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NBA History

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Anonyme a dit : Gab1 ou quelqu'un, vous avez un bon site pour télécharger des anciens matchs entiers? Années 90 surtout.


basketevolution.com
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Dans la partie "Vintage" du forum, il y a pas mal de matches grâce à Famine et Philly Thing. Qui ne feraient qu'un, paraît-il
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Gab1 ou quelqu'un, vous avez un bon site pour télécharger des anciens matchs entiers? Années 90 surtout.
MC Jean Gab1
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On this night 31 years ago, @kaj33 became the 2nd member of the 30,000 point club, joining Wilt Chamberlain
-

Agrandir
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The Panda's Friend

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Zo Mourning sur Nat Geo Wild. Il veut un Aquarium.
MC Jean Gab1
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This date in Bulls history: In 1989, Michael Jordan scored 54 points vs. Cleveland, the most in a season opener in league history.
MC Jean Gab1
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Won NBA Title as NBA Rookie Head Coach Since '50-51
Pat Riley '81-82 @Lakers
Paul Westhead '79-80 @Lakers
George Senesky '55-56 @warriors
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+20000pts / +5000rbds / +5000asts en carrière.

Kareem Abdul-Jabbar
Karl Malone
Michael Jordan
Oscar Robertson
Kevin Garnett
Kobe Bryant
LeBron James
Jerry West
Larry Bird
Gary Payton
Clyde Drexler
John Havlicek
Mon2mer2
x
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i33

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Banania a dit : Il y a 22 ans jour pour jour, Jordan haussait les épaules apres avoir etabli un nouveau record a trois points en une mi temps...face au blazers evidemment The Shrug


Comment c'est nul à chier ces vidéos de merde...
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Anonyme a dit : Rotation 8 joueurs : Tim Duncan Kevin Garnett Paul Pierce Ray Allen Jason Kidd -------------------- Marcus Camby (PF/C) Michael Finley (SG/SF) Derek Fisher (PG) Tous à leur top. Injouable.



Hakeem
Garnett
Pippen
Moncrief
Payton

-----------------

Mutombo
Duncan
Cooper


Là, ça choppe le titre
Mon2mer2
x
(Mythe)
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Il y a 22 ans jour pour jour, Jordan haussait les épaules apres avoir etabli un nouveau record a trois points en une mi temps...face au blazers evidemment

The Shrug

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Rotation 8 joueurs :

Tim Duncan
Kevin Garnett
Paul Pierce
Ray Allen
Jason Kidd
--------------------
Marcus Camby (PF/C)
Michael Finley (SG/SF)
Derek Fisher (PG)

Tous à leur top. Injouable.
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LeBu a dit : Payton aurait sa place du coup, non?


Ouais c'est sûr. Je voulais placer un Fisher qui sort du banc pour dégoûter les Spurs au cas où.

Kidd ou Payton, aux choix.
LeBu
Because
(Historique)
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Ou Payton également.
LeBu
Because
(Historique)
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Payton aurait sa place du coup, non?
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Dikembe Mutombo / Marcus Camby

Kevin Garnett / P.J. Brown / Robert Horry

Shawn Marion / Shane Battier

Eddie Jones / Doug Christie / Aaron McKie

Jason Kidd / Derek Fisher

Petit délire avec un roster de 12 joueurs. On pourrait dire qu'il manque THE scoreur mais avec une marque équilibrée et tout ce beau monde défendant comme des morts de faim, y aurait peut-être moyen de chopper une bagouze.
i33

(Dieu vivant du forum)
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Plus sérieusement, Dumars et Rodman qui se relaient sur un joueur, je pense qu'il n'y a que Kukoc qui a connu la même chose avec Jordan et Pippen qui se relayaient sur lui aux JO.

Quand je pense qu'un simple T. Prince a suffi à rendre impuissant Kobe Bryant...
Qu'est-ce qu'il aurait mangé avec Dumars et Rodman sur le dos.
Wormy
Team Building...
(Historique)
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dreemtim a dit : J'avoue qu'en lisant l'article, j'ai failli appeler Captain Obvious à la rescousse On lui colle nos 2 meilleurs défenseurs qui le harcèlent non stop et on le fait bosser en défense. Prix Nobel



+1000
Mon2mer2
x
(Mythe)
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la revelation en carton mouillé
dreemtim
1,000 wins & 5 titles
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J'avoue qu'en lisant l'article, j'ai failli appeler Captain Obvious à la rescousse

On lui colle nos 2 meilleurs défenseurs qui le harcèlent non stop et on le fait bosser en défense.
Prix Nobel
jbtahiti
Stopweb
(Légende)
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C'était donc ça les Jordan Rules ??

A quand l'explication de Magic concernant ses no-look pass : "Je dirigeais mon regard dans la direction opposée à celle de ma passe"

MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Jordan Rules : les Pistons dévoilent leur méthode pour défendre sur Michael Jordan
Par Jonathan Demay — Le 5 mars 2014 à 10:49

« Elles ont été gardées secrètes du grand public jusqu’à maintenant, et nous sommes fiers de vous présenter les Jordan Rules. »
Voici le message des Pistons pour accompagner la vidéo « Unforgettable Moments : The Jordan Rules », postée récemment sur la rivalité avec Michael Jordan à la fin des années 80.
Pendant des années, ils ont laissé entendre que cela avait été amplifié (inventé même) par les médias mais désormais, 25 ans plus tard, les Pistons assument les Jordan Rules, ces fameuses règles mises en place pour éteindre le meilleur joueur de tous les temps.
On y découvre par le témoignage d’anciens joueurs et de journalistes locaux comment Chuck Daly et ses hommes ont inventé cette tactique pour battre les Bulls chaque saison entre 1988 et 1990.

Dumars et Rodman, le gentleman et le bad-boy
L’organisation défensive était plus ou moins connue. Joe Dumars était le pot de colle attitré de Jordan, avec sa petite taille, ses mains actives et ses appuis près du sol. Il orientait toujours Michael vers l’aide défensive pour le forcer à prendre une mauvaise décision. Un travail de sape qui a fait souvent dire à l’ancien Bull que son adversaire le plus coriace était Dumars.
Ensuite, c’est Dennis Rodman qui s’occupait de Jordan, dans un style complètement différent. Plus grand, plus physique, « The Worm » en imposait et voulait entrer dans la tête de son adversaire pour le déconcentrer et le faire craquer. Immense rebondeur, le futur coéquipier de Jordan et Scottie Pippen montrait alors une polyvalence inimaginable : un joueur capable de prendre plus de 10 rebonds par match, de défendre sur les plus gros pivots mais aussi sur le meilleur extérieur de l’histoire.
Les deux joueurs switchent sur Jordan quand ils ne font pas prise à deux sur lui. Deux des meilleurs défenseurs de l’histoire pour limiter l’impact du décuple meilleur marqueur de la ligue. Un vrai traitement de choc.

