Minnesota veut rectifier le tir
Par Jonathan Demay — Le 21 avril 2015 à 13:55
Avec 5 shoots à 3-pts inscrits en 15 tentatives par match, et malgré la présence de Kevin Martin et Chase Budinger, les Wolves sont les plus faibles consommateurs de tirs primés de la ligue.
Dans une ligue dominée par les Warriors, les champions du shoot à 3-pts, le tir extérieur est devenu un passage obligé pour exister. Flip Saunders le sait et il a décidé de travailler dans ce sens durant l’intersaison.
« On doit vraiment progresser dans ce domaine », annonce-t-il dans les colonnes du Star Tribune.
Pour cela, il y a trois solutions : la draft, le mercato ou la progression interne. Les Wolves ont trois choix de draft en juin prochain, il y a donc moyen de trouver un shooteur dans le lot. Ensuite, pourquoi pas signer un spécialiste, qui serait free agent, ou monter un transfert pour en récupérer un.
Enfin, faire progresser les monstres athlétiques que sont Andrew Wiggins et Zach LaVine, ou encore Ricky Rubio, toujours aussi irrégulier. Le meneur espagnol travaille notamment avec Mike Penberthy, un coach spécialisé.
« On a parlé de la formation de nos joueurs, et c’est une des clés pour nous. On doit voir comment faire progresser nos joueurs. »
Avec 38 % de réussite, LaVine a notamment montré une efficacité plus qu’intéressante dans cet exercice sur les 19 derniers matches de la saison. Il avait réussi un très joli 6/10 contre les Warriors lors de son record en carrière de 37 points.
Chauncey Billups explique pourquoi il a refusé de coacher les Timberwolves
Par Jeremy Le Bescont — Le 16 avril 2015 à 13:56
Durant sa carrière, Chauncey Billups a souvent été désigné comme un joueur à même de se reconvertir coach. Avec son intelligence de jeu, le meneur des Pistons se comportait comme un général sur le terrain. Pourtant, l’intéressé a récemment affirmé qu’il préférait plutôt un poste de dirigeant de franchise. Selon le Denver Post, il aurait d’ailleurs déjà pu prendre la tête d’une équipe NBA.
En effet, le joueur a rapporté au quotidien local avoir été approché par Flip Saunders l’été passé pour prendre les rênes des Wolves. L’offre aurait pu séduire puisqu’elle s’étendait sur deux années garanties, avec la promesse de coacher Andrew Wiggins, tout juste acquis en échange de Kevin Love. Par ailleurs, Chauncey Billups a aussi porté l’uniforme de la franchise entre 2000 et 2002.
Mais, en aucun cas, le MVP des finales 2004 n’a semblé intéressé, notamment en raison de l’instabilité des franchises en reconstruction.
« Dans chaque processus de reconstruction, j’ai l’impression qu’il va y avoir au moins deux ou trois coaches et je ne veux pas être ce gars. Je ne veux pas être viré après deux saisons et risquer de ne plus jamais avoir de proposition. » a t-il expliqué.
Au regard des nombreuses blessures dont fut victime l’effectif, Chauncey Billups a eu du nez.
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Finir bons derniers de la League une saison avec des Sixers ou des Knicks aussi faibles c'est tout de même sacrément honteux ...
Objectif Okafor pour compléter le combo Lavine / Wiggins
Reverra-t-on Kevin Garnett sur un terrain ?
Par Elliot Bojman — Le 14 avril 2015 à 11:24
Récemment dépassé par Tim Duncan au classement des meilleurs rebondeurs et marqueurs de l’histoire, et en fin de contrat, Kevin Garnett n’a peut-être pas dit son dernier mot.
Absent depuis le 7 mars, il n’a finalement participé qu’à cinq matches avec les Wolves et il ne devrait pas être en tenue demain soir non plus pour l’ultime match de la saison. Un signe pour son coach, Flip Saunders, que l’intérieur ne pense pas à arrêter.
« S’il joue, ce sera pour moi le signe qu’il ne veut pas jouer l’an prochain, » a-t-il déclaré à Yahoo! Sports. « Il ne regarde pas les choses comme si c’était la fin. Il ne veut pas jouer pour seulement un ou deux matches. »
Certes, le fait que KG ne s’octroie même pas un dernier tour de piste, face au public de ses débuts qui plus est, peut être interprété comme un signe. Dans le même temps, il est possible aussi que le corps de Kevin Garnett ne réponde plus et qu’il soit tout simplement l’heure de dire stop, ce qui ne serait pas fou à presque 39 ans.
De toute façon, il faudra sans doute attendre cet été pour connaitre la réponse, surtout que son actuel contrat se termine cette saison.
« Ces dernières années, tout le monde se demandait si KG allait revenir. Il a tendance à peser le pour et le contre chaque été. Je pense que s’il compte revenir, il nous le fera savoir et il nous dira très vite s’il commence à se préparer pour la saison prochaine comme il a l’habitude de le faire. Il ne va pas attendre jusqu’en août ou septembre. »
Si Kevin Garnett revient, ce serait sa 21e saison et il égalerait ainsi le record détenu jusqu’ici par Robert Parish et Kevin Willis qui, eux, ont respectivement stoppé leur carrière à 43 et 44 ans !
Tout n’est pas à jeter dans la saison de Minnesota
Par Emmanuel Laurin — Le 14 avril 2015 à 16:50
Cette nuit, face au Jazz, les Wolves ont fini le match à 6 ! Presque une habitude pour eux, minés par les blessures pendant toute la saison. Malgré leur courage et la confirmation du talent d’Andrew Wiggins, Minnesota va à nouveau rater les playoffs. Pire, l’équipe est aujourd’hui bon dernier de la NBA, et pourtant Flip Saunders a des raisons d’être optimiste pour la suite.
Président, coach et même actionnaire minoritaire des Wolves, Saunders est déjà très satisfait du rendement d’Andrew Wiggins, la future star de la franchise. C’est déjà un très bon point, et ça prouve que le « trade » contre Kevin Love se justifiait. Pour preuve, selon lui, le titre de meilleur débutant lui est déjà réservé.
« Quand vous regardez la saison d’Andrew, de bout en bout, pour moi, il n’y pas de débat. »
Avec 26 points et 6 rebonds de moyenne en avril, alors que les rookies devraient être sur les rotules, le prodige canadien continue d’impressionner du haut de ses 20 ans. Mais ce n’est que le début du voyage pour « Maple Jordan » !
