeux clairs et son sourire carnassier me donnaient froid dans le dos, en revanche je l'ai toujours respecté pour son honnêteté intellectuelle et ses talents multiples.
SM12
SM12
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Giraudeau avait été excellent dans "Ridicule", dans le rôle de l'Abbé de Vilecourt, favori de la cour de Louis XVI (c'est d'ailleurs, superbe, la façon dont il se grille en faisant du zèle pour plaire au Roi), il avait frôlé le César du Meilleur Acteur pour un Second Rôle.
MC Jean Gab1
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Ça faisait des années qu'il était malade, donc bon…
Son cancer lui a vraiment mis du plomb dans la tête. Je me souviens d'un passage de lui dans "Ciel mon mardi" (fin des années 80), il était assez sec et nerveux et prêt à casser la gueule d'un mec qui disait ses quatre vérités dans un bouquin. En gros, le BG des "Spécialistes" avec Gérard Lanvin.
Je l'ai revu il y a un an chez Ruquier, il était hyper calme et posé. Il parlait de son bouquin, très bien écrit apparemment puisque Naulleau disait que c'était le meilleur qu'il ait lu depuis ses débuts chez Ruquier.

Encore un acteur qui n'a pas eu une carrière cinéma à la hauteur de son talent, comme Lanvin d'ailleurs.
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Putin ça fait chier !
J'adorais ce mec et la multitude de rôles qu'il avait interprété, sa prestation dans 'Une affaire de gout' m'avait beaucoup plu, et puis j'avais eu la chance de monter une de ses pièces (petits crimes conjugaux) programmée au theatre de ma ville ! Un type envoutant, assez froid de prime abord mais qui s'est détendu ensuite pour déconner avec toute l'équipe. Il semblait être un grand anxieux.

On perd encore un très grand !!

RIP
(Mythe)
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Le cancer a emporté Bernard Giraudeau

Atteint d'un cancer, il est mort ce samedi matin dans un hôpital parisien à l'âge de 63 ans. Retour sur le parcours de ce comédien, réalisateur, écrivain et bourlingueur.

Le comédien Bernard Giraudeau, qui souffrait d'un cancer depuis longtemps, est mort à 63 ans samedi matin à 7h00 dans un hôpital à Paris, a annoncé son agent.
Comédien, réalisateur, écrivain et bourlingueur, né à La Rochelle (Charentes-Maritimes) en 1947, il a joué avec brio les séducteurs romantiques de comédie et les héros tragiques, avant de passer à la réalisation et, avec succès, à l'écriture.
En plus de trente ans de carrière, l’acteur au sourire enchanteur et aux yeux clairs qui ne voulait pas être « un fonctionnaire de la pellicule », a cultivé nombre de passions : théâtre, cinéma, voyage, écriture, sport.
Fils de militaire, il s'engage à 15 ans dans la Marine nationale et fait deux fois le tour du monde à bord de la Jeanne d'Arc.
S'il exerce divers métiers aux Halles ou dans une agence de publicité, il commence le théâtre à La Rochelle à 20 ans. Il s'inscrit au Conservatoire de Paris, où il obtient un premier prix de comédie classique et moderne (1974). Il apparaît au côté de Jean Gabin en 1973 dans le polar de José Giovanni, "Deux hommes dans la ville", puis enchaîne dans son registre préféré, la comédie : "Et la tendresse, bordel ?" (1978), "Viens chez moi, j'habite chez une copine."
Capitaine séducteur dans "Passion d'amour" (1980), d'Ettore Scola, Bernard Giraudeau passe du héros romantique au loubard, justicier solitaire dans "Rue Barbare" (1983), qui le révèle au grand public.

Rôles de prélat poudré, patron pervers, psychopathe

Souvent comparé à Gérard Philipe, il démontre dans ces rôles plus dramatiques son extraordinaire capacité de métamorphose. Le flic alcoolique qu'il joue dans "Poussière d'ange" (1987), un polar crépusculaire d'Edouard Niermans, préfigure ses personnages antipathiques ou ambigus des années 90 : prélat poudré ("Ridicule"), patron pervers ("Une affaire de goût"), beauf homosexuel ("Gouttes d'eau sur pierres brûlantes"), psychopathe diabétique ("Ce jour-là").