Il fallait le fatiguer défensivement aussi
Les Jordan Rules ne s’arrêtent pas à la défense. Daly voulait aussi que Jordan se fatigue à défendre. Dès lors, le ballon était donné au joueur dont il avait la charge. Isiah Thomas et Dumars la plupart du temps. Pas une mince affaire donc.
Faire des aides défensives et le forcer à se fatiguer en défense, cela n’est pas révolutionnaire puisque toutes les équipes ou presque utilisaient cela contre l’arrière des Bulls. La grande différence avec Detroit, c’est la dimension physique. Aucune autre équipe de la NBA n’avait de tel défenseurs, de tel joueurs aussi fort mentalement et capables de se sacrifier physiquement pour stopper un seul joueur.
Cela a fonctionné trois saisons de suite, avant de craquer complètement en 1991 avec un sweep des Bulls en finale de conférence. Mais avant cela, Jordan avait chuté face à une équipe terriblement intelligente, physique au possible (parfois violente) mais avec un caractère unique.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
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Les pires contrats de l’histoire de la NBA
Par Dimitri Kucharczyk — Le 28 août 2013 à 18:12

En 2009, nous vous proposions une première version des pires contrats de l’histoire de la NBA, tirée d’un article d’ESPN. Quatre ans plus tard, nous mettons cette liste à jour et nous l’élargissons en tenant en compte l’évolution des différentes carrières. Blessures, problèmes extra-sportifs ou rendement insuffisant : voici les principales raisons qui font qu’un contrat devient un poison pour une équipe.

1. Gilbert Arenas : 111 millions de dollars sur six ans (2008)
Avec son humour et sa capacité à prendre feu, Gilbert Arenas s’adjugea un superbe contrat en 2008, malgré une saison marquée par les blessures. La suite, on la connait : des blessures à répétition et l’affaire des armes dans le vestiaire avec Javaris Crittenton. Après une longue suspension, il se retrouva de trop aux côtés de John Wall et fut transféré à Orlando contre un autre joueur surpayé, Rashard Lewis.

2. Stephon Marbury : 76 millions de dollars sur quatre ans (2003)
Après une saison 2002-2003 qui laissait augurer de grandes choses, Stephon Marbury négocie, sans agent, une extension de son contrat qui prendra effet à partir de 2005. A cette époque, sa carrière est déjà en déclin et la suite est connue : des disputes incessantes avec tous ses entraineurs pour finir par une dernière saison où les Knicks préfèreront le payer 21 millions de dollars pour qu’il reste chez lui.

3. Allan Houston : 100 millions de dollars sur six ans (2001)
Pendant deux ans, Allan Houston justifiera son énorme contrat avant que ses genoux ne l’éloignent définitivement des parquets le 10 décembre 2004. Plus de deux ans après, il restait le deuxième joueur le mieux payé de la ligue, son contrat étant garanti, et son énorme salaire empêchait les Knicks de recruter.

4. Kenyon Martin : 92.5 millions de dollars sur sept ans (2004)
Premier choix de draft en 2000, Martin effectuera quatre très bonnes saisons dans le New-Jersey, notamment après l’arrivée de Jason Kidd. Deux finales perdues plus tard, le voilà dans le Colorado avec un contrat mirifique. Perdu au milieu d’un flot d’intérieurs de qualité, souvent blessé, parfois suspendu par sa propre équipe, Kenyon Martin peina à rentabiliser son salaire. Toujours utile en défense, il tournait lors de sa dernière année de contrat chez les Nuggets à 8.6 points et 6.2 rebonds. Pour 16,5 millions de dollars.

5. Keith Van Horn : 73 millions de dollars sur six ans (1999)
Trois bonnes premières saisons et Keith Van Horn se vit proposer une extension de contrat qui prenait effet à partir de la saison 2000. Ses chiffres baisseront ensuite, tout comme son implication défensive et il finira par trimbaler son énorme salaire d’équipe en équipe avant de revenir dans le New Jersey pour assurer le transfert de Jason Kidd au Texas.

6. Vin Baker : 86 millions de dollars sur sept ans (1999)
Venu à Seattle dans un échange avec Shawn Kemp, Baker réalisa deux bonnes saisons qui lui permirent de signer un bon contrat en 1999. Après une nouvelle saison de qualité, il dut faire face à des problèmes de poids et d’alcool qui entrainèrent son transfert et des suspensions à répétition.

7. Jermaine O’Neal : 126.6 millions de dollars sur sept ans (2003)
Suite à des années difficiles à Portand, Jermaine O’Neal avait émergé comme l’un des pivots les plus prometteurs de la NBA et Indiana lui proposa donc logiquement un contrat à la hauteur de son potentiel. Malheureusement, miné par les blessures et la suspension due à la bataille d’Auburn Hill, il ne se réaffirma jamais comme un joueur majeur et connait une fin de carrière compliquée, même s’il a rebondi à Phoenix.

8. Amar’e Stoudemire : 99 millions de dollars sur cinq ans (2010)
Amar’e Stoudemire a relancé une équipe des Knicks en difficulté. Mais après une excellente première saison, l’intérieur a recommencé à être gêné par ses genoux. Aujourd’hui, il est destiné à un rôle de sixième homme de luxe. De grand luxe puisqu’il va toucher 45 millions de dollars garantis lors des deux prochaines saisons.

9. Bryant Reeves : 64 millions de dollars sur six ans (1997)
Après une saison rookie solide, Bryant Reeves se vit récompensé par une extension de contrat conséquente. Il réalisera l’année suivante sa meilleure année avant de sombrer à cause de prises de poids et de blessures à répétition. Des problèmes de dos récurrents l’empêchèrent de revenir pour la saison 2002, laissant les Grizzlies payer son énorme salaire.