« Si vous voulez être bons dans cette ligue, vous devez avoir un joueur majeur – que ce soit un Harden, un Curry ou un LeBron – quelqu’un qui porte le balle et en qui vous avez confiance pour faire les bons choix. Il peut créer pour lui-même, provoquer la faute ou créer pour ses coéquipiers. On a donné cette responsabilité à Wiggins et il l’a acceptée… et l’a plutôt bien assumée. »
Mais plus que le simple cas Wiggins, les Wolves disposent effectivement d’un effectif intrigant pour la saison prochaine. Certes, il faudra toujours prier pour que Ricky Rubio et Nikola Pekovic ne se blessent pas constamment, mais le noyau de jeunes joueurs constitué de Wiggins, LaVine, Muhammad, Dieng, Bennett et Payne est particulièrement prometteur.
Un nouveau chapitre dans l’histoire des Wolves
Et le fait de porter cette double casquette a effectivement permis à Saunders d’adopter la bonne attitude sur le long-terme. Perdre des matchs n’est jamais facile en NBA, mais laisser Wiggins, LaVine et Dieng faire leurs erreurs et engranger les minutes est encore plus inestimable.
« C’est plus facile pour moi d’être le coach de cette équipe car si on avait un autre coach, il voudrait gagner tous les matches… Ce que je veux dire par là, c’est qu’il sacrifierait peut-être le développement d’un Wiggins ou d’un LaVine pour faire jouer un vétéran de 32 ans qui ne sera plus là l’an prochain. » analyse coach Saunders sur TrueHoop.
Bon dernier de la ligue depuis cette nuit avec 16 victoires pour 65 défaites, Minnesota devrait à nouveau récolter d’un très bon choix pour la prochaine draft et sous la surveillance du vétéran Kevin Garnett, revenu au bercail et visiblement intéressé par un retour l’an prochain, les Wolves pourront continuer à progresser.
« On a une base sur laquelle se reposer. Ces gars-là doivent encore s’améliorer, on sait qu’on a encore du boulot pour les rendre plus forts. Zach et Wiggins doivent se renforcer musculairement. On doit encore ajouter de bons éléments à notre effectif, on doit réussir une bonne draft. Mais je pense que nos fans comprennent ce qu’on fait. On a des éléments, des joueurs dont on sait qu’ils vont être bons. Reste maintenant à savoir combien de temps ça va prendre. »
Concrètement, tous ses jeunes louveteaux sont sous contrat au moins jusqu’en 2017 (avec team option) et Minnesota a donc deux saisons devant elle pour améliorer son score. Aussi pénible qu’elle fût, cette saison des Wolves a ouvert un nouveau chapitre dans l’histoire de la franchise. Avec le retour de Kevin Garnett, l’idole du précédent, la passation de pouvoir est séduisante suivant l’émergence d’Andrew Wiggins.
La soirée de tous les records pour Zach Lavine
Par Emmanuel Laurin — Le 12 avril 2015 à 15:07
Auteur de 37 points à 13/21 aux tirs dont 6/10 à trois points, Zach LaVine a vécu une soirée historique à trois niveaux. Il a tout simplement établi son record de points en carrière, mais également celui des points marqués par un rookie dans l’histoire de Minnesota, et celui des points marqués par un rookie cette saison.
Shooteur de série, l’arrière des Wolves a pris feu en dernier quart, marquant 20 de ses 37 points lors des 12 dernières minutes. En fait, l’ancien de UCLA a parfaitement tenu tête à Stephen Curry (34 points à 11/21) et il a fallu un grand Klay Thompson pour que les Warriors ne subissent pas leur troisième défaite de la saison à domicile.
Avec ses 37 unités, LaVine a battu ses records aux tirs tentés, aux tirs réussis, aux tirs à trois points tentés, aux tirs à trois points réussis, et il y a ajouté 9 rebonds… également un nouveau record personnel !
« Je suis content d’avoir pu rivaliser avec Stephen Curry »
« Il faut croire que j’aime bien jouer en Californie, c’est clair ! » a rigolé LaVine après coup, et après avoir marqué 28 points face aux Lakers le match précédent. « J’ai eu un coup de chaud. J’avais l’impression que je ne pouvais pas rater. J’ai réussi à scorer au fur et à mesure que le match avançait. Mais bon, j’aurais aimé être comme Kobe et marquer 50, 60 voire plus. C’est dommage car on était bien revenus au score… Et puis, j’ai perdu des ballons bêtement sur la fin. Je suis content d’avoir pu rivaliser avec Stephen Curry mais ça n’a pas suffi. »
Il bat ainsi les 33 points de son coéquipier Andrew Wiggins, les 30 de Nerlens Noel et les 30 de Jordan Clarkson parmi ses collègues débutants. Pour ce qui est de la franchise du Minnesota, Zach LaVine détrône Christian Laettner qui avait réussi 35 points pour sa première campagne à sa sortie de Duke en 1992.
Ricky Rubio va repasser sur le billard pour sa cheville gauche
Par Emmanuel Laurin — Le 12 avril 2015 à 9:05
Touché à la cheville le 7 novembre dernier contre le Magic, Ricky Rubio n’a jamais réussi à retrouver la forme.
Revenu au jeu pour 22 apparitions depuis cette blessure, le meneur des Wolves n’a cependant plus joué depuis le 13 mars et sa franchise vient d’annoncer qu’il allait à nouveau passer sur le billard pour une « arthroscopie exploratoire ».
Ayant mis un terme à sa saison, Ricky Rubio a déjà précisé qu’il allait probablement faire une croix sur le prochain Eurobasket pour s’investir à fond dans sa carrière NBA. Auteur de 10 points, 9 passes et 6 rebonds cette saison, le magicien ibère n’a pas encore réussi à s’imposer dans la durée sur les parquets américains.
Espérons que la saison prochaine sera la bonne pour Ricky Rubio et ses Wolves…
Fred Hoiberg de nouveau opéré du coeur
Par Jeremy Le Bescont — Le 10 avril 2015 à 21:12
Actuellement coach d’Iowa State, et mentor de Ronny Turiaf qui a souffert des mêmes problèmes cardiaques, Fred Hoiberg va de nouveau subir une opération selon Fox29.com. C’est déjà en raison de problèmes cardiaques que l’ancien joueur des Bulls et Wolves avait dû cesser sa carrière.
