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Cinéma

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MC Jean Gab1
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Il envoie du lourd, le film d'Abel Ferrara sur DSK
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Jurassic World : le tournage débute pour Omar Sy

Omar Sy vient de commencer le tournage de Jurassic World et le fait savoir. L’acteur français vient de publier une photo sur son compte Twitter.
Jurassic World, quatrième volet de la franchise Jurassic Park lancée en 1993 par Steven Spielberg, a débuté son tournage à Hawaï il y a maintenant une dizaine de jours. Et on le sait depuis le mois de mars : Omar Sy fait partie du casting et, après les X-Men, devra donc se confronter aux terribles dinosaures.

L’acteur français vient de commencer à tourner, comme l’indique son compte Twitter où la photo d’une chaise a été postée. Sur le dossier on y découvre le nom du comédien dans le logo de la saga. Si aucune d’information n’avait filtré sur son rôle, Colin Trevorrow, réalisateur du film, nous dévoile quelques indices "Il interprète le meilleur ami du personnage de Chris Pratt. Ils travaillent ensemble et partagent plusieurs scènes d’action. Je voulais créer une relation forte entre les deux et qui pourrait se poursuivre dans les prochains films".



Si succès il y a, suites il y aura donc "Nous avons effectivement beaucoup discuté des prochains épisodes. Nous voulons créer une histoire qui pourrait s’étendre sur plusieurs volets". L’avenir d’Omar Sy à Hollywood semble tout tracé. Mais avant ça, nous pourrons le voir dans X-Men : Days of Future Past dans le rôle de Lucas Bishop, le 21 mai prochain.

Jurassic World, qui se déroulera 22 ans après les événements de Jurassic Park, débarquera dans les salles françaises le 10 juin 2015.
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Beaman a dit :
jbtahiti a dit : Est-ce que l’info qui dit que ce “Selfie” est en fait une opération de promo rétribuée par Samsung est exacte ?
Exactement. Samsung sponsorisait l’événement et toutes les photos prises et envoyése lors de cet événement devaient se faite via un samsung bien évidemment fournit par le constructeur.

enfin en même temps 95% des personnes qui ont retweeté la photo n'ont pas vu la pub pour Samsung
Beaman
Houston fait peur !!
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jbtahiti a dit : Est-ce que l’info qui dit que ce “Selfie” est en fait une opération de promo rétribuée par Samsung est exacte ?



Exactement.
Samsung sponsorisait l’événement et toutes les photos prises et envoyése lors de cet événement devaient se faite via un samsung bien évidemment fournit par le constructeur.
jbtahiti
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Est-ce que l’info qui dit que ce “Selfie” est en fait une opération de promo rétribuée par Samsung est exacte ?
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MC Jean Gab1 a dit :

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Que fait Paul-Georges Ntep sur cette photo?
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Oscars : le « selfie » de tous les records
Le Monde.fr avec AFP et AP | 03.03.2014 à 08h24 • Mis à jour le 03.03.2014 à 09h01

Ce « selfie » réunissant des stars d'Hollywood et réalisé dimanche lors de la cérémonie des Oscars, est devenu l'image la plus « retweetée » de l'histoire, devant la photo phare de la réélection de Barack Obama.
Pris à l'initiative de l'animatrice Ellen DeGeneres, il rassemble dans un cadre très serré les acteurs Kevin Spacey, Bradley Cooper, Channing Tatum, Jared Leto, Brad Pitt ou encore Angelina Jolie, tous hilares. Plus de 2 millions de comptes Twitter l'ont relayé.
Jusqu'alors, le post le plus populaire du réseau social, avec plus de 800 000 « retweets », datait du 6 novembre 2012 et du « Quatre ans de plus » envoyé par le président américain fraîchement réélu. La phrase était accompagnée d'une photo montrant Barack Obama enlaçant sa femme Michelle.

