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Ils nous ont quittés

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Décès de Jim McMillian, champion avec les Lakers en 1972
Par la rédaction Le 18 mai 2016 à 7:43

mcmillian.jpg

Treizième choix de la draft 1970 à sa sortie de Columbia et champion avec les Lakers en 1972, Jim McMillian est décédé lundi des suites dun infarctus à lâge de 68 ans.
Elgin Baylor blessé, cest lui qui lavait remplacé à laile en 1972, participant activement à lincroyable série de 33 victoires daffilée des coéquipiers de Wilt Chamberlain, Gail Goodrich et Jerry West, mais aussi Pat Riley. A lépoque, ce petit ailier (1m95) tourne à 18.8 pts de moyenne.
Benjamin de leffectif, McMillian restera pendant trois saisons aux Lakers avant dêtre échangé aux Buffalo Braves contre Elmore Smith.
Il jouera 9 ans en NBA, portant ensuite les maillots des Knicks et des Blazers. On le retrouvera ensuite en Italie du côté de Bologne.
Stats en carrière : 13.8 pts, 5.3 rbds et 2.5 pds/m.

https://www.youtube.com/watch?v=zlajpxKWrS0
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Décès de Dwayne « Pearl » Washington, le « Point God »
Par Emmanuel Laurin Le 20 avril 2016 à 18:31

pearl-washington.jpg

Natif de Brooklyn, le légendaire meneur de Syracuse, Dwayne Pearl Washington, est décédé des suites dune tumeur au cerveau. Il avait 52 ans seulement.

Le Parrain des meneurs de New York
Inspiration pour de nombreux meneurs NBA issus de New York, tels Mark Jackson, Kenny Anderson, Rod Strickland, Stephon Marbury ou encore Rafer Alston, Jamal Tinsley et maintenant Kemba Walker, Pearl Washington na cependant jamais connu la carrière quon lui prédisait dans la Grande Ligue. Après avoir glané les récompenses individuelles en NCAA, et dominé sa conférence où évoluaient tout de même le Georgetown de Patrick Ewing et le St Johns de Chris Mullin, il était prédestiné à devenir une des stars de la ligue pour cette dernière moitié des années 1980.
Mais après deux saisons mi-figue mi-raisin à New Jersey (9 points, 4 passes en 21 minutes), puis un dernier essai à peine plus convaincant à Miami (8 points, 4 passes en 20 minutes), il avait décidé de passer à autre chose. Après deux ultimes saisons en CBA, chez les Rapid City Thrillers puis au San Jose Jammers, le meneur rondouillard (1m88, 86kg) sen est retourné à ses études, sur le campus de ses plus grands exploits. Trop lent, trop petit et trop « street » pour la NBA, Pearl Washington avait tout simplement perdu la flamme.
« Javais un don pour le basket et javais toujours réussi à bien men sortir au lycée et à luniversité grâce à ça. Mais quand je suis arrivé à létage supérieur, les gars étaient au-dessus de moi, » expliquait-il très honnêtement dans le New York Times. « À ce moment-là, soit tu te dis quil va falloir bosser pour devenir un bon joueur en NBA, soit tu te dis que ce nest pas pour toi. Et jai décidé que ce nétait pas pour moi. Je naimais pas assez ça pour vraiment travailler dur. Mais je nai aucun regret. Depuis que je suis gamin, mon rêve était darriver à jouer en NBA. Et je lai fait. »

« Tout le monde ladorait »
Avec son diplôme de communication en poche, Pearl Washington a longtemps bossé dans une salle de quartier où il dirigeait des activités sportives pour les jeunes. Légende sur le parquet, il était aussi devenu la voix officielle des Orangemen à la télévision et à la radio. Mais ce nest rien comparé à linfluence positive quil a eue sur son alma mater
« Je ne soulignerais jamais assez combien sa venue a tout changé pour notre équipe, » explique le coach historique de Syracuse, Jim Boeheim, dans son livre autobiographique, rapporté ici sur ESPN. « Je crois vraiment quon est devenu une équipe reconnue au niveau national avec lui. Car tout le monde savait qui était Pearl. Je descendais de lavion et jentendais toujours, cest lentraîneur de Pearl. Il nous a fait passer un cap énorme et ça nous a permis de recruter des bons joueurs non seulement de la Côte Est mais du Midwest, voire du pays entier par la suite. »
En 1985, alors quil domine les débats individuellement, ça se passe par contre moins bien pour ses Orangemen qui doivent sincliner en finale de conférence face à St John. Pearl Washington a eu le tir de la gagne au bout des doigts mais il sest tout simplement fait contrer par Walter Berry. Malgré la défaite, en larmes dans les vestiaires, il est élu MVP du tournoi (23 points et 10 passes de moyenne).
« Je lui ai dit que jétais désolé de le faire revenir sur le parquet pour ça, mais quon était bien obligés de le faire, » se souvient Mike Tranghese, le commissionnaire de la Big East à lépoque, sur ESPN. « Et quand on a annoncé quil était le MVP, je me souviens de Walter Berry, Mark Jackson et tous les autres gamins de St John, sans jalousie aucune. Ils ont tous couru vers Pearl pour le consoler. Cétait un des moments les plus mémorables de ma vie. Mais cétait Pearl. Tout le monde ladorait. »
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Décès de lancien All-Star Clyde Lovellette
Par Arnaud Gelb Le 10 mars 2016 à 18:38

Lovellette-Clyde.jpg

Clyde Lovellette, lun des plus grands joueurs des années 1950-60 est décédé jeudi des suites dun cancer à lâge de 86 ans. Il restera à la postérité comme le premier joueur de lhistoire à avoir remporté les titres de champion NCAA, NBA ainsi que la médaille dor olympique.
Originaire de lIndiana, cest cependant sous les couleurs de luniversité de Kansas que Lovellette fait ses classes avant de remporter le titre de champion NCAA en 1952, décrochant au passage de trophée de meilleur joueur du Final Four et de meilleur marqueur du championnat avec 28.4 points de moyenne. Il est encore à ce jour le seul joueur à avoir remporté le titre de champion et de meilleur scoreur lors de la même saison.

Champion avec les Lakers et les Celtics
Ses exploits avec les Jayhawks le mènent à être sélectionné pour les Jeux Olympiques dHelsinki en 1952 où cet intérieur de 2m07 combine le titre de meilleur marqueur de léquipe et le titre de champion olympique. Il ne tarde pas à rejoindre la NBA et devient rapidement lun des joueurs les plus dominants de la ligue. Il remporte ainsi le titre de champion NBA en 1954 avec les Minneapolis Lakers aux côtés de George Mikan puis participe à quatre All-Star Game en 1956, 1957, 1960 et 1961. Il décroche deux titres supplémentaires avec les Boston Celtics en 1963 et 1964 avant de se retirer des parquets.
Entré au Hall of Fame en 1988, Lovellette restera comme lun des meilleurs joueurs de laprès-guerre.

