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Minnesota Timberwolves 2014/2015

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80pts en une mi-temps..
Même une équipe de Pro B leur mettrait la misère.
Sérieux, faut fermer cette franchise.

==

Karl
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je parlais de la défense des cavs, mais celle des wolves, c'est le niveau 0, 118 pts encaissés en 3 QT !
Mon2mer2
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44-80 a la mi temps, ils prennent cher les wolwes sans young
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Timberwolves F Thaddeus Young takes an indefinite leave of absence following the death of his mother.
http://ble.ac/1xoFUSv
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Kevin Garnett : « Je veux racheter les Wolves »
Par Dimitri Kucharczyk — Le 14 novembre 2014 à 17:45

Récemment, Flip Saunders a expliqué qu’il aimerait bien que Kevin Garnett revienne chez les Wolves après sa retraite. Le coach/GM voyait son ancien joueur dans un rôle de dirigeant mais ce dernier a visiblement d’autres plans, encore plus ambitieux : racheter la franchise.
« Je veux racheter les Wolves », explique-t-il clairement à Yahoo! Sports. « Je veux monter un groupe d’investisseurs et peut-être, un jour, tenter de racheter l’équipe. C’est ce que je veux ».
Glen Taylor, l’actuel propriétaire de l’équipe, est d’ailleurs prêt à vendre le club. Ces derniers mois, il a ainsi expliqué qu’il pensait intégrer un actionnaire minoritaire capable ensuite de racheter la franchise (estimée à 430 millions de dollars par le magazine Forbes). À condition qu’il ne la fasse pas déménager…
Kevin Garnett, qui a gagné 315 millions de dollars dans sa carrière (auxquels s’ajoutent les 12 millions de cette saison et les contrats publicitaires) semble le candidat parfait. C’est ce que pense Billy King, le GM des Nets.
« Ce serait l’un des meilleurs propriétaires parce qu’il comprend les besoins des joueurs et ce qu’il faut pour réussir en NBA. »
Ce ne sera néanmoins pas pour tout de suite car l’intérieur compte bien jouer tant qu’il le peut encore. Mais il y pense.
« C’est le club qui m’intéresse. J’y ai beaucoup de liens et Flip [Saunders] y travaille ».
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La vie sauvage des Wolves sans Ricky Rubio
Par Jeremy Le Bescont — Le 14 novembre 2014 à 10:28

Depuis la blessure de Ricky Rubio, Minnesota a perdu ses matchs avec les plus gros écarts de leur saison (-10, -12). Loin d’être une coïncidence, cette baisse de performance s’explique entre autres par une moins bonne animation offensive, une gestion du ballon plus hasardeuse et l’inexpérience des joueurs.
Cette absence a notamment permis à Flip Saunders de responsabiliser Zach LaVine à la mène, une expérience qui pour le moment n’est guère concluante, bien que le rookie fasse des progrès palpables, auteur par exemple de 9 passes contre Houston.
« Je pense que nous voyons Zach grandir juste devant nos yeux. » a déclaré à ce sujet Saunders au Minneapolis Star Tribune.

Flip Saunders : « Rien n’a changé, on joue pour gagner »
Pour l’entraîneur, la blessure du meneur espagnol n’est pas qu’une mauvaise nouvelle pour cette saison, avant tout utilisée à des fins pédagogiques. Les jeunes de l’équipe doivent jouer, apprendre et donc perdre. Ce remaniement temporaire de l’effectif ne peut que leur donner de l’expérience, même si la situation n’est pas confortable.
« Notre état d’esprit n’a pas du tout changé. Cela pourrait prendre deux, trois semaines pour nous situer mais nous allons trouver comment y arriver. Nous ne changeons rien. Nous voulons jouer et gagner, comme avant. Mais ceci étant dit, nous jouons avec deux gamins de 19 ans qui sont ensemble 25 à 30 minutes sur le terrain. Il y aura de difficiles périodes d’apprentissage. C’est aux vétérans de les aider. Ils sont dans la ligue depuis un moment, ils ont à peu près tout traversé. » poursuit le head-coach et président.