10. Ben Wallace : 60 millions de dollars sur quatre ans (2006)
Pivot défensif sous-estimé, Ben Wallace devint un pivot offensif surestimé en 2006 lorsque les Bulls l’engagèrent pour remédier à leur faiblesse chronique à l’intérieur. Avec plus de responsabilités offensives, il réussit à marquer moins qu’à Détroit où on ne lui laissait que les rebonds offensifs pour toucher le ballon en attaque. Rapidement transféré à Cleveland où son physique déclina.

11. Jim McIlvaine : 35 millions de dollars sur sept ans (1996)
Jim McIlvaine, c’est 2.7 points et 3.1 rebonds de moyenne et 5 millions de dollars par saison sur sept ans à partir de 1996. Le pivot arrivait à Seattle dans une équipe candidate au titre où il était quasiment aussi bien payé que Shawn Kemp et Detlef Schrempf. Incompréhensible.

12. Rashard Lewis : 118 millions de dollars sur six ans (2007)
Après d’excellentes saisons à Seattle, Rashard Lewis fut recruté par Orlando pour être le complément de Dwight Howard à l’intérieur. Capable de défendre sur les ailiers forts adverses tout en écartant la défense à trois points, il permettait de faire de la place dans la raquette pour son pivot. Le seul souci, c’est qu’il était trop cher pour son rendement, même s’il fut souvent précieux en playoffs pour le Magic.

13. Juwan Howard : 105 millions de dollars sur sept ans (1996)
Après une excellente saison sophomore à 22 points et 8 rebonds, Juwan Howard était vu comme un poste 4 promis à un brillant avenir. Ayant refusé une offre de 78 millions sur sept ans de la part de Washington, il accepta de rejoindre le Heat pour 100 millions sur sept ans avant que la NBA n’annule l’accord pour dépassement du salary-cap. Washington lui proposa alors 105 millions sur sept ans, une offre qu’il accepta donc. Efficace durant la période de son contrat, il assura ses 17 points et 7 rebonds de moyenne mais fut tradé deux fois et surtout, son salaire était fait pour une superstar et pas pour un role-player efficace.

14. Hedo Turkoglu : 53 millions de dollars sur cinq ans (2009)
Complet et clutch à Orlando, Hedo Turkoglu gagna même le surnom du « Michael Jordan turc » durant la campagne 2009 du Magic. Il en profita pour s’engager pour 53 millions de dollars sur cinq ans avec Toronto. Un contrat qu’il n’arriva jamais à assumer. Démotivé chez les Raptors puis chez les Suns, il retrouva finalement Orlando qui n’en veut plus mais lui doit encore 12 millions de dollars la saison prochaine.

15. Jon Koncak : 13 millions de dollars sur six ans (1989)
C’est le plus petit contrat du lot mais, dans le contexte, il est catastrophique. En 1989, Atlanta signa ainsi le pivot remplaçant Jon Koncak pour près de 2 millions de dollars par saison, soit plus que Michael Jordan, Larry Bird ou Magic Johnson à l’époque ! Le joueur en hérita du surnom de « Jon Contract ».
MC Jean Gab1
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Sortie de scène manquée pour Iverson et McGrady
Par Fabrice Auclert | Extra Time – mar. 27 août 2013

En NBA, cet été rime avec retraités. Après Jason Kidd et Grant Hill, c’est au tour d’Allen Iverson et de Tracy McGrady de mettre un terme à leur carrière. Pour Iverson, on attend d’un jour à l’autre l’officialisation. Quant à T-Mac, il l’a annoncé lundi, précisant tout de même qu’il continuerait à jouer en Chine.
Avec ces quatre retraites, ce sont des joueurs symboles de la génération post-Jordan qui tirent leur révérence. Et si Kidd et Hill étaient des modèles d’altruisme, Iverson et McGrady étaient en revanche plutôt des individualistes. Des scoreurs nés, capables de tous les cartons. Mais finalement, ils auront tous les deux échoué en finale NBA. Pire, ils auront raté leur sortie.

Iverson a-t-il rendu un coéquipier meilleur ?
D’Iverson, je retiendrai cette incroyable confiance en lui qui lui permettait de défier des joueurs bien plus grands et bien plus costauds que lui. Je vous l’ai déjà dit, ce n’est absolument pas le type de joueur que j’apprécie. Je le trouvais presque insupportable. Il portait le ballon en permanence, et ses coéquipiers n’étaient que des porteurs d’eau. Certes, il était doué, capable des plus grands coups de folie. Certes, à lui tout seul, ou presque, il a porté les Sixers jusqu’en finale. Mais je ne l’ai jamais considéré comme un joueur qui rendait les autres meilleurs. C’était un soliste. Un formidable soliste comme il en brille chaque jour sur les playgrounds, et certains ne passeront même pas pro. Une source d’inspiration pour toute la génération suivante puisqu’il a décomplexé les « petits ». Mais c’est aussi quelqu’un qui refusait de se fondre dans un collectif, comme à Detroit, et sa fin de carrière, indigne de son statut de MVP 2001, est peut-être le retour de bâton qu’il méritait.

Tracy McGrady n'avait jamais passé un tour de playoffs avant cette année
Pour McGrady, je serai moins sévère car j’ai toujours pensé qu’il était l’un des joueurs les plus doués de sa génération. Je vais même vous faire un aveu : à une certaine époque, je le trouvais plus fort que Kobe Bryant. Plus facile et plus complet. Insolent de facilité, et même plus collectif que Kobe. Un LeBron James avant l’heure, en plus élégant, et plus scoreur. Mais voilà, comme beaucoup de surdoués, T-Mac n’aimait pas s’entraîner. Son corps, mal entretenu, a pété de partout alors qu’il n’avait pas encore 30 ans. A l’arrivée, comme Iverson, sa fin de carrière est indigne de son talent, mais c’est le prix à payer pour s’être sans doute entêté à revenir trop tôt, ou peut-être n’avoir pas voulu s’arrêter à temps. Son ultime comeback, aux Spurs, en est presque risible : aucun panier inscrit ! Ironie de l'histoire, il aura attendu d'être au bout du banc des Spurs pour enfin franchir un tour de playoffs...
Au final, les carrières d'Allen Iverson et Tracy McGrady ne sont pas des modèles du genre. Beaucoup de points marqués. Beaucoup de highlights. Mais un palmarès collectif quasi inexistant. Il n'en demeure pas moins qu'ils méritent l'un comme l'autre d'entrer au Hall Of Fame dans quelques années. Pour moi, ça ne fait aucun doute. Mais quand je vois que Bernard King a attendu près de 10 ans pour y rentrer, je pense que Iverson et McGrady devront aussi faire preuve de patience. Je parie même que Jason Kidd et Grant Hill, malgré des moyennes moins ronflantes, seront intronisés avant eux.
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Retraite de T-Mac : les highlights de ses matches à plus de 50 points
Par Jonathan Demay — Le 26 août 2013 à 20:40