« Après ma première opération pour remplacer ma valve aortique il y a dix ans, je savais que ce serait quelque chose dont j’aurais besoin. Elle connaît de grosses insuffisances et le temps est venu de la remplacer. J’espère que ce sera ma dernière opération et que je pourrai mettre ça derrière moi. »
L’opération aura lieu à Minnesota. En ce qui concerne son avenir professionnel, Fred Hoiberg est pressenti pour remplacer Tom Thibodeau, au cas où les Bulls décideraient de se séparer de ce dernier.
Minnesota signe le pivot Arinze Onuaku
Par Arnaud Gelb — Le 7 avril 2015 à 21:21
Les Minnesota Timberwolves ont engagé l’intérieur Arinze Onuaku pour une durée de dix jours afin de combler le vide laissé par les blessures de Gorgui Dieng, Nikola Pekovic ou encore Kevin Garnett. Cette saison, Onuaku évoluait chez les Canton Charge en D-League où il tournait à 17,5 points et 12,2 rebonds de moyenne.
Agé de 27 ans, il a été formé à l’université de Syracuse et y a terminé son cursus en 2010.
L’an passé, il avait déjà joué cinq matchs en NBA (trois avec New Orleans, deux avec Cleveland).
Ricky Rubio en quête d’adresse et de santé pour la saison prochaine
Par Jeremy Le Bescont — Le 5 avril 2015 à 11:29
La nouvelle est tombée hier : Ricky Rubio ne jouera plus cette saison sur les terrains NBA. Auteur de 22 matchs seulement, le meneur espagnol clôt une bien triste campagne, pourtant débutée par la signature de sa conséquente prolongation de contrat. À 25 ans, l’international a déjà manqué 110 matchs en quatre ans, soit plus d’une saison. Pour son entraîneur, Flip Saunders, rien ne laissait présager une telle tournure.
« Personne ne s’attendait à ce que cela se passe ainsi et que cela dure aussi longtemps. Les médecins essayent différentes choses pour voir s’ils peuvent le libérer de la douleur, » a t-il déclaré au Star Tribune.
« Je peux devenir un grand dans cette ligue »
Désormais, le Wolf doit se soigner et se concentrer sur la saison prochaine. Malgré une influence indéniable sur le jeu de son équipe, il ne montre toujours pas de progrès probants au tir. De fait, Ricky Rubio veut en faire son axe de travail principal pour cet été.
« J’ai confiance en moi. Je pense pouvoir devenir un grand dans cette ligue. Pour y parvenir, je dois progresser énormément au tir, » a commenté le meneur.
Sa franchise sera attentive sur ce point. Ainsi, elle a engagé cette saison l’ancien joueur, Mike Penberthy, pour faire évoluer son geste. Selon ce dernier, Ricky Rubio est sur la bonne voie.
« Quand on devient un meilleur shooteur, la vie change. Toutes les possibilités commencent à s’offrir. La passe, la pénétration, on devient plus rapide car les défenses se rapprochent. Il travaille plus dur que n’importe qui, » a confié l’assistant.
Le tir et la santé, voilà ce dont a toujours manqué Ricky Rubio. Après une nouvelle saison gâchée, le meneur espère se débarrasser de ces lacunes pour enfin faire taire les critiques et aider son club à gagner et enfin retrouver les playoffs.
Nikola Pekovic inquiet pour la suite de sa carrière
Par Dimitri Kucharczyk — Le 3 avril 2015 à 21:56
Hier, les Wolves annonçaient que Nikola Pekovic allait être opéré pour réparer son tendon d’Achille abîmé. Il s’agit d’une opération délicate, qui n’est préconisée que lorsque les autres traitements ont échoué et dont il faut généralement un an pour totalement se remettre. Le pivot monténégrin admet ainsi que c’est « la dernière chose » qu’il puisse tenter pour éliminer la douleur.
Et le futur l’inquiète.
« Evidemment », confie-t-il au Star Tribune. « Je suis inquiet de savoir comment cela affectera ma vie dans 10 ans. Je pense également au basket. Quand on doit faire face à quelque chose comme ça… C’est important ».
Limité à 54 matchs l’an passé et 31 cette saison, Nikola Pekovic a tout tenté pour soulager sa cheville droite. Cette opération semble donc l’ultime recours du pivot, qui ne sait pas quand il pourra rejouer et n’a logiquement pas le moral.
« Je vais faire tout ce que je peux pour me sentir mieux », assure-t-il. « C’est vraiment dur. Quand on fait tout ce qu’on peut, pendant un an, et que rien ne marche, on en vient au point où on doit juste s’asseoir. Il faut faire avec, c’est tout ».
Nikola Pekovic à nouveau opéré du pied
Par Dimitri Kucharczyk — Le 2 avril 2015 à 22:57
Cela va faire deux saisons que Nikola Pekovic est gêné par des douleurs au pied droit. Limité à 54 matchs l’an passé, il n’a pu jouer que 31 rencontres cette saison, tournant difficilement à 12.5 points et 7.5 rebonds de moyenne.
Déjà opéré du pied droit en 2012, le pivot monténégrin doit repasser sur la table d’opération et les médecins vont essayer de réparer son tendon d’Achille abîmé. Pour l’instant, la durée de l’absence n’a pas été annoncée et on ne sait pas si Nikola Pekovic pourra être de retour en début de saison prochaine.
Le club entend ainsi communiquer plus tard mais ce type d’opération n’est envisagée que si tous les autres traitements ont échoué et les patients mettent souvent un an à récupérer totalement.
Pauvre gamin ce Bennett, c'est un pire flop qu'Olokwandi à ce niveau là... Il est juste mauvais.. Au moins Olokwandi ou Kwame pouvaient vaguement servir à quelque chose en défense... cte tristesse.
Anthony Bennett lâche une passe laser… pour le public des Wolves !
Par Emmanuel le 2 avr 2015 - 9:30
Un peu dans la même veine qu’Alexey Shved récemment, Anthony Bennett nous a lâché une passe bien étrange hier soir, dans la lourde défaite de ses Wolves contre Toronto.
L’ancien numéro 1 de la draft à Cleveland est parti avec la bonne intention de servir son coéquipier, Justin Hamilton, sous le panier. La réalisation laisse elle grandement à désirer…
La réaction de Flip Saunders, son coach, se passe d’ailleurs de commentaires !