Corey Brewer : « Gagner et développer les jeunes est rarement compatible »
Pointés du doigt, les vétérans en question souffrent également depuis la blessure de leur meneur. Pour Nikola Pekovic, il ne s’agit que d’une période d’adaptation.
« Cela va être un processus difficile, on galère, il y a beaucoup d’adaptation, un style de jeu différent sans Ricky. » explique le Monténégrin. « Nous voulons gagner mais nous avons beaucoup de jeunes que nous devons former. Ces deux choses sont difficilement compatibles. Nous devons trouver un juste milieu et gagner quelques matchs. À titre personnel, je comprends que nous ayons tous ces jeunes draftés haut et que nous devons les faire jouer. Ils représentent le futur. » poursuit Corey Brewer.
Pour le moment, le futur a un prix et ce tribut est la défaite. Sans Ricky Rubio à la baguette, le collectif est pour le moment désarçonné, désorganisé mais il est désormais temps de voir comment la jeunesse du Minnesota peut réagir. Et cela commence dès la nuit prochaine, à la Nouvelle-Orléans.
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Happy Birthday, @ShabazzMuhammad!
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Minnesota Timberwolves : Anthony Bennett a recouvré la vue
Par Jeremy Le Bescont — Le 10 novembre 2014 à 18:38

« La saison passée, c’était le chaos. »
Ce sont les mots utilisés par Anthony Bennett auprès de Sports Illustrated pour illustrer ses difficultés lors de sa saison rookie. Physiquement, il est difficile de comprendre à quel point le Canadien fut gêné au moment de faire ses débuts dans la grande ligue : en surpoids, opéré des amygdales afin de mieux respirer et dormir, victime d’une entorse du tendon rotulien au genou gauche, l’ailier-fort a vécu un calvaire.
Il raconte également à nos confrères avoir subi une opération des yeux afin de soigner sa myopie, une bénédiction d’autant… qu’il ne portait pas de lentilles de contact, gênantes pour lui. Protégé par des lunettes depuis le début de saison, il s’en est débarrassées depuis une semaine.
« Vous voyez ce tableau ? L’an passé, je ne pouvais pas lire ce qu’il y avait écrit dessus. Tout ce qui était éloigné, je ne pouvais pas le voir. Je ne pouvais pas voir les gens à la table de marque. Désormais, je peux voir le score. Je peux voir les systèmes que le coach veut exécuter. » explique t-il ainsi.

Une succession de pépins
Auteur de 6,2 points à 56,5% aux tirs, le joueur est encore loin des chiffres d’un n°1 de la draft mais son moral et sa confiance n’ont plus rien à voir avec le jeune athlète en plein doute l’an passé. Selon son coach, ce nouvel état d’esprit est à mettre au crédit de sa franchise, patiente et pédagogue.

« Je crois que le plus important est que nous ayons montré que nous tenons vraiment à lui. Nous avons travaillé avec lui quotidiennement, que ce soit dans la salle de vidéo, sur le terrain ou juste en discutant. Il ya a un proverbe de coach qui dit : « Un joueur n’est bon que si son coach pense qu’il l’est. » S’il a le sentiment que son entraîneur a confiance en lui, il jouera probablement à un plus haut niveau. Nous avons beaucoup de confiance en lui. » explique Flip Saunders.
Jusqu’où pourra t-il aller avec les Timberwolves ? Cette question est sur toutes les lèvres mais aucun élément, hormis le temps, ne permettra d’y répondre. Avant lui, d’autres joueurs draftés aussi haut n’ont jamais pu exploser, la faute à des problèmes de confiance, de forme ou de contexte. C’est le cas de Michael Olowokandi, Kwame Brown, Pervis Ellison ou dans une moindre mesure, Joe Smith. Aujourd’hui, le plus important pour l’intéressé est d’avoir retrouvé le goût du jeu, et la forme suffisante pour atteindre son potentiel.
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Today marks the 25th anniversary of the #Twolves first franchise victory! The win came against Charles Barkley and the @Sixers.
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Record de précocité aux Wolves
Par Fabrice Auclert — Le 9 novembre 2014 à 9:58

Cette nuit, face au Heat, les Wolves ont débuté la rencontre avec deux joueurs de moins de 20 ans dans leur cinq de départ : Zach Lavine et Andrew Wiggins, tous deux nés en 1995. Cela peut paraître anodin mais c’est la première fois depuis neuf ans qu’une franchise titularise deux joueurs de 19 ans.
Avant Minnesota, il faut remonter à novembre 2005 pour découvrir un cas similaire. À l’époque, il s’agissait des Hawks avec Josh Smith et Marvin Williams.