Parallèlement, Giraudeau retourne sur les planches où il a débuté en 1971 à Paris avec Jacques Fabbri dans "Pauvre France". Réalisateur de deux longs-métrages ("L'Autre" en 1990 et "Les Caprices d'un fleuve" en 1996) et de documentaires, il mène aussi une carrière de romancier à succès avec "Le Marin à l'ancre" (2001), "Les Hommes à terre" (2004) et "Les femmes de nage" (2007).

Atteint d'un cancer du rein en 2000 puis du poumon cinq ans plus tard, il témoignait avec courage de sa vie avec la maladie.

Chevalier de la Légion d'honneur, Bernard Giraudeau a eu deux enfants de la comédienne Anny Duperey, Gaël et la comédienne Sara, qui a remporté le Molière 2007 de la révélation féminine théâtrale.

(Source AFP)
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Décès de Harvey Pekar, l'auteur du comic "American Splendor"

Harvey Pekar, auteur qui transforma sa morne vie en une série culte de bandes dessinées sur l'Amérique, est décédé à 70 ans à son domicile de Cleveland (Ohio, nord), a annoncé lundi la police.
Pekar, dont la série "American Splendor" inspira un film en 2003, a été retrouvé mort chez lui à Cleveland Heights, a dit à l'AFP un porte-parole de la police, qui a indiqué que les causes du décès n'étaient pas encore connues.
"Il va y avoir un rapport d'autopsie, mais il n'y avait rien de suspect", a précisé le porte-parole.
Les BD de Pekar relataient sa vie comme employé d'hôpital, avec foison de détails révélateurs de la nature humaine et de sa complexité.
Après avoir publié à compte d'auteur et établi une base solide de lecteurs assidus, il avait fini par être accepté officiellement dans le monde de l'édition.
Le film "American Splendor" avait été récompensé au festival de cinéma indépendant à Sundance.
Spurs9
Ace of Spades
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-- Marlo Stanfield a dit : Décès du comédien Pierre Maguelon Le comédien Pierre Maguelon, l'inspecteur Terrasson de la série culte Les Brigades du Tigre, est décédé ce samedi à Perpignan des suites d'une hémorragie cérébrale à l'âge de 76 ans, selon les informations d'Europe1. Né dans le Tarn, il a tourné avec Bunuel, Truffaut, Claude Sautet, Yves Robert ou encore Pierre Etaix. Il tourne en 1973 le premier épisode des Brigades du Tigre, série télévisée qui relate l'épopée des fameuses brigades mobiles créées par Clemenceau en 1912. Grand succès à la télévision, l'aventure durera jusqu'en 1982 avec une quarantaine d'épisodes. --


MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Décès du comédien Pierre Maguelon

Le comédien Pierre Maguelon, l'inspecteur Terrasson de la série culte Les Brigades du Tigre, est décédé ce samedi à Perpignan des suites d'une hémorragie cérébrale à l'âge de 76 ans, selon les informations d'Europe1. Né dans le Tarn, il a tourné avec Bunuel, Truffaut, Claude Sautet, Yves Robert ou encore Pierre Etaix. Il tourne en 1973 le premier épisode des Brigades du Tigre, série télévisée qui relate l'épopée des fameuses brigades mobiles créées par Clemenceau en 1912. Grand succès à la télévision, l'aventure durera jusqu'en 1982 avec une quarantaine d'épisodes.
Kobe # 24
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Les allemands ne lui ont pas pardonné son dernier prono..
RIP Paul



MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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L'acteur et réalisateur Laurent Terzieff est mort
LEMONDE.FR

Véritable légende du théâtre, l'acteur et metteur en scène Laurent Terzieff est mort vendredi soir à l'âge de 75 ans à l'hôpital de la Salpêtrière, "de complications pulmonaires" après avoir été "souffrant pendant plusieurs semaines", a annoncé samedi son agent, Alain Ichoux.

