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Minnesota Timberwolves 2014/2015

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MC Jean Gab1
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Kevin Garnett aurait toujours le rachat des Wolves en tête…
Par Emmanuel Laurin — Le 13 janvier 2015 à 10:43

Encore emporté par ses démons et sa hargne hier soir face à Dwight Howard, Kevin Garnett est bien conscient que sa carrière de joueur est derrière lui. Actuellement dans sa vingtième saison dans la ligue, l’ancien lycéen prodige pense évidemment à sa reconversion.
Et l’idée qui revient le plus souvent est celle de co-propriétaire de franchise NBA. C’est que confirme une source de Yahoo! Sports, qui parle plutôt de « consultant » et « actionnaire minoritaire ». Une manière de mettre un pied dans la franchise sans pour autant réaliser son souhait de racheter de suite la franchise.
« Je veux acheter les Timberwolves » avait-il confié à Yahoo en novembre. « Je veux essayer de monter un groupe et essayer un jour, peut-être, d’acheter l’équipe. C’est ce que je veux. C’est l’équipe à laquelle je m’intéresse car j’y ai des liens. Flip y est. »

La quille en fin de saison… ou pas ?
Coach actuel des Wolves où évoluent notamment Andrew Wiggins et Zach LaVine, Flip Saunders a effectivement développé une relation privilégiée avec Garnett depuis l’arrivée de ce dernier dans le Minnesota en 1995. Actionnaire minoritaire et président de la franchise, il a pris la décision de revenir aux terrains après plusieurs saisons dans les bureaux.
Et le propriétaire Glen Taylor a fait savoir le 12 mai 2014 qu’il était à la recherche d’un successeur, à condition que ce dernier s’engage à conserver la franchise à Minneapolis. Le seul hic, c’est de savoir quand Kevin Garnett va pouvoir passer à la deuxième étape de son processus de reconversion puisqu’on ne sait toujours pas s’il dispute sa dernière saison.
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Flip Saunders sévère (mais juste) avec Gorgui Dieng
Par Jonathan Demay — Le 12 janvier 2015 à 17:08

Flip Saunders sévère (mais juste) avec Gorgui DiengAvec 15 défaites de suite et un bilan de 5 victoires en 36 rencontres, les Wolves sont en pleine compétition avec les Knicks pour le titre de pire équipe de la ligue.
Excepté Andrew Wiggins, il n’y a pas de motif de satisfaction en ces temps compliqués. Comment Flip Saunders arrive-t-il à gérer son groupe ? Est-il sévère ou tente-il de les rassurer ?
« Je suis dur avec les joueurs qui, j’estime, ont une chance de devenir spéciaux. Je ne veux pas qu’ils répètent des erreurs mentales », explique-t-il au Star Tribune.
Gorgui Dieng fait partie de ceux-la. En l’absence de Nikola Pekovic, le pivot affiche de solides statistiques avec 9.9 points et 8.2 rebonds de moyenne. Contre les Spurs, il a notamment compilé 18 points, 12 rebonds et 4 contres. Tout en faisant des erreurs.
« Quand on joue une équipe comme San Antonio, si un joueur ne fait pas l’effort supposé, alors on donne un layup. Dieng en a donné quatre ou cinq. Maintenant, il a bien défendu aussi. Mais il est dans une position centrale et on lui demande beaucoup. »
Flip Saunders se veut donc très exigeant avec son jeune joueur de 24 ans. L’équipe est très faible, et il serait injuste de demander à Gorgui Dieng de stabiliser une défense absente (108.3 points encaissés de moyenne) ou de gober 20 rebonds par match. Dans le même temps, le Sénégalais est un élément important pour les Wolves et il doit profiter de ces matches compliqués où l’effectif est réduit pour s’affirmer.
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Wolves : Shabazz Muhammad out deux semaines
Par Dimitri Kucharczyk — Le 12 janvier 2015 à 22:31

Alors que Kevin Martin, Nikola Pekovic et Ricky Rubio sont tout proches d’un retour, les Wolves viennent néanmoins de perdre Shabazz Muhammad, victime d’un déchirement musculaire au niveau des abdominaux.
Rare satisfaction de Minnesota depuis 20 matches, où il tourne à 17.4 points et 4.9 rebonds, le sophomore sera absent deux semaines avant d’être à nouveau examiné par les docteurs. Un coup d’arrêt pour l’ancien d’UCLA, qui rebondissait bien après une saison rookie très compliquée.
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Miroslav Raduljica signe aux Wolves
Par Fabrice Auclert — Le 9 janvier 2015 à 7:40

Pendant au moins 10 jours, James Harden n’aura plus la plus belle barbe de la NBA… Comme à la dernière Coupe du monde, c’est Miroslav Raduljica qui s’empare de ce « trophée » puisque le pivot serbe vient de s’engager pour 10 jours avec les Wolves.
Après une première expérience aux Bucks la saison passée, Raduljica avait été transféré aux Clippers, puis coupé. Plutôt que d’attendre une pige en NBA, il avait préféré rejoindre la Chine où il tournait à 18 pts et 9 rbds en 26 minutes.
Très imposant, Raduljica fera le plus grand bien aux Wolves, en attendant le retour de Nikola Pekovic.
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Andrew Wiggins a trouvé le rythme d’un vrai Rookie Of The Year
Par Jonathan Demay — Le 8 janvier 2015 à 20:22

À l’instar des Knicks, les Wolves sont sur 13 défaites consécutives. La dernière en date, face aux Suns, s’est jouée sur un shoot d’Andrew Wiggins.
Le rookie a manqué la balle de match, alors qu’au moment où le ballon a quitté ses mains, il avait de bonnes sensations.
« Je pensais que le shoot allait entrer… », raconte-t-il au Star Tribune.
S’il n’a pas réussi à sauver les siens, Andrew Wiggins a encore une fois réalisé une performance de qualité avec 25 points à 10/16 au shoot. C’est son cinquième match de suite à plus de 20 pts.
Depuis huit matches, il affiche des statistiques dignes d’un rookie de l’année, qui n’ont rien à envier aux anciens vainqueurs du trophée, puisqu’il compile 21.5 points (51% de réussite), 4.6 rebonds et 1.5 interception de moyenne.
Dommage que ces belles performances ne soient pas soutenues par de meilleurs résultats collectifs.