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Andrew Wiggins touché par les conseils de Dwyane Wade
Par Fabrice Auclert — Le 9 novembre 2014 à 12:40

Toute l’année, Andrew Wiggins (19 ans) va croiser, et même défendre sur des joueurs qui étaient encore des idoles il y a quelques années. Cette nuit, c’est Dwyane Wade qui l’accueillait, et la star du Heat est allé le voir à la fin du match pour lui dispenser quelques conseils.
« Il m’a demandé si je voulais devenir un grand joueur » raconte l’ailier des Wolves sur ESPN. « J’ai répondu « oui », et il m’a dit que j’avais tous les atouts pour devenir un grand joueur, et que je devais continuer de travailler. »
Auteur de 10 pts face au Heat à 3/9 aux tirs, Wiggins a pu constater combien il était difficile de jouer sans Ricky Rubio, et il a apprécié le geste de Wade.
« Ces mots à la fin du match me motivent. Je pense déjà à ce qu’il m’a dit, et ça m’accompagnera pendant longtemps. Dwyane est l’un des joueurs que je regardais quand j’ai grandi, et l’un des joueurs que j’idolâtrais. Lui est un grand joueur. »
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Peu importe. Belle idée de l'avoir resigné au prix fort
rantanplan
M'Benga DPY 2012
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J'au lu 7-8 weeks pour Rubio plutôt
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Minnesota Timberwolves : Ricky Rubio absent pour une durée indéterminée
Par Jeremy Le Bescont — Le 8 novembre 2014 à 20:20

Touché à la cheville lors de la rencontre face aux Magic, Ricky Rubio va désormais observer les matchs en civil et ce, pour un bon moment. Fort heureusement, les examens n’ont pas révélé de fracture mais le meneur espagnol est victime d’une grosse entorse. Selon le Minneapolis Star-Tribune, la gravité de la blessure n’est pas assez élevée pour le considérer forfait pour six à huit semaines, comme c’est le cas avec les entorses les plus conséquentes.

3 à 4 semaines d’absence ?
Néanmoins, le club n’a communiqué aucun délai au sujet de son retour et selon les estimations, il pourrait être absent jusqu’à 4 semaines. C’est une mauvaise nouvelle pour Minnesota dont le début de saison est très honorable (2 victoires, 3 défaites), compte tenu de la jeunesse de l’effectif.
Avant cette blessure, l’international ibérique restait sur un gros double-double lors de la victoire des siens face aux Nets (14 pts à 6/11, 12 pds et 8 rbds) et un record de passes en carrière égalé avec 17 unités contre les Bulls.
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The Timberwolves are in the midst of a 13 day road trip spanning 5,741 miles!
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Minnesota perd Ricky Rubio
Par Emmanuel Laurin — Le 8 novembre 2014 à 8:53

Battus par le Magic en prolongation, avec un énorme Evan Fournier, les Wolves ont décidément vécu une soirée bien compliquée puisqu’ils ont également perdu leur meneur titulaire, Ricky Rubio, sur blessure. Parti au layup en deuxième quart, l’international espagnol s’est tordu la cheville gauche en prenant appui sur le pied de Willie Green.
Les radios passées après le match n’ont pas révélé de fracture. Ricky Rubio repassera des examens demain pour connaître la gravité de sa blessure au niveau ligamentaire et connaître ainsi la durée de son indisponibilité.
Après avoir signé une extension à Minnesota, Ricky Rubio commençait à retrouver toutes ses sensations comme en atteste son dernier match face à Brooklyn terminé quasiment en triple double : 14 points, 12 passes, 8 rebonds.

