-- The Worm a dit : Les fatigues mentales et physiques s'entretiennent mutuellement, c'est un cercle vicieux. Mais effectivement, le mental est à mon avis le point de départ dans le cas LBJ. --
Tu as peut être raison, mais je suis pas certain duquel des deux a flanché le 1er. Ca pourrait être la fatigue d'une longue saison qui l'a empêché d'être lucide à certains moments et derrière, il n'a peut être pas été capable de surmonter la peur de perdre jusqu'à en perdre ses moyens dans le money time.
Ou alors dans le cas contraire, l'accumulation de toute la pression médiatique depuis l'intersaison 2010 a finit par avoir raison de lui au plus mauvais moment et son manque de fraîcheur physique ne l'a pas aidé par la suite.
-- Philly thing a dit : Par extension ça revient à peu près à la même chose. Il dit qu'il voit les choses avant qu'elles n'arrivent. Alors soit il voit au ralenti, soit il a des capacités extrasensorielles. Mais bon, pour moi, c'est pas grand chose. C'est maladroit et exagéré mais je comprend ce qu'il a voulu dire. Ca aurait été plus commun de dire "j'ai une bonne vision du jeu, une bonne lecture". --
Les phrases comme celle-là sorties de leur contexte sont souvent liées aux questions un peu débiles que leur posent les journalistes. JKidd avait eu la même réponse maladroite (après le G2) après qu'un reporter lui avait demandé comment il arrivait à faire autant de passes si "extraordinaires". Déjà que les mecs sont souvent fiers d'eux, si on met autant de pommade dans les questions...
Pour moi ça change tout !
"je vois le jeu au ralenti" c'est complètement bidon, ça ne veut rien dire.
"je vois le jeu avant les autres" ça veut juste dire qu'il arrive à deviner les déplacements des adversaires/coéquipiers, et ça c'est clairement une faculté que certains ont et que d'autres n'ont pas
Par extension ça revient à peu près à la même chose. Il dit qu'il voit les choses avant qu'elles n'arrivent. Alors soit il voit au ralenti, soit il a des capacités extrasensorielles. Mais bon, pour moi, c'est pas grand chose. C'est maladroit et exagéré mais je comprend ce qu'il a voulu dire.
Ca aurait été plus commun de dire "j'ai une bonne vision du jeu, une bonne lecture".
Pas tout lu, c'est hyper prétentieux, mais y a aussi du vrai.
Par contre le truc du "je vois le jeu au ralenti" c'est un fantasme stopweb ou la déclaration existe bien ? Là plusieurs fois il dit qu'il voit le jeu avant les autres, mais il ne parle pas de ralenti si ?
-- Banania a dit : 17 points sur les derniers quart temps réunis, ça s'explique pas par la fatigue, ou alors c'est une excuse de dernier ressort, apres je m'ai pas réveillé, ou ma maman se tape delonte... --
Ce qui a par ailleurs donné naissance à Blake Griffin
Tuesday, James backed down from those statements and said they were misinterpreted.
"Basically I was saying at the end of the day this season is over and -- with all hatred -- everyone else has to move on with their lives, good or bad. I do too," James said.
"It wasn't saying I'm superior or better than anyone else, any man or woman on this planet, I'm not. I would never ever look at myself bigger than anyone who watched our game. It may have come off wrong but that wasn't my intent."
The Heat are far from over their Finals loss to the Mavericks and were just beginning to put things in perspective as they cleaned out their lockers and went through final meetings on Tuesday. Dwyane Wade said he was in a state of depression. James said he was the definition of the word "low."
Two days after their Game 6 defeat, James said he was especially upset because he felt he let his teammates down with a poor performance. James averaged just 17.8 points and had several poor late-game efforts during the series as the Mavs won the final three games to take the title.
"I put a lot of pressure on myself not to let my teammates down, maybe to a fault at times," James said. "I didn't play up to my own standards. Did that cost us the Finals? I don't know. I'm not satisfied with my performance."