Double meilleur marqueur de la ligue en 2003 et 2004, Tracy McGrady faisait partie des scoreurs les plus impressionnants, élégants et faciles de la NBA.
Capable de séries offensives incroyables, l’ancien ailier du Magic et des Rockets a, comme tous les légendes du scoring, dépassé parfois la barre des 50 points. Au total, il réussira 4 fois cette performance, essentiellement entre 2002 et 2004.
Ça commence en 2002 contre les Wizards avec 50 points à 18/29 au shoot, ça continue avec 52 points à 15/32 contre les Bulls, puis 51 points à 20/30 et 8/11 à 3 pts contre Denver.
Enfin, son chef d’œuvre à 62 pts à 20/37 contre les pauvres Wizards, double victime du smooth criminal qu’était T-Mac, qui deviendra ce soir-là l’un des 20 joueurs dans l’histoire de la NBA à franchir la barre des 60 points.

50 points contre Washington



52 points contre Chicago



51 points contre Denver



62 points contre Washington

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Tracy McGrady au Hall of Fame ? Les chiffres en sa faveur
Par Elliot Bojman — Le 27 août 2013 à 14:20

S’il n’avait pas rejoint San Antonio en toute fin de saison l’an passé, Tracy McGrady aurait quitté la NBA sans jamais avoir remporté la moindre série de playoffs.
Toutefois, avec les Spurs, T-Mac n’a joué qu’un rôle extrêmement mineur et pour beaucoup, son incapacité à porter son équipe en playoffs est un argument indéniable contre sa présence au Hall of Fame.
Un argument dont le comité du Panthéon du basket devra juger l’importance en temps voulu (dans cinq ans minimum, à partir de sa retraite définitive) mais la question ne serait pas aussi compliquée à traiter si T-Mac n’avait pas également quelques arguments, et non des moindres, en sa faveur.
En effet, juste après que Tracy McGrady a annoncé sa retraite, ESPN a ressorti de ses archives quelques chiffres qui ont de quoi faire réfléchir.
D’une part, McGrady est l’un des sept joueurs de l’histoire de la NBA à avoir enchainé 8 saisons consécutives avec minimum 20 points, 5 rebonds et 4 passes de moyenne. C’était entre les saisons 2000-01 et 2007-08 (26.3 points, 6.4 rebonds, 5.5 passes). Les noms des six autres ? Kobe Bryant, LeBron James, Michael Jordan, Oscar Robertson, Kevin Garnett et Larry Bird…
D’autre part, McGrady tire sa révérence avec un total de 18 381 points, 5 276 rebonds et 4 161 passes. Parmi tous les joueurs retraités à l’heure actuelle, ils ne sont que 15 à avoir atteint de tels standards et devinez quoi… Tous sont au Hall Of Fame.
Bien sûr, chaque cas est différent mais on n’aimerait pas être à la place des membres du Hall of Fame lorsqu’ils vont devoir plancher sur le cas de T-Mac.
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[collector] La série de Magic Johnson contre les Warriors en 1991
Par Jonathan Demay — Le 27 août 2013 à 14:47

Entre 1980 et 1983, Magic Johnson avait réussi à tourner en triple double pendant trois séries de playoffs. La quatrième et dernière fois, c’était en fin de carrière, en 1991 contre les Golden State Warriors de Tim Hardaway et Don Nelson.
Dans une demi-finale de conférence au rythme effréné et au scoring démesuré (116 points de moyenne pour les Warriors, 122 pour les Lakers), à 31 ans, Magic va retrouver ses première amours en tournant en triple double durant les 5 matches de la série : 25.8 points, 12.8 pad et 10 rebonds de moyenne.
Tout le génie du meilleur meneur de l’histoire résumé dans ce mix sur cette fameuse série contre Golden State.

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[mix] Allen Iverson & Tracy McGrady Retirement Mix – Legends Forever
Par Fabrice Auclert — Le 27 août 2013 à 18:56

Coup sur coup, la NBA vient de perdre Allen Iverson et Tracy McGrady, deux joueurs emblématiques des années 2000. Deux formidables scoreurs, qui malheureusement quittent la NBA par la petite porte.
Pennyccwai a décidé de leur rendre un hommage commun avec une compil’ de leurs moves qui resteront à la postérité.

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Les vingt plus grands moments de la carrière d’Allen Iverson
Par Jonathan Demay — Le 27 août 2013 à 19:31

Aimé ou détesté, mais ne laissant jamais indifférent, Allen Iverson a marqué l’histoire de la NBA en devant une idole, une icône, et même le symbole d’une génération.
Absent des parquets NBA depuis maintenant trois ans, le génie des Sixers était aussi géant dans son jeu, que petit par son physique. Un joueur incroyable, un attaquant de légende avec un style incomparable et qui a inscrit son nom en lettres d’or dans les livres d’histoire.
En 20 moments, retour sur la carrière d’un des meilleurs arrières de tous les temps.

Un joueur de football
La première qualité physique d’Iverson est clairement sa vitesse. Joueur de football de formation, il a développé une vitesse de pointe incroyable, comme peu de joueurs de basket, et des appuis parfaits, qui lui ont permis de se sortir du marquage d’abord des défenseurs au foot US, puis des basketteurs. D’abord quarterback, il a aussi été running back, ainsi que kick returner et defensive back, un joueur polyvalent capable de faire des passes, marquer des touchdowns ou intercepter des balles. Pas loin de ses qualités de basketteur : marquer, faire marquer et voler des ballons.



Les années Georgetown
Dans une université qui a formé certains des meilleurs pivots des années 1990 et 2000 (Patrick Ewing, Alonzo Mourning ou Dikembe Mutombo), le petit Iverson n’est pas dans les standards de la fac (1m83 et 76 kg), mais ses qualités vont rapidement faire la différence. Parmi les meilleurs défenseurs du pays, avec 3 interceptions de moyenne, Iverson est déjà un attaquant naturel : 20.4 points de moyenne la première saison, 25 pts la seconde. Sous les ordres de John Thompson, il devient le meilleur scoreur de l’histoire de Georgetown. Direction donc la NBA où il va marquer les esprits, dès le soir de la draft.