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Kevin Garnett de retour aux Wolves après sa carrière ? Flip Saunders l’espère
Par Jeremy Le Bescont — Le 8 novembre 2014 à 9:55

Dans la dernière année de son contrat aux Nets, Kevin Garnett n’a pas encore donné de clés quant à la suite de sa carrière. Stop ou encore ? Seul lui le sait mais il avait déjà laissé quelques doutes subsister au sujet de sa participation à cette saison. Mais à en croire son ancien entraîneur, Flip Saunders, il ne serait pas impossible que Kevin Garnett revienne à Minnesota. Peut-être pas en tant que joueur, mais dans la direction du club.
« Je ne laisserais pas cette éventualité de côté. Même s’il est parti, il pourrait y avoir un peu d’amertume. Mon espoir est qu’il revienne finalement dans notre giron et puisse vraiment savoir combien les gens, pas seulement le club mais Minneapolis, le respectent vraiment pour ce qu’il a fait, » confie le président et coach des Wolves à la radio KFAN.
Kevin Garnett reste l’emblème des Wolves
Selon l’entraîneur, Kevin Garnett incarne toujours la franchise des Timberwolves dans l’inconscient collectif des habitants des Twin Cities.
« Quand les gens évoquent les Minnesota Timberwolves, il ne fait aucun doute que Kevin Garnett est le nom qui vient en premier. C’est de lui dont ils parlent. Il a été MVP ici. Il a été si professionnel pendant toutes ces années. Il n’a pas gagné de titre, mais il a amené le club dans l’élite. »
En effet, les différents successeurs de Kevin Garnett n’ont jamais pu le faire oublier, même Kevin Love qui a pourtant accompli une belle carrière individuelle au sein du club. Idole du Target Center, il restera comme le meilleur joueur de l’histoire de la franchise. Cependant, si le « Big Ticket » devait y revenir, Flip Saunders n’imagine pas une seule seconde le MVP 2004 dans la peau d’un coach.
« Il ne parviendrait pas à faire avec les gens qui n’ont pas la même passion et la même éthique de travail que lui. Je pense que cela le rendrait dingue et qu’il le vivrait vraiment mal. »
Pour le moment, l’esprit de Kevin Garnett est à Brooklyn, où il bénéficie pleinement de l’arrivée de Lionel Hollins à la tête de l’équipe. Après cette saison, il sera free agent et les mots de Flip Saunders pourraient peut-être bien lui donner l’envie de revenir à Minnesota.
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Ricky Rubio injured ankle Friday. Entering the game, was averaging career best in PPG (10.8), APG (11.0) and FG pct (42%)
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Les Wolves étaient intéressés par Lionel Hollins
Par Fabrice Auclert — Le 7 novembre 2014 à 12:31

Avant de s’auto-proclamer coach des Wolves, Flip Saunders avait étudié plusieurs pistes, et on se souvient ainsi qu’il fut tout près de signer Dave Joerger, l’actuel coach des Grizzlies. Ce qu’on apprend aujourd’hui en lisant le New York Post, c’est qu’il avait aussi approché Lionel Hollins, coach des Nets et ancien entraîneur des… Grizzlies.
« On en a beaucoup parlé » révèle Saunders. « Je pense que Lionel est un grand coach, mais le problème, c’est qu’il y avait trop d’incertitudes autour de la situation de Kevin Love. Lionel est quelqu’un qui a mené une équipe en finale de conférence et je pense qu’il irait vers une équipe de vétérans, et je ne pouvais le lui garantir. »
C’est donc Kevin Love, transféré finalement aux Cavs, qui a poussé Saunders à reprendre du service sur le banc de touche.
« Je voulais engager un coach qui savait ce qu’il aurait sous la main. Et comme je ne pouvais pas l’annoncer, on a pris une autre direction. En tout cas, Lionel faisait partie des deux ou trois gars avec qui nous avons sérieusement discuté. »
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Andrew Wiggins monte en puissance
Par Jeremy Le Bescont — Le 6 novembre 2014 à 10:18