Indépendant, exigeant et discret, cet autodidacte du théâtre avait révélé des auteurs tels que Andreiev, Mrozek, Milosz et les anglo-saxons James Saunders, Murray Schisdal, Edward Albee. Lors de la 24e cérémonie des Molières, Laurent Terzieff, acteur incandescent au visage émacié, avait été sacré meilleur comédien pour son interprétation de "L'Habilleur", de Ronald Harwood et de "Philoctète", de Jean-Pierre Siméon. "J'ai toujours œuvré pour une mixité entre un certain théâtre privé et l'aide publique dont je dispose", a-t-il déclaré en recevant sa récompense, soulignant que "le théâtre ne se laisse pas enfermer dans des clivages et des étiquettes".

Né le 27 juin 1935 à Toulouse , d'une mère céramiste et d'un père sculpteur d'origine russe, Laurent Terzieff, de son vrai nom Laurent Tchemerzine, s'était consacré au théâtre après avoir vu, adolescent, "La Sonate des spectres" de Strinberg, mise en scène par Roger Blin, dont il sera le fils spirituel. Après avoir appris le métier "sur le tas" comme machiniste, souffleur, figurant, doublure, il débute en 1952, grâce à Jean-Marie Serreau, autre mentor, dans "Tous contre tous" d'Adamov. La beauté romantique de son visage émacié et de son regard clair auraient pu faire de lui un idéal jeune premier de cinéma, quand Marcel Carné le révèle à 23 ans dans "Les Tricheurs", peu après son succès de télévision dans l'émission "En votre âme et conscience". Bunuel, Clouzot, Godard, Pasolini lui confieront des rôles, mais Laurent Terzieff, épris d'absolu, ne cède pas aux sirènes de la starisation, et choisit le théâtre comme un sacerdoce. En 1961, il fonde la compagnie qui porte son nom, et qui sera hébergée dans les petits théâtres privés (Lutèce, La Bruyère, Lucernaire).

Là, il peut créer, loin des rumeurs et des engouements, les pièces inédites d'auteurs qu'il affectionne, comme Andréiev ("La Pensée", 1961), Schisgal ("Le Tigre et les dactylos", 1963), Albee ("Zoo Story", 1965), et Mrozek ("Tango", 1967), dont il créera plusieurs autres pièces dans les années 1970 et 1980. Il monte également de nombreux spectacles de poésie autour de Rilke, Brecht et Milosz, puis "Dernières lettres de Stalingrad" (2001), un réquisitoire contre la guerre. Acteur au jeu hors mode et d'une très grande sensibilité, - il avait notamment triomphé dans "Tête d'Or" chez Barrault et reçu de nombreuses récompenses : prix Gérard Philipe en 1964, Grand prix national du théâtre en 1984, et plusieurs Molière, pour deux pièces qui ont été de vifs succès publics : "Ce que voit Fox" (1988) et "Temps contre Temps" (1993). En 2002, il avait perdu sa compagne et partenaire de théâtre, Pascale de Boysson. Quelques mois plus tard, il était remonté seul en scène pour "Florilège", un spectacle poétique.
McGrady 4...
In Morey We trust !!!
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"L’acteur de La Fureur de Vivre s’est éteint


Acteur persécuteur de James Dean dans La Fureur de Vivre, réalisateur et producteur de télé, Corey Allen est décédé dimanche, deux jours avant son 76e anniversaire. Il serait mort de cause naturelle.

Après Dennis Hopper (mort le mois dernier), c’est un second grand nom du cinéma hollywoodien qui s’est éteint: Corey Allen. Révélé dans la Fureur de Vivre en 1955, où il donnait la réplique à James Dean et Nathalie Wood, le comédien est mort dimanche à 75 ans, dans sa maison d’Hollywood.

Diplômé en théâtre en 1954, Allen jouera dans une douzaine de films, dont Propriété Interdite, de Sidney Pollack, et dans quelques séries, comme Perry Mason et Alfred Hitchcock Présente.
Mais si Allen a marqué les Américains en tant qu’acteur, c’est avant tout le réalisateur et producteur télé qui a connu le succès.