Numéro 1 de la draft
La première place de draft a toujours, ou presque, été dominée par des intérieurs. Depuis 1981 et Mark Aguirre (1m98) drafté par Detroit, aucun joueur de moins de 2 mètres n’a été choisi par une équipe en numéro 1 de la draft. Mais Pat Croce, le fantasque président des Sixers, saute le pas et fait d’Iverson le plus petit numéro 1 de la draft de l’histoire de la NBA. Il faudra attendre 12 ans plus tard, en 2008 avec Derrick Rose, pour voir un nouveau premier choix de draft sous le double mètre. Iverson est donc une exception, il va le rester toute sa carrière.



Les 5 matches d’affilée à plus de 40 points
En devenant un choix de draft « exotique » dans un système où les grands sont rois, les attentes sont énormes autour d’Iverson. Son année rookie est excellente, malgré (déjà) des problèmes d’adresse. Il est élu rookie de l’année avec des superbes moyennes : 23.5 pts à 41 %, 7.5 passes, 4.1 rebonds et 2 interceptions. Mais ce que l’on retient, c’est sa série de matches à plus de 40 points en fin de saison. Il dépoussière un vieux record de Wilt Chamberlain (3 matches de suite en 1959-1960), avec des pointes à 44, 40, 44, 50, 40 pts. Battre un record de Chamberlain est déjà une performance énorme mais avec 33 centimètres et 50 kg de moins que l’homme aux 100 pts, dans une ligue plus homogène, cela relève de l’exploit.



Le crossover sur Michael Jordan
Peut-être l’image la plus célèbre d’Iverson. Il va faire du crossover sa marque de fabrique, torturant tous les joueurs de la ligue pendant plusieurs saisons. Mais quand sa victime se nomme Michael Jordan, l’action devient légende. Présent sur le banc des Bulls, Phil Jackson demande à Jordan de prendre en défense Iverson. Le joueur des Sixers teste les appuis de l’arrière des Bulls une première fois, puis enchaîne son crossover. Jordan est battu, mais parvient tout de même à bien défendre sur le shoot, mais trop tard, le shoot est lancé, le panier est rentré, la légende peut commencer.



Reebok
C’est le coup de génie de Reebok en NBA : signer Iverson et lui offrir sa propre série de chaussures comme Jordan avec Nike. La marque à la virgule domine la NBA avec les Air Jordan, pour s’inscrire durablement dans le marché, Reebok a besoin d’un symbole : Iverson sera parfait. La première du nom « The Question » devient mythique, plusieurs suivront, saison après saison, et l’image et le sytle hip-hop du joueur s’imposent facilement chez les jeunes. Iverson devient une icône, qui a toujours 30 millions de dollars bloqués par la marque. Une somme qui lui sera versée en 2030.



Record d’interceptions en playoffs
Vitesse et sens de l’anticipation sont les principales qualités d’un bon voleur de ballon. Iverson est l’un des meilleurs de l’histoire. Triple meilleur intercepteur de la NBA (2001, 2002 et 2003), l’arrière des Sixers est le seul joueur de l’histoire de la NBA à avoir volé 10 ballons dans un match de playoffs. C’était lors du Game 3 contre le Magic, le 13 mai 1999, du premier tour des playoffs. Arracher le ballon ou couper les lignes de passes, Iverson est à l’aise dans tous les domaines. Une seule certitude : le ballon finira dans ses mains.



Une saison 2001 parfaite
Meilleur marqueur de la ligue, aimé de beaucoup de fans, Iverson est pourtant très critiqué (et critiquable). Pour son coach Larry Brown, la cohabitation n’est plus possible, car le comportement en dehors des terrain de sa star le dérange. À l’été 2000, Iverson est sur le départ et Detroit est proche d’un accord, mais Matt Geiger, lui aussi dans le transfert, refuse de laisser partir 5 millions de dollars dans son contrat. On est passé proche d’un transfert, et Iverson prend conscience qu’il peut partir à tout moment. Il repart donc avec de meilleures intentions pour la saison 2000-2001. La saison la plus importante de sa carrière selon lui et surtout sa dernière chance avec Brown. Désormais capitaine et leader du groupe, Iverson joue son meilleur basket et les Sixers dominent la ligue avec 56 victoires pour 26 défaites.



MVP du All Star Game
Réconcilié avec son coach, au sommet de son basket, avec une équipe qui tourne très bien, il arrive à Washington pour le All Star Game avec une nouvelle image. Le match est très agréable, mais la conférence Est se fait dominer outrageusement par les grands de l’Ouest. Seul Dikembe Mutombo, le pivot des Hawks, résiste avec 22 rebonds. L’Est entame un comeback avec Iverson et Stephon Marbury. Iverson est élu MVP, et Brown, coach de la conférence Est comprend que Mutombo serait parfait pour épauler son génie. Quelques jours après la grande messe annuelle, le triple meilleur défenseur de l’année arrive à Philadelphie pour y décrocher un quatrième titre de meilleur défenseur.



MVP de la saison
Philadelphie meilleure équipe de la ligue (avec les Lakers) et une saison à 31.1 pts, 4.6 passes et 2.5 interceptions par match (meilleur marqueur et intercepteur de la saison) font d’Iverson le MVP de la saison. Comme pour la draft, il est le plus petit et léger MVP de l’histoire. Avec 93 1ère place dans les bulletins de vote et 1 121 points au total, il devance Tim Duncan, futur double lauréat et Shaquille O’Neal, le tenant du titre. Iverson est désormais dans la légende de la NBA, et il doit maintenant confirmer en playoffs.

Des playoffs de folie
Les Sixers vont vivre des playoffs intenses où les demi-finales et la finale de conférence iront jusqu’au Game 7. Iverson donne tout, comme à chaque match, et son duel avec Vince Carter est un des grands moments du début de la décennie. Deux superstars, très spectaculaires, qui ressuscitent les duels de scoreurs. Les deux joueurs se répondent à grands coup de shows offensifs. Iverson passe deux fois la barre des 50 points (54 et 52) et Carter manque de peu le shoot de la gagne au terme du Game 7 où Iverson se sera transformé en passeur avec 16 passes. En finale de conférence, c’est Milwaukee et son Big Three (Sam Cassell, Ray Allen et Glenn Robinson) qui résistent aux Sixers. Iverson termine la série avec 46 points et 44 points dans le Game 7. Depuis le début des playoffs, il tourne à 32.1 pts et le meilleur est à venir.