Minnesota : saison terminée pour Nikola Pekovic
Par Fabrice Auclert — Le 31 mars 2015 à 11:33
Absent des parquets depuis le 9 mars, Nikola Pekovic ne rejouera pas cette saison. C’est Flip Saunders qui l’a annoncé dans le St.Paul Pioneer Press, arguant que son pivot était toujours gêné par des soucis à la cheville droite, opérée en 2012, et qui ne cesse de le gêner depuis son arrivée en NBA.
Signé 60 millions sur cinq ans en 2013, l’intérieur monténégrin n’a ainsi joué que 85 matches en deux saisons, tournant péniblement à 12.5 pts et 7.5 rbds de moyenne.
Flip Saunders constate les rapides progrès d’Andrew Wiggins
Par Jonathan Demay — Le 28 mars 2015 à 10:21
Comme Nikola Mirotic ou Nerlens Noel, Andrew Wiggins accélère en cette fin de saison puisqu’il vient de mettre 31 points face aux Rockets. L’ailier des Wolves ajoute 4 rebonds et 4 passes et shoote à 9/17.
Une excellente performance face à l’une des meilleures formations de la ligue et Flip Saunders ne peut que s’en réjouir, malgré la défaite.
« Il joue à un très, très haut niveau », constate le coach à ESPN. « Il fait des choses que je n’avais pas imaginées qu’il pourrait apprendre aussi vite. Chaque fois qu’on lui donne des responsabilités, il continuer d’avancer. »
Sur les cinq derniers matches, le premier choix de la draft 2014 tourne à 22.6 points avec 45% de réussite et 5 rebonds de moyenne. Il est même sur quatre rencontres de suite à plus de 50% au shoot.
Seulement, son efficacité et sa confiance ne sont pas encore suffisantes pour porter Minnesota vers la victoire.
« Contre les bonnes équipes, quand on fait des erreurs, on les paie », apprend Wiggins. « C’est ça qui fait qu’elles sont grandes. »
Les Wolves ont pensé drafter Kobe Bryant en 1996
Par Dimitri Kucharczyk — Le 26 mars 2015 à 18:28
Ah, avec des « si »… Hier, Flip Saunders a en tout cas fait une confidence intéressante au Los Angeles Daily News après la rencontre face aux Lakers. Le coach/GM de Minnesota, qui était déjà coach de l’équipe en 1995, a ainsi expliqué que son club avait envisagé de prendre Kobe Bryant avec son cinquième choix, lors de la Draft 1996.
« Nous avions discuté l’idée d’en choisir un autre [lycéen] parce que ça avait fonctionné avec KG [drafté l’année précédente] », explique-t-il. « Finalement, nous avons pensé que cela faisait trop d’avoir deux joueurs aussi jeunes à ce moment-là, surtout qu’il fallait faire progresser KG ».
Stephon Marbury, un choix plus sûr pour les Wolves ?
Si Kobe Bryant avait été drafté par les Wolves, son développement aux côtés de Kevin Garnett aurait sans doute été encore plus compliqué qu’aux Lakers, où il était entouré par des vétérans. Finalement, Minnesota décida de choisir Ray Allen et de l’échanger dans la foulée contre Stephon Marbury.
Celui-ci n’avait passé qu’un an à Georgia Tech mais aux yeux de Kevin McHale et Flip Saunders, le meneur semblait donc un choix plus sûr et peut-être plus complémentaire du « Big Ticket ».
Inutile en tout cas d’avoir des regrets, les deux joueurs ayant tous deux réussi de superbes carrières.
Andrew Wiggins fait rêver le Canada
Par Emmanuel Laurin — Le 20 mars 2015 à 11:35
Pas un. Pas deux. Mais trois « très » pour Andrew Wiggins…
« J’adore Minnesota. Ils me traitent vraiment très bien là-bas. Je pense y rester pour un très, très, très long moment. »
Andrew Wiggins pour qualifier le Canada aux JO cet été ?
Les plumitifs canadiens ne pouvaient pas manquer de poser la question à leur petit prodige, de retour dans sa ville natale de Toronto: pense-t-il à un retour chez lui pour jouer chez les Raptors ? Le futur Rookie de l’année a éludé la question en confirmant qu’il se sentait très bien à Minnesota pour le moment.
De la même manière, il faudra encore attendre (la fin de la saison) pour savoir si Wiggins sera de la partie pour les Pan Am Games qui auront lieu dans quatre mois, à Toronto justement, avec pour objectif les qualifications pour les prochains Jeux Olympiques de Rio avec sa sélection nationale du Canada.
« C’est encore loin dans le futur. » a expliqué Andrew au National Post. « Je verrai tout ça à la fin de la saison. »
Steve Nash, le General Manager, et Jay Triano, le coach de l’équipe nationale canadienne vont donc devoir se montrer patients (et persuasifs) pour essayer de convaincre Wiggins de participer à cette échéance importante pour son pays natal. Sachant que les Wolves vont finir leur saison le 15 avril prochain (avec un match à domicile contre OKC), il y a de fortes chances pour que l’ailier de Minnesota soit disponible pour sa sélection.
Wiggins n’a pas encore manqué le moindre match…
« Comme pour tous les rookies, Andrew a vécu des hauts et des bas. » précise Sam Mitchell, l’assistant coach des Wolves et ancien coach des Raptors. « Mais il a pris les matchs les uns après les autres sans craquer. Il aura des soirées difficiles et d’autres meilleures. Ce n’est pas qu’il n’est pas bon ou qu’il ne fait pas les efforts nécessaires, c’est simplement la nature de la NBA. Personne ne peut jouer 82 matchs à son meilleur niveau. L’an passé, il n’avait joué qu’un peu plus de 30 matchs. On a fait ça en deux mois. Le fait qu’il n’ait pas manqué le moindre match cette saison montre l’étendue de ses capacités. »
En tout état de cause, sa montée en puissance tout au long de la saison, avec des pointes à 27 unités ou 30 pions face à LeBron James et James Harden respectivement, laisse à penser qu’Andrew Wiggins sera non seulement prêt physiquement pour renfiler les baskets mais également motivé pour retrouver le jeu et poursuivre sa progression. Avec 16 points, 4 rebonds et 2 passes de moyenne, l’ancien JayHawk a parfaitement maîtrisé la transition entre NCAA et NBA. Pourra-t-il le faire entre NBA et FIBA ?