James was also asked if he had any regrets over the events of the last year, especially his decision to leave the Cleveland Cavaliers.
"You can't live your life going back and saying 'if I could do it again,' life doesn't run its course like that," James said. "There are times when you feel like if you did have another opportunity you would change it but you can't move on in life thinking about the past."
On a day when the Heat hoped to be playing a Game 7, Wade said he thought this season would be easier. The team came within two victories of a title but struggled at times as James, Wade and Chris Bosh had some issues meshing their roles. Wade admitted getting three All-Stars to fit was more challenging than it first appeared when they all signed with the Heat last summer.
"You come into a season and see the talent on your roster and you immediately think the game is going to be easier for you; you expect certain things to happen," Wade said. "You have to work the game, no one can come in and automatically be great at something."
Il a embrassé ses trois enfants Jake, Alyssa et Alexis et enfilé un tee-shirt « Dallas champion » avant de pousser un grand « Yes ! ». Pour une fois, personne ne reprochera à Mark Cuban d’exprimer sa joie avec exubérance. Dimanche soir à Miami, le patron des Mavericks a remporté son premier succès sur la scène sportive, onze ans après être devenu le propriétaire de la franchise texane. Comme le grand fan qu’il est, il s’est joint aux joueurs pour fêter l’événement. Une joie sincère qui dénote avec l’image de businessman invétéré qu’il véhicule.
Ce « self-made man », dont la fortune est estimée à 1,7 milliard d’euros (459e homme le plus riche du monde selon Forbes), a réussi sur la scène sportive comme en affaires. Originaire de Pittsburgh, ce grand enfant de 52 ans a rejoint Dallas en 1982 où il s’est enrichi en développant MicroSolutions, spécialisé dans les systèmes d'exploitation informatiques. Après la revente de son entreprise, il fonde Audionet (diffuseur d’évènements en direct) en 1995 avant de céder sa société (devenue Broadcast) à Yahoo pour 3,78 milliards d'euros quatre ans plus tard. Il est désormais à la tête de 2929 Entertainment, qui produit et distribue des films et des vidéos, et préside HDNet, un réseau de télévision HD par satellite.
1,6 million de dollars d’amende !
Plus que ses affaires, le sport fait vibrer ce fils de « tapissier de voiture ». Depuis son entrée en NBA en 2000 (il a racheté les parts de H. Ross Perot, Jr pour près de 200 millions d’euros), Cuban ne sait pas se tenir. Il assiste aux matchs dans les tribunes, « taille » régulièrement le petit monde de la NBA et accumule 1,6 million de dollars d’amendes pour avoir invectivé les arbitres. Au point que Dirk Nowitzki, MVP de la finale, l’avait appelé à se contrôler. Mais les résultats suivent puisque la franchise, qui était la risée du championnat à ses débuts, atteint une première fois la finale (perdue face à Miami) en 2006 et devient l’une des valeurs sûres de la conférence Ouest.
Ce « JR Ewing » au fort caractère a apporté un nouveau dynamisme à son équipe qu’il chérit par-dessus tout. Au point qu’il a célébré son mariage avec sa femme Tiffany Stewart au sein de l’American Airlines Center en 2002. La bague (celle de NBA, donnée aux champions) décrochée dimanche lui est due en grande partie. Pourtant, il a laissé le soin à Donald Carter, le créateur de la franchise en 1979, de lever le trophée de champion NBA 2011. « Je suis tellement reconnaissant que l’équipe soit tombée entre les mains de Marc. Il est venu avec l’amour du jeu, a déclaré Carter avec émotion sur le site de la NBA. C’est le seul gars qui aime le basket plus que ma femme, qui est une passionnée, ne l’aime. »
Pas pu entendre les commentaires de la vidéo dans le PP, mais rien que les images ça explique bien à quel point le Heat a pu dysfonctionner dans le jeu
4 ou 5 positions ouvertes sur la même action (!) et pas un seul shoot pris !