48 points contre les Lakers
La Finale NBA sera donc contre les Lakers et le duo Kobe Bryant – Shaquille O’Neal. Sous les ordres de Jackson, les Lakers sont une machine unique dans l’histoire de la NBA : invaincus jusque-là en playoffs. Mais pour le premier match, Iverson et les Sixers vont réussir l’exploit : vaincre les Lakers au Staples Center, en prolongation. Le MVP ajoute la manière avec 48 points et un panier sur, ou plutôt au dessus de Tyronn Lue, devenu un highlight incontournable. Cet exploit, le sommet de sa carrière, est malheureusement pour lui le seul, d’un point de vue collectif, de la Finale bien qu’il ait tourné à 35.6 pts durant les 5 matches. Face à Shaq et sa puissance, pour une fois, David a perdu contre Goliath.



Practice
Devenu MVP, Iverson doit désormais conduire les Sixers au titre mais la saison 2002 est celle du retour sur terre. Battu au premier tour contre les Celtics, Iverson est (de nouveau) la cible des critiques sur son manque d’investissement. En cause : la non-présence aux entraînements. Après un aveu de Gary Payton, pas réellement bien compris, la star décide de ne plus s’entraîner régulièrement car il ne juge pas cela utile pour lui, ni ses coéquipiers, et comme cela il restera loin des blessures et plus frais pour les matches. Il s’explique dans une conférence de presse devenue mythique, où il va répéter sans cesse « Practice », provoquant l’hilarité des journalistes présents.



55 points en playoffs
La saison 2001 est loin. Iverson doit encore prouver qu’il peut devenir un leader capable de gagner le titre. En attendant, il continue de marquer des points comme personne. Pour le premier match des playoffs 2003 contre les Hornets, il livre un show historique avec 55 points à 65 %, devenant le 6e joueur à marquer 55 pts dans un match de playoffs. Les playoffs durent plus longtemps que l’an passé, mais les Pistons sont plus forts au second tour.



7 paniers à 3-points avec Team USA
Pour les Jeux olympiques de 2004, Iverson est appelé pour représenter Team USA. Avant cela, il faudra se qualifier en passant par le tournoi des Amériques. Une formalité traditionnelle pour les Américains. Face au Canada, Iverson va en profiter pour prendre feu comme rarement derrière la ligne à 3 pts. Lui qui n’est un grand shooteur à 3 pts, marque 7 paniers à 3 pts en un quart-temps dont le dernier au buzzer et quasiment à 9m50 ! Il terminera le tournoi avec 14.3 pts de moyenne, puis les J.O, médaille de bronze au cou, meilleur marqueur de l’équipe américaine avec 13.8 pts par match.



La barre des 60 points
Le 12 février 2005, contre Orlando et son rookie Dwight Howard, il dépasse pour la première et seule fois la barre mythique des 60 points. Déjà auteur de cartons à 50 points cette saison-là, il va remporter son quatrième titre de meilleur scoreur avec 30.7 pts de moyenne. La saison suivante, il ira encore plus loin avec 33 pts de moyenne, mais Kobe Bryant et ses 35.4 pts par match auront raison de lui. 60 pts en saison, 55 pts en playoffs, 48 pts en finale, voilà les immenses records en carrière d’un des meilleurs attaquants de l’histoire.



MVP du All Star Game pour la seconde fois
Quelques jours plus tard, il dispute le All Star Game à Denver et y remporte son second trophée de MVP. Moins flamboyant que le premier, le match étant moins passionnant et intense, Iverson compile tout de même 15 pts, 10 passes et 5 interceptions. Il remarque, à la mi-temps, que l’air n’est pas facile à respirer dans les Rocheuses de Denver, altitude oblige. Une remarque qui va devenir son quotidien dans quelques mois.



L’expérience à Denver
Le 19 décembre 2006, Iverson devient le troisième MVP des Sixers, après Moses Malone et Wilt Chamberlain, à être transféré. Direction Denver pour former un duo de choc avec la pépite Carmelo Anthony. Pour son premier match, il compile 22 points et 10 passes contre Sacramento. En 50 matches, il tourne à 24.8 pts. La saison suivante, il est toujours aussi performant avec 26.4 pts. Mais dans les deux cas, il est éliminé au premier tour des playoffs. Individuellement, Iverson est toujours l’un des meilleurs joueurs de la ligue, mais collectivement, il stage depuis 2001.



Detroit et « Practice » épisode 2
GM de Detroit, Joe Dumars sent que les Pistons eux non plus n’avancent plus, avec trois finales de conférence de suite mais plus de Finale depuis 2004 et 2005. Il envoie Chauncey Billups à Denver pour récupérer Iverson. 54 matches plus tard, Iverson n’est plus qu’à 17.4 pts de moyenne et il ne joue pas les playoffs. On retiendra surtout ce trait d’humour lors de la conférence de presse de présentation avec une référence de Dumars à son désormais légendaire « Practice », Iverson expliquant qu’il était prêt à tout pour aider Detroit.



Un retour à Philadelphie pour boucler la boucle
Après trois matches sans saveur à Memphis, et une position de remplaçant qu’il n’apprécie pas, Iverson quitte les Grizzlies pour des raisons personnelles. En décembre, la rumeur des derniers jours prend vie : Iverson revient à Philadelphie. Pour son premier match, il tombe face à Denver avec 11 points, 6 passes et 5 rebonds. La belle aventure ne dure que 25 matches, pour 13.9 pts de moyenne. Son dernier match NBA restera celui contre les Bulls, le 20 février 2010. Sa fin de carrière n’aura pas été à la hauteur de son talent, mais Iverson, s’il ne laissera jamais son nom dans les champions NBA, aura par contre parsemé de souvenirs les esprits de beaucoup de fans de la NBA en montrant que le basket pouvait aussi être joué par les petits. C’est probablement sa plus grande victoire.

i33

(Dieu vivant du forum)
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Bizarre la photo de Chamberlain en couleurs...