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Les Wolves coupent Jeff Adrien… pour signer Miroslav Raduljica ?
Par Dimitri Kucharczyk — Le 7 janvier 2015 à 23:26

L’arrivée de Miroslav Raduljica chez les Wolves était annoncée depuis quelques jours mais elle n’est toujours pas finalisée. Minnesota devait en effet libérer une place dans son effectif et c’est désormais chose faite puisque Jeff Adrien (3.5 points et 4.5 rebonds de moyenne en 17 matches cette saison) a été coupé par le club.
L’ailier fort pourrait être utile à une équipe en quête d’une rotation intérieure. Quant aux Wolves, ils devraient donc enregistrer l’arrivée du pivot serbe, l’une des révélations de la dernière Coupe du Monde.
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Rookies du mois : Andrew Wiggins et Nikola Mirotic honorés
Par Arnaud Gelb — Le 6 janvier 2015 à 11:07

Logiquement, Andrew Wiggins (Ouest) et Nikola Mirotic (Est) ont été élus rookie du mois en décembre pendant que Jabari Parker rejoignait la longue liste des rookies déjà à l’infirmerie.
Andrew Wiggins décroche son deuxième trophée en deux mois après avoir tourné à 14,6 points (meilleur marqueur chez les rookies), 4,1 rebonds et 1,8 passe décisive de moyenne, améliorant ses chiffres dans les trois catégories par rapport à novembre. Avec un temps de jeu de 33 minutes par match, le Canadien a les clés de la maison. Le numéro un de la draft n’a cependant pas pu empêcher le naufrage des Minnesota Timberwolves, vainqueurs d’une seul match sur le mois pour 14 défaites.
À l’inverse, Nikola Mirotic est une solide rotation pour une équipe qui gagne. Les Bulls ont terminé le mois de décembre avec un bilan de 11-4 et la contribution du naturalisé espagnol n’y est pas étrangère. Avec 9,9 points et 5,7 rebonds, il s’est affirmé comme l’un des joueurs les plus importants du banc des Bulls et a su être décisif lorsque Tom Thibodeau lui a donné carte blanche, notamment lors de la victoire face à Memphis (27 points en 30 min). Il succède de fait à Jabari Parker, récipiendaire en novembre.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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Anonyme a dit :
Sur les 4 derniers matchs, Wiggins tourne à 22 points, 6.3 rebds, 2.3 assts, 1.8 stls à 50% au tir.


Propre.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Sur les 4 derniers matchs, Wiggins tourne à 22 points, 6.3 rebds, 2.3 assts, 1.8 stls à 50% au tir.
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Minnesota est pire que prévu
Par Fabrice Auclert — Le 4 janvier 2015 à 13:44

Difficile à croire mais les Knicks, et leurs dix revers de suite, ne sont pas la pire équipe du moment. Une franchise est encore moins bien lotie, et il s’agit des Wolves qui ont enregistré cette nuit leur 11e revers de suite. Sans Ricky Rubio, Nikola Pekovic ou encore Kevin Martin, Minnesota n’a pas le niveau, et ce qui inquiète leur coach, c’est la manière.
« Comme j’ai dit aux gars, je ne pensais pas que nous puissions faire pire. Et pourtant, on l’a été… » se lamente Flip Saunders dans le Star Tribune. « C’est décevant, et c’est sans doute la pire défaite depuis bien longtemps. Au moins depuis que je suis là. »
Face à une équipe du Jazz privée de deux titulaires, les coéquipiers d’Andrew Wiggins ont failli dans l’attitude, et c’est évidemment inadmissible.
« L’énergie vient de l’intérieur de chacun » rappelle le rookie des Wolves. « Personne ne peut vous dire de jouer dur. C’est à chacun de le vouloir. »
Un manque de professionnalisme qui commence à se voir et qui déçoit le public.
« Vu où on en est, on peut dire qu’il y avait du public lors des deux derniers matches » estime Saunders. « Et lorsque le public est plein d’envie comme c’était le cas ce soir, on n’a pas le droit d’entrer dans le match comme on l’a fait. On en a parlé aux joueurs, et on leur a rappelé ce que signifiait être professionnel. C’est la responsabilité de chacun. »
Et Flip Saunders de mettre en garde certains…
« Ils attendent peut-être les retours de Ricky et Nikola… Mais qu’ils sachent que lorsqu’ils reviendront, certains ne joueront plus. »

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Anthony Bennett n’a pas envie de se faire mal
Par Emmanuel Laurin — Le 3 janvier 2015 à 16:37

Avec 6 points et 4 rebonds de moyenne cette saison, Anthony Bennett ne décolle toujours pas. Le numéro 1 de la draft 2013 avait déjà laissé un arrière-goût d’inachevé à Cleveland au terme d’une campagne de rookie bien terne.
Envoyé à Minnesota dans l’échange pour Kevin Love, avec son compatriote Andrew Wiggins, Bennett semblait obtenir une nouvelle chance à la félicité. Malheureusement, les minutes de l’intérieur issu d’UNLV sont encore en dents de scie sous la tunique des Wolves.
Pour son coach, Flip Saunders, Bennett n’approche pas le jeu de la bonne manière.
« C’est le cap mental le plus important pour nos joueurs : rentrer des tirs n’est pas essentiel, c’est une partie seulement du basket. » détaille Saunders au Pioneer Press. « On a besoin de joueurs pour faire le sale boulot. La plupart de nos gars jouent en finesse, on a besoin de cols bleus. »

« On a besoin de joueurs pour faire le sale boulot »
Bennett avait pourtant bien commencé la saison avec un mois de novembre à 8 points et 4 rebonds, dont 6 sorties en double figure. Mais l’hiver est rude pour le natif de Toronto.
« Il réalise une saison en yoyo » ajoute Saunders. « Parfois, il est rentré avec beaucoup d’énergie et puis d’autres, il était sans aucune énergie. Pour moi, et particulièrement avec une équipe jeune, il faut de la constance. »
A 21 ans seulement, il ne faut pas encore tirer sur l’ambulance Bennett. Le nouvel ailier fort de Minny n’est pas encore prêt pour reprendre l’héritage des Kevin (Garnett puis Love) dans la région des Mille Lacs mais il doit aussi bien prendre confiance que se remonter les manches.
« Chaque fois qu’il entre en jeu, j’essaye de lui donner quelques conseils pour qu’il ait confiance. Les petites choses sont celles qui vous rapportent le plus de points. » conclut son coéquipier, Thaddeus Young.
Espérons que le message passe pour Anthony Bennett qui est pétri de talents mais doit encore apprendre à jouer le jeu de la bonne manière.
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Andrew Wiggins se lâche enfin en attaque
Par Jeremy Le Bescont — Le 2 janvier 2015 à 8:12