Je suis assez d'accord avec the Worm !
La fatigue est je pense la cause principale de l'echec de Miami !!
Dallas a un collectif bien plus equilibré, ce qui permet a tout le monde de se reposer sur son partenaire, chaque joueur ayant a faire son job a son niveau, sans jamais aller forcer !!
Au final game apres game, on y laisse moins d'energie.
Cote Miami on se repose sur 3 individus qui en plus surjoue tout au long des PO, certe ca fait du buzz, ca enchante les midinettes, mais qd arrive les derniers games et contre les meilleures equipes il manque du jus, et comme le dis the Worm, ca genere un manque d'efficacite, d'energie et de lucidite.
Pour finir, on attaque a juste titre LBJ, mais ni Wade, ni Bosh m'ont fait trembler surtout plus la serie avancée.
Wade a rate pas mal de chose dans les money time, pas digne d'une star NBA !!
dans la lignée on aime Lebron
Did you hear Lebron's girlfriend's excuse for why she cheated with Rashard? Said she got sick and tired of Lebron...he could never finish.
-- Banania a dit : -- The Worm a dit : Les fatigues mentales et physiques s'entretiennent mutuellement, c'est un cercle vicieux. Mais effectivement, le mental est à mon avis le point de départ dans le cas LBJ. -- +1 ben voilà tout le monde se rejoint quand tu synthétises --
-- The Worm a dit : Les fatigues mentales et physiques s'entretiennent mutuellement, c'est un cercle vicieux. Mais effectivement, le mental est à mon avis le point de départ dans le cas LBJ. --
+1
ben voilà tout le monde se rejoint quand tu synthétises
Les fatigues mentales et physiques s'entretiennent mutuellement, c'est un cercle vicieux. Mais effectivement, le mental est à mon avis le point de départ dans le cas LBJ.
-- Banania a dit : On parle de Lebron James, un type tout en muscle avec 4 poumons et un squelette en adamantium néoprene, on parle pas de madame dugenou, il est censé etre a donf sur ce genre de match, alors même si je veux bien admettre la mauvaise gestion de spoelstra si tant est qu'il gère quoi que ce soit, je suis surpris d'entendre l'argument de la fatigue a ce stade de la compete. Jordan, Kobe, Shaq, Duncan, et d'autres avant eux, sont passés par ses phases, avec des doigts cassés, de la fievre, et d'autres pépins qui ne les ont pas empeché d'elever leur niveau. Il s'agit pas du game 5 et 6 mais de tout les derniers quarts temps de la finale NBA. Wade s'est blessé pendant le match, defend autant que James et score le triple. 17 points sur les derniers quart temps réunis, ça s'explique pas par la fatigue, ou alors c'est une excuse de dernier ressort, apres je m'ai pas réveillé, ou ma maman se tape delonte... --
Ah non mais attention, relis-moi bien : pour moi ce n'est qu'un facteur parmi tant d'autres. Loin de moi l'idée de défendre James ou de l'excuser, encore moins avec l'argument de la fatigue.
Selon moi, le facteur principal est bien une faillite mentale de LBJ, là où Jordan, Kobe, Wade, Dirk, Shaq, et tous les grands champions ont su se dépasser et tout livrer malgré la fatigue.
Cette faillite a pu être facilitée, ou accentuée, ou entretenue par la fatigue. Mais le point de départ, c'est bien que James a craqué dans sa tête.
Incertitude sur le rôle à tenir au sein de cette team lors de cette finale ? Problèmes persos ? Gamberge après une flopée de shoots manqués en fin de match cette saison qui le rattrape lorsque tout se joue vraiment ? Ou même peur de gagner ? Qui sait ce qui peut passer par la tête d'un mec, aussi fort qu'il puisse sembler psychologiquement, physiquement et techniquement. C'est tellement complexe ces phénomènes. Et ça défie parfois toute logique.