Cette nuit, les Wolves ont remporté une rencontre importante pour le moral sur le parquet des Nets. Avec 17 points et 4 rebonds, Andrew Wiggins n’est pas étranger à la bonne prestation de son équipe.
Pour le premier déplacement de son premier road trip, le Canadien a accompli son meilleur match, toujours dans son style sobre, avec 17 points à 7/12 et 4 rebonds. Après la rencontre, il se réjouissait d’avoir pu affronter l’une de ses idoles, Joe Johnson.
« C’était sympa, et motivant. Il vous fait bosser. Il peut faire beaucoup de choses, il est connu pour être un gros scoreur. J’ai essayé de lui rendre la tâche difficile. Ce sont les matchs que j’aime. J’ai mis mon premier tir. Cela m’a aidé à rentrer tôt dans le match. En défense, j’aime les défis. C’est quelque chose qui me motive, quelque chose dont je retire de la fierté, » a expliqué le n°1 de la dernière draft, tout sourire devant la presse et toujours plus prompt à parler de ses efforts défensifs que de son record en carrière.

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Les jeunes Wolves confrontés à leur premier road trip en carrière
Par Jeremy Le Bescont — Le 5 novembre 2014 à 21:06

Ce soir à Brooklyn, les Timberwolves entament une tournée de six matchs à l’extérieur, dont un à Mexico City, avant de retrouver Minneapolis le 19 novembre pour affronter les Knicks. Les joueurs de Flip Saunders seront sur la route pendant douze jours et pour les rookies, ce sera une grande première.
« Tout ce que je leur ai dit est de prendre suffisamment de sous-vêtements. » plaisante le coach et président du club auprès de Fox Sports . « Je ne sais même pas comment faire mes valises pour cela. » confie Zach LaVine.
Au-delà des problèmes de logistique personnelle, les voyages font partie de l’apprentissage d’un joueur NBA. Avec 41 matchs loin de leurs bases, les athlètes parcourent des dizaines de milliers de kilomètres à un rythme parfois frénétique. Même si les conditions sont luxueuses, les déplacements et la perte de repères usent et l’organisme d’un première année n’est pas coutumier de ces changements répétés.
« Cela va être une période très fatigante, surtout quand on joue 25 ou 30 minutes par match. » raconte Thaddeus Young, vétéran de la ligue malgré ses 26 ans. « C’est un de ces moments où tu peux avoir trois matchs en quatre soirs et où tu rentres à ton hôtel à deux heures du matin, sans être capable de dormir, alors qu’il faut se réveiller pour l’échauffement. Les jeunes vont vraiment comprendre ce qu’est la NBA. »
Sur le ton de la plaisanterie, Kevin Martin confirme les propos de son coéquipier et évoque notamment l’ennui inhérent à ces déplacements.
« Ils n’ont pas l’âge pour aller dans les bars, » dit-il en évoquant les plus jeunes de ses collègues. « Donc ils devraient expérimenter pleinement les trajets, la vie de la NBA et à quel point un road trip peut être long. »
Ce premier voyage de longue durée sera néanmoins l’occasion pour les plus jeunes de côtoyer de plus près leurs ainés et nouer des liens. Même si l’organisme fatigue, ce sera forcément un moment particulier pour cette nouvelle génération, encore loin d’être blasée par la vie de joueur NBA.
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D’après Flip Saunders, la « Big Balls Dance » a coûté un titre à Minnesota
Par Dimitri Kucharczyk — Le 4 novembre 2014 à 18:25

Lorsque Kevin Martin reçoit 15 000 dollars d’amende pour avoir fait la « Big Balls Dance » ou « danse des coucougnettes », pas question pour l’arrière des Wolves de recevoir le soutien de son coach, Flip Saunders. Ce dernier garde en effet de très mauvais souvenirs de cette célébration, expliquant qu’elle a coûté un titre NBA à Minnesota…
« Je lui ai dit qu’on avait perdu un titre à cause de ça », explique l’entraîneur. « Quand Sam Cassell a fait ça [en 2004], il s’est fait une fracture de la hanche avec déplacement. Depuis, je suis contre ce type de choses parce qu’on ne sait pas ce qui peut arriver. Quand je vois ça, je secoue la tête ».
Blessé à la hanche, mais aussi au dos, lors de la demi-finale de conférence 2004, face à Sacramento, Sam Cassell n’avait pas été à 100% de ses moyens pour la finale de conférence, face aux LA Lakers. À l’époque, personne n’avait pourtant parlé de ses blessures comme résultat de sa petite dance.
Est-ce que le coach/GM des Wolves a la mémoire qui flanche ? Néanmoins, si ce que Flip Saunders raconte est vrai, l’épopée ratée de Minnesota en 2004, autour du trio Kevin Garnett – Latrell Sprewell – Sam Cassell, prend une tournure différente.
Du côté de Kevin Martin, les préoccupations sont néanmoins beaucoup plus terre-à-terre.
« Je vous parie 15 000 dollars que je connais votre première question », a-t-il ironiquement déclaré aux journalistes. « Malheureusement, je ne vais pas pouvoir refaire cette danse. J’étais censé faire du shopping aujourd’hui mais je ne ferai pas de shopping aujourd’hui. On fait des erreurs et on apprend ».