Cette nuit, les Wolves ont perdu pour la 26e fois de la saison (en 31 matchs) et se dirigent tout doucement vers la loterie. Pourtant, Andrew Wiggins a réalisé l’un des meilleurs matchs de sa saison pour tenter d’empêcher ce revers à domicile. Avec 27 pts à 50%, il finit meilleur marqueur du match. Le rookie affectionne Sacramento puisqu’il avait déjà planté 29 points aux Californiens en novembre.
Certes, l’ailier a planté la plupart de ses paniers dans le second quart-temps, se montrant plus réservé lors de la seconde mi-temps, mais plus la saison avance et plus il semble imposer sa patte sur son équipe. Capable de fulgurances à couper le souffle, le Canadien est doué d’un jeu dos au panier impressionnant pour son âge. Avec un tir extérieur en voie de stabilisation et une agressivité vers le cercle retrouvée, Wiggins devient de plus en plus difficile à arrêter.
« Il joue vraiment bien. La seule chose qui me déçoit est qu’il se soit un peu épuisé et qu’il les a renfloués en prenant quelques tirs extérieurs plutôt que d’aller au panier. Il doit garder son agressivité. » analysait Flip Saunders après la rencontre.
Sur les cinq derniers matchs, Wiggins compile 21,4 points à 50,6% (42,8 % à trois points), 4,4 rebonds et 1,4 interception en moyenne. Des stats en conformité avec son immense potentiel annoncé.

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Kevin Martin de retour dans deux semaines ?
Par Arnaud Gelb — Le 2 janvier 2015 à 15:13

Kevin Martin est sur le flanc depuis le 19 novembre en raison d’une fracture au poignet droit mais l’arrière des Timberwolves pourrait faire son retour d’ici à quinze jours.
« J’espère même revenir avant cela » a-t-il déclaré au Star Tribune. « Je me sens bien, il faut juste encore diminuer un peu l’inflammation mais les progrès sont là. »
Il est possible que Kevin Martin face son retour en D-League pour deux ou trois matchs afin de retrouver ses sensations.
« La décision m’appartient. Je ne sais pas si cela sera utile ou non. Ce n’est pas comme si j’avais été absent pendant toute une saison. J’ai déjà subi ce genre de blessure auparavant et je sais les efforts qu’il faut faire pour bien reprendre. Mais je me sens très bien. Je suis comme une gazelle, prêt à courir toute la journée. »
Les Wolves pourraient également enregistrer prochainement les retours de Ricky Rubio et Nikola Pekovic, et ainsi retrouver une réelle profondeur au sein de leur effectif.
Cette saison, Kevin Martin tourne à 20,4 points et 3,7 rebonds de moyenne.
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Wolves : Anthony Bennett déjà repoussé au bout du banc
Par Arnaud Gelb — Le 29 décembre 2014 à 17:27

Anthony Bennett, le premier choix de la Draft 2013, pensait pouvoir lancer sa carrière professionnelle cette saison à Minnesota après son transfert cet été. Malheureusement, l’ancienne star d’UNLV réalise une saison décevante et pourrait même être dépassé dans la rotation par Robbie Hummel, comme ce fut le cas face à Golden State. Un choix qu’assume pleinement le coach de l’équipe, Flip Saunders.
« Il n’a pas été bon, et Robbie a montré de très bonnes choses, » explique l’entraîneur au Star Tribune. « Quand vous êtes sur le terrain, vous devez saisir vos opportunités. Je pense que Robbie mérite son temps de jeu parce qu’il a su saisir sa chance. « AB » a connu quelques soucis physiques. Son heure viendra. Il a manqué d’énergie ces derniers temps, au contraire de Robbie. »
Anthony Bennett avait déjà été critiqué pour son état de forme à Cleveland et a réalisé l’une des plus mauvaises saisons de l’histoire pour un premier choix de Draft. Il n’a toujours pas su s’imposer en NBA, ni au poste d’ailier fort pour lequel il est jugé trop petit, ni au poste d’ailier où il est jugé trop lent. En 28 matchs joués cette saison, il tourne à 5,8 points et 3,8 rebonds, mais il a divisé par deux sa moyenne de points entre novembre et décembre…
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Miroslav Raduljica tout proche de s’engager avec les Wolves
Par Dimitri Kucharczyk — Le 28 décembre 2014 à 20:07

Son passage en Chine n’aura pas duré longtemps. Révélation de la dernière Coupe du Monde de basket avec 13 points et 4.6 rebonds de moyenne avec la Serbie, Miroslav Raduljica va retrouver la NBA après une première saison intéressante (3.8 points et 2.3 rebonds) chez les Bucks. Echangé aux Clippers contre Jared Dudley, il avait ensuite été coupé par le club californien.
Selon RealGM, le pivot négocie les derniers détails d’un contrat avec les Wolves, jusqu’à la fin de la saison. Pour Minnesota, qui avait échangé Ronny Turiaf après la blessure de ce dernier pour toute la saison, c’est l’occasion de renforcer sa raquette alors que Miroslav Raduljica va devoir lui prouver qu’il a bien sa place en NBA.


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Le retour de Ricky Rubio se rapproche…
Par Fabrice Auclert — Le 28 décembre 2014 à 9:54

Deux à trois semaines. C’est le laps de temps pendant lequel les fans des Wolves devront patienter avant de revoir Ricky Rubio sur un terrain. C’est ce que révèle Yahoo! Sports qui s’est renseigné auprès du staff médical de Minnesota.
Victime d’une très grosse entorse le 7 novembre dernier, le meneur espagnol a déjà manqué 24 matches, et il devrait donc en manquer une dizaine supplémentaire. Avant le match face aux Warriors, il a couru et effectué des exercices de tirs. Il doit encore passer une IRM pour vérifier l’état des ligaments, et si tout est OK, il sera autorisé à reprendre les entraînements avec contact la semaine prochaine.
« J’essaie de faire mon mieux, mais parfois c’est encore un peu douloureux. Il faut que je fasse avec, et certaines choses sont des défis mentaux » a expliqué Rubio.
Pour l’instant, le meneur des Wolves souffre sur les changements de direction, mais il a donc encore deux à trois semaines pour être plus à l’aise.
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Flip says Rubio (ankle) will get an MRI next week and hopefully can scrimmage with contact next week.
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Les Wolves prudents avec Ricky Rubio et Nikola Pekovic
Par Jeremy Le Bescont — Le 27 décembre 2014 à 19:23