« ON EST ENTRÉS DANS L'HISTOIRE ! »
« Si le bras de Bradley Cooper avait pu être plus long. Meilleure photo de tous les temps », écrit en guise de légende la comédienne et maîtresse de cérémonie Ellen DeGeneres, qui a encouragé le public à diffuser immédiatement cette photo. Quelques dizaines de minutes plus tard, elle pouvait pavoiser sur la scène du Dolby Theater : « On a reçu un courriel de Twitter. On a fait exploser Twitter, on est entrés dans l'histoire ! »
Le réseau social a confirmé, en un tweet comme il se doit, que le record avait bien été battu : « C'est désormais le tweet le plus retweeté avec plus de 1 million de RT. Bravo ! » Le site a aussi présenté des excuses pour avoir été indisponible pendant une vingtaine de minutes aux alentours de 22 heures, heure de la côte est (4 heures du matin, à Paris).
Aussitôt publiée, aussitôt parodiée, l'image a été immédiatement détournée par les internautes. Le selfie est devenu, entre autres, une photo de groupe où toutes les stars ont la tête de Kevin Spacey, où celle de Bradley Cooper est remplacée par le maire à scandale de Toronto, Rob Ford. Dans un autre encore, c'est une tête de lion en peluche qui s'immisce dans le groupe.
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Lady M
TP fan :)
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les français qui gagne le court métrage d'animation devant un Disney oua
Lady M
TP fan :)
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Jared Leto super favori qui gagne l'oscar du 2d role logique
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Oscars : DiCaprio, McConaughey et Blanchett favoris
V.F. | 2 mars 2014, 10h33 | MAJ : 14h34

Les votes sont clos et Hollywood n'a plus qu'à s'armer de patience avant la 86e cérémonie des Oscars dimanche soir, l'une des plus ouvertes de l'histoire, avec trois prétendants sérieux à la statuette du meilleur film. Si «12 Years A Slave» (neuf nominations) semble bénéficier d'une légère avance chez les pronostiqueurs, il est talonné de très près par «Gravity» (dix nominations). Mais pour ne pas avoir à les départager, les votants pourraient finalement opter pour «American Bluff» (dix nominations).

Côté comédiens, Cate Blanchett part favorite pour l'Oscar de la meilleure actrice pour «Blue Jasmine. La course est plus ouverte pour la statuette masculine avec trois sérieux candidats: Matthew McConaughey («Dallas Buyers Club»), Chiwetel Ejiofor («12 years a slave») et Leonardo DiCaprio («Le loup de Wall Street»).

Les seconds rôles pourraient revenir à la Mexicano-kényane Lupita Nyong'o, esclave martyrisée dans «12 Years A Slave», ou à Jennifer Lawrence, irrésistible femme au foyer dans «American Bluff». Jared Leto, poignant transsexuel dans «Dallas Buyers Club», a remporté tous les prix de la saison et devrait d'imposer sans peine face à Barkhad Abdi («Capitaine Phillips») et Jonah Hill, qui crève pourtant l'écran dans «Le loup de Wall Street».

Plusieurs Français brigueront une place au palmarès: Julie Delpy (scénario adapté), Alexandre Desplat (musique originale), Philippe Le Sourd et Bruno Delbonnel (photographie). Les long et court métrages d'animation «Ernest et Célestine» et «Mr Hublot» seront également en lice. Mais la bonne surprise française pourrait venir du court métrage de Xavier Legrand «Avant que de tout perdre», multi-primé sur le circuit international et porté par un excellent bouche à oreille.
SM12
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Par contre, la réalisation de Canal +, bof, enfin surtout sur le choix des images montrées en début de soirée ... Au début de la cérémonie, j'ai bien compté une chose: le nombre de plans de Julie Gayet. Sur les 30 premières minutes, on a eu 5 plans de son visage, et surtout, à des moments où ces plans étaient injustifiés (généralement quand une personne reçoit une récompense, on filme les personnes auxquelles elle fait référence dans ses remerciements, on filme l'équipe qui a conçu le long-métrage, éventuellement quelques acteurs connus etc.).


C'est bien simple: hier soir, les personnes du public que l'on a le plus vues à l'écran était Guillaume Gallienne (grand vainqueur de la soirée avec son film), Bérénice Béjo (qui était très belle), Scarlett Johansson (qui s'ennuyait en souriant, mais sur laquelle la caméra s'est parfois attardée car elle a eu un César d'Honneur), et Julie Gayet.
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+1 elle était bien.
SM12
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Cécile de France, elle s'en est plutôt bien sortie hier soir. Le ton changeait un peu par rapport à ce que proposait généralement Antoine de Caunes, et en prenant en compte le public frigide qu'elle avait devant elle, le résultat était correct.
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Cécile de France la boulette

http://www.programme-tv.net/news/cinema/49316-grosse-boulette-cecile-france-confond-adele-seydou/
jbtahiti
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Vu Happiness Therapy hier soir.