Son palmarès
Champion NCAA (1952 avec Kansas)
Meilleur joueur du Final Four (1952)
Meilleur marqueur NCAA (1952)
Player of the Year (1952)
All-American (1951, 1952)
Champion Olympique (1952 avec les États-Unis)
3 fois champion NBA (1954, 1963, 1964)
4 fois All-Star (1956, 1957, 1960, 1961)
All-NBA Second Team (1956)
Lady M
TP fan :)
(Mythe)
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Mon2mer2 a dit :
Anonyme a dit :
MC Jean Gab1 a dit :il s'est éteint de mort naturelle.


Ce qui, comme n'importe quel médecin l'expliquera, ne veut strictement rien dire smiley.gif

.


Je pense que ça implique qu'il n'est pas mort de pendaison en s'ouvrant les veines pendant qu'il fumait du crack en se faisant tirer dessus depuis une voiture qui lui fonçait dessus.

enfin Raspoutine aurait survécu à tout ça drole.gif
Mon2mer2
x
(Mythe)
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Anonyme a dit :
MC Jean Gab1 a dit :il s'est éteint de mort naturelle.


Ce qui, comme n'importe quel médecin l'expliquera, ne veut strictement rien dire smiley.gif

.


Je pense que ça implique qu'il n'est pas mort de pendaison en s'ouvrant les veines pendant qu'il fumait du crack en se faisant tirer dessus depuis une voiture qui lui fonçait dessus..



beyonce1.gif.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
MC Jean Gab1 a dit :il s'est éteint de mort naturelle.


Ce qui, comme n'importe quel médecin l'expliquera, ne veut strictement rien dire smiley.gif

Les anciens joueurs tombent comme des mouches en ce début de saison.
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Décès de lancien All-Star John Johnson (1947-2016)
Par Fabrice Auclert Le 9 janvier 2016 à 15:06

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Deux fois All-Star sous les couleurs des Cavaliers et champion NBA avec les Sonics en 1979, John Johnson est décédé dans son sommeil vendredi à lâge de 68 ans dans sa maison de San Jose.
Drafté en 7e position par Cleveland en 1970 à sa sortie dIowa, ce pionnier du poste de « point forward » devient le premier All-Star de lhistoire des Cavaliers. Et ce dès sa première saison chez les pros. Capable de jouer 3 ou 2, il récidive dès la saison suivante, simposant comme lun des meilleurs extérieurs de sa génération, tournant à 17.7 pts et 8.7 rbds de moyenne après deux saisons.

Le premier « point forward » de lhistoire
Après un départ pour Portland, puis un transfert à Houston, il rejoint les Sonics en 1977. Il y retrouve Lenny Wilkens son ancien coéquipier aux Cavaliers, devenu GM puis coach de Seattle. Aux côtés de Dennis Johnson et Gus Williams, le tandem atteint les Finals deux années de suite, et ils décrochent en 1979 lunique titre de la franchise face aux Bullets.
« Avant quon ninvente le terme « Point forward », cest ce quil était, et jai de grands souvenirs de lui » a réagi Wilkens dans le Seattle Times. « Je lai coaché et jai joué à ses côtés à Cleveland. Cétait un féroce compétiteur, et lorsquil était sur le terrain, il ne pensait quà gagner. On avait ça en commun. Il était bien meilleur que ce que beaucoup imaginaient. Il pouvait mener le jeu, et il faisait la passe dès que vous étiez démarqué. Jadorais ça chez lui. »
Après son titre, Johnson disputera encore deux saisons à 11 pts et 5 rbds de moyenne avec les Sonics. Il prend sa retraite en 1982, à 34 ans. Selon lun de ses fils, assistant à luniversité de Portland, Johnson ne se sentait pas bien depuis quelques jours, et il sest éteint de mort naturelle.
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Décès de John « Hot Rod » Williams (1962-2015)
Par Mondial Basket Le 11 décembre 2015 à 17:20

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Atteint dun cancer de la prostate, John « Hot Rod » Williams sest éteint ce vendredi à lâge de 53 ans dans un hôpital de Baton Rouge. Ancien intérieur de Cleveland et Phoenix, son nom restera lié à une histoire de gros sous puisquil fut , au début des années 90, le joueur le mieux payé de la Ligue !
Des sous, des sous, des sous ! Cest lhistoire dun bon paquet de dollars. Ces billets verts qui ne font pas le bonheur mais qui y contribuent fortement. Question : qui touche le plus en NBA ? Quel est le premier homme à avoir gagné 5 millions de dollars par an ? Larry Bird ? Faux. Magic Johnson ? Faux. Donc, cest forcément Michael Jordan, le meilleur de tous. Eh bien non ! Le veinard sappelle John Williams, également connu sous le nom de « Hot Rod », du nom de ces voitures avec des roues gigantesques. Pourquoi « Hot Rod » ? Bébé, John se baladait toujours à quatre pattes en criant « Vroum, vroum ! »

Orphelin à 8 mois
Lhistoire de Williams est lun des plus beaux contes de fées qui soient. Durant lété 1990, le Heat offre un contrat sans précédent 26,5 millions de dollars sur 7 ans, dont 5 dès la première année à « Hot Rod ». Son bail avec Cleveland est arrivé à échéance. Les Cavs ont 15 jours pour saligner. Sinon, ils perdront leur joueur sans la moindre compensation. Quelques jours plus tard, ils font de lailier fort de 2,11 m et 111 kg le basketteur le mieux payé de NBA. Entre son enfance dorphelin et plusieurs affaires délicates lors de son passage à Tulane University, dont il fut le meilleur scoreur historique (16 pts de moyenne sur 4 ans), Williams est un survivant.
John naît dans la pauvreté la plus totale, le 9 août 1962 à Sorrento, un patelin de 750 habitants en Louisiane. Il a huit mois à la mort de sa mère, Annie.
« Je nai jamais vu une photo delle », confie « Hot Rod ». « Je ne sais même pas où elle est enterrée. Je sais très peu de choses sur elle, sinon que Dieu a rappelé à lui une bonne personne. »
On ne peut pas dire la même chose de son père qui labandonna peu de temps après la mort dAnnie. Il ne laissa quune chose à son fils : son nom. « Hot Rod » se présenta en tant que John Washington Jr. jusquà ce quune étude de son certificat de naissance, au lycée, révèle son nom légal : Williams. Etre abandonné laisse évidemment des cicatrices impossibles à refermer. Elles marquent un homme à vie. Michael Green, qui fut lagent de John, se souvient :
« Quand je lui ai demandé le nom de son père, il sest mis à pleurer. Je lai laissé. Je suis revenu 10 minutes plus tard, il pleurait toujours. »