Pour la première fois depuis son entorse à la cheville, contractée en novembre, Ricky Rubio a participé hier à l’entraînement des Wolves. Attendu en janvier, le retour du meneur espagnol ne sera néanmoins pas précipité. S’il a effectivement couru avec ses coéquipiers, Flip Saunders a noté que son joueur boitait encore.
« Son allure n’est pas encore au point, mais il est au moins capable de se lever, de courir, couper, prendre quelques tirs et être impliqué dans ce que nous essayons de faire. C’est bon de le voir sur le terrain. » a déclaré le coach au Star Tribune.
Sans lui, les Wolves ont perdu 20 de leurs 23 rencontres. Mo Williams également gêné par son dos, Minnesota ne dispose pas de pur meneur pour organiser le jeu. Son retour permettra au collectif de retrouver une cohésion et probablement, de mettre en place plus de systèmes pour Andrew Wiggins.
Quant à Nikola Pekovic, absent depuis le 19 novembre, il pourrait être envoyé en D-League brièvement afin de retrouver la forme suite à son problème de pied. Il n’a pas encore repris l’entraînement et doit encore passer des examens.
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Le bilan des rookies : Andrew Wiggins, vainqueur par défaut ?
Par Jeremy Le Bescont — Le 25 décembre 2014 à 15:27

Voilà deux mois que la NBA a repris son cours et avec elle, une nouvelle génération de rookies est en train de prendre ses marques. Depuis notre premier bilan, beaucoup de choses ont bougé et malheureusement, l’un des joueurs les plus emblématiques de cette promotion en fait les frais : Jabari Parker, n°2 de cette classe, probablement le meilleur joueur de cette draft jusqu’à… une fâcheuse blessure au genou qui lui coûte le reste de la saison. La blessure, c’est le lot quotidien d’une classe pourrie par ces impondérables physiques. Outre Parker, Marcus Smart, Doug McDermott, Aaron Gordon et évidemment, Joel Embiid et Julius Randle sont autant de joueurs dont la saison a été partiellement ou intégralement gâchée par un pépin de santé. Dans ces conditions, cette promotion mérite d’autant plus de patience de la part des observateurs. En attendant, Andrew Wiggins apparaît comme le candidat le plus probable au trophée de rookie de l’année. Par défaut ? La réponse ne peut être définitive à ce stade de la saison mais fort heureusement pour le prestige de la ligue, le Wolf prend de plus en plus d’ampleur. Surtout, il n’est pas le seul avec notamment un joueur espagnol en pleine explosion du côté de Chicago.

Andrew Wiggins (Wolves) : sans son rival, le Canadien a la voie libre pour marquer de son empreinte la première année de sa promotion. En un mois, l’ailier a fait du chemin, profitant surtout des nombreuses blessures des Wolves et plus récemment, du départ de Corey Brewer, pour s’adjuger plus de tickets shoots. En résultent plusieurs performances de haut vol (21 pts contre Golden State, 23 pts et 10 rbds contre Portland, 18 face à OKC ou encore hier, 27 pts contre les Cavs), néanmoins mitigées par une adresse fluctuante. Le tir du n°1 de la draft n’est pas encore stabilisé, ce qui ne devrait tarder au regard de la confiance affichée derrière la ligne à trois points (3/3 contre Cleveland). En attendant, cette lacune pèse régulièrement sur ses productions puisque dans un jour sans, il s’investit encore trop peu dans les autres domaines. D’ailleurs, il réalise ses meilleurs matchs quand il compense son manque de réussite par une agressivité vers le cercle, et donc une présence sur la ligne. Il doit le faire avec plus de constance. Défensivement, il alterne le très bon et le passable. Son potentiel dans la discipline ne fait aucun doute mais il fait encore parfois preuve de naïveté, voire de nonchalance. Pour le moment, il n’est pas le stoppeur auto-proclamé mais chez les Wolves, sa présence est néanmoins une bénédiction.
Stats : 12,6 pts à 39,4% aux tirs (41,4% à trois points), 3,9 rbds, 1,4 pd, 1 int en 30,9 min
MC Jean Gab1
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Wolves' Shabazz Muhammad is No. 3 in scoring and No. 1 in PER among all NBA sophomores.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
On en reparle, du niveau de Wiggins, quand il se balade face à James ?
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Les highlights du duel entre LeBron James (24 points) et Andrew Wiggins (27 points)
Par Jeremy Le Bescont — Le 24 décembre 2014 à 12:06

Les n°1 de la draft 2003 et 2014 ont fait parler d’eux tout l’été et il était dit que leurs trajectoires se croiseraient à nouveau durant la saison. Cette nuit, sur le parquet de la Quicken Loans Arena, les deux hommes se sont livrés à un beau duel, certes quelque peu déséquilibré par la force de frappe des Cavaliers.
Si LeBron James a lancé les siens d’entrée de jeu, la performance du rookie canadien fut relativement isolée au sein de son équipe (hormis Shabazz Muhammad et Gorgui Dieng). Avec un style diamétralement opposé, les ailiers ont surnagé, l’aîné grâce à une adresse phénoménale et son sens de la création unique, le cadet avec une attirance réelle pour le cercle et un jeu au poste déjà bien aiguisé. À l’extérieur, Andrew Wiggins a aussi marqué les esprits avec trois réussites pour autant de tentatives.
Au final, le natif d’Akron repart avec la victoire mais son homologue des Wolves a encore montré un aperçu alléchant de son potentiel. Après la rencontre, LeBron James se souvenait des attentes autour de la position de n°1 de la draft.
« Il faut être prêt tous les soirs. Les gens savent que vous êtes le n°1, et ils veulent voir comment vous vous défendez ou si vous appartenez à cette ligue. En ce qui me concerne, je savais que je pouvais jouer ce jeu car je pouvais tout aussi bien l’analyser. Je suis juste allé sur le terrain, joué mon jeu en tant que rookie et fait les choses que l’on m’a apprises lorsque j’étais jeune, » expliquait-il après la victoire.