D'emblée la volonté du réalisateur de faire passer sa comédie romantique pour une production indépendante saute au yeux. On se situe entre 500 jours ensemble pour la spontanéité et Juno pour l'acidité.
Sauf qu'on a pas le droit ici à des seconds couteaux, mais à une distribution prestigieuse et cohérente. Le choix de Bradley Cooper pour jouer le personnage bipolaire fait mouche. Son regard bleu acier et naturellement halluciné, son énergie et sa sensibilité finissent par convaincre. Jennifer Lawrence est elle une actrice paradoxale. Elle est très jeune mais semble davantage s'épanouir dans des rôles de trentenaires, et sa bonhommie qui évoque une jeune Renée Zellweger semble cacher une détermination et une intelligence qui vont l'abonner pendant encore quelques années à la cérémonie des Oscars.

Comme dans toutes les comédies indés à succès, l'action prend place dans une banlieue pas rose à tendance morose et présente des personnages forcément abîmés et prisonniers de leur condition, mais qui finiront par y échapper grâce à l'appui de la sacro-sainte cellule familiale (spécialité US). Le film présente quelques très belles scènes (celle très marrante du dîner, celles très malines du footing, entre autre) mais parait trop souvent bancale à hésiter entre le sérieux et la parodie, la comédie amère et le feel good movie. Aussi, Russell qui brouille les cartes dès le début et introduit des personnages déroutants qu'il va faire s'entrechoquer, fini par ne plus provoquer d'étincelles dès lors qu'il va ramener son film sur le tracé beaucoup plus conventionnel de la comédie romantique US traditionnelle.

Au final, il reste le jeu des acteurs principaux et de quelques seconds rôles, quelques bonnes idées de mise en scène et de mise en situation, mais un goût d'inachevé et de tromperie qui peut clairement agacer.
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Finalement ce fut "le vent se lève", pas formidable mais la distraction été ailleurs en effet
MC Jean Gab1
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Toujours en tête la scène de "Amarcord" où un ado fouille la culotte de sa voisine pendant le film. Elle se tourne vers lui et lui demande : "Tu cherches quelque chose ?"

Sinon, y'a un film où une nana n'arrête pas de piocher dans son cornet de pop-corn et dans celui de son voisin. Sauf que le gars finit par pisser dedans en profitant de son inattention Quand elle bouffe du pop-corn à l'urine, elle lui dit "T'es dégueulasse" et elle quitte la séance
MC Jean Gab1
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Anonyme a dit : Houla c'est mort ici... Vous conseillerai quoi comme film en ce moment pour un rencard . Non plus sérieusement il y a quoi de bien dernièrement ?


"Le loup de Wall Street" est toujours à l'affiche. Sinon

"Minuscule" si t'aimes les docs
"12 years a slave" si t'aimes l'histoire
"Jack et la mécanique du cœur" si t'aimes l'aventure et l'animation
"Robocop" si t'aimes l'action
"The Ryan initiative" si t'aimes les thrillers
"American Bluff" pareil
"Mea culpa" si t'aimes le cinéma français
"Le manoir magique" si t'aimes l'animation
"La reine des neiges" idem

Est-ce si important, le choix du film ? Tu seras peut-être occupé pendant la séance
MC Jean Gab1
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Un rapport médical de 1993 disculpe Woody Allen d'agression sexuelle envers sa fille adoptive