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Quand Ricky Rubio a négocié son contrat avec son… coach
Par Jeremy Le Bescont — Le 2 novembre 2014 à 15:14

Minnesota a finalement récompensé les faits d’arme et le potentiel de Ricky Rubio par un beau contrat de 55 millions de dollars (et un million de bonus supplémentaire) sur quatre ans mais la configuration de la hiérarchie du club est telle que ces tractations ont sonné étrangement entre les deux parties. En effet, si Flip Saunders est le coach des Wolves et de Ricky Rubio, c’est aussi son président et un des co-propriétaires minoritaires de la franchise, évidemment impliqué dans les négociations, de par son statut.

« Flip Saunders m’a aidé à me sentir à l’aise »
À la fois guide du joueur sur le terrain et adversaire dans les affaires en coulisses, la situation n’a pas forcément été évidente à gérer, mais les deux hommes affirment avoir toujours su faire la part des choses.
« C’est toujours dur de négocier avec le general manager, mais si on ne le voit que dans les bureaux, tout va bien. Mais si on doit également le voir à l’entraînement, c’est un peu plus compliqué. Je pense néanmoins que Flip a très bien géré la situation. Il n’était pas différent, et quand nous étions sur le terrain, on ne parlait que de basketball. Nous ne parlions pas des affaires à l’entraînement. Cela m’a aidé à me sentir à l’aise. » explique Ricky Rubio à la presse.
La situation est baroque, car c’est Flip Saunders qui a notamment informé le représentant du joueur que les Wolves ne proposeraient pas de contrat maximum. Mais même si les négociations ont été dures, Minnesota a finalement largement ré-évalué à la hausse sa proposition initiale, de l’ordre de 44 millions de dollars, le club tenant fortement à l’international espagnol.
« On ne se voyait pas toujours en face à face, ce qui est toujours bien et c’est comme ça avec les agents. Nous avons travaillé dur car je pense que toutes les parties intéressées savaient que la priorité numéro 1 de Ricky était de rester ici. On voit beaucoup de film de notre équipe tous les jours et c’est ainsi que l’on peut voir tout ce qu’il fait. On voit comment il gère ses autres coéquipiers et comment il aborder le coaching staff. Je crois qu’il n’y a aucun doute sur le fait que le coacher m’a aidé à comprendre que je le voulais encore plus. » poursuit Saunders.
Au final, Ricky Rubio concède que cette partie n’est pas la plus appréciable de son travail mais au regard de ses futurs émoluments, le meneur et l’agent s’en sont bien tirés.
« En termes de business, les propriétaires sont plus prêts que les joueurs et ils essayent de prendre l’avantage de cette situation. Au final, c’est du business. Il faut être prêt pour cela et accepter le défi. » conclut Rubio.
Désormais, un autre défi l’attend, celui du terrain où la pression sur ses épaules devrait être encore plus grande que par le passé, en raison de ce contrat qui fera de lui l’un des meneurs les mieux payés du marché. Seul le temps nous dira si cette confiance du club était justifiée.
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"I became more of a Ricky fan coaching him" - Flip
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Ricky Rubio prolonge aux Wolves pour 56 millions de dollars
Par Fabrice Auclert — Le 1 novembre 2014 à 7:01