Et on peut oublier le "je laisse l'équipe sombrer pour mieux jouer les superman dans les game 6 et 7 pour écrire ma légende voire reprendre à Wade le titre de MVP de la finale". On a bien vu qu'il a été dans le game 6 comme dans les games 4 et 5 : un fantôme passé son coup de chaud du début de match.
-- The Worm a dit : -- Banania a dit : J'en reviens a la gestion du coach qui repose sur le banc un eddie house chaud comme une baraque a frittes dans le g6 alors que James aurait pu se reposer un peu plus. -- Ben ouais, ça rejoint ce que je dis... La gestion de la fatigue par le coach est une composante importante, et Carlisle a globalement beaucoup plus de marge de manoeuvre de ce côté-là ! -- Mais bon celà dit, la fatigue à ce niveau, ça me parle pas comme argument -- Ben rejette un oeil aux fins des games 5 et 6 notamment. Les joueurs du Heat ont l'air encore plus HS que les Mavs... Et puis James s'est quand même bien cassé en défense. --
On parle de Lebron James, un type tout en muscle avec 4 poumons et un squelette en adamantium néoprene, on parle pas de madame dugenou, il est censé etre a donf sur ce genre de match, alors même si je veux bien admettre la mauvaise gestion de spoelstra si tant est qu'il gère quoi que ce soit, je suis surpris d'entendre l'argument de la fatigue a ce stade de la compete. Jordan, Kobe, Shaq, Duncan, et d'autres avant eux, sont passés par ses phases, avec des doigts cassés, de la fievre, et d'autres pépins qui ne les ont pas empeché d'elever leur niveau. Il s'agit pas du game 5 et 6 mais de tout les derniers quarts temps de la finale NBA.
Wade s'est blessé pendant le match, defend autant que James et score le triple.
17 points sur les derniers quart temps réunis, ça s'explique pas par la fatigue, ou alors c'est une excuse de dernier ressort, apres je m'ai pas réveillé, ou ma maman se tape delonte...
-- Bullet in the head a dit : Au fait, LeBron a joué 43.7 mn en moyenne en Finale… contre 44.6 vs Boston et 45.2 vs Chicago Evidemment, vous pouvez toujours invoquer la fatigue de fin de PO. --
Ben oui, justement. 26 ans ou pas, Passer autant de temps sur le parquet à un tel niveau d'engagement quand tu dois tout faire tout seul, c'est exténuant.
Encore une fois, le temps passé sur le terrain est une chose, ce que tu y fais et comment tu utilise ce temps, c'est autre chose. Des gars comme Jordan, Dirk, voire Kobe, quand ils sont sur le terrain, bien qu'étant l'option n°1, peuvent compter à la fois sur un collectif solide et sur des coéquipiers efficaces. Ils ne sont pas obligés de tout faire eux-mêmes tout le temps. James, lui, prend tout en charge. Que ce soit de son propre fait ou de celui de son coach. Ses shoots, la plupart du temps, il doit travailler tout seul pour se les gagner, et il doit en créer pour les autres.
Encore une fois, la fatigue n'est qu'un élément parmi d'autres. James a visiblement complètement craqué mentalement aussi, au minimum il a sombré dans une incertitude sur le rôle qu'il devait jouer dans cette finale au sein de cette team. Y'a plein de facteurs possibles. Et selon moi, la fatigue en fait partie.
-- Banania a dit : J'en reviens a la gestion du coach qui repose sur le banc un eddie house chaud comme une baraque a frittes dans le g6 alors que James aurait pu se reposer un peu plus. --
Ben ouais, ça rejoint ce que je dis... La gestion de la fatigue par le coach est une composante importante, et Carlisle a globalement beaucoup plus de marge de manoeuvre de ce côté-là !
-- Mais bon celà dit, la fatigue à ce niveau, ça me parle pas comme argument --
Ben rejette un oeil aux fins des games 5 et 6 notamment. Les joueurs du Heat ont l'air encore plus HS que les Mavs... Et puis James s'est quand même bien cassé en défense.