Le site de Radar Online vient de publier un document datant de 1993 qui disculpe Woody Allen après les accusations de sa fille adoptive d'abus sexuel.
Sur ce rapport médical, datant du 17 mars 1993 et rédigé à l'ordre de l'hôpital Yale-New Haven, on peut notamment lire:
«Selon notre avis expert, Dylan n'a pas été sexuellement abusée par M. Allen. Nous estimons que ses déclarations, pendant l'évaluation psychologique, ne se réfèrent pas aux événements réels qui lui sont arrivés le 4 août 1992».
Et évoque le comportement de Dylan Farrow. Notamment «Il y avait beaucoup d'irrégularités entre les déclarations vidéos de Dylan et celles qu'elle a faites en face de nous.», ou encore «Elle rencontrait des difficultés pour décrire les atouchements.», «Elle a raconté l'histoire d'une manière exagérément réfléchie et contrôlée. Il n'y avait aucune spontanéité dans ses déclarations et elle avait une manière de raconter l'histoire comme si elle l'avait répétée.»,
«Ses descriptions des détails concernant des événements présumés étaient atypiques et contradictoires.»
Dans le rapport médical, les experts expliquent: «Nous pouvons conclure que Dylan n'a pas été agressée sexuellement, mais nous ne pouvons pas être définitifs sur les raisons de son accusation envers M. Allen: est-ce parce que c'est une enfant vulnérable qui a grandi dans une famille perturbée ou est-ce parce que Dylan a été influencée par sa mère. Nous pensons que c'est une combinaison de ces deux formulations.»
JMM.com
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Houla c'est mort ici...
Vous conseillerai quoi comme film en ce moment pour un rencard . Non plus sérieusement il y a quoi de bien dernièrement ?

MC Jean Gab1
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C'est moi ou il y a un film avec Mark Wahlberg qui sort tous les trois mois ?
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a ba cool il passe ce soir à la télé
jbtahiti
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A ceux qui ne l'ont pas vu, je recommande chaudement le film Margin Call de JC Chandor. Grande réussite.
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Le réalisateur Edouard Molinaro est décédé à l'âge de 85 ans

Le réalisateur Edouard Molinaro est décédé, aujourd'hui, à l'âge de 85 ans, selon Le Point. Au cours de sa carrière, il a réalisé plus d'une trentaine de longs métrages comme "L'Emmerdeur", "Oscar" avec De Funès, "Hibernatus", "A gauche en sortant de l'ascenseur" avec Pierre Richard, ou encore les deux premiers épisodes de "La Cage au folles". Pour la télévision, Edouard Molinaro avait notamment réalisé "Un homme par hasard", avec Frédéric Diefenthal et Claire Keim, ou encore "Une famille pas comme les autres", avec Line Renaud et Guy Bedos.
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The Number 9 a dit : Je l'ai vu hier. Et pas vraiment convaincu honnêtement. Ok, il est vraiment joli (le début avec la vision de la terre, ... tu crois limite y être dans l'espace). Mais très vite ça devient convenu, l'intrigue est naze (si on peut considérer qu'elle existe), je ne suis pas fan de Bullock, ... 1h30 mais il ne faut pas beaucoup plus parce que tu finis vite par t'ennuyer Bon, la 3d rend vraiment bien et encore une fois, les images sont parfois magnifiques. Mais c'est à peu près tout.

Rien à ajouter, les effets spéciaux et la 3D n'empêche pas de trouver le temps long
Bullock fait du saute moutons dans les différentes stations spatiales, bof.. heureusement que l'Inde n'a pas encore la sienne sinon on aurait subi 15 minutes d'ennui supplémentaires
Perso j'aurais bien aimé une fin un peu humoristique du genre elle se fait dévorer par un crocodile géant sur la plage (après toutes ces péripéties, quelle mort idiote) ou bien que son spoutnik atterrisse sur un trampoline qui la renvoie aussi sec dans le cosmos !
Wormy
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MC Jean Gab1 a dit :
Wormy a dit : Et pour la "force évocatrice", c'est certes très intéressant dans beaucoup de films, mais ici ce qui compte, et qui est suffisamment évocateur, c'est l'immersion sensorielle et psychologique, la tension, l'urgence, la sensation de panique voire même de claustrophobie dans un espace pourtant infini, le désespoir, le chaos presque silencieux, bref, ce qu'on pourrait tous ressentir dans une telle situation.
+1 Mais c'est là que le choix de Bullock se révèle décevant. Elle ne joue pas sur toute la gamme des émotions et propose finalement une interprétation assez incolore. Elle devrait envoyer du lourd (jubilation, crise de désespoir, crise de nerfs, etc.) et elle se contente du service minimum. A supposer qu'elle puisse faire plus


Moi je trouve Bullock plutôt convaincante même si effectivement elle ne visite pas la galerie complète des émotions. On peut trouver qu'elle est inexpressive, mais ce n'est pas mon avis. Je trouve qu'elle est plutôt juste, même. Peut-être plus que si elle avait joué les montagnes russes émotionnelles que l'on attendrais, j'ai envie de dire.