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Kevin Love répond à Flip Saunders : « C’était plus un problème de défaites que de contrat »
Par Elliot Bojman — Le 24 décembre 2014 à 14:30

Hier, quelques heures avant les premières retrouvailles entre Kevin Love et son ancienne franchise, Flip Saunders a clairement laissé entendre que Love n’avait jamais supporté le fait de ne pas avoir été signé pour le maximum en 2012 et que son départ était pratiquement acté depuis ce jour-là.
Une opinion que ne partage pas l’intéressé.
« Je voulais surtout gagner, » explique l’intéressé au Star Tribune. « Maintenant que c’est le cas ici, je suis très heureux. C’était plus un problème de perdre constamment. L’ambiance est différente ici. Dans le vestiaire, dans l’avion, à l’entraînement. C’est agréable et ça me rend heureux. »
Habitué à la défaite pendant six années, Kevin Love découvre les joies du succès collectif et bien que celui-ci se fasse aux dépens de sa réussite individuelle, il ne pouvait pas être plus comblé.
« Evidemment, c’est plus agréable quand vous gagnez, qu’importe vos stats. Certains soirs, je n’aurais pas la plus belle ligne de stats du monde et d’autres, ce sera le cas, mais gagner change tout. [Contre Brooklyn], j’ai fini à 1 sur 10 et je pense que c’était mon pire match de l’année mais j’étais heureux car nous avons gagné. C’est très différent. Dans le passé, on aurait perdu si j’avais eu un match comme ça. »

« Revenir à Minnesota sera plus émouvant »
Cette nuit, Love n’a montré aucune animosité envers son ancienne franchise, ni envers Saunders qui ne se gêne pourtant pas pour le critiquer. Pour lui, ce sont des gens qui ont compté à un moment de sa vie et de toute façon, il ne souhaite pas rentrer dans une guerre médiatique.
« J’ai essaie de rester en dehors de tout ça. Quand quelqu’un quitte une équipe, je sais qu’on a plus souvent tendance à ne pas vouloir dire de bonnes choses à son sujet. »
Quant au fait d’affronter son ancienne équipe, cela ne l’a pas vraiment chamboulé.
« Je n’ai pas ressenti grand-chose pour être honnête avec vous. C’était juste un match de plus. Un match que nous devions gagner avant de nous envoler pour la Floride, » déclarait-il après la rencontre. « Je suis sûr que revenir à Minnesota sera bien plus émouvant. »
Flip Saunders lui a promis un accueil glacial, rendez-vous le 31 janvier prochain pour savoir si les fans partagent son avis.
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Flip Saunders promet des retrouvailles glaciales entre Kevin Love et les Wolves
Par Dimitri Kucharczyk — Le 23 décembre 2014 à 12:42

Ce soir, Kevin Love retrouve les Wolves pour la première fois depuis son transfert chez les Cavaliers. Pour le coach/GM, Flip Saunders, les retrouvailles devraient être glaciales entre les deux camps.
« Les habitants du Minnesota sont des gens loyaux. Si vous tournez le dos au Minnesota, ils ne vous le pardonneront pas », explique l’entraîneur. « Je pense que les gens l’ont apprécié durant son passage ici mais étant donné la façon dont il est parti, et connaissant les habitants du coin, ils ne vont pas lui pardonner ».
Pour Flip Saunders, il n’y avait de toute façon pas grand-chose à faire pour retenir l’intérieur.
« C’était plus ou moins acté à la minute où il a signé son contrat de quatre ans [alors qu’il voulait le maximum, soit cinq ans]. C’est en tout cas ce qu’il m’a dit ».
Lors de son retour, sous le maillot des Celtics, Kevin Garnett avait pourtant lui eu droit à une ovation de la part des supporters des Wolves. Mais pour Flip Saunders, les circonstances étaient très différentes.
« Ils savaient que KG était resté de nombreuses fois. Il était resté dans les périodes compliquées et il n’avait pas fui. Il avait refusé trois échanges avant de rejoindre Boston et c’est la franchise qui a dû le convaincre d’accepter ce transfert. Kevin Garnett n’a jamais dit : transférez-moi ou je m’en vais ».
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Wolves : Ricky Rubio de retour en janvier ?
Par Jeremy Le Bescont — Le 20 décembre 2014 à 14:14

La date de retour du meneur espagnol était estimée à début janvier et selon toute vraisemblance, c’est ce qui se profile du côté de Minnesota. Ainsi, Flip Saunders a déclaré hier au Star Tribune que Ricky Rubio pourrait être prêt pour les entrainements avec contact dans quinze jours.
Si les Wolves n’ont plus grand chose à espérer hormis la loterie, cela reste une bonne nouvelle dans la mesure où les problèmes de dos de Mo Williams le limitent désormais à une quinzaine de minutes par match. De plus, avec le départ de Corey Brewer, Andrew Wiggins est appelé à prendre encore plus de responsabilités et l’international espagnol pourrait l’aider à le servir dans de bonnes dispositions.
Cette saison, le meneur n’a joué que cinq matchs pour 9,4 points à 42,4%, 5,6 rebonds et 10 passes en 28,8 minutes de moyenne. Depuis sa blessure le 7 novembre dernier, les Wolves ont perdu 17 de leur 20 matchs.
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Corey Brewer échangé chez les Rockets
Par Arnaud Gelb — Le 19 décembre 2014 à 20:52

Comme préssenti hier, l’ailier Corey Brewer va quitter le Minnesota et prendre la direction des Houston Rockets, selon Adrian Wojnarowski. L’ailier des Timberwolves vient renforcer une équipe en proie à de nombreuses blessures depuis le début de la saison et apporte une rotation supplémentaire sur les postes extérieurs, où il cohabitera avec James Harden, Trevor Ariza, Kostas Papanikolaou ou encore Jason Terry. Corey Brewer sera accompagné par Ronny Turiaf mais ce dernier ne devrait pas faire de vieux os dans le Texas et pourrait être échanger dans la foulée.
En retour, les Timberwolves recevront Troy Daniels, qui ne jouait pas beaucoup à Houston (2,3 points en 7 minutes de moyenne) et deux futurs choix de Draft au deuxième tour. Âgé de 28 ans, Corey Brewer connaitra sa quatrième franchise NBA après les Minnesota Timberwolves, les Dallas Mavericks et les Denver Nuggets.
Il tourne à 10,5 points, 3,9 rebonds et 3,3 passes décisives depuis le début de la saison en 28 minutes de moyenne.
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Corey Brewer plus que jamais sur le départ ?
Par Jeremy Le Bescont — Le 18 décembre 2014 à 9:32