Les voisins ont une vision dhorreur
Le grand-père maternel, Felton Williams, récupère le bébé. Il fait de son mieux mais ce nest pas toujours suffisant. Le vieil homme est aveugle. Les gens qui passent devant la maison entendent souvent des cris. En sapprochant, ils découvrent un bambin sur un matelas râpé, entouré de mouches et dinsectes rampants. Cest la vision dhorreur qua Barbara Colar, une voisine, tous les jours en rentrant chez elle.
« Un soir, jai eu limpression que le bébé me regardait en me disant : « Emmène-moi, je suis à toi ». Je lai pris et je lai adopté. »
« Hot Rod », comme elle le surnomme, rejoint ainsi une famille de quatre enfants. Mais John est toujours dans un milieu pauvre et il ny a pas dhomme au foyer.
« Cest dur de grandir sans père, sans quelquun pour te dire quoi faire ou ne pas faire », confiait-il. « Ma mère dadoption se tua à la tâche pour nous. Elle avait deux boulots. Quand elle partait, à 6 h du matin, je dormais encore et quand elle rentrait le soir, jétais déjà couché. On était livrés à nous-mêmes toute la journée. Pour moccuper, jai commencé à jouer au basket. »
Le terrain était en cendrée. Pas du luxe. Ne pouvant travailler son dribble, John va devenir un adepte du shoot dès la réception de la balle. Williams comprend très vite que le basket lui permettra de sortir de la misère. Contacté par Tulane University, il nhésite pas une seconde quand il reçoit une boîte de chaussures renfermant 10 000 $. Régulièrement, pendant sa carrière universitaire, on glissera sous sa porte des enveloppes contenant 1 000 $. Toutes ces petites primes, évidemment contraires au règlement NCAA, furent à lorigine de ses ennuis.
« On me donnait cet argent, je nallais pas le refuser. Ma mère et moi navions rien, absolument rien. On avait besoin de vêtements, de chaussures Je navais jamais lu le règlement. »

Il risque 17 ans de prison pour corruption
Entre 1981 et 85, Williams fait les beaux jours de la fac. Aux yeux des scouts NBA, il est un premier tour de draft en puissance. Mais une bombe explose. John et quatre autres joueurs sont poursuivis dans une affaire de matches arrangés. « Hot Rod » est accusé davoir touché 8 550 $ pour truquer les scores des rencontres face à Southern Mississippi, Memphis et Virginia Tech. Arrêté le 27 mars 1985, il nie les faits. Bien sûr, cela ne suffit pas. La machine judiciaire est en marche. Il risque 17 ans de prison. La NBA fait passer une circulaire stipulant quil peut se présenter à la draft mais que le commissioner, David Stern, devra donner son assentiment. Seul Cleveland croit en sa bonne foi. Les Cavaliers le sélectionnent en 45e position. Williams est jugé pour corruption et conspiration. Le premier procès est annulé. Il faut attendre le second, le 16 juin 1986, pour que Williams soit relaxé, blanchi des cinq chefs dinculpation.
« Je nai jamais eu peur, je savais que jétais innocent. Le plus dur était de ne pas pouvoir jouer en NBA et dentendre tous ces mensonges à mon sujet sans pouvoir répondre. »
Un an plus tard, après une pige en USBL, « Hot Rod » démarre enfin sa carrière NBA. Au début des années 90, il devient riche. Très riche. Il se fait construire une villa gigantesque dans la banlieue de Cleveland. A lautre bout de la propriété, il fait bâtir une autre maison pour Barbara Colar. Avec sa femme Karen et leurs trois enfants (il en aura un quatrième), John a trouvé son havre de paix. Il ne veut pas en bouger. Cest pour cela quil a refusé une proposition de Seattle.
« Jadore léquipe, lendroit est calme et cest bien pour ma vie de famille. Je ne voulais pas partir, même pour gagner encore plus dargent. »
Un choix qui satisfait pleinement Lenny Wilkens, le coach des Cavs.
« Je sais que je peux compter sur lui tous les soirs. Il est très appliqué, peut marquer, prendre des rebonds, réussir des contres. Cest un excellent joueur déquipe. »

Un salaire qui fait jaser
Daucuns estiment que la note est un peu salée pour un joueur dont les stats natteignent pas des sommets (11.7 pts et 6.7 rbds par match en 1991). Mark Bartelstein, son agent, a son avis sur la question.
« Laissons parler les médisants. John mérite chaque centime de son salaire. Cest le professionnel absolu, le rêve pour nimporte quel coach. Il accepte tout ce quon lui demande. Il se moque de ses chiffres personnels, seule la victoire compte pour lui. »
Un bel hommage pour une belle saga. Une histoire que le membre de la confrérie Alpha Phi Alpha, fan de Richard Pryor et Chuck Norris, compare à une montée descaliers.
« Certaines marches étaient pourries. Je suis tombé, jai été retardé mais je nai jamais abandonné. Si tu laisses tomber un instant, tu as perdu pour toujours. »
Rebondeur et contreur solide, Williams dispute neuf saisons dans lOhio entre 1986 et 1995. En 1987, il est retenu dans la All-Rookie First Team en compagnie de ses deux coéquipiers Ron Harper et Brad Daugherty (le meneur Mark Price dispute lui aussi sa première saison NBA cette année-là). A titre personnel, « Hot Rod » sest affiché à 14.6 points, 7.9 rebonds, 1.9 passe et 2.1 contres sur 80 matches, tous disputés comme starter. Durant cette fameuse année 1990 qui voit le Heat lui dérouler le tapis rouge, lintérieur des Cavs signe sa meilleure saison dans la Ligue en tant que 6e homme (16.8 pts, 8.1 rbds, 2 pds, 1 int, 2 cts).
Hélas, Cleveland a le tort dévoluer dans la même poule et la même Conférence que léquipe dun certain Michael Jordan. Pour « Sa Majesté », les Cavaliers sont au mieux une proie facile, au pire un bon punching ball. Cinq affrontements en playoffs, cinq qualifications pour les Bulls. Lexploit dans le Game 2 de la finale de Conférence Est 1992 (victoire 107-81 dans lIllinois) restera sans lendemain. Sur cette campagne longue de 17 matches, le n°18 de Cleveland a tourné à 15 points et 7.6 rebonds.
Privé de son pivot Brad Daugherty, diminué au dos et remplacé par John Williams sous le cercle, la franchise de lOhio parvient à équilibrer son bilan (43-39) et à faire durer le plaisir en 1995 mais New York accède facilement aux demi-finales de Conférence (3-1). Williams, à qui les Knicks avaient plutôt bien réussi en saison régulière (16.5 pts et 9 rbds sur 4 matches), bouffe la feuille de match durant la série (6.8 pts à 28.6% et 6.3 rbds). Le 7 octobre de cette même année, Cleveland cède son intérieur à Phoenix contre Dan Majerle, Antonio Lang et un premier tour de draft, utilisé en 1997 pour récupérer le meneur Brevin Knight.
A 33 ans, « Hot Rod » est diminué par les blessures et moins productif au scoring (7.3 pts sur 26.6 mn) mais il fait le taf ailleurs quand son corps le laisse tranquille (6 rbds, 1.5 ct). Le souci, cest que cette équipe de Phoenix a laissé passer sa chance face aux Bulls puis contre les Rockets. Le transfert de Charles Barkley à Houston le 19 août 1996 valide un constat déchec. Pour John Williams, le soleil se couche rapidement : les Spurs sortent deux fois Phoenix au premier tour des playoffs (3-1 en 1996 et 98) et les Sonics en font autant en 1997 (3-2).
Coupé le 30 juin 1998 alors que sa production est tombée à 3.7 points et que la concurrence de Clifford Robinson est devenue rédhibitoire, le meilleur contreur de lhistoire des Cavs (1 200 blocks, battus par Zydrunas Ilgauskas et ses 1 269) et leader au nombre de minutes jouées (20 802, battues depuis par LeBron James) atterrit à Dallas où il ne disputera que 25 matches, trahi par son dos.
Au lendemain dun blockbuster deal qui lenvoie à Boston, en août 2000, « Hot Rod » met un point final à sa carrière. Il sest éteint ce vendredi à 53 ans, dans un hôpital de Baton Rouge, pas très loin de Sorrento où il avait créé sa société de constructions de maison. Un business qui lui permettait de sadonner à sa passion : larchitecture.
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Décès de Dolph Schayes, légende des Syracuse Nationals
Par Dimitri Kucharczyk Le 10 décembre 2015 à 19:26