Tout simplement parce que je me dis que dans une telle situation, Tu ne peux pas te permettre de flancher, de te laisser aller à tes émotions. Tu dois à tout prix canaliser pour pouvoir essayer de t'en sortir sans cramer le peu d'oxygène qui te reste. T'as pas le choix, ni le temps.
Une explosion émotionnelle qui partirait dans tous les sens semblerait presque incongrue, trop artificielle même si beaucoup plus cinématographique. Là, je trouve qu'on est dans une forme de subtilité de ce point de vue. Tout se joue dans les changements de respiration de Bullock, le stress plus ou moins présent dans sa voix, etc... Et c'est à mon sens tout aussi efficace et presque plus intéressant qu'un classique et attendu grand huit des émotions.

Par ailleurs, il ne faut pas oublier que Bullock n'est pas la seule responsable de cet aspect de son jeu. Le réal a écrit le scénar et dirigé son actrice dans ce sens là aussi. Donc bon, pas sûr non plus qu'une autre actrice aurait fait différemment. C'est un parti pris général du film. On peut le regretter ou pas, mais ce n'est pas qu'une question d'actrice.

MC Jean Gab1 a dit :Quand tu as vu Claire Danes, par exemple, jouer l'hystérie et le désespoir, tu ne peux pas te satisfaire d'un truc aussi neutre.



J'apprécie le bon mot
Wormy
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MC Jean Gab1 a dit :
Wormy a dit : on est plongés dans la psychologie du personnage principal
Pas tant que ça. Du coup, le drame qu'elle a vécu semble juste être un gadget scénaristique exploité pour ramener Clooney et faire verser sa larme à Sandra quand tout semble perdu.


T'as pas tort, le traumatisme passé du personnage est assez mal exploité. Maintenant, je parlais plus de la psychologie immédiate, celle liée directement aux évènements du film, le stress, la panique, la lutte pour tenter de s'en sortir. Et là-dessus, je trouve qu'on est bien dedans. Indépendamment du jeu d'acteur de Bullock, qu'on peut trouver pas assez expressif ou varié (j'y reviens après)

MC Jean Gab1 a dit : D'ailleurs, en parlant d'émotion, le sacrifice de Nespresso, what else est totalement bâclé. Ça devrait te fendre le cœur et non, c'est tout juste si on y croit. Je veux dire qu'au moment où George se détache, tu ne crois pas que le personnage va disparaître. Ce moment aurait dû être très poignant et il ne l'est pas. Fallait prendre exemple sur Bruce Willis dans "Armaggedon"


Oui, là-dessus, je dois dire que ce n'est pas un sommet d'émotion. C'est vrai que dès qu'on sort de l'urgence et du chaos, le film faiblit un peu dans la mise en scène de l'émotion...
MC Jean Gab1
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Wormy a dit : Et pour la "force évocatrice", c'est certes très intéressant dans beaucoup de films, mais ici ce qui compte, et qui est suffisamment évocateur, c'est l'immersion sensorielle et psychologique, la tension, l'urgence, la sensation de panique voire même de claustrophobie dans un espace pourtant infini, le désespoir, le chaos presque silencieux, bref, ce qu'on pourrait tous ressentir dans une telle situation.


+1

Mais c'est là que le choix de Bullock se révèle décevant. Elle ne joue pas sur toute la gamme des émotions et propose finalement une interprétation assez incolore. Elle devrait envoyer du lourd (jubilation, crise de désespoir, crise de nerfs, etc.) et elle se contente du service minimum. A supposer qu'elle puisse faire plus
Quand tu as vu Claire Danes, par exemple, jouer l'hystérie et le désespoir, tu ne peux pas te satisfaire d'un truc aussi neutre.
MC Jean Gab1
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Wormy a dit : on est plongés dans la psychologie du personnage principal


Pas tant que ça. Du coup, le drame qu'elle a vécu semble juste être un gadget scénaristique exploité pour ramener Clooney et faire verser sa larme à Sandra quand tout semble perdu.

D'ailleurs, en parlant d'émotion, le sacrifice de Nespresso, what else est totalement bâclé. Ça devrait te fendre le cœur et non, c'est tout juste si on y croit. Je veux dire qu'au moment où George se détache, tu ne crois pas que le personnage va disparaître. Ce moment aurait dû être très poignant et il ne l'est pas.