-- The Worm a dit : --Mon vieux, si ce post te semble être un pavé, laisse-moi te dire que tu ne me connais pas ! --
T'inquietes je lis avec assiduités tes
et si j'apprecie l'esprit d'argumentation je déplore le manque de synthese souvent, mais chacun son style
J'en reviens a la gestion du coach qui repose sur le banc un eddie house chaud comme une baraque a frittes dans le g6 alors que James aurait pu se reposer un peu plus. Mais bon celà dit, la fatigue à ce niveau, ça me parle pas comme argument
-- Banania a dit : La fatigue a 26 balais face a des joueurs plus que trentenaires...? Mouais. La gestion de Carlisle et la profondeur du banc ont fait la difference. Mais y a pas de fatigue qui entre en ligne de compte pour le match le plus important d'un athlete de 26 balais... --
Mon vieux, si ce post te semble être un pavé, laisse-moi te dire que tu ne me connais pas !
Sinon, que t'aie 26 balais (pour LBJ, mais presque 30 pour Wade), si tu joues 44mn par match à raison d'un match tous les 2 jours, à très très haute intensité (bien plus qu'en saison régulière), ben ça change rien : t'es crevé au bout du compte si tu ne peux jamais te reposer et compter un peu sur tes partenaires. Le Heat s'est quand même tapé coup sur coup 2 énormes défenses, les C's et les Bulls, dans des séries qui ont débouché sur un score final qui semble à sens unique mais qui ne reflète pas du tout l'intensité et la difficulté pour arracher la victoire, en particulier la série face à Boston.
Autant d'obstacles passés en jouant, pour LBJ, 44mn, et Wade ne doit pas être très loin derrière. Tout simplement parce que derrière, y'a rien qui tienne la route et que tout le succès de Miami repose exclusivement sur leur production individuelle sans aucune béquille collective, ou presque. Ça crève, même à 26 ans.
Quand en face les trentenaires peuvent se reposer très régulièrement et le plus longtemps possible parce que leurs coéquipiers assurent et maintiennent à peu près le niveau et l'écart créé, et que les séries sont beaucoup moins disputées et intenses, ben paradoxalement, ils peuvent présenter une meilleure fraîcheur physique que le mec de 26 piges qui se sera crevé tout seul à devoir tout faire des 2 côtés du terrain.
Parce que, même si des deux côtés la marque était alimentée presque exclusivement par 1 ou 2 joueurs, c'est beaucoup plus crevant quand tu dois te démerder tout seul à te créer ton shoot et te débarrasser de la défense, alors que quand ton scoring arrive à la suite d'un travail collectif qui te met dans de meilleures positions sans que tu aies à trop t'employer, ça te permet parfois de t'économiser en vue des prochains affrontements... De gérer ton effort quoi.
Bref, oui, à 26 piges tu peux être plus crevé que des trentenaires quand les conditions sont réunies. Et c'était le cas dans cette finale.
Et on l'a très bien vu dans toutes les fins de match de cette série, à l'exception du 1er match. Dallas a systématiquement été plus frais et plus lucide que Miami, qui s'est écroulé. C'est autant physique que mental, l'un influant sur l'autre, et vice-versa. Quand t'es fatigué, t'as plus tendance à craquer, et quand tu craques, tu ressens plus la fatigue.
Ça n'est évidemment pas le seul facteur, mais c'est un élément parmi d'autres.
La fatigue a 26 balais face a des joueurs plus que trentenaires...? Mouais.
La gestion de Carlisle et la profondeur du banc ont fait la difference. Mais y a pas de fatigue qui entre en ligne de compte pour le match le plus important d'un athlete de 26 balais...
-- ilyas#3 a dit : Une parodie de basket, c'est horrible ! L'équipe qui a gagnée n'est pas forcément la plus talentueuse mais certainement celle qui a le mieux jouée au basket. Tout simplement. --
Ben disons que au premier abord, on pourrait penser que le Heat a une équipe (beaucoup ?) plus talentueuse que les Mavs.