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Atteint dun cancer en phase terminale, Dolph Schayes sest éteint ce matin, à 87 ans. Lancien intérieur des Syracuse Nationals (devenus les Philadelphia Sixers en 1963) fut champion NBA en 1955 et participa 12 fois au All-Star Game.
Joueur complet (18.5 points, 12.1 rebonds et 3.1 passes de moyenne), il était connu pour son tir extérieur, qui sélevait très haut dans les airs. Elu au Hall of Fame en 1972, puis comme un des 50 meilleurs joueurs de lhistoire de la ligue en 1996, Dolph Schayes fut ainsi lune des figures marquantes des débuts de la NBA.
Coach/joueur des Sixers en 1963, il prit sa retraite cette année-là mais continua à entraîner léquipe pendant trois ans. Il fut dailleurs nommé meilleur coach de lannée en 1966. Il était le père du pivot Danny Schayes, qui joua 18 ans en NBA.

https://www.youtube.com/watch?v=0QCf8rheEBc
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Les Pacers pleurent Mel Daniels (1944-2015)
Par Fabrice Auclert Le 30 octobre 2015 à 21:39

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Présent jeudi au Conseco Fieldhouse pour la première des Pacers face aux Grizzlies, Mel Daniels est décédé vendredi. Légende de la franchise dIndianapolis dont il a porté le maillot de 1968 à 1974 puis dirigé de 1986 à 2009, il avait 71 ans, et venait de subir une opération à coeur ouvert.
Sil na joué que 11 matches NBA, Daniels est un monument du basket, entré au Hall Of Fame en 2012. Né en 1944 à Detroit, puis formé à luniversité de New Mexico, Daniels est sélectionné en 9e position de la draft 1967. Mais à la surprise générale, il choisit de rejoindre lABA, la ligue concurrente de la NBA, où il explose tout sous les couleurs des Minnesota Muskies, tournant à 22.2 points and 15.6 rebonds de moyenne.
Sept fois All-Star, il rejoint ensuite les Pacers où il simpose comme lun des meilleurs joueurs de lABA, remportant trois titres de champion et deux trophées de MVP. Meilleur rebondeur de lhistoire de cette ligue avec 15.1 prises en moyenne, il rejoint finalement la NBA lors de la fusion avec lABA.

Aux côtés de Reggie Miller, son maillot est retiré aux Pacers
Blessé au dos, il ne joue que 11 matches sous les couleurs des New York Nets, avant de prendre sa retraite au début de la saison 1975/76. Il rejoint ensuite le staff dIndiana State où évolue un certain Larry Bird
Il retrouvera ce même Bird aux Pacers comme dirigeant de 1986 à 2009. Avec notamment Reggie Miller, il faisait partie du club très fermé des quatre joueurs dont le maillot est retiré aux Pacers.
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A 3x MVP & an NBA champ, Moses Malone ranks 1st all-time in Offensive Rebs (6,731), 5th in Total Rebs (16,212), 8th in Scoring (27,409) #RIP
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Décès de Moses Malone (1955-2015), triple MVP dans les années 80
L’année 2015 est l’une des plus tragiques de l’histoire NBA puisqu’après Jerome Kersey, Anthony Mason et plus récemment Darryl Dawkins, on vient d’apprendre à 60 ans le décès de Moses Malone, retrouvé mort dans un hôtel en Virginie. Un des meilleurs pivots de l’histoire de NBA, Malone fut l’un des seuls à tenir tête à Kareem Abdul-Jabbar à la fin des années 70 et au début des années 80.
Triple MVP et champion NBA avec les Sixers, Malone fut aussi un pionnier passant directement de la case lycée à l’ABA, la ligue concurrente de la NBA, en 1974.

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LeBu a dit : Moses Malone 60 ans


Une des megastars les plus souvent oubliées lorsqu'on évoque les stars du passé. Un joueur pas exempt de reproches (un beau trou noir, notamment), mais une technique au rebond qui ne peut pas se résumer à "il faisait exprès de louper des shoots pour gober plus de rebonds offensifs". Et puis il a su transformer une équipe de 76ers de losers (3 défaites en finales en 6 ans) en winner (fo, fi, fo )
LeBu
Because
(Historique)
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Moses Malone
60 ans
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Darryl Dawkins est décédé - http://basket-infos.com/2015/08/27/darryl-dawkins-est-decede/ …
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Décès de Bob Kauffman, premier All-Star des Buffalo Braves
Par Jonathan Demay — Le 2 août 2015 à 11:38

Franchise ancêtre des Clippers, les Buffalo Braves viennent de perdre le premier All-Star de leur histoire puisque Bob Kauffman est décédé le 1er août à l’âge de 69 ans.
Passé d’abord par Chicago et Seattle, Kauffman a rejoint les Braves lors de leur arrivée en NBA, en 1970-71. Avec 20.4 points, 10.7 rebonds et 4.5 passes de moyenne, il devient All-Star et marque l’histoire de sa franchise. Il restera parmi la crème de la crème en 1972 et 1973.
Cet ailier robuste et physique, ne va pas faire une longue carrière. Il va disputer 7 saisons avant de quitter la ligue en 1975, à seulement 28 ans avec 11.5 points et 7 rebonds de moyenne en 525 matches.
Ensuite, en 1977, il prend en main les Pistons pendant 58 rencontres et affiche 29 victoires et 29 défaites. Plus tard, on lui offrira un poste d’assistant du GM des Hawks, où il avait disputé sa dernière saison de joueur.
Il souffrait de problèmes cardiaques et d’après sa fille, il s’est éteint paisiblement dans son sommeil.