Baz peut nous refaire une bannière.
MC Jean Gab1
T'es trop ratal quand tu fais ton rabbin
(Dieu vivant du forum)
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[reportage] Tracy McGrady – Lights Out
Par la rédaction — Le 28 août 2013 à 8:04

A son tour, la NBA rend hommage à Tracy McGrady avec un mini-reportage sur les moments marquants de sa carrière. Bien évidemment, les 13 points en 35 secondes face aux Spurs occupent une grande place, et c’est toujours un régal de revoir les têtes de Tim Duncan et Gregg Popovich à la vue des exploits de T-Mac.

MC Jean Gab1
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MC Jean Gab1
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MC Jean Gab1
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MC Jean Gab1
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(Dieu vivant du forum)
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La NBA en noir et blanc prend des couleurs (Basket USA)
Avec plus de 60 ans d’existence, la NBA a vécu ses premières années dans un monde où les vidéos et les photos étaient en noir et blanc.
Le site Andrise a décidé de coloriser certaines des photos les plus marquantes de cette époque pour redonner un nouveau souffle à ces pièces d’histoire. Le résultat est tout simplement magnifique, même si certains regretteront le charme du noir et blanc.
Mais désormais les deux sont possibles : à vous donc de choisir entre le côté historique et le charme du noir et blanc face au réalisme et au punch des couleurs.
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Moi

(Mythe)
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Montage vidéo très sympa pour rendre hommage à The Answer
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Thanks AI !

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Anonyme a dit : Oui, c'est bien Sammy avec une petite aide des admins de 24 qui a fait ce papier.


Et Kobe Bryant est devant Lebron James pour 1 petit point.

Sam Dalembert LOSER!
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
D'après ce classement, Wilt Chamberlain a eu une plus belle carrière que Magic Johnson principalement parce qu'il a été 8 fois leader du PER à l'époque où ce calcul n'existait même pas et aussi parce qu'il a été 7 fois meilleur marqueur et 11 fois meilleur rebondeur... Ce qui lui a permis aussi d'être 8 fois leader du PER.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Samefisto a dit : Pour la partie en gras, c'est un aspect que j'apprécie dans le basket. Il arrive souvent que cette passe soit plus important que la dernière, la décisive et pourtant, elle ,n’apparait pas dans les stats. A ce sujet, j'ai entendu une fois Monclar sur RMC dire que les coachs avaient de nombreuses stats supplémentaires que nous n'avons pas, dont celle-ci justement.


Tous les joueurs qui portent beaucoup la balle et qui fixent les défenses ne sont pas toujours récompensés au niveau des stats alors que c'est souvent eux qui permettent d'avoir un joueur démarqué en attirant la défense. Sur un tir ouvert, la fixation est aussi importante que la passe supplémentaire pour décaler un joueur encore plus démarqué mais seule la dernière passe apparaît dans les stats. Si on comptabilisait ces "décalages" créés par des joueurs comme Lebron James, Kobe Bryant et autres gros porteurs de balle, ils auraient un taux d'implication sans doute énorme dans les actions de leurs équipes. Bien plus qu'avec le simple calcul points marqués + assists.

En ce qui concerne le classement proposé par BUSA, je ne le trouve pas plus ou moins pertinent que d'autres. En haut de celui-ci on retrouve toujours les mêmes, avec des anomalies propres au mode de calcul choisi (Heinsohn 15ème).
Bref, sans doute beaucoup de travail pour pas grand-chose. Rien de révolutionnaire en tous cas.
Samefisto

(Mythe)
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Anonyme a dit : La dernière étape, c'est de réaliser que ce type de classement basé sur des aspects mathématiques est completement vain. Comment évaluer l'intelligence de jeu ? Comment tenir compte de la passe qui amène la passe décisive (il me semble que ça compte au hockey, et c'est loin d'être idiot) ? De la présence inside qui dissuade un adversaire de pénétrer et lui fait prendre un mauvais shoot à mi distance ? Ce classement ne permet que de déterminer le plus beau palmarès, pas le meilleur joueur.



Ca tombe bien, ce classement n'a pas pour vocation de déterminer le meilleur joueur.

Pour la partie en gras, c'est un aspect que j'apprécie dans le basket. Il arrive souvent que cette passe soit plus important que la dernière, la décisive et pourtant, elle ,n’apparait pas dans les stats. A ce sujet, j'ai entendu une fois Monclar sur RMC dire que les coachs avaient de nombreuses stats supplémentaires que nous n'avons pas, dont celle-ci justement.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Le rôle du gars, il se voit dans sa place dans la rotation.
Veji1

(Historique)
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Anonyme a dit : Il faut impérativement distinguer selon le rôle occcupé par le joueur pendant le titre. Tu peux pas donner 20 points à Richmond et au Shaq quand LA gagne le titre en 2002. Et concernant les stats, pour prendre l'exemple des points, il ne faut pas valoriser le titre de top scoreur mais la moyenne de points marqués: qu'est ce qui est plus impressionnant, terminer 2e scoreur à 33ppm, comme AI en 2006, ou top scoreur à 28 ? Prendre en compte les stats totales, ça favorise les carrières à rallonge façon Mutombo, qui traine au bout du banc pour glaner encore quelques blocks. L'idéal serait de prendre en compte des années rendant réellement compte du poids statistique du joueur. Les stats de Jordan à Washington ne sont pas représentatives de son niveau quand il était à son top. Et on va pas évaluer sa place dans l'Histoire au regard de ses années Wizards, que je sache. Il faut aussi régler le problème des catégories stats et awards créés en cours de route: il me parait préférable de ne compter les blocks et steals pour personne, dans un souci d'équité. Pour le MVP des Finales, puisque les critères et indices sont un peu arbitraire, je crois que le plus cohérent serait d'attribuer arbitrairement des MVP des Finales sur les années avant 69. ça parait bête, mais on doit pouvoir annoncer sans trop se tromper que Russell était la pièce maitresse des Celtics année après année, de même pour Pettit avec Saint-Louis ou Wilt avec les 76ers de 67... Après, tu fais le choix de valoriser davantage l'aspect individuel, c'est un choix, mais que je ne partage pas. Ne compter que les titres est un peu sec, il faudrait prendre en compte soit les FC, soit les %ages de victoire (en SR ou en PO). Il faudrait aussi trouver le moyen de voir comment l'équipe performe sans le joueur, mais là ça devient tendu. La dernière étape, c'est de réaliser que ce type de classement basé sur des aspects mathématiques est completement vain. Comment évaluer l'intelligence de jeu ? Comment tenir compte de la passe qui amène la passe décisive (il me semble que ça compte au hockey, et c'est loin d'être idiot) ? De la présence inside qui dissuade un adversaire de pénétrer et lui fait prendre un mauvais shoot à mi distance ? Ce classement ne permet que de déterminer le plus beau palmarès, pas le meilleur joueur.


très bien dit,
Pour moi Dreemtim tu ne prends pas assez en compte le collectif, mais le collectif doit être pris en compte en trouvant un moyen de moduler avec le rôle du gars.. Voir certains Celtics si haut parce qu'ils ont joué avec Russell...