Mais en y regardant de plus près, c'est surtout que le talent est plus concentré à Miami. Il est limité à 3 joueurs extrêmement forts, et autour, c'est un peu le désert. Y'a bien quelques bons gars, mais qui sont soit sous/mal utilisés, soit à côté de leurs pompes, soit cramés...
Côté Mavs, le talent est mieux réparti sur l'ensemble du roster, avec tout de même quelques éléments particulièrement doués : Dirk (qui peut presque rivaliser individuellement avec les 3 amigos, dans un style plus... sobre), Kidd, Terry, Marion, bien épaulés par d'excellents RP avec Barea, Chandler (un peu plus qu'un RP, mais il est surtout là pour sa défense et son énergie, il n'a pas le talent des 4 autres), Stevenson, etc...
Et cette répartition est également faite de manière intelligente et complémentaire, ce qui permet de développer un basket plus construit et efficace, sans trop baisser de niveau quand les stars se reposent.
C'est ce dernier point qui fait la différence, à mon sens. Là où les stars du Heat étaient un peu cramées en fin de PO après avoir tout écrasé sur leur passage avant à eux seuls ou presque, les Mavs pouvaient se reposer sans craindre une trop grosse baisse de régime et en avait sous le pied pour finir les matchs.
Sur une série aussi intense, après une campagne de playoffs face à des adversaires parfois coriaces, la fatigue joue un rôle important. Et c'est là que le travail de gestion du coach a son importance. Encore faut-il qu'il ait de quoi gérer ses joueurs...
3 joueurs ultra-doués qui jouent sur le seul talent sans vraiment se reposer sur un travail collectif solide, ça peut faire la blague tant qu'ils sont en pleine forme. Mais dès que la fatigue est là, le manque de structure dans le jeu devient un vrai handicap, car les joueurs sont moins lucides et moins en état physique pour travailler seuls de manière efficace, et ils ne peuvent pas se reposer sur un plan de jeu collectif qui leur laisserait un peu de marge et leur faciliterait un peu la tâche...
-- Lady M a dit : -- matisse a dit : Et si on arrêtait de parler de ces finales pour l'éternité ? -- ne vient plus sur ce topic tu te fais mal --
Ce topic pour moi c'est un peu comme un cadavre, c'est très moche, on sait qu'il faut pas regarder, que les images devraient nous hanter des jours durant, mais pourtant...
-- The Worm a dit : -- Doctor R a dit : priceless -- Effectivement, priceless ! C'est quand même dingue cette action ! Sur le coup, je m'étais déjà dit "WTF...?", mais en la revoyant et en plus en la décortiquant, c'est encore plus hallucinant ! Quasi à chaque mouvement de balle le gars qui reçoit est dans un fauteuil, Dallas est à la rue en défense complet, mais non, ils ouent à la passe à 10 et comme un symbole, c'est LBJ qui perd le ballon - on ne sait pas comment d'ailleurs - et comme un symbole, de l'autre côté, une passe et Dirk conclut l'action tranquillou comme à la parade ! Ça défie l'entendement... --
Et LBJ, incapable d'attendre que Dirk sorte un peu sur lui pour commencer son drive. Même l'Allemand a du se demander ce qu'il foutait...
Sinon, la défense des Mavs est forcément à la rue : à chaque position, ils bloquent au rebond (ce qui est logique vu que tout le monde attend un shoot) et ça laisse 2 joueurs pour en couvrir 5 qui jouent à la passe à 10 en périphérie...
Pareil sur le coup je disais "Mais ils refusent tous de shooter !!" La position de James tout seul à 3pts avec Dirk à 5m qui ne prend pas le shoot, alors qu'il te prend le même les yeux fermés avec Pierce dans son espace vital 2 tours avant, c'est juste ahurissant. Se refiler la patate chaude c'est ça ?