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L’ex-joueur NBA Jackson Vroman décède dans un accident de voiture
Par Jeremy Le Bescont — Le 30 juin 2015 à 6:45

Jackson Vroman, ancien joueur NBA, membre de l’équipe nationale libanaise, est mort des suites d’un accident de voiture. Il était le fils d’un autre joueur NBA, Brett Vroman, éphémère membre du Jazz en 1981.
Membre des Suns, des New Orleans Hornets et du Thunder entre 2004 et 2006, l’intérieur avait poursuivi sa carrière vers d’autres cieux sur le Vieux Continent, en Asie puis en Amérique du Sud.
Doté de la double nationalité américaine et libanaise, il avait tenu un blog chez nos confrères de Hoopshype. Plusieurs anecdotes savoureuses sont à découvrir, telles que son introduction de la tequila en Iran. Si son passage en NBA fut bref, il fait partie de ces joueurs qui ont profité de leur talent de basketteur pour parcourir le globe et s’offrir une belle aventure. La sienne s’est arrêtée alors qu’il n’avait que 34 ans.


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La NBA et les Sixers pleurent Harvey Pollack, la légende des statistiques
Par Jonathan Demay — Le 24 juin 2015 à 9:11

Plus ancien employé de la NBA, présent depuis sa création en 1946, Harvey Pollack est décédé mardi à l’âge de 93 ans.
Victime d’un accident de voiture en début d’année, Pollack faisait partie des meubles dans la ligue, mais aussi des Sixers où il occupait encore un rôle de responsable de la documention et des stats. Mais son histoire avec la NBA va au-delà de sa simple présence depuis 70 ans puisque Pollack a été un vrai pionnier des statistiques.

L’homme des 100 points de Wilt Chamberlain
Pendant 40 ans, il a sorti chaque année un cahier bourré de chiffres et son intérêt mathématique de ce sport a poussé les franchises à consulter ses archives, mais aussi à aller plus loin dans la collecte de données liées aux rencontres.
« Il n’y a jamais eu de NBA sans Harvey Pollack. Il a documenté la ligue pendant 70 ans avec passion, curiosité et une extraordinaire éthique de travail », s’est exprimé Adam Silver, dans un communiqué.
Il a aussi laissé sa trace dans l’histoire en étant l’homme qui avait inscrit le chiffre « 100 » sur la feuille blanche que tient Wilt Chamberlain le soir où il a marqué 100 points, le 2 mars 1962.

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Décès de Jack Haley, champion avec les Bulls en 1996
Par Fabrice Auclert — Le 17 mars 2015 à 21:06



Après les morts de Jerome Kersey, Earl Lloyd et Anthony Mason, la NBA est à nouveau endeuillée avec le décès de Jack Haley, champion aux côtés de Michael Jordan, Scottie Pippen et Dennis Rodman en 1996.
Journeyman par excellence, Haley (1964-2015) n’avait en fait joué qu’un seul match cette année-là. Le dernier de la saison régulière. Suffisant pour être considéré comme membre des champions en titre.
Passé par les Lakers et les Spurs, mais aussi plusieurs clubs en Europe, Haley avait joué 341 matches NBA pour 3.5 pts de moyenne.
A la fin de sa carrière, Haley avait rejoint le banc des Nets, puis les Lakers comme consultant TV
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Mort de Christian Welp, l’un des premiers européens de la NBA
Par Fabrice Auclert — Le 2 mars 2015 à 7:40



Après les décès de Jerome Kersey et Anthony Mason, la NBA est à nouveau endeuillé par la mort d’un joueur âgé de la cinquantaine… C’est l’université de Washington qui a annoncé le décès de Christian Welp, l’un des tout premiers joueurs européens à avoir foulé les parquets NBA.
Formé chez les Huskies, où il détenait encore le record de points marqués, ce pivot allemand est mort à l’âge de 51 ans des suites d’un infarctus.
Elu meilleur joueur de la Pac-10 en 1986, Welp (2m13) est drafté en 16e choix par les Sixers l’année suivante. Contrairement à son compatriote Detlef Schrempf, qu’il côtoya à Washington, ou encore à Dirk Nowitzki, Welp ne brillera pas en NBA.
Après trois saisons passées aux Sixers, aux Warriors et aux Spurs, et 109 matches joués en NBA, il rentre en Europe où il brillera dans le championnat allemand, mais aussi au plus haut niveau, remportant l’Eurobasket en 1993 avec l’Allemagne, puis l’Euroleague avec l’Olympiakos.
Après la fin de sa carrière, en 1999, on le retrouve jusqu’en 2006 sur le banc de l’équipe d’Allemagne comme assistant. Il était depuis retourné à Seattle où il vivait avec sa femme et ses deux enfants.
jbtahiti
Stopweb
(Légende)
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Après Kersey, un autre chêne des années 90 qui tombe. Celui-ci avait la particularité d'avoir des mains aussi habiles que ses épaules étaient larges, et il faisait danser ses coudes aussi bien q'un Malone ou un Barkley.