Constamment inclus dans les rumeurs de transfert, Corey Brewer pourrait bientôt faire ses valises pour de bon. Houston et Cleveland toujours dans la course pour acquérir le joueur, ESPN rapporte que l’arrière/ailier intéressait aussi les Clippers, dont les lacunes sont flagrantes sur le poste 3.
Si Flip Saunders avait déclaré au moins de novembre que l’ex-Gator était trop important pour être échangé, le coach aurait changé d’opinion suite à l’avalanche de blessures dont souffre son équipe. Pour les Rockets et les Cavaliers, le mouvement est rendu possible grâce à leur trade exception, suffisante pour absorber le contrat du joueur (4,7 millions de dollars). Or, Minnesota ne s’en contenterait pas, désireux d’obtenir un premier tour de draft en échange. Les Rockets disposent eux d’un second tour de draft 2015 en provenance de New York, ce qui pourrait éventuellement suffire au regard des résultats des Knicks.
Quant aux Clippers, la situation est compliquée dans la mesure où la masse salariale du club est à la limite du hard cap NBA (80,8 millions de dollars), ce qui l’empêche de réaliser le moindre mouvement qui pourrait grever les finances de la franchise.
Récemment, Corey Brewer a déclaré sa déception quant à la tournure prise par l’équipe. À 28 ans, il ne serait pas contre rejoindre un prétendant au titre. Cette saison, il compile 10,5 points, 3,9 rebonds et 3,3 passes en 28 minutes de jeu par match.
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Shabazz Muhammad, le prophète inattendu des Wolves
Par Jeremy Le Bescont — Le 18 décembre 2014 à 12:20

Après une saison rookie difficile sous la tutelle de Rick Adelman (3,9 points en 8 min de moyenne en 37 rencontres), l’avenir de Shabazz Muhammad aux Wolves s’inscrivait en pointillés. 14e choix de la draft, l’arrière/ailier a souffert d’une réputation de joueur nonchalant, acquise depuis son année universitaire à UCLA. Questionné pour son manque d’altruisme et d’investissement défensif, le Californien n’a pas répondu à toutes les attentes placées en lui. Une erreur de jugement du public selon son actuel entraîneur, Flip Saunders.
« C’était probablement le joueur le plus incompris… simplement car les gens pensaient qu’il était une diva et ce genre de choses alors qu’il est certainement à l’opposé complet de ça, » répond le président et coach des Wolves au site officiel de l’équipe.

Flip Saunders : « Il veut vraiment devenir un grand joueur »
Après des aller-retours incessants en D-League la saison passée, le joueur s’est aussi remis en question et a travaillé dur cet été. C’était notamment nécessaire pour améliorer sa condition physique, loin d’être idéale lors de sa première saison, comme l’avait souvent répété Rick Adelman. Il a perdu près de 10 kilos et les résultats s’en sont nettement ressentis.
« Il veut être un grand joueur. Il y a beaucoup de gens qui affirment vouloir l’être. Lui veut tenir sa promesse. Il a déjà signé pour s’entraîner durant huit semaines lors de la prochaine intersaison. Il est conscient que c’est quelque chose qui l’a vraiment aidé, » poursuit Saunders.

18 pts de moyenne depuis 10 matches
Depuis dix matchs, Shabazz Muhammad explose. Avec 18,3 points de moyenne, il devient la menace offensive la plus constante d’une équipe toujours en voie d’expérimentation. Son explosivité n’a plus aucun rapport avec la saison précédente et il démontre une détermination entière à s’adapter aux demandes de son entraîneur, n’hésitant pas à se décaler à l’intérieur quand le besoin s’en ressent.
« Il est en train de devenir l’un des joueurs préférés du public car, particulièrement à Minnesota, les gens aiment les gars qui jouent dur et donnent tout. Il n’y a pas eu une fois où j’ai dû lui dire de jouer plus dur, » insiste le tacticien.
Prolongé jusqu’à la saison prochaine, Shabazz Muhammad a convaincu son équipe et pourrait s’affirmer durablement comme le joueur attendu depuis ses années lycée, lorsqu’il fut élu MVP du McDonald’s All-American Game et classé comme le second meilleur lycéen du pays par ESPN. Auteur de deux pointes à 28 unités en novembre face à Portland et le 14 décembre face aux Lakers, chaque fois en moins de trente minutes, Shabazz Muhammad démontre à tous l’étendue de son potentiel et pour Minnesota, cela pourrait bien être la meilleure nouvelle d’une saison qui, collectivement, est déjà à oublier.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Anonyme a dit :
ilyas#3 a dit : Pour que la comparaison tienne entre les rookies Wiggins et T-Mac, il aurait fallu que ce dernier soit au moins dans le 5 ou qu'il ait un temps de jeu équivalent.
Pour qu'il soit dans le 5 ou qu'il ait un temps de jeu équivalent, il aurait fallu qu'il le mérite. T-Mac essuyait le même genre de critiques stupides après avoir été overhypé ("quand MJ aura pris sa retraite, on ne s'en apercevra pas car T-Mac sera là" ) et on a vu le résultat, un des swingmen les plus élégants qui soit. Il ne faut avoir aucune culture basket pour juger un joueur de 19 ans après une vingtaine de matchs.


Arrête un peu. T-Mac était déjà bien meilleur et avait un an de moins.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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Ah la fameuse carte "culture basket". J'adore.
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ilyas#3 a dit : Pour que la comparaison tienne entre les rookies Wiggins et T-Mac, il aurait fallu que ce dernier soit au moins dans le 5 ou qu'il ait un temps de jeu équivalent.



Pour qu'il soit dans le 5 ou qu'il ait un temps de jeu équivalent, il aurait fallu qu'il le mérite. T-Mac essuyait le même genre de critiques stupides après avoir été overhypé ("quand MJ aura pris sa retraite, on ne s'en apercevra pas car T-Mac sera là" ) et on a vu le résultat, un des swingmen les plus élégants qui soit. Il ne faut avoir aucune culture basket pour juger un joueur de 19 ans après une vingtaine de matchs.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
ilyas#3 a dit :
Anonyme a dit : +1, si ce n'est que MJ était lui aussi sur le déclin en 97.
Sauf que même en déclinant en 97, MJ demeurait comme le meilleur joueur de la ligue. Aujourd'hui, Kobe ne fait même pas parti du Top 10. Voir même du Top 20 selon ESPN.



C'est bien, tu peux ranger ton sopalin. Moi je te dis juste qu'il a déjà amorcé son déclin en 97.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
 Profil
Pour que la comparaison tienne entre les rookies Wiggins et T-Mac, il aurait fallu que ce dernier soit au moins dans le 5 ou qu'il ait un temps de jeu équivalent.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
 Profil
Anonyme a dit : +1, si ce n'est que MJ était lui aussi sur le déclin en 97.


Sauf que même en déclinant en 97, MJ demeurait comme le meilleur joueur de la ligue. Aujourd'hui, Kobe ne fait même pas parti du Top 10. Voir même du Top 20 selon ESPN.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Je veux bien que les stats ne fassent pas tout mais celles de Wiggins sont vraiment dé-gueu-lasse.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Un peu comme T-Mac dans sa saison rookie, en fait.


Non.