Et en face Dirk qui ne se pose pas de question : position ouverte, personne sur moi : shoot.
Il manquait peut-être un Jason Kidd, un Billups, enfin un vétéran pour dire à tout le monde de se calmer, et surtout pour porter ses burnes et prendre ce maudit shoot. On les a senti comme traumatisés (et LBJ plus que les autres), comme s'ils ne voulaient pas rééditer le G2 et tous les mauvais shoots en première intention.
C'est quand même dingue cette action ! Sur le coup, je m'étais déjà dit "WTF...?", mais en la revoyant et en plus en la décortiquant, c'est encore plus hallucinant ! Quasi à chaque mouvement de balle le gars qui reçoit est dans un fauteuil, Dallas est à la rue en défense complet, mais non, ils jouent à la passe à 10 et comme un symbole, c'est LBJ qui perd le ballon - on ne sait pas comment d'ailleurs - et comme un symbole, de l'autre côté, une passe et Dirk conclut l'action tranquillou comme à la parade !
Ça défie l'entendement...
Doctor R vrais Montpellierains font vraies choses ! (Habitué)
-- AIR 1 a dit : Jason Kidd était allé jusqu’aux NBA Finals en 2002 et 2003 avec les New Jersey Nets, sans les gagner. Et alors qu’il avait débuté sa carrière en 1994-95 chez les Mavericks, c’est avec cette franchise qu’il remporte son premier titre 17 ans après. Dirk Nowitzki a lui joué pendant 13 ans à Dallas. Autre vétéran de l’équipe, Peja Stojakovic, l’ancienne star des Sacramento Kings du début des années 2000, gagne lui aussi sa première bague après 13 saisons passées dans la ligue. Jason Terry et Shawn Marion, quant à eux, ont attendu 12 années, tandis que Brian Cardinal a déjà joué 11 ans en NBA. Le titre des Mavs met fin à une des plus longues attentes dans l’histoire, puisque les 17 années dans la ligue passées par Jason Kidd avant de gagner sa première bague n’ont été battues que par les 19 saisons jouées par Kevin Willis qui avait fini par devenir champion avec les San Antonio Spurs en 2003. Plus récemment, Gary Payton avait remporté le titre en 2006 avec Miami lors de sa 16e saison. --
La seule différence concernant Jason Kidd, c'est qu'il a vraiment été un artisan de la conquête de ce titre, et pas seulement remplaçant ou simplement assis sur le banc.
A 38 ans il s'est quand même tapé tous les plus gros joueurs de la NBA à défendre et il n'a pas été ridicule.
Mieux, même s'il ne fait plus autant de triple double, il assure toujours aux passes et aux rebonds et a mis quelques shoots à 3 pts assez énorme tout au long des PO.
Ce mec a respiré la sérénité pendant tous ces PO ... RESPECT !!
-- ilyas#3 a dit : LOOOOOOL !!!!!!! Y'a 2/3 montages cultes dont la tof avec Dirl le daron avec les Kobe, KD, Wade et LBJ est certainement la meilleure. --
Cette tête de LBJ, je peux pas m'empêcher d'éclater de rire en la voyant, juste culte
-- Bullet in the head a dit : I was taking an exam in class today and my professor told me to put my phone on "Lebron mode". I was like.. what? She said "No ring" --
MDR !!!!
Sinon, j'ai fait un pti coup de photoshop basique avec la photo publiée par Bith sur le topic "Miami Heat 2010-2011" en m'inspirant de son commentaire...
-- Bullet in the head a dit : I was taking an exam in class today and my professor told me to put my phone on "Lebron mode". I was like.. what? She said "No ring" --
LOOOOOOL !!!!!!!
Y'a 2/3 montages cultes dont la tof avec Dirl le daron avec les Kobe, KD, Wade et LBJ est certainement la meilleure.
Aller en haut de page
)
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) qui rendent sa décla encore plus drôle.
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-- A ce moment là, Dirk n'était déjà même plus sur le terrain.