Un des visages des Knicks des années 90 qui n’ont rien gagné, mais qui auront considérablement marqué la NBA.
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Décès d’Anthony Mason (1966-2015)
Par Fabrice Auclert — Le 28 février 2015 à 15:21



Hospitalisé depuis le 11 février après avoir souffert de plusieurs infarctus, Anthony Mason est décédé dans la nuit de vendredi à samedi à l’âge de 48 ans. C’est ce qu’a révélé un porte-parole des Knicks au New York Daily News et à ESPN.
Joueur emblématique des Knicks, à l’époque de Pat Ewing, l’ancien All-Star avait subi plusieurs opérations, et les médecins avaient prévenu qu’il serait contraint de subir une transplantation cardiaque pour sa survie.
Depuis plusieurs jours, l’optimisme était d’ailleurs revenu puisque son fils avait pu s’entretenir avec lui. Malheureusement, le coeur très fatigué de « Mase » a cessé de battre cette nuit, plongeant à nouveau la NBA dans le deuil après les décès récents de Jerome Kersey et d’Earl Lloyd.
Père de deux enfants, dont l’un a tenté une carrière NBA avant de rejoindre la D-League, Anthony Jr., et l’autre est actuellement à Auburn University, Mason était dans ses plus belles années considéré comme l’un des meilleurs joueurs à son poste, polyvalent et surtout particulièrement combatif.
Membre de l’équipe des Knicks finaliste en 1994, meilleur sixième homme en 1995, il incarnait l’archétype de la plaie défensive et du joueur d’équipe, malin et doué. All-Star en 2001 avec le Heat, il était très apprécié de Pat Riley, lequel l’a coaché à New York puis en Floride.

Drafté en 53e position, il débute sa carrière à l’étranger
Ce Babar au physique imposant (2m01, 125 kilos) bataillait dur sous les panneaux mais pouvait aussi aller ennuyer des extérieurs. Un Hakeem Olajuwon ou un Michael Jordan ne lui faisait pas peur.
Trop petit pour son poste, trop grassouillet mais vrai joueur de basket, essentiel dans un collectif et bon soldat, Mason avait prouvé qu’on pouvait briller en NBA après avoir débuté sa carrière en Turquie et au Vénézuela.
Toujours proche du club, il espérait intégrer le staff des Knicks.

Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Matisse a dit :Anthony Mason est finalement décédé 15 jours après son attaque cardiaque. J'aimais beaucoup cet intérieur au physique peu commun mais un sacré combattant.
Et moi qui croyais que t'avais 16ans/17ans...j'en tombe de ma chaise.
Matisse
BARCA BARCA BARCA 6-1 !!
(Mythe)
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Anthony Mason est finalement décédé 15 jours après son attaque cardiaque. J'aimais beaucoup cet intérieur au physique peu commun mais un sacré combattant.
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Décès de Earl Lloyd (1928-2015), le premier Noir de l’histoire de la NBA
Par Mondial Basket — Le 27 février 2015 à 6:35



Son nom ne vous dit pas forcément quelque chose, et pourtant il y a près de 65 ans, le 31 octobre 1950, Earl Lloyd entrait dans l’histoire en devenant le premier Noir à jouer dans un match de saison régulière en NBA.
A l’instar de Jackie Robinson au baseball, c’est un pionnier du basket qui s’est éteint cette nuit à l’âge de 86 ans. Ironie de l’histoire, il meurt l’avant-dernier jour du Black History Month.
Ce fameux 31 octobre 1950, la rencontre opposait les Washington Capitols, une équipe coachée par Red Auerbach de 1946 à 1949, aux Rochester Royals (futurs Sacramento Kings). Elle eut lieu à Rochester. Lloyd (1,96 m pour 102 kg) jouait ailier pour les Capitols. La Ligue n’avait que 4 ans d’existence et elle ne ressemblait évidemment pas à ce qu’elle est aujourd’hui. Lloyd, surnommé « The Big cat » (Le grand chat), allait faire tomber une barrière très symbolique.
« J’imagine que les gens s’attendaient à voir débarquer des membres du Ku Klux Klan avec leurs cordes et leurs robes. Il ne s’est rien passé. A ma sortie de la fac, je devais montrer à tout le monde que les gars de ma Conférence étaient aptes à évoluer en NBA, pas seulement moi. »
Au cours de cette saison 1950-51, trois autres joueurs afro-américains foulèrent les parquets de la NBA : Hank DeZonie, Nathaniel Clifton (New York Knicks) et Chuck Cooper (Boston Celtics). Lloyd fut le premier en action. Cooper l’imita dès le lendemain. Clifton quatre jours après. En décembre, DeZonie s’engagea avec les Tri-Cities Blackhawks.

Champion NBA en 1955
Né le 3 avril 1928, Lloyd fut distingué par le Hall of Fame en 2003 en tant que pionnier de la lutte contre la ségrégation raciale. Sorti de West Virginia State College, une fac avec uniquement des étudiants noirs, et retenu au neuvième tour (107e choix) de la draft 1950 par les Capitols, il passa une décennie dans la Ligue : quelques semaines à Washington, six saisons à Syracuse et deux à Detroit. Il fut champion NBA en 1955 avec les Syracuse Nationals (4-3 contre Fort Wayne en Finales). Il s’essaya également au coaching à Detroit (1971-72) avant de bosser comme scout pendant cinq ans.
Son aventure chez les Capitols s’interrompit après 7 matches. Coupé en janvier 1951, il s’engagea dans l’armée avant d’être récupéré par les Nationals. C’est chez eux qu’il signa sa meilleure saison dans la Ligue, en 1954-55 (10.2 pts, 7.7 rbds). « The Big cat » devint, avec Jim Tucker, le premier Afro-Américain évoluant dans une équipe championne NBA.

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Les Blazers pleurent Jerome Kersey (1962-2015)
Par Fabrice Auclert — Le 19 février 2015 à 6:52



Ce sont les Blazers, une franchise où il a évolué pendant 11 ans, qui ont appris la mauvaise nouvelle au monde entier : Jerome Kersey est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi à l’âge de 52 ans. C’est à son domicile, vers 17h00, que Kersey a eu semble-t-il un malaise, et il est décédé à l’hôpital.
Même s’il a gagné le titre avec les Spurs en 1999 et porté le maillot de six équipes différentes, le nom de Jerome Kersey restera à jamais lié aux Blazers, une franchise dont il était resté proche. C’est sous le maillot des Blazers, et aux côtés de Clyde Drexler, Cliff Robinson et Terry Porter, que Kersey atteindra par deux fois les Finals, et il était revenu au club comme VRP. Mardi, il était encore dans une école de la ville, en compagnie de Brian Grant, pour célébrer l’African American History Month.
Ailier polyvalent, tout en puissance, Kersey était l’un des joueurs symboles des Blazers du début des années 90, et il est sur le podium de l’histoire de la franchise dans bien des catégories statistiques : 2e aux matches joués et aux rebonds ; 3e aux minutes jouées et aux interceptions.
Drafté au second tour en 1984, Kersey aura joué 17 saisons en NBA pour 10.3 pts et 5.5 rbds de moyenne, avec des pointes à 19.2 pts et 8.3 rbds en 1988. Après sa carrière de joueur, il avait entamé une brève carrière d’assistant, et on l’avait retrouvé sur le banc des Wolves en 2004, aux côtés de son ancien coéquipier Terry Porter.
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Few coaches reached coaching milestones faster than Jerry Tarkanian, who died Wednesday at 84


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BREAKING: Basketball coaching legend Jerry Tarkanian dies at 84 -->
http://yhoo.it/1E12MYc


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Jerry Tarkanian won 729 games and led 3 schools to the NCAA tournament in his 31 years as a head coach.