Saison rookie de T-Mac (18 ans)
7pts à 45%, 4.2rbds, 1.5ast, 0.8stl, 1blk en 18mins

Saison rookie Wiggins (19 ans)
12.6pts à 39%, 3.8rbds, 1.4ast, 1stl, 0.4blk en 31mins
Auteur anonyme Auteur Anonyme
ilyas#3 a dit : Ca reste des previews comme il y en a eut des milliers. Certaines nous annonçaient des cadors type Derrick Favors ou Evan Turner et d'autres ne nous prévenaient pas forcément sur l'éclosion de joueurs aujourd'hui confirmés. Si les previews avaient toujours été fiables, je ne pense pas que Cleveland aurait drafté Bennett, que les Wizards auraient misé sur Kwame Brown ou que des joueurs comme TP se seraient retrouvé en fin de 1er tour. En tout cas, Wiggins ça me parait pas être du délire.



Sauf que comme le dit Rantanplan, TOUTES les previews ont annoncé Wiggins = diamant brut et Parker = NBA ready. La déception est plutôt du coté de Parker.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
ilyas#3 a dit : Concernant Wiggins, je suis assez d'accord avec l'ano plus bas. Avec une hype qui a durée plus de 3 ans, ce qu'on a vu à Kansas et ce qu'on voit actuellement, y'a quand même de quoi être déçu. Jamais on avait autant parlé d'un lycéen/universitaire depuis LeBron et on s'aperçoit qu'à part de grosses qualités athlétiques, il n'y a pas grand chose. Oui, il est jeune et peut progresser mais deviendra-t-il une superstar, j'ai des doutes. Si il explose, tant mieux pour lui et pour les Wolves mais va falloir qu'il cravache le gamin.


Un peu comme T-Mac dans sa saison rookie, en fait. Un jeune joueur qui n'avait finalement pour lui que son physique et qui n'allait jamais devenir une star de la ligue.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Vous êtes quand même de sacrés haters de Kobe ! la comparaison est claire, le jeune talent avec la légende en activité ! surtout qu'à l'époque, MJ n'était pas encore le GOAT, il n'avait que 4 titres (moins que Kobe), Kobe est vieillissant, c'est vrai, mais il est plus âgé que MJ à sa 2e retraite, et c'est une légende, la comparaison "jeune talent rookie face à légende en activité de la ligue" est complètement valable. La seule différence, c'est que MJ était au top, et Kobe est en phase descendante, mais ça n'enlève pas ses 5 titres, ses titres de MVP des finals, MVP, son classement au scoring, ...



+1, si ce n'est que MJ était lui aussi sur le déclin en 97.
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Interview Gorgui Dieng : « Rick Pitino m’appelle souvent pour me conseiller »
Par Arnaud Gelb — Le 17 décembre 2014 à 11:54

Révélation de la fin de saison l’an passé avec les Minnesota Timberwolves, Gorgui Dieng continue sur sa lancée cette saison avec 8,6 points et 8,0 rebonds de moyenne cette saison en l’absence de Nikola Pekovic. Auteur d’une fabuleuse Coupe du monde avec l’équipe du Sénégal, Dieng revient sur son expérience avec les Lions de la Téranga et nous parle de ses ambitions pour la NBA et les Jeux Olympiques. Nous l’avons rencontré lors de son passage à Washington.

Gorgui, les Minnesota Timberwolves ont à nouveau décidé de reconstruire leur équipe cet été avec le départ de Kevin Love et l’arrivée de jeunes espoirs comme Andrew Wiggins. Comment voyez-vous cette équipe évoluer dans les mois et les années à venir ?
Je pense que nous avons un bel avenir devant nous. Nous avons certes perdu Love mais nous avons récupéré en échange de nombreux jeunes joueurs très talentueux, et un joueur confirmé avec Thaddeus Young. Nous savons que cette année sera difficile mais avec un peu de temps, nous avons les moyens de monter dans la hiérarchie de la ligue. Notre objectif est de préparer au mieux le futur même si cela passe par une saison en bas de classement. Je suis sûr que nous parviendrons assez rapidement à grimper les échelons mais pour cela il nous faudra travailler dur et progresser sur le plan individuel mais aussi en terme de collectif. Les automatismes viendront avec le temps, mais si vous nous regardez, vous pouvez voir que nous avons le talent pour avoir de l’ambition. Restons patients et prenons les choses étape par étape.

Sur le plan personnel, vous profitez de la blessure de Nikola Pekovic pour commencer les matchs dans le cinq de départ.
Je me sens bien au sein du groupe. J’ai la chance de jouer beaucoup cette saison mais tout le monde voit bien que nous avons besoin du retour de Pekovic pour progresser. J’essaye d’apporter ce que je sais faire le mieux dans la raquette, me battre, prendre des rebonds et apporter mon écot en attaque si j’en ai l’occasion.

Quelles sont impressions sur vos deux rookies, Andrew Wiggins et Zach LaVine, tous deux dans le Top 5 des meilleurs marqueurs chez les rookies sur la saison ?
Beaucoup de talent de de gros potentiels. Andrew est vraiment très bon et il a les moyens de devenir une star dans cette ligue. Il s’améliore match après match et c’est le plus important. Le jeu est très différent entre la NCAA et la NBA et il n’est jamais facile d’assurer une transition facile entre les deux ligues. On en attend peut-être un peu trop de lui cette année, surtout après l’été qu’il a vécu. Zach LaVine est lui aussi un super joueur. Son potentiel est vraiment intéressant et il montre de très bonnes choses depuis la blessure de Ricky Rubio. Il n’a pas vraiment le choix de toute façon, lancé comme ça dans le cinq de départ. Son physique et ses qualités athlétiques sont incroyables. Il faut garder la tête sur les épaules et travailler sans relâche pour continuer de progresser.

Vous avez mené l’équipe du Sénégal à une surprenante qualification pour les huitièmes de finale lors de la Coupe du monde. Racontez-nous votre expérience en équipe nationale ?
C’était vraiment très plaisant de jouer pour mon pays et je me suis beaucoup amusé avec mes coéquipiers. La Coupe du monde a vraiment été une belle aventure et nous avons atteint l’objectif que nous nous étions fixé, à savoir passer la phase de poule. Nous avons plusieurs jeunes joueurs qui arrivent et qu’il faudra suivre de près dans les années à venir.

Quels sont vos prochains objectifs avec le Sénégal ?
Notre mission est de nous qualifier pour les Jeux Olympiques de Rio. Ce ne sera pas facile et il faudra pour commencer remporter le titre de champion d’Afrique l’été prochain. Je pense que nous avons construit une base intéressante cet été et il faudra s’appuyer la-dessus à l’avenir. Nous allons tout faire pour atteindre cet objectif et représenter notre pays et notre continent au Brésil.