Fallait prendre exemple sur Bruce Willis dans "Armaggedon"
MC Jean Gab1
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Wormy a dit : Le travail du son est également particulièrement réussi et participe grandement à l'immersion du spectateur


+1 sauf pour la musique. Les envolées symphoniques sont parfois assez lourdingues…
MC Jean Gab1
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J'ai enfin vu "Gravity" ce soir aux Halles avant qu'il ne disparaisse, 11 péquenots à la séance de 22h35

Pas le chef-d'œuvre annoncé, une intrigue hyper convenue en effet (l'apparition mystique de Clooney pour effacer le coup de mou de l'héroïne a dû être piochée dans le playbook du scénariste débutant), on connaît d'avance la fin mais ça méritait d'être vu pour la claque visuelle. On s'y croit vraiment et avec la 3D, on a parfois l'impression d'être à 1 mètre des personnages. Une bonne petite soirée à l'arrivée
MC Jean Gab1
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« Les Tontons flingueurs » fêtent leurs 50 ans
09/11 | 15:26

Le long métrage de Georges Lautner est sorti en salle en novembre 1963. Deux livres consacrés au film sortent la semaine prochaine.

Lulu la Nantaise, l’homme de la Pampa, les frères Volfoni, et la scène de la cuisine : « Les Tontons flingueurs » ont 50 ans, et une cote d’amour intacte nourrie par ses répliques culte.
Le long métrage de Georges Lautner, sur une musique tout aussi culte signée Michel Magne, est sorti le 27 novembre 1963, attirant plus de 3,3 millions de spectateurs en salles. Un succès mais pas un triomphe face notamment à « La cuisine au beurre » ou « Mélodie en sous-sol ».
Depuis, « Les Tontons flingueurs », avec les inoubliables Lino Ventura, Francis Blanche, Bernard Blier, Jean Lefebvre ou encore Robert Dalban, ont fait les beaux jours de la télévision, puisque le film a été diffusé 16 fois sur le petit écran, sans émousser le plaisir des télespectateurs. Lors de sa dernière rediffusion par France 2 le 2 décembre 2012, il a même réussi à griller sur le fil la priorité à « Taxi 3 » avec un peu plus de 5 millions de téléspectateurs et une part d’audience de 20,2%.

« Grisbi or not grisbi »
Pour ce cinquantenaire, pas de ressortie en salles, mais un festival à Nantes (sans Georges Lautner malade), un coffret collector en édition limitée et numérotée édité par Gaumont, le 27 novembre, comprenant notamment le scénario original du film et autres compléments de circonstance.
La liste des livres consacrés au film s’allonge, le 14 novembre, avec deux nouveaux opus, à commencer par « Audiard en toutes lettres », de Philippe Durant, consacré au dialoguiste et coscénariste des Tontons. Le film a été écrit avec Lautner et Albert Simonin dont le roman « Grisbi or not grisbi » est le point de départ de l’histoire.

« Comme Les Bronzés »
« Je n’ai jamais compris le miracle des "Tontons flingueurs" à travers les âges », a dit le cinéaste cité par Philippe Lombard, auteur pour sa part de « L’univers des Tontons flingueurs » (éditions First).
Comment expliquer une telle longévité et une telle affection du public? « Un bon scénario, de bons dialogues, une excellente mise en scène, des acteurs au top de leur forme et un film qui correspond à une époque. C’est ça qu’on aime bien dans le film, c’est retrouver les années 60 », résume Philippe Durant. D’ailleurs, selon lui, « si on faisait un remake aujourd’hui cela ne marcherait pas du tout ». Pour Philippe Lombard, « cela relève de l’affectif et comme Blier le dit dans le film "c’est toute une époque" ».
« Pourquoi la scène de la cuisine est aussi culte ? C’est parce qu’on est assis avec eux, on mange avec eux, on fait nos sandwiches avec eux, on les écoute. Ce sont nos potes », relève encore Philippe Durant. « La magie du film et de Lautner est d’avoir vraiment intégré le spectateur à cette bande de fous. C’est le même phénomène que pour les Bronzés », selon Philippe Durant.