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Décès de Dean Smith, le légendaire coach de North Carolina
Par Fabrice Auclert — Le 8 février 2015 à 15:45

C’est l’université de North Carolina, via un communiqué, qui a annoncé la triste nouvelle. Atteint de démence sénile depuis quelques années, Dean Smith s’est éteint samedi, chez lui, entouré de sa femme et ses enfants. Il avait 83 ans.
Pour le grand public, le nom de Dean Smith restera à jamais lié à celui de Michael Jordan puisqu’il fut l’entraîneur du plus grand joueur de tous les temps lors de son passage à North Carolina. Ensemble, et aux côtés de James Worthy, ils ont remporté le titre en 1982, sur un panier de « Son Altesse ».
Coach de UNC de 1961 à 1997, Smith mènera les Tar Heels à 11 Final Four, raflant le titre en 1982 et 1993. Lorsqu’il quitte les bancs de touche, en 1997, Smith est alors le coach le plus victorieux de l’histoire avec 879 victoires.
Outre Jordan et Worthy, Smith a eu sous ses ordres un grand nombre de joueurs devenus des stars ou des personnalités de la NBA comme Vince Carter, Rasheed Wallace, Brad Daugherty, Jerry Stackhouse, mais aussi Mitch Kupchak, Antawn Jamison et Sam Perkins.
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Sad News: Big-time/first class journalist Bryan Burwell passes away at 59; A great contributor to various @NBA projects over the years
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Brandon Rush.
Il nous a quitté il y a deux ans après une grave blessure face à MEM.
Car il faut se rendre à l'évidence le mec est fini et ça fait chier car j'étais fan de ce joueur exemplaire et très précieux dans une rotation.
Du coup GS n'est pas si deep qu'il y parait.
RIP Brandon
Bibi
//twitter.com/Bibi_2K12
(Historique)
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MC Jean Gab1 a dit : Alain Gilles est décédé Alain Gilles, le meilleur joueur de l'histoire du basket français avant l'ouverture des frontières et l'avènement des générations Rigaudeau et Parker, est décédé mardi soir à 69 ans.


Triste nouvelle pour le basket lyonnais. J'espère que l'ASVEL saura lui rendre hommage cette saison.
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Alain Gilles est décédé
Alain Gilles, le meilleur joueur de l'histoire du basket français avant l'ouverture des frontières et l'avènement des générations Rigaudeau et Parker, est décédé mardi soir à 69 ans.
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Deuxième anniversaire de 24, à deux jours près. Un point sur les stats.

1 an
1 269 membres
132 136 posts

2 ans
1 917 membres (+51%)
294 816 posts (+55,1%)
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Famine, Matisse, Garcy.
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Décès d'André Buffière, légende du basket français
André Buffière, l'ancienne légende de l'ASVEL, entraîneur de l'équipe de France et coach du Limoges CSP, s'est éteint ce jeudi à l'âge de 91 ans.

C'était l'un des pionniers de l'équipe de France de basket; avec laquelle il était devenu vice-champion olympique en 1948, avant de décrocher deux médailles d'argent aux championnats d'Europe et une médaille de bronze. André Buffière, décédé ce jeudi à l'âge de 91 ans, avait aussi participé aux belles heures de Villeurbanne, où il avait remporté quatre titres nationaux en tant qu'entraîneur-joueur.
Coach couronné de succès à la fin de sa carrière professionnelle, le Hall of Famer tricolore avait ainsi passé huit longues années à la tête des Bleus, avant de retourner offrir deux titres à l'ASVEL. Dans les années 80, il avait également contribué à lancer le Limoges CSP vers les sommets, avec un titre national et deux sacres européens (coupe Korac) en 1982 et 1983. C'était l'un des plus beaux palmarès de l'histoire du basket. français.
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Décès de Caldwell Jones (1950-2014)
Par Jeremy Le Bescont — Le 22 septembre 2014 à 20:48

Connu pour ses apparitions non consenties sur des posters dunks, Caldwell Jones s’est éteint la nuit dernière à l’âge de 64 ans.
Pivot de 2m11, arrivé en ABA en 1973, Jones a joué quatorze ans au plus haut niveau, d’abord comme intérieur très offensif puis comme bouclier de la raquette à son arrivée aux Sixers. All-Star en 1975, co-recordman du nombre de contres sur un match en ABA (12), le joueur était un intérieur solide. Membre d’une grande famille, trois de ses frères se sont également illustrés en NBA.
C’est l’association des joueurs de NBA retraités qui a annoncé la nouvelle de sa mort.


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Décès de Marvin Barnes (1952-2014)
Par Arnaud Gelb — Le 9 septembre 2014 à 6:22

Deux fois All-Star en ABA dans les années 1970, Marvin Barnes est décédé lundi à l’âge de 62 ans.
Pivot de 2m07, il avait mené l’université de Providence au Final Four en 1973 et terminé meilleur rebondeur du championnat universiaire (18,7 prises par match) en 1974. Il avait rejoint le fameux Spirit of St. Louis en ABA plutôt que les Philadephia 76ers, qui l’avaient pourtant choisi en 2ème position de la Draft. Après la fusion entre la ABA et la NBA, il portera les couleurs des Pistons, Braves, Celtics et Clippers.
Rookie of the Year en 1975 avec 24,0 points et 15,6 rebonds, il n’affichera jamais ce niveau après son arrivée en NBA en 1976, déclinant au fur et à mesure que sa consommation de drogue augmentait. Il a d’ailleurs eu plusieurs problèmes avec la justice une fois sa carrière terminée pour vol et possession de produits illicites.
Providence a retiré son maillot en 2008 et il reste une figure historique de l’université.
« Marvin restera à jamais comme l’un des plus grands Friars de l’histoire » a déclaré le directeur sportif de l’université de Providence. » Il a battu tant de records sous ce maillot et a conduit notre équipe au Final Four avec « Coach Gavitt » en 1973. »
La cause de la mort n’a pas été spécifiée.