A l’instar de ce qu’avait fait notre Rudy Gobert national lors de la dernière Coupe du monde, les compétitions internationales représentent une occasion en or pour les jeunes NBAers de se montrer sous un nouveau jour et continuer leur apprentissage du métier. Avec les Thompson, Olynyk, Joseph, Bennett et autres, l’équipe nationale canadienne pourrait présenter un visage très séduisant.
Minnesota perd aussi son coach…
Par Fabrice Auclert — Le 18 mars 2015 à 10:09
Après les joueurs, c’est au tour du coach, Flip Saunders, de déclarer forfait. Au chevet de son père, gravement malade, le président-entraîneur des Wolves a annoncé qu’il n’accompagnerait pas ses joueurs à Toronto pour affronter ce soir les Raptors.
Ce n’est pas sûr aussi qu’il puisse les rejoindre à New York pour le match suivant. En conséquence, c’est Sam Mitchell, son premier adjoint qui sera sur le banc face à Toronto. Ironie de l’histoire, Mitchell connaît bien le banc des Raptors puisqu’il y a officié pendant quatre saisons, remportant même le titre de meilleur coach de l’année en 2007.
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MC Jean Gab1 a dit : Un ex-fan des Sonics soutient les Wolves après avoir écrit à toutes les franchises NBA Par Dimitri Kucharczyk le 11 mar 2015 - 8:28 Habitant la région de Seattle, le jeune Connor n’a plus d’équipe NBA à soutenir depuis le déménagement des Sonics en 2008. Après plusieurs années, il a finalement décidé de devenir fan d’une autre équipe. Mais laquelle choisir ? Pour décider, l’adolescent de 16 ans a écrit une lettre manuscrite aux 30 franchises NBA, leur demandant pourquoi il devrait devenir leur supporter. Racontant son histoire sur Reddit, il explique qu’une seule équipe lui a répondu… les Minnesota Timberwolves. Le club lui a même fait la liste des 10 raisons pour lesquelles il devrait commencer à supporter la franchise du Minnesota. 1. Andrew Wiggins sera une future superstar en NBA 2. Andrew Wiggins sera Rookie de l’année 3. Andrew Wiggins a été élu MVP du match « USA contre le Reste du monde » lors du dernier All Star Game 4. Zach LaVine sera l’un des arrières les plus athlétiques de la ligue 5. Zach LaVine est désormais un nom connu après avoir remporté le dernier concours de dunks 6. Ricky Rubio devient l’un des meilleurs meneurs de la ligue 7. Selon ESPN, si la Draft 2013 avait lieu aujourd’hui, Gorgui Dieng serait pris en 1er et Shabazz Muhammad serait pris en 3e 8. Avec Nikola Pekovic, Kevin Martin et Anthony Bennett, il y a énormément de talents prêts à éclore dans notre équipe 9. Les Wolves seront l’une des équipes les plus athlétiques et spectaculaires de ces deux prochaines années 10. KEVIN GARNETT EST DE RETOUR ! Même si on sent que la lettre a été écrite en vitesse (il y a des fautes sur les noms des joueurs et certains arguments sont un peu faibles), l’attention est belle et le ballon dédicacé a fini de convaincre Connor qu’il avait trouvé une nouvelle équipe à soutenir.
Un ex-fan des Sonics soutient les Wolves après avoir écrit à toutes les franchises NBA
Par Dimitri Kucharczyk le 11 mar 2015 - 8:28
Habitant la région de Seattle, le jeune Connor n’a plus d’équipe NBA à soutenir depuis le déménagement des Sonics en 2008. Après plusieurs années, il a finalement décidé de devenir fan d’une autre équipe. Mais laquelle choisir ?
Pour décider, l’adolescent de 16 ans a écrit une lettre manuscrite aux 30 franchises NBA, leur demandant pourquoi il devrait devenir leur supporter. Racontant son histoire sur Reddit, il explique qu’une seule équipe lui a répondu… les Minnesota Timberwolves.
Le club lui a même fait la liste des 10 raisons pour lesquelles il devrait commencer à supporter la franchise du Minnesota.
1. Andrew Wiggins sera une future superstar en NBA
2. Andrew Wiggins sera Rookie de l’année
3. Andrew Wiggins a été élu MVP du match « USA contre le Reste du monde » lors du dernier All Star Game
4. Zach LaVine sera l’un des arrières les plus athlétiques de la ligue
5. Zach LaVine est désormais un nom connu après avoir remporté le dernier concours de dunks
6. Ricky Rubio devient l’un des meilleurs meneurs de la ligue
7. Selon ESPN, si la Draft 2013 avait lieu aujourd’hui, Gorgui Dieng serait pris en 1er et Shabazz Muhammad serait pris en 3e
8. Avec Nikola Pekovic, Kevin Martin et Anthony Bennett, il y a énormément de talents prêts à éclore dans notre équipe
9. Les Wolves seront l’une des équipes les plus athlétiques et spectaculaires de ces deux prochaines années
10. KEVIN GARNETT EST DE RETOUR !
Même si on sent que la lettre a été écrite en vitesse (il y a des fautes sur les noms des joueurs et certains arguments sont un peu faibles), l’attention est belle et le ballon dédicacé a fini de convaincre Connor qu’il avait trouvé une nouvelle équipe à soutenir.
Les Wolves recrutent Justin Hamilton, Glenn Robinson Jr. coupé
Par Jeremy Le Bescont — Le 6 mars 2015 à 8:59
Tout juste laissé libre par les Pelicans pour faire de la place à Elliot Williams, Justin Hamilton devrait rejoindre les Timberwolves sous peu, selon ESPN. L’ancien joueur du Heat avait été envoyé à la Nouvelle Orléans le soir de la trade deadline dans le cadre de l’échange à trois équipes concernant Goran Dragic et Norris Cole mais il a été coupé avant même de disputer un match sous ce maillot.
Pivot de 2m13 et 118 kilos, capable ponctuellement de s’écarter, le 45e choix de la draft 2012 devrait donc terminer la saison à Minnesota. Il compilait 2.8 points à 41.5% et 2 rebonds en 12 minutes par match sous le maillot floridien. Afin de libérer une place dans l’effectif, la franchise coupe Glenn Robinson Jr.
Ce dernier n’a jamais pu s’imposer dans la rotation de Flip Saunders (1.2 point en 4 min de jeu en moyenne et 25 matchs).