Dans les 60’s, Corey Allen se lance dans la réalisation de fictions pour petit écran, comme Hawaï Police d’Etat, ou encore Star Treck: The Next Generation, Star Treck Deep Space Nine, Arabesque, Simon & Simon, Stone, Capitol, et réalise aussi un film catastrophes, Avalanche, en 1979

«Corey était un merveilleux metteur en scène, et ses acteurs l’adoraient», expliquait Rick Berman, l’un des producteurs de Star Treck.
Une cérémonie funéraire devrait avoir lieu le 18 juillet."
(Source Gala.fr)


Kobe # 24
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Ca fait 1an qu'il nous a quitté R.I.P M.J
Rodman
Expert arbitrage/blessure bidon
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-- Pharaon X a dit : Bon débarras! --

J'avais pas osé, mais +1.
Pharaon XIII
Take it!
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Bon débarras!
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Décès du général Bigeard

Ancien ministre, ancien député, grande figure, controversée, des guerres d'Algérie et d'Indochine, Marcel Bigeard s'est éteint ce vendredi matin à son domicile de Toul, en Meurthe-et-Moselle, à l'âge de 94 ans. Le général avait été hospitalisé à deux reprises, aux mois de mars et de mai pour une phlébite.
Parachuté dans l'Ariège en juillet 1944, il avait participé à tous les combats pour la Libération dans la région. Il est décédé le jour du 70e anniversaire de l'Appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle.
Décorations
Le général Bigeard, l'un des officiers généraux les plus décorés de l'armée française, avait été secrétaire d'Etat à la Défense dans les années 1970 et député de Meurthe-et-Moselle.
Combattant de la seconde guerre mondiale, des conflits d'Indochine et d'Algérie, son nom reste lié à la bataille de Dien Bien Phu. Parachuté avec son bataillon de parachutistes coloniaux sur le camp retranché encerclé par le Vietminh, Bigeard avait participé aux combats jusqu'à la chute, le 7 mai 1954, où il avait été fait prisonnier.
Il avait gravi tous les grades dans l'armée française, de simple soldat pour son service militaire à la veille de la guerre de 1939 à celui de général de corps d'armée (quatre étoiles).
Marcel Bigeard était notamment décoré de la grand'croix de la Légion d'honneur, de la Croix de guerre et de la Distinguished Service Order (GB). Il a publié une quinzaine d'ouvrages dont Pour une parcelle de gloire.
Sa réputation était entachée des soupçons de torture qu'il aurait pratiquée pendant la guerre d'Algérie.
Il s'était marié en janvier 1942 avec Gaby Grandemange, avec laquelle il avait eu une fille, Marie-France.
McGrady 4...
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-- Stringer Bell a dit :

Martine Sarcey : la voix de "Ma Sorcière Bien Aimée" s'est tue © Prisma Presse Son nom de vous dit peut-être rien, mais sa voix, elle, vous replongerait sûrement en enfance. Martine Sarcey a prêté sa voix au personnage de Samantha dans Ma Sorcière Bien Aimée mais aussi à Audrey Hepburn. Formée au conservatoire, Martine Sarcey, Rouchaud de son nom de jeune fille, a mené une carrière discrète mais prolifique, sur grand comme sur petit écran, mais aussi sur les planches. Vedette des séries La Porteuse de Pain (1973) et La Mort d'une Touriste (1975), elle joue aussi dans de nombreux films au cinéma. Des seconds rôles de femme mûre séduisante principalement. Dirigée entre autres par Louis Malle, Jean-Paul le Chanois, Yves Allégret ou Yves Robert, elle apparaît dans Un Eléphant Ca Trompe Enormément, avec Jean Rochefort, ou dans Un Moment D'Egarement, où elle tente de séduire Victor Lanoux, mais aussi dans L'Hôtel de la Plage (1978). En 1985, elle campe un proviseur strict mais touchant dans P.R.O.F.S, de Patrick Schulmann, avant de tenir l'affiche de La Maison Assassinée, La Maladie de Sachs ou encore L'Equipier (en 2004). Mais Martine Sarcey était avant tout une spécialiste du doublage, prêtant sa voix à Deborah Kerr, Barbara Steele, Natalie Wood, et bien sûr au personnage de Samantha dans Ma Sorcière Bien Aimée. Une voix à travers laquelle on pouvait percevoir la joie de vivre de la comédienne, une voix pétillante et malicieuse. Dans les 90 s, l'actrice apparaît principalement à la télévision, et notamment dans quelques séries comme Maigret ou Docteur Sylvestre. Dernièrement, elle figurait même dans la saison 3 d'Engrenages, dans le rôle de la mère du jeune Roban. En 2004, elle avait reçu le Molière de la comédienne dans un second rôle pour la pièce L'Inscription, de Gérald Sibleyras.



