Proof a dit : -- rantanplan a dit : Mon exemple pue, ca pend pas une pendule Qu'est-ce qui pend? -- Mes burnes sur le pif de Nicaps Ça ferait dindon, ça lui va si bien
Anonyme a dit :les deux hommes auront peut-être l’occasion de se réconcilier lors des Finals.
C'est tout ce que je leurs souhaite.
Entre le Thunder et les Spurs je pense réellement que les C's auraient plus de chances face aux Texans. D'ailleurs depuis que le Big 3 de Boston existe le chiffre doit être beaucoup moins flatteur que 44-17 pour TD.
Même la dernière victoire des Spurs cette saison ne se joue a rien.
Et après, on reproche à KG de ne pas s'attaquer aux grands Enfin, si on peut parler de "grand" à propos de Duncan… Même Nate Robinson se le ferait, l'autiste
Tim Duncan déteste Kevin Garnett
Par Alain Mattei, 18 mai 2012
Ils ont beau partager une étonnante capacité à remonter le temps, Kevin Garnett et Tim Duncan ne passeront pas leurs vacances ensemble. La raison est toute simple : Duncan déteste son homologue des Celtics.
Dans un long portrait de l’intérieur des Spurs, Chris Ballard (SI.com) explique que Dream Tim déteste KG de manière viscérale.
« Cette information vient de sources très fiables qui parlent de la manière dont KG s’est fait une spécialité d’essayer de se faire Duncan, de le taquiner, de le frapper et de lui chuchoter des trucs très bizarres à l’oreille. Certains trouvent ça amusant parce que la pire chose à faire, c’est d’énerver Duncan. A ce moment là, comme le dit Malik Rose, « il vous détruit. » Le temps n’efface rien
L’échec de cette manière de faire de Garnett se traduit dans les chiffres. Le Big Fundamental mène 44 à 17 dans leurs confrontations.
Dans son style discret, Duncan confirme à demi-mot.
« Duncan est diplomate sur le sujet, raconte notre confrère. Lorsqu’on lui demande si toutes ces années à combattre Garnett ont adouci ses sentiments pour l’homme et ont mené à une affinité façon Magic-Larry, Duncan se redresse et grimace. Il y a une pause. Une longue pause. Finalement, il lâche, « Vous pouvez définir affinité ? »"
Si tout se passe bien pour leurs équipes et qu’ils continuent de défier le temps les deux hommes auront peut-être l’occasion de se réconcilier lors des Finals.
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-- rantanplan a dit : C'est le "comme" qui est déterminant et change tout. Il faut que l'élément comparé (bénét) colle avec le participe présent (pendant). Or, ce n'est pas le bénét qui pend, mais la langue . "La langue pendant comme une pendule", c'est bon "La langue pendant comme un con", c'est pas bon Mais bon, on s'en branle, Proof a oublié un e, c'est pas la mort --
Tes explications sont foireuses
"Or, ce n'est pas le bénét qui pend, mais la langue."
C'est bien le problème car on en vient à comparer langue et benêt. Mais "langue pendant" n'en reste pas moins bon.
Ce qui peut effectivement gêner, c'est "langue pendant comme un benêt" au lieu de "langue pendant comme pendrait la langue d'un benêt".
Mais il me semble que la langue française autorise ces ellipses. Tu dis "James a une adresse aussi bonne que Wade", pas "James a une adresse aussi bonne que l'adresse de Wade".
La comparaison va de soi. La langue française fait l'économie de la précision.
-- Bullet in the head a dit : -- rantanplan a dit : Sauf que le participe présent est inutilisable dans la tournure de la phrase. -- Bah si Nicap's prit peur, ses dents raclant le parquet. Nicap's est un sot, sa langue pendant comme un benêt. --
C'est le "comme" qui est déterminant et change tout. Il faut que l'élément comparé (bénét) colle avec le participe présent (pendant). Or, ce n'est pas le bénét qui pend, mais la langue .
"La langue pendant comme une pendule", c'est bon
"La langue pendant comme un con", c'est pas bon
Mais bon, on s'en branle, Proof a oublié un e, c'est pas la mort
-- Bullet in the head a dit : -- Nicap's a dit : la langue pendante comme un benêt. -- Il ne sait même pas écrire en plus ! -- Participe présent du verbe pendre : "pendant" Langue pendante = adjectif Langue pendant = participe présent Les deux sont valables. De rien, analphabète --