Doc Rivers heureux que Kevin Garnett soit revenu aux Wolves
Par Emmanuel Laurin — Le 3 mars 2015 à 12:26
Les Clippers rendaient visite aux Wolves hier soir, et si Chris Paul a délivré une prestation de haut-vol pour mener son équipe à la victoire, ce fut évidemment l’occasion de retrouvailles émouvantes entre Doc Rivers et Kevin Garnett.
Longtemps pressenti du côté de Los Angeles pour reformer son duo champion en 2008 avec coach Rivers, Garnett a finalement atterri à Minny. Et le technicien californien ne peut que s’incliner devant cette décision… du coeur !
« J’aurais adoré qu’il vienne chez les Clippers pour essayer d’en gagner un autre. » explique-t-il ainsi sur ESPN. « Mais même moi, qui suis compétiteur jusqu’au bout des ongles, je dois bien reconnaître que Kevin Garnett a fait le bon choix en revenant à Minnesota. C’est magnifique. Non seulement, il retourne chez lui mais il va retrouver un rôle de professeur. »
Forts de leur épopée commune à Boston, Garnett et Rivers ont logiquement tissé des liens très forts d’amitié. Si Rivers a effectivement essayé de faire venir son ancien protégé à Los Angeles (où Garnett possède une maison, à Malibu) pour une dernière danse, il est néanmoins satisfait de voir Garnett boucler la boucle sur son immense carrière par un retour là où tout avait commencé en 1995.
Kevin Garnett: « Mes années à Boston sont parmi les meilleurs souvenirs de ma carrière »
« Je lui dois beaucoup. Je pense toujours que je lui dois plus que ce qu’il me doit. Il était déjà très fort avant que je le côtoie. Il n’a pas eu besoin de moi. J’ai simplement adoré son professionalisme. Je suis certain que les jeunes joueurs [des Wolves] commencent à comprendre. Ils devaient certainement croire que c’était surfait, que personne ne peut être aussi intense, aussi professionnel et aussi impliqué dans le concept collectif. Mais ils vont rapidement voir que c’est bien vrai. A Boston, il a changé la culture. Littéralement. Il défend certaines valeurs et les met en pratique tous les jours. »
Meneur d’hommes devant l’éternel, Doc Rivers a trouvé en Kevin Garnett une sorte d’alter ego. Sur la base de cette relation fraternelle, donnant – donnant, les Celtics ont dominé la conférence Est pendant cinq ans entre 2007 et 2012, avec deux accessions aux finales NBA, trois aux finales de conférence et évidemment, leur couronnement en 2008. Forcément, cet épisode a marqué le Big Ticket.
« Doc a eu un impact immense sur ma carrière. » relate KG. « Il m’a transmis, ainsi qu’à tous les autres gars qui sont passés par Boston, la signification véritable du travail d’équipe, de la fierté collective, de jouer pour son coéquipiers. Ce fut un grand moment de ma vie, des moments que je n’oublierai jamais. C’était monumental, parmi les meilleurs souvenirs de ma carrière professionnelle. Il est un grand professeur, un grand motivateur. Ce fut un grand moment de ma vie. »
Ricky Rubio voit triple
Par Jonathan Demay — Le 3 mars 2015 à 10:31
La liste des meneurs auteurs d’un triple double cette saison continue de s’élargir avec un 8e membre puisque Ricky Rubio a compilé cette nuit 18 points, 12 rebonds et 11 passes face aux Clippers.
C’est le 4e triple double de sa carrière, et pour la première fois, il n’est pas synonyme de victoire car il n’a pas suffi à faire tomber les Clippers, décidément très solides en ce moment.
« On a été mauvais en dernier quart-temps, c’est la raison pour laquelle nous avons perdu », explique Rubio au Star Tribune. « On continue d’apprendre chaque jour, et la bonne nouvelle, c’est notre défense qui nous a gardé dans le match. »
Rubio s’est démultiplié mais, effectivement, les 10 dernières minutes des Wolves ont été catastrophiques avec aucun panier inscrit !
« Ils ont parfaitement défendu en quatrième quart-temps, on n’a pas mis un shoot. J’ai essayé, mais je n’ai pas réussi à mettre dedans. Dès lors, c’est compliqué de gagner. »
Pourtant, le meneur de la sélection espagnole est en grande forme en ce moment. Depuis cinq matches, il tourne à 13.2 points, 9.2 passes, 8.2 rebonds et 2.8 interceptions de moyenne.
[replay] Kevin Garnett expulsé pour avoir fait rebondir le ballon
Par Dimitri Kucharczyk — Le 1 mars 2015 à 11:56
Pour son deuxième match avec les Wolves depuis son grand retour, Kevin Garnett a récolté une expulsion. Celle-ci est néanmoins très sévère car après une première faute technique consécutive à des plaintes auprès des arbitres, le « Big Ticket » a été renvoyé aux vestiaires… pour avoir fait rebondir le ballon.
Flip Saunders ne comprenait d’ailleurs pas la logique des officiels.
« Leur argument, c’est qu’on ne peut pas faire ça », explique le coach de Minnesota. « Mon argument, d’après les règles, c’est que l’action doit être une marque de ressentiment à cause d’un coup de sifflet obtenu ou manqué. Ce qu’il a fait, c’est simplement faire rebondir la balle car il était énervé contre lui-même d’avoir fait une faute. Ce n’était donc pas une marque de ressentiment [envers les arbitres] ».
Sur ce coup-là, Kevin Garnett a donc sans doute été victime de sa réputation. Si les arbitres commencent à distribuer des fautes techniques à tous les joueurs qui montrent des signes de frustration, ça risque en effet d’être compliqué.
Nikola Pekovic encore touché à la cheville
Par Jonathan Demay — Le 1 mars 2015 à 12:10
En plus de l’expulsion de Kevin Garnett face aux Grizzlies, les Wolves ont du composer en seconde mi-temps avec l’absence de Nikola Pekovic.
Le pivot n’a joué que 92 secondes en seconde période car il avait mal à la cheville. En 12 minutes, il a rendu une petite feuille de statistique d’un point et quatre rebonds.
« On a deux jours de repos avant le prochain match donc j’espère que la douleur va passer et que je pourrais jouer », explique-t-il à Fox Sports.
Avec seulement 27 rencontres disputées, Peko vit une saison compliquée sur le plan physique. Et cette blessure arrive au pire moment puisqu’il avait retrouvé la forme en compilant 15.2 points et 12.2 rebonds sur les cinq derniers matches.