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Joel Przybilla à la retraite
Par Jonathan Demay — Le 25 août 2014 à 8:56

Absent des terrains depuis la saison 2012-2013 et 12 petits matches avec les Bucks, Joel Przybilla a décidé de prendre sa retraite à l’âge de 34 ans.
Drafté par Houston en 2000, l’ancien pivot remplaçant des Blazers s’était imposé comme un solide backup, fort rebondeur et contreur avec 6.2 rebonds et 1.4 contre de moyenne en 19 minutes et un physique impressionnant (2m16 pour 116 kilos). Un professionnel qui n’avait peur de rien sur un terrain et surtout pas des autres joueurs, tentant souvent de les intimider et de les provoquer.
Sorti de l’université de Minnesota, Przybilla a passé cinq saisons à Milwaukee et huit à Portland avec aussi deux courts passages à Atlanta (12 matches) et Charlotte (5 matches).
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Décès de Jack Ramsay, champion NBA en 1977 avec les Blazers
Par Fabrice Auclert — Le 28 avril 2014 à 14:01

Vainqueurs à l’arraché des Rockets la nuit dernière, les Blazers n’auront pas le coeur à fêter cette victoire puisqu’ils ont appris, via ESPN, le décès de Jack Ramsay, qui était sur le banc de Portland en 1977 lors du seul titre remporté par la franchise.
Mort dans son sommeil, à 89 ans, après s’être battu contre un cancer, « Doctor Ramsay » détenait un doctorat en éducation, et fut coach en NBA pendant 20 ans, dont 10 à la tête des Blazers de 1976 à 1986. Il quittera les bancs en 1988 après deux dernières saisons aux Pacers.
Devenu ensuite consultant pour ESPN et commentateur TV pour les Sixers et le Heat, notamment de 1992 à 2002, Ramsay affichait en carrière un bilan de 864 victoires pour 783 défaites.
En février dernier, pour fêter les 89 ans de Ramsay, Terry Stotts lui avait rendu hommage en portant l’une de ses légendaires vestes.
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Décès de l’ancien propriétaire des Grizzlies
Par Jérémy Le Bescont — Le 27 avril 2014 à 8:47

La nuit n’a pas été facile du côté de Memphis. Les Grizzlies n’ont pas seulement perdu un match mais aussi leur ancien propriétaire, Michael Hesley. Le businessman a succombé à des complications d’un accident vasculaire, survenu il y a 15 mois.
Michael Hesley est l’homme responsable du déménagement des Grizzlies de Vancouver à Memphis. C’est aussi lui qui eut la bonne idée de s’offrir les services de Jerry West en tant que Directeur des Opérations Basket, une décision salvatrice pour Memphis qui a rapidement construit une équipe taillée pour les playoffs avec les arrivées de Mike Conley, Zach Randolph, Marc Gasol et Tony Allen.
Après l’officialisation de la mort de l’ancien propriétaire, Adam Silver lui a rendu hommage avant le match contre Oklahoma:
« Michael était responsable de l’arrivée des Grizzlies à Memphis et avait fait en sorte de construire le FedeX Forum avec soin, et avec le souci d’être un proche de la NBA. C’était un propriétaire formidable, un ami incroyable et j’adresse mes condoléances à Agnès, sa femme, son enfant et tous ses amis. »
Michael Hesley n’était plus le propriétaire de Memphis depuis Octobre 2012, date à laquelle il avait vendu le club pour 377 millions de dollars au fondateur de Ubiquiti Networks. Il restera sans doute comme le propriétaire qui a placé Memphis sur la carte des amateurs de basket.
Bonzino !
:)
(Reconnu)
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Décès du Hall of Famer Tom Gola
Par Jonathan Demay — Le 27 janvier 2014 à 13:45

Champion NCAA en 1954 et champion NBA en 1956, Tom Gola s’est éteint dimanche à l’âge de 81 ans, en Pennsylvanie.
Extérieur (1m98), il a tourné à 20.9 points et 19 rebonds pendant les 115 matches qu’il a disputés en NCAA avec La Salle entre 1952 et 1955. Il détient toujours le record universitaire de rebond avec 2 201 prises.
En 1955, il arrive en NBA avec les Warriors de Philadelphie. Dès sa première saison, il remporte le titre 4-1 face aux Pistons de Fort Wayne. Le dernier titre avant la domination des Celtics et de Bill Russell. La saison suivante, il est appelé par l’armée, et ne dispute aucun match.
Chargé de la défense et de mettre en place le jeu des Warriors, Gola laisse le scoring à Paul Arizin, Neil Johnson et plus tard Wilt Chamberlain.
« Mon boulot était de défendre sur les meilleurs arrières adversaires : Jerry West, Oscar Robertson ou encore Bill Sharman. Je devais aussi faire jouer les autres », expliquait-il.

All Star, coach et politicien
Tom Gola participe à cinq reprises au All Star Game au début des « sixties », puis il est transféré à New York pendant la saison 1962-1963. En 10 ans de carrière et 698 matches, il va compiler 11.3 points, 8 rebonds et 4.2 passes de moyenne.
Quelques années plus tard, il revient à La Salle, où son maillot est retiré et une salle porte son nom, en tant que coach. En deux saisons (1968-70), son bilan est remarquable avec 37 victoires en 50 matches. Notamment une saison à 23-1 ! Après une carrière en politique à Philadelphie, il devient administrateur régional pour le département du logement et de l’urbanisme du gouvernement Reagan dans les années 80.
Il entre au Hall of Fame en 1976. En 2003, il tombe dans le coma pendant plusieurs jours après une chute. Acteur du déménagement des Warriors à San Francisco, il fut surnommé « Saint » par ses coéquipiers.

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Décès de Vern Mikkelsen, Hall of Famer des années 50
Par Jonathan Demay — Le 23 novembre 2013 à 17:22

Vern Mikkelsen, ancienne gloire des Lakers de Minneapolis dans les années 50 s’est éteint jeudi dernier à l’âge de 85 ans.
Ailier-fort, Mikkelsen va former avec George Mikan et Jim Pollard, l’une des meilleures frontlines de l’histoire de la NBA. Il sera même six fois All Star, avec des moyennes de 14.4 points et 9.4 rebonds entre 1950 et 1959, avec les Lakers.
Il finira sa carrière avec quatre titres NBA dont le premier triplé entre 1952 et 1954 et son maillot est désormais retiré au plafond du Staples Center, tandis qu’il fera son entrée au Hall of Fame en 1995.

Il a ramené la NBA à Minneapolis
Joueur physique (2m01, 104 kg) et gros défenseur, il finissait rarement les matches puisqu’il fut sorti pour six fautes à 127 reprises !
« Il était le protecteur de Mikan », se souvient Flip Saunders qui l’a côtoyé pendant 10 ans à Minneapolis, sa ville d’enfance, dans Philly. »
Mikkelsen ayant grandi dans la région de Minnesota, et il s’était battu dans les années 80 pour que la ville accueille une franchise NBA. Ce sera chose faite en 1989.
Il a malheureusement connu de graves soucis de santé dans les dernières années de sa vie : deux accidents vasculaires cérébraux, du diabète, un cancer de la prostate. Sans oublier le décès de son épouse, à seulement 47 ans, en 2002.
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