Enfermé dans ce succès
Michel Audiard s’agaçait qu’on lui parle des Tontons. « Il n’avait pas envie d’être réduit au fabricant de la scène de la cuisine. Il avait d’autres ambitions », souligne Philippe Durant. « 50 ans plus tard, on commence enfin à reconnaître que c’était un auteur et pas seulement un auteur de bons mots », dit-il encore.
« Grisbi or not grisbi » était le troisième volet d’une trilogie signée Simonin commencée avec « Touchez pas au grisbi » et « Le cave se rebiffe », dont le héros était campé par Jean Gabin. L’acteur aurait dû tourner dans le troisième volet mais voilà, lui et Audiard étaient en froid depuis « Mélodie en sous-sol ». De plus, Gabin voulait tourner avec son équipe ce que refusa Lautner, alors jeune réalisateur, qui voulait la sienne.
Autres anecdotes racontées par Philippe Lombard : la scène de la cuisine a été tournée dans une vraie cuisine d’une maison, à Rueil-Malmaison. Quant à Mme Reine, évoquée dans le film, c’est une référence à une tenancière de maison close dont le nom est souvent revenu sous la plume de Simonin.
Source AFP
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Wormy
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J'ai personnellement beaucoup aimé Gravity !

C'est visuellement époustouflant, déjà, une vraie claque, et rien que pour ça, le film vaut le coup d'être vu. Le travail du son est également particulièrement réussi et participe grandement à l'immersion du spectateur.

Ensuite, le scénar' a beau être "léger", il n'en reste pas moins que la tension est permanente ou presque. C'est un peu comme Open Water, pour ceux qui l'ont vu (un couple de vacanciers oubliés au milieu de l'océan lors d'une sortie plongée). En ce qui me concerne, j'aime les films avec une scénario dense, mais un film avec un scénar léger mais efficace peut tout aussi bien être digne d'intérêt.
D'autant qu'au delà de l'action elle-même, il y a d'autres choses dans Gravity, on est plongés dans la psychologie du personnage principal. Et ce n'est pas forcément le côté "renaissance d'une âme brisée" qui est le plus intéressant, mais bien plus les différentes phases par lesquelles elle passe dans cette situation extrême. Après, j'entends les critiques, mais personnellement, ça ne m'a absolument pas dérangé.

La performance de Bullock m'a paru tout à fait convaincante, et pourtant je ne suis pas un fan de cette actrice. A savoir d'ailleurs qu'avant que ce soit elle, le rôle a été proposé à plusieurs actrices, dont Nathalie Portman. Elle n'était pas le premier choix, mais elle fait très bien l'affaire.

Enfin, pour ce qui est des comparaisons avec 2001 ou Solaris, elle n'ont à mon sens absolument pas lieu d'être. Désolé jb, mais contrairement à ce que tu dis, on n'est pas dut tout dans le même genre cinématographique. On n'est ici absolument pas dans de la SF. Le fait que cela se déroule dans l'espace ne change rien à ça. On est dans un cadre réaliste, cette situation pourrait tout à fait arriver actuellement. Quelques libertés sont prises avec le réalisme en ce qui concerne la façon dont le personnage trouve des refuges successifs, mais il n'y a aucune incursion du surnaturel ou d'anticipation technologique dans ce film.
Ensuite, Solaris joue beaucoup sur la symbolique et le mystique. Ce n'est pas vraiment le cas ici, à part la scène "foetale" et surtout la toute fin du film. On reste là encore dans l'action elle-même, et il n'y a pas vraiment de volonté, ni selon moi de nécessité d'aller dans la symbolique à tout prix... Je ne vois pas bien ce que cela pourrait apporter à cette histoire particulière. On assiste à une situation dramatique, extrême, et on suit les efforts de cette femme pour s'en sortir. Point barre. Un peu rien à foutre des délires ésotériques dans une telle histoire.

Et pour la "force évocatrice", c'est certes très intéressant dans beaucoup de films, mais ici ce qui compte, et qui est suffisamment évocateur, c'est l'immersion sensorielle et psychologique, la tension, l'urgence, la sensation de panique voire même de claustrophobie dans un espace pourtant infini, le désespoir, le chaos presque silencieux, bref, ce qu'on pourrait tous ressentir dans une telle situation. C'est plus "terre à terre" mais tout aussi intéressant, je trouve. C'est une autre forme d'évocation.