Après son retour, Kevin Garnett va offrir 1 000 places aux fans des Wolves
Par Dimitri Kucharczyk — Le 1 mars 2015 à 17:57
Kevin Garnett a reçu un formidable accueil pour son retour à Minnesota. Du coup, le « Big Ticket » a envie de faire plaisir aux fans des Wolves. Pour le match de demain, contre les Clippers, l’intérieur a ainsi acheté 1 000 places qu’il offrira aux 500 premiers fans (les places sont offertes par deux) qui les réclameront demain, sur le site Internet de la franchise.
« L’accueil et le soutien que j’ai reçus de la part des fans des Wolves depuis mon retour à Minnesota ont été incroyables. C’est vraiment inimaginable », explique l’intéressé. « En guise de remerciement, je voudrais inviter certains fans pour le match de lundi, face aux Clippers. Je vous adore tous et je vous remercie pour votre amour. J’espère que vous apprécierez le match avec moi ».
Un beau geste qui continue l’une de belles histoires de cette saison.
[replay] Kevin Garnett est rentré au bercail
Par Jonathan Demay — Le 26 février 2015 à 21:58
Une semaine après son transfert à Minnesota, Kevin Garnett a bouclé une semaine inoubliable en émotion par un premier match et une première victoire contre les Wizards.
Retour donc en images sur ces 6 jours de folie pour l’intérieur des Wolves, entre l’officialisation de son retour, sa conférence de presse et finalement son sourire sur le parquet, devant les fans de Minnesota.
Kevin Garnett surpris et touché par l’accueil du public de Minnesota
Par Arnaud Gelb — Le 26 février 2015 à 16:22
Kevin Garnett a effectué son grand retour au Target Center de Minneapolis mercredi soir, conduisant les Timberwolves à un probant succès face aux Washington Wizards. Huit ans après son transfert vers Boston, Garnett a enfilé à nouveau les couleurs de la franchise de ses débuts, une franchise qui ne s’est jamais véritablement remise de son départ. S’il n’a terminé qu’avec 5 points et 8 rebonds en 19 minutes, son aura reste intacte, et il est plus que jamais le joueur emblématique de Minnesota.
« Je suis retourné dans cette salle avec les Celtics et les Nets mais je n’avais jamais vraiment fait attention à l’amour que les fans avaient pour moi. J’étais trop concentré sur les matches » raconte Garnett à l’Associated Press. « Ce soir, c’était juste incroyable comme atmosphère. Je ne savais pas combien je manquais à cette ville. Je ne pense pas que l’on puisse imaginer qu’une ville puisse autant vous aimer. Je suis très reconnaissant envers ce que j’ai pu voir et entendre. Je suis heureux que mes filles aient pu voir cela. C’était un moment vraiment unique Je n’ai pas de mots pour exprimer ce que je ressens. »
Garnett a passé les douze premières saisons de sa carrière chez les Timberwolves. Son départ vers Boston a été chaotique mais en l’espace d’un soir, tous les ressentiments ont été oubliés sous les cris de « KG ! KG ! KG ! ».
« Je remercie tout ceux qui sont venus ce soir » conclue Garnett. « Je veux leur dire que je suis heureux d’être ici et j’espère que nous pourrons remporter de nouvelles victoires et redonner de l’intérêt au public envers cette équipe. »
Minnesota : les images de la standing ovation reçue par Kevin Garnett
Par Jeremy Le Bescont — Le 26 février 2015 à 8:11
Voilà huit ans que Kevin Garnett n’avait plus porté l’uniforme des Wolves. Sous ce maillot, il a porté la franchise vers ses meilleurs bilans au point d’en devenir le joueur emblématique.
Huit ans après son départ, aucun Wolf n’a su irradier autant sous ces couleurs et cette nuit encore, l’aura du joueur n’avait pas d’équivalent sur le terrain.
Le Target Center n’avait de yeux que pour lui et après un clip de présentation, le public s’est fendu d’une très longue standing-ovation pour saluer le retour du fils prodigue.
[collector] Kevin Garnett revient sur sa saison de MVP
Par Jonathan Demay — Le 26 février 2015 à 11:20
De retour sur la terre de ses premiers exploits, Kevin Garnett a porté à nouveau cette nuit son maillot des Wolves. Celui qu’il avait fièrement arboré et représenté pendant 12 saisons entre 1995 et 2007.
Le sommet de sa carrière à Minnesota restera sa saison 2003-2004 où il fut élu MVP. Comment ne pas l’être avec de telles moyennes ? Garnett avait compilé 24.2 points, 13.9 rebonds, 5 passes, 2.2 contres et 1.5 interception par match dans les 58 victoires de son équipe.
Avec Sam Cassell et Latrell Sprewell, les Wolves iront jusqu’en finale de conférence, seulement éliminés par les Lakers. C’est la dernière fois que Garnett jouera les playoffs sous ce maillot.
Auteur anonyme
Posté il y a plus de 111 mois
Auteur Anonyme
Ce que je pense de Kevin Garnett n'est plus à présenter, mais pourtant mon premier réflexe ce matin a été de regarder l'accueil qui lui avait été réservé pour son retour.
J'ai pris un bon coup de vieux en revoyant les images de KG dans les années 90, mais j'avoue avoir bien apprécié justement ces frissons de nostalgie...
Belle vidéo en tout cas, magnifique message "It doesn't matter where you've been, there is only one HOME", superbe ambiance. Content pour eux qui'ils aient gagné ce match.
Kevin Garnett confirme son désir de devenir propriétaire des Wolves
Par Jeremy Le Bescont — Le 25 février 2015 à 12:44
Avant même qu’il ne revienne comme joueur, le nom de Kevin Garnett circulait du côté de Minnesota puisqu’on évoquait son désir de devenir (co)propriétaire de la franchise. Le président, coach et propriétaire minoritaire de l’équipe, Flip Saunders, avait-lui même confié sa conviction d’un retour de Kevin Garnett dans le Minnesota en tant que dirigeant. Des propos confirmés ensuite par le joueur.
Hier, lors de sa conférence de presse, le futur Hall of Famer a bien entendu été interrogé à ce sujet et il n’a de toute évidence pas changé d’avis. Sans détour, il n’a pas caché que cela faisait aussi partie de sa motivation pour revenir au sein des Timberwolves.