Du Juge Roban.
MC Jean Gab1
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Martine Sarcey : la voix de "Ma Sorcière Bien Aimée" s'est tue
© Prisma Presse

Son nom de vous dit peut-être rien, mais sa voix, elle, vous replongerait sûrement en enfance. Martine Sarcey a prêté sa voix au personnage de Samantha dans Ma Sorcière Bien Aimée mais aussi à Audrey Hepburn.
Formée au conservatoire, Martine Sarcey, Rouchaud de son nom de jeune fille, a mené une carrière discrète mais prolifique, sur grand comme sur petit écran, mais aussi sur les planches.
Vedette des séries La Porteuse de Pain (1973) et La Mort d'une Touriste (1975), elle joue aussi dans de nombreux films au cinéma. Des seconds rôles de femme mûre séduisante principalement. Dirigée entre autres par Louis Malle, Jean-Paul le Chanois, Yves Allégret ou Yves Robert, elle apparaît dans Un Eléphant Ca Trompe Enormément, avec Jean Rochefort, ou dans Un Moment D'Egarement, où elle tente de séduire Victor Lanoux, mais aussi dans L'Hôtel de la Plage (1978). En 1985, elle campe un proviseur strict mais touchant dans P.R.O.F.S, de Patrick Schulmann, avant de tenir l'affiche de La Maison Assassinée, La Maladie de Sachs ou encore L'Equipier (en 2004). Mais Martine Sarcey était avant tout une spécialiste du doublage, prêtant sa voix à Deborah Kerr, Barbara Steele, Natalie Wood, et bien sûr au personnage de Samantha dans Ma Sorcière Bien Aimée.
Une voix à travers laquelle on pouvait percevoir la joie de vivre de la comédienne, une voix pétillante et malicieuse.
Dans les 90 s, l'actrice apparaît principalement à la télévision, et notamment dans quelques séries comme Maigret ou Docteur Sylvestre. Dernièrement, elle figurait même dans la saison 3 d'Engrenages, dans le rôle de la mère du jeune Roban. En 2004, elle avait reçu le Molière de la comédienne dans un second rôle pour la pièce L'Inscription, de Gérald Sibleyras.
PEPS
tradamus
(Légende)
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-- Stringer Bell a dit : Elle avait également participé dans les années 1980 à la célèbre série de TF1 "Marc et Sophie".--

Une des séries qui avec Maggy a marqué ma jeunesse
MC Jean Gab1
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Décès de l'actrice Ginette Garcin à l'âge de 82 ans

Selon le site de France 3, Ginette Garcin, l'une des actrices principales de la série "Famille d'Accueil", est décédée à l'âge de 82 ans. Elle interprétait le rôle de Tante Jeanne et elle était encore il y a à peine trois semaines sur les plateaux de tournage de la nouvelle saison.
Elle était née à Marseille en 1928 et avait débuté sa carrière dans le grand orchestre de Jacques Hélian.
Elle avait également participé dans les années 1980 à la célèbre série de TF1 "Marc et Sophie".
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
ah merde, j'aimais bien son taffe. Y avait eu une belle expo à Beaubourg y a 2 ou 3 ans.

e.
MC Jean Gab1
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Louise Bourgeois : la «femme-araignée» a cessé de tisser sa toile
03 juin 2010

L'artiste française Louise Bourgeois (1911-2010) est décédée presque centenaire le 31 mai 2010 à New-York. En marge des courants artistiques, elle a développé une œuvre cathartique, basée sur ses souvenirs d'enfance et ses peurs.