Dice
Day Man
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jbtahiti a dit : Les premiers retours que j'en ai eu relayaient les critiques les plus sceptiques. La forme est parait-il irréprochable, avec une utilisation très intelligente de la 3D au passage, mais l'histoire tournerait vite en rond et sa force évocatrice serait limitée par rapport à 2001 et Solaris, les deux chefs d’œuvre du genre. Je jugerai sur pièce, un jour...d'autres avis ici ?


Le scenario s’essouffle effectivement assez vite avec des passages qui s’éternisent pour rallonger la sauce afin d'atteindre ce petit 1h30, mais l’expérience du moins au cinema est sympa. Perso, j’étais assis devant donc l’écran en pleine gueule avec les lunettes sur le nez et certains passages m'ont totalement happé et moi je n'ai rien contre Sandra Bullock.

Donc avis plutôt positif au final, ça faisait longtemps que je n'avais pas trouvé aussi indispensable de voir un film sur grand écran plutôt que sur une télé.
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jbtahiti a dit :
Beaman a dit : Solaris un chef d'oeuvre ?
ça dépend de quelle version on parle puique je n'ai pas vu le remake de Soderbergh



Effectivement, je n'ai vu que la version avec clooney pour ma part, et vu la merde que c'était je me posais des questions.

Beaman
jbtahiti
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Beaman a dit : Solaris un chef d'oeuvre ?


ça dépend de quelle version on parle puique je n'ai pas vu le remake de Soderbergh
goofy

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Salut les jeunes. Ma maman est décédée cet été, je vous demande de ne plus faire cette blague.
Beaman
Houston fait peur !!
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Solaris un chef d'oeuvre ?
jbtahiti
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MC Jean Gab1 a dit : "Gravity" déchaîne les passions, ici Où sont passés tous les amateurs de SF et de super-héros Batman, à part dans le cul de la mère à Goofy ? JB Tahiti, t'es dans le noir ?


Coucou

En fait ce film pourtant loué par la critique en général ne suscite pas vraiment mon intérêt. Je pense que cela tient en grande partie à la présence de Sandra Bullock comme interprète principale et quasiment unique. J'ai d'ailleurs été très étonné qu'un projet aussi ambitieux soit monté autour d'une actrice aussi peu crédible, peut-être un pied de nez ou une volonté d'exécuter un tour de force de la part du réalisateur, je m'interroge.

Pourtant quand j'ai entendu parler d'une réalisation à mi chemin entre Cameron et Bresson, cela m'a d'abord surpris. Un immense succès du box office inspiré d'un des réalisateurs les plus ascétique et radical du cinéma français ? Les premiers retours que j'en ai eu relayaient les critiques les plus sceptiques. La forme est parait-il irréprochable, avec une utilisation très intelligente de la 3D au passage, mais l'histoire tournerait vite en rond et sa force évocatrice serait limitée par rapport à 2001 et Solaris, les deux chefs d’œuvre du genre.

Je jugerai sur pièce, un jour...d'autres avis ici ?
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
MC Jean Gab1 a dit : "Gravity" déchaîne les passions, ici Où sont passés tous les amateurs de SF et de super-héros Batman, à part dans le cul de la mère à Goofy ? JB Tahiti, t'es dans le noir ?


c'est pas un film de SF
The Number 9

(Mythe)
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Je l'ai vu hier.

Et pas vraiment convaincu honnêtement.
Ok, il est vraiment joli (le début avec la vision de la terre, ... tu crois limite y être dans l'espace). Mais très vite ça devient convenu, l'intrigue est naze (si on peut considérer qu'elle existe), je ne suis pas fan de Bullock, ...
1h30 mais il ne faut pas beaucoup plus parce que tu finis vite par t'ennuyer

Bon, la 3d rend vraiment bien et encore une fois, les images sont parfois magnifiques. Mais c'est à peu près tout.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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"Gravity" déchaîne les passions, ici Où sont passés tous les amateurs de SF et de super-héros Batman, à part dans le cul de la mère à Goofy ?

JB Tahiti, t'es dans le noir ?
The Number 9

(Mythe)
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Donc i33 ?

Je suis perdu moi...
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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OHHHHHHHHHHH

A gauche, surement SM12
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