« Je suis ici pour un moment. C’est le but. Je veux comprendre cette fonction de propriétaire intégrer ce monde à un moment, et apporter un titre à cette équipe. »
Selon TwinCities, Kevin Garnett aimerait ainsi s’associer avec Flip Saunders et d’autres investisseurs pour prendre le contrôle de l’équipe d’ici deux ans, soit la durée de la prolongation de contrat proposée par le club au joueur. Le propriétaire de la franchise, Glen Taylor, désire vendre la franchise mais il attendrait néanmoins de savoir ce qu’il adviendra des Hawks.
D’ici là, la valeur des Wolves aura sans doute augmenté mais avec plus de 320 millions de dollars amassés en carrière (en salaires seulement), Kevin Garnett aura certainement son mot à dire au moment de réunir un groupe d’investisseurs.
Kevin Garnett impose déjà son professionnalisme aux Wolves
Par Jonathan Demay — Le 25 février 2015 à 18:06
On continue de suivre, pas à pas, le retour de Kevin Garnett à Minnesota. Avant le grand match de ce mercredi soir, et après les aventures de KG dans le vestiaire et avec son maillot, voici désormais les coulisses du premier entraînement.
Un premier contact avec ses coéquipiers qui est marqué pas le professionnalisme du MVP 2004.
« Il a 38 ans et il est arrivé à 9h30 ce matin (mardi). Il était le premier », déclare Andrew Wiggins au Star Tribune. « L’intensité était bien plus élevée et c’était plus excitant. La façon dont il parle force tout le monde à en faire davantage »
Et pour ceux qui ne se donnent pas assez, Garnett leur réserve ses aboiements habituels…
« Il a gueulé sur Pekovic deux fois comme, je pense, personne ne l’avait fait depuis le début de sa carrière. Il voulait qu’il revienne plus vite en défense. Donc c’est bon ça, tout le monde le respecte. »
Garnett n’est pas un adepte du « faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais », complète l’assistant Sam Mitchell.
« Il a été le premier à revenir en défense. Il n’a pas seulement dit à Pekovic de le faire parce qu’il en avait envie. Il l’a fait parce que c’est la bonne chose à faire. Et il l’a fait avant tout le monde. »
Pekovic l’a bien pris en acceptant l’attitude du « Big Ticket », il sait qu’elle est bénéfique et nécessaire pour gagner.
« On était tous motivés et c’est normal d’être intense si on veut gagner. J’y crois vraiment, et il faut s’encourager. »
Kevin Garnett : « Si LeBron est revenu chez lui, pourquoi pas moi ? »
Par Jeremy Le Bescont — Le 25 février 2015 à 8:48
À 38 ans, Kevin Garnett revient là où il a commencé sa carrière en 1995. Parmi les premiers joueurs issus du lycée à avoir un impact conséquent sur son équipe en NBA, l’intérieur a depuis accompli beaucoup de chemin, notamment avec un titre NBA en 2008 et un trophée de MVP en 2004. Parmi les meilleurs joueurs de l’histoire à son poste, il a désormais l’opportunité de transmettre son savoir auprès des jeunes pousses des Wolves et il est ravi de cette nouvelle situation.
« C’est parfait. Si l’on parle d’une histoire, c’est un conte de fée. C’est une fin idéale pour ça. C’est comme ça qu’on le rêve, » a t-il déclaré lors de sa conférence de presse, hier.
« Je n’étais pas heureux de la manière dont je suis parti »
S’il fut longtemps question d’échanger Kevin Garnett pour un candidat au titre, cette issue (vraisemblablement) finale parait en effet comme la meilleure pour le joueur et la franchise. Après tout, quelle que soit l’équipe où il aurait atterri, rien ne garantissait un nouveau trophée Larry O’Brien au futur Hall of Famer et en termes d’émotion, rien ne vaut un retour dans le Minnesota de l’enfant chéri. Depuis son départ, il n’a jamais été remplacé. Longtemps, le club espérait faire de Kevin Love son successeur mais ce dernier n’a jamais eu son aura. Les Wolves, c’est lui.
« Je n’oublierai évidemment pas certaines choses, mais c’est le moment d’avancer. Je ne serais pas revenu si cette relation (avec la direction) en était au point où ce n’est pas rattrapable ou quelque chose comme ça. Je ne serais pas revenu si ce n’était pas l’opportunité pour moi de repartir de zéro ou de l’améliorer. J’ai hâte de profiter de cette opportunité et j’embrasse ce changement. Je n’étais pas vraiment heureux de la manière dont j’étais parti d’ici. »
Après avoir déclaré qu’il aurait voulu apporter un titre à la franchise, Kevin Garnett a concédé qu’il contribuera désormais probablement à la destinée du club.
« Je sais qu’il s’agit du déclin de ma carrière mais je pense avoir encore tellement à apporter. C’est la situation parfaite. La boucle est bouclée, ici. »
Un retour au source qui en rappelle un autre.
« Si LeBron est revenu chez lui, pourquoi pas moi ? »
Andrew Wiggins : « J’avais besoin de râler pour avoir des fautes »
Par Jonathan Demay — Le 24 février 2015 à 21:15
Pour son 20e anniversaire et face à un des favoris pour le titre de MVP, James Harden, Andrew Wiggins a été au niveau de l’événement.
Il en a même profité pour montrer du caractère. En fin de troisième quart-temps, alors qu’il n’avait pas encore shooté un lancer-franc, il prend une faute technique pour contestation. À ce moment du match, il est à 8/19 au shoot.
« J’en avais besoin », explique-t-il au Star Tribune. « J’ai commencé à avoir des coups de sifflet après. Avant, je n’avais rien eu. J’avais pénétré peut-être sept fois, et il y avait faute six fois, mais je suis un rookie donc… »
Un rookie pas comme les autres puisqu’après ce moment, il va shooter à 4/5 et 5/5 aux lancers-francs. Résultat : 14 points en dernier quart-temps et une feuille de stats finale à 30 points (12/24 au shoot), plus 6 rebonds. Et 2 000 dollars d’amende pour la faute technique, un joli cadeau d’anniversaire.
« Il était frustré », raconte Flip Saunders. « Parfois, les gens demandent pourquoi les joueurs se plaignent… Parce que ça marche pour obtenir des fautes. Parfois il faut savoir se montrer, ça fait partie de la maturité. Les gars apprennent cela. »
Il n’a que 20 ans et 55 matches dans les jambes, mais Andrew Wiggins apprend vite.
« Si on veut être bon dans cette ligue, il faut en gagner le respect et ça passe parfois par cette étape. Je suis fier de lui », déclare Ricky Rubio.
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