L'artiste française, Louise Bourgeois, est décédée presque centenaire le 31 mai 2010 à New-York, où elle vivait depuis la fin des années 1930. Mariée à l'historien de l'art Robert Golwater, connu pour ses travaux sur le «primitivisme» dans l'art moderne, Louise Bourgeois a toujours travaillé en marge des courants artistiques et développé une œuvre cathartique, basée sur ses souvenirs d'enfance et ses peurs.
La figure de l'araignée y est récurrente. Symbole rassurant de sa mère, dont le métier consistait à restaurer des tapisseries anciennes, elle illustre également l'obsession de l'artiste: réparer métaphoriquement les blessures du passé.
Louise Bourgeois a expérimenté tous les types de techniques. Élève de Fernand Léger dans les années 1930 à Paris, elle exécute ses premiers dessins et peintures. Puis, à partir de 1949, ses sculptures en bois, marbre ou bronze, témoignent de son lien avec le Surréalisme pour son goût de la métamorphose, de l'érotisme et de l'incongru.
Le thème du refuge, qu'elle a décliné tout au long de sa production, l'a conduite à partir des années 1990 à inventer un type inédit d'installation: les «cellules», sorte de pièces closes habitées d'objets personnels.
Quelques rétrospectives et un Lion d'Or à la Biennale de Venise en 1999 l'ont tardivement consacrée comme une artiste majeure du XXe siècle. Aujourd'hui, certaines artistes féministes se réclament volontiers de son influence.
i33

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-- Bunk Moreland a dit : Conrad Bain - M. Drummond dans "Arnold et Willy" - est toujours vivant 87 ans --

C'est un vampire. Il pompe l'énergie vitale des autres...
MC Jean Gab1
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Le batteur des Girls in Hawaï est décédé

Le batteur des Girls in Hawaï est décédé suite à un accident de la route à Bruxelles. Selon le quotidien Le Soir, Denis Wielemans, âgé de 27 ans, a perdu le contrôle de sa voiture, à l'entrée du tunnel Madou, où il a percuté un feu de signalisation. Aucune autre voiture n'a été impliquée dans l'accident, qui s'est produit vers 6 heures du matin.
MC Jean Gab1
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Conrad Bain - M. Drummond dans "Arnold et Willy" - est toujours vivant 87 ans
Ju

(Reconnu)
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-- Bunk Moreland a dit : -- Ju a dit : Dennis Hopper... On s'y attendait mais ça fait quand même un choc. J'ai vraiment de très nombreux souvenirs de cinéma avec lui... -- Jamais accroché. Il jouait beaucoup sur son regard bleu pénétrant et son air inquiétant mais je n'ai jamais été scié... Les dernières photos de lui faisant 45 kg font peur quand même, surtout quand on se souvient du méchant qu'il incarnait il y a "seulement" 8 ans dans la saison 1 de 24 heures chrono. --

Oui les images quand il reçoit son étoile sur le Hollywood Boulevard sont assez dures à encaisser...24 je m'en souviens aussi, et même sans aller jusqu'à là je me rappelle de lui dans Land of the dead de Romero en 2005 où il a encore à peu près la forme.
Moi j'appréciais l'acteur, je lui trouvais un vrai charisme. Le fait qu'il soit associé à de nombreux films qui font partie de ma culture ciné joue beaucoup évidemment. Bon après il a tourné dans à peu près tout et n'importe quoi et a abusé des rôles de grands méchants, mais je préfère oublier ça et me rappeler de ses meilleurs rôles...

Libé avait publié un article sur lui au début du mois, disponible sur ecrans.fr:
http://www.ecrans.fr/Dennis-Hopper-class,9842.html
MC Jean Gab1
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