Cela fait maintenant sept ans que vous avez rejoint les Etats-Unis, dont trois passées sur le campus de l’Université de Louisville. Avez-vous gardé contact avec Rick Pitino ?
Tout à fait. On ne se voit pas forcément très souvent mais on s’appelle souvent au téléphone. Il me regarde jouer avec les Timberwolves et me donne des conseils sur mon jeu et ce que je dois améliorer. Il continue de m’aider même si j’ai quitté Louisville depuis deux ans. Quant à l’équipe, je la suis dès que j’en ai l’occasion. Cette année encore, le groupe a le potentiel pour atteindre le Final Four.

Propos recueillis à Washington.


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Wolves : Ronny Turiaf bientôt coupé ?
Par Arnaud Gelb — Le 17 décembre 2014 à 15:56

Opéré à la hanche et forfait pour le reste de la saison régulière, Ronny Turiaf pourrait être prochainement coupé par les Minnesota Timberwolves, qui sont actuellement privés de deux titulaires (Ricky Rubio et Nikola Pekovic). Le pivot tricolore, dont le contrat se termine en juin, pourrait également être utilisé comme monnaie d’échange dans un transfert.
« Cela ne veut pas dire que nous allons couper les ponts avec lui, mais si un joueur intéressant est disponible… » commente Flip Saunders, le coach des Timberwolves, au Star Tribune. « Nous n’allons pas précipiter les choses. Il faut analyser le marché et prendre les bonnes décisions en temps voulu. »
En attendant un possible transfert, les Wolves vont demander à la ligue une « Injury Player Exception » dont le montant sera de 750 000 dollars. Jeff Adrien, solide depuis son arrivée il y a deux semaines, pourrait donc être prolongé. Avec un bilan de 5-19, Minnesota est dernier de la Conférence Ouest.
MC Jean Gab1
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(Dieu vivant du forum)
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Saison terminée pour Ronny Turiaf
Par la rédaction — Le 16 décembre 2014 à 21:19

L’infirmerie de Minnesota ne désemplit pas, et on ne reverra pas Ronny Turiaf cette saison… Opéré ce mardi à New York, l’intérieur français a subi une arthroscopie de la hanche droite, synonyme de saison terminée.
Pour sa deuxième saison chez les Wolves, Turiaf n’aura joué que 18 minutes en deux matches. La saison passée, en seulement 31 matches, il avait affiché des stats plus correctes avec 4.8 pts et 5.6 rbds de moyenne.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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Ca reste des previews comme il y en a eut des milliers. Certaines nous annonçaient des cadors type Derrick Favors ou Evan Turner et d'autres ne nous prévenaient pas forcément sur l'éclosion de joueurs aujourd'hui confirmés.

Si les previews avaient toujours été fiables, je ne pense pas que Cleveland aurait drafté Bennett, que les Wizards auraient misé sur Kwame Brown ou que des joueurs comme TP se seraient retrouvé en fin de 1er tour.

En tout cas, Wiggins ça me parait pas être du délire.
rantanplan
M'Benga DPY 2012
(Mythe)
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Je suis pas du tout expert en NCAA mais TOUTES les previews d'avant saison prevenaient du fait que Wiggins etait encore loin d'etre un produit finit et qu'il faudrait etre patient.

A l'inverse de Parker qui etait cense etre NBA ready et qui lui pour le coup est assez decevant.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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Concernant Wiggins, je suis assez d'accord avec l'ano plus bas. Avec une hype qui a durée plus de 3 ans, ce qu'on a vu à Kansas et ce qu'on voit actuellement, y'a quand même de quoi être déçu. Jamais on avait autant parlé d'un lycéen/universitaire depuis LeBron et on s'aperçoit qu'à part de grosses qualités athlétiques, il n'y a pas grand chose. Oui, il est jeune et peut progresser mais deviendra-t-il une superstar, j'ai des doutes. Si il explose, tant mieux pour lui et pour les Wolves mais va falloir qu'il cravache le gamin.
ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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Anonyme a dit : Vous êtes quand même de sacrés haters de Kobe !


Les autres, je sais pas, mais moi, oui.
Auteur anonyme Auteur Anonyme
et de même, Wiggins n'égalera probablement pas Kobe. Ca ne modifie pas le bien fondé de la comparaison
Auteur anonyme Auteur Anonyme
Vous êtes quand même de sacrés haters de Kobe ! la comparaison est claire, le jeune talent avec la légende en activité ! surtout qu'à l'époque, MJ n'était pas encore le GOAT, il n'avait que 4 titres (moins que Kobe), Kobe est vieillissant, c'est vrai, mais il est plus âgé que MJ à sa 2e retraite, et c'est une légende, la comparaison "jeune talent rookie face à légende en activité de la ligue" est complètement valable. La seule différence, c'est que MJ était au top, et Kobe est en phase descendante, mais ça n'enlève pas ses 5 titres, ses titres de MVP des finals, MVP, son classement au scoring, ...
Mon2mer2
x
(Mythe)
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dreemtim a dit : la patron (LBJ)...


ilyas#3
Oh Oh Oh !
(Mythe)
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dreemtim a dit :
Anonyme a dit :
Banania a dit :
Anonyme a dit : c'est pas jojo, mais c'est le mec qui s'en rapproche le plus aujourd'hui. Et wiggins ne sera probablement pas bryant non plus. La comparaison porte sur un jeune talent qui joue contre une légende proche de la fin, elle est valable.
Jordan a du jouer près de cinq ans apres ce match, je doute qu'on revoit Kobe dans 5 piges, et Jordan n'est pas une légende, c'est the GOAT, LA legende...Bref je trouve ça fort presomptueux de la part de KB
tu vas chercher la merde là où elle n'est pas, la comparaison n'a rien de choquant. Et il n'était qu'à 2 ans de sa retraite (comme bryant, à mon avis), sa pige finale ne compte pas vraiment (bryant était double champion, les rôles étaient inversés)
Quand KB croise MJ, il croise le boss absolu de la ligue, champion et MVP en titre (et par ailleurs GOAT) Quand Wiggins croise KB, il croise un ancien champion et MVP, futur HOF, mais depuis assez longtemps plus la patron (LBJ...) et pas du tout GOAT Que KB dise que c'était pareil, ça fait logiquement sourire


Tellement d'accord. Déjà que tout le monde en fait des caisses, lui débarque et se met au level de MJ comme si de rien n'était alors qu'il lui a fallu 5 saison de plus pour le dépasser au scoring.
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