Au final on se rend compte que l'on ne peut pas faire un classement "scientifique" plus objectif que les classements subjectifs.. On se rend compte qu'en haut on retrouve de toutes façon les mêmes monstres.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
jbtahiti a dit : Sans doute, mais contrairement à Rodman, quand tu vois l’équipe relativement moyenne avec laquelle ces deux là ont été en finales à deux reprises, je trouve que c’est à mettre au credit de leurs carrières. Je regrette aussi que la place de finaliste ne soit pas retenue dans les critères de succès, alors que ça constitue déjà une belle performance, de même que les statistiques globales. Malone a scoré 37000 points et pris 15000 rebonds en carrière (12000 pour Rodman), Stockton a délivré 16000 passes décisives. Ça compte !


Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Il faut impérativement distinguer selon le rôle occcupé par le joueur pendant le titre. Tu peux pas donner 20 points à Richmond et au Shaq quand LA gagne le titre en 2002. Et concernant les stats, pour prendre l'exemple des points, il ne faut pas valoriser le titre de top scoreur mais la moyenne de points marqués: qu'est ce qui est plus impressionnant, terminer 2e scoreur à 33ppm, comme AI en 2006, ou top scoreur à 28 ?

Prendre en compte les stats totales, ça favorise les carrières à rallonge façon Mutombo, qui traine au bout du banc pour glaner encore quelques blocks. L'idéal serait de prendre en compte des années rendant réellement compte du poids statistique du joueur. Les stats de Jordan à Washington ne sont pas représentatives de son niveau quand il était à son top. Et on va pas évaluer sa place dans l'Histoire au regard de ses années Wizards, que je sache.

Il faut aussi régler le problème des catégories stats et awards créés en cours de route: il me parait préférable de ne compter les blocks et steals pour personne, dans un souci d'équité. Pour le MVP des Finales, puisque les critères et indices sont un peu arbitraire, je crois que le plus cohérent serait d'attribuer arbitrairement des MVP des Finales sur les années avant 69. ça parait bête, mais on doit pouvoir annoncer sans trop se tromper que Russell était la pièce maitresse des Celtics année après année, de même pour Pettit avec Saint-Louis ou Wilt avec les 76ers de 67...

Après, tu fais le choix de valoriser davantage l'aspect individuel, c'est un choix, mais que je ne partage pas. Ne compter que les titres est un peu sec, il faudrait prendre en compte soit les FC, soit les %ages de victoire (en SR ou en PO).

Il faudrait aussi trouver le moyen de voir comment l'équipe performe sans le joueur, mais là ça devient tendu.

La dernière étape, c'est de réaliser que ce type de classement basé sur des aspects mathématiques est completement vain. Comment évaluer l'intelligence de jeu ? Comment tenir compte de la passe qui amène la passe décisive (il me semble que ça compte au hockey, et c'est loin d'être idiot) ? De la présence inside qui dissuade un adversaire de pénétrer et lui fait prendre un mauvais shoot à mi distance ? Ce classement ne permet que de déterminer le plus beau palmarès, pas le meilleur joueur.

dreemtim
1,000 wins & 5 titles
(Dieu vivant du forum)
Répondre – Profil
Samy avait fait un sondage de ce qu'il aurait fallu mettre comme catégorie et coefficient, voilà ce que j'avais pondu

- titre NBA, 20 pts
- MVP SR, 50 pts
- FINALS MVP, 35 pts
- All NBA 1st, 40 pts
- All NBA 2nd, 30 pts
- All NBA 3rd, 23 pts
- DPOY, 15 pts
- Team defensive 1st, 10 pts
- Team defensive 2nd, 8 pts
- ROY, 14 pts
- 6TH MAN, 10 pts
- MIP, 10 pts
- sélection allstar SR, 10 pts
- scoring title, 16 pts
- rebounding title, 12 pts
- assist title, 12 pts
- steal title, 8 pts
- block title, 8 pts
- PER title, 10 pts

Pour moi on parle de carrière, donc avant tout individuel (d'ou la sous-côte des titres de champion et pas mal de points sur les stats)

Effectivement il manque les carrières internationales, les stats totales (pour compenser le biais d'un gars qui va faire une très grosse saison et quasi rien avant ni après) et le nombre de saison jouées
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Dans le genre marrant, le Top 50 des joueurs des Nets..

On a quand même en 42ème position Jason Collins et en 8ème position Chris Morris

Ca en dit long sur le niveau de la franchise...

Top 50 des joueurs des Nets
==

Karl
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Intéressant ce classement, même si au premier abord, j'ai cru que ca allait être encore un énième classement bidon, il faut reconnaître que la méthodologie est assez pertinente.

Il manque cependant :

> Le titre Olympique (même si tous les joueurs ne sont pas sur un pied d'égalité la dessus, car avant les US envoyaient les universitaires..). Ca rehausserait les membres de la DT 92 mais aussi par exemple Ginobili

> Les records en carrière en quantité (+ de points, 3pts, etc...) même si encore une fois avant on ne comptait pas les 3pts, les blocks etc... Mais ca aussi ca rehausserait par exemple Stockton, mais aussi Ray Allen

> Le nombre de 1st Team

> Le nombre de saisons jouées

> Le nombre de matchs joués sur le nombre matchs total de matchs possibles

Enfin, je trouve que le titre de MVP des finales qui apporte autant de points que celui de la saison, ça reste exagéré. Faut se rappeler que par exemple cette année, on est passé pas loin d'un Danny Green MVP des finales... Un trophée qui est adjugé sur 4 à 7 matchs ne peut pas avoir le même poids qu'un trophée obtenu sur 82 matchs.

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Karl
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