Ricky Rubio prolonge aux Wolves pour 56 millions de dollarsComme Klay Thompson, Ricky Rubio aura dû attendre la toute dernière minute pour décrocher une prolongation de contrat avec les Wolves. Alors que son camp avait refusé une offre de 48 millions de dollars sur quatre ans, finalement, les deux parties se sont entendus sur un contrat de 56 millions sur quatre ans. Le meneur espagnol deviendra, à partir de la saison 2015/16, l’un des meneurs les mieux payés de la NBA.
« Je suis heureux de rester aux Wolves et je promets beaucoup d’années succès à Minnesota » écrit-il dans un communiqué. « Je veux que Minnesota reste mon chez moi pendant longtemps. C’est pour ça que j’ai signé ce contrat. Ma mère va devenir folle, mais je ne quitte pas ma maison quand je suis ici. C’est mon deuxième chez moi, et je me sens vraiment bien accueilli. »
Passeur de génie et gros intercepteur, Rubio devient du même coup le « franchise player » des Wolves, et il aura la lourde tâcher de ramener la franchise en playoffs après une décennie de disette.
« Lorsqu’on gagne davantage d’argent, il faut prouver qu’on le mérite. Il faut démontrer pourquoi on a obtenu ce contrat. Bien sûr, cela ajoute de la pression, mais je veux me comporter davantage en leader et porter l’équipe vers le niveau supérieur. »
Ce qui a convaincu les Wolves de miser gros sur lui, c’est cette maturité et cette envie de se comporter en leader.
« Ricky n’est que dans sa 4e saison, mais avec son éthique de travail et sa détermination, nous sommes confiants dans sa capacité à progresser encore comme joueur et comme leader » explique ainsi Flip Saunders, le président/coach des Wolves.
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Les Wolves cherchent l’alchimie entre jeunesse et expérience
Par Emmanuel Laurin — Le 31 octobre 2014 à 12:36

Alors que Caron Butler (24 points, 8 rebonds) commençait sérieusement à monter en température, les Wolves ont fait du neuf avec du vieux pour calmer le retour des Pistons. Entendez par là deux choses.
D’abord, Flip Saunders a préféré mettre sur le parquet un groupe de cinq vétérans pour finir le match. Avec Ricky Rubio, Kevin Martin, Mo Williams, Corey Brewer et Nikola Pekovic, les Wolves ont privilégié l’expérience à la jeunesse. Et puis… c’est Flip Saunders qui explique la suite.

Un système Cassell – Garnett remis au goût du jour
« On a utilisé un vieux système qu’on utilisait avec Sam Cassell et Kevin Garnett. On l’a adapté à Ricky et Thad. Et il a réussi à rentrer le tir à trois points. »
Directement dans le bain avec sa nouvelle équipe de Minny, Thaddeus Young (19 points, 5 rebonds) s’est révélé décisif hier avec ce tir primé qui a mis fin aux rêves de victoire de Stan Van Gundy et ses ouailles. C’est effectivement un 9-3 qui a clos les débats au Target Center hier soir, avec Mo Williams et Kevin Martin qui ont placé l’ultime clou dans le cercueil des Pistons.
« On a des vétérans qui savent vraiment comment cette ligue fonctionne. Ils montrent l’exemple aux plus jeunes. Et ce soir, ça a été le cas, » ajoute Rubio dans le Star-Tribune.
Cela dit, la jeunesse et le talent d’Andrew Wiggins ont également fait une belle apparition dans le troisième quart. C’est dans cette période que le jeune Canadien a de fait rentré l’intégralité de ses 8 points de la soirée. Avec ses qualités physiques d’un autre monde, Andrew Wiggins a laissé entrevoir l’étendue de ses qualités… mais c’est encore sur courant alternatif !
« Il a eu une période où il nous a montré ce que pouvait être le futur avec sa capacité à dominer le match, » sourit Saunders dans le Pioneer Press.

Former les jeunes, c’est bien ! Gagner des matchs, c’est encore mieux !
Pour Andrew Wiggins, le temps de jeu en fin de match importe peu, et surtout en début de saison. Le principal est encore de gagner des matchs.
« Tant qu’on gagne, je suis content. Comme vous le savez, je suis un gars qui joue pour l’équipe. Tout ce que je veux, c’est gagner des matchs. Je fais confiance au coach, il est un des meilleurs dans l’histoire. »
Le discours est policé comme il faut de la part du rookie vedette des Wolves et le coach en question en rajoute une couche. Si l’on veut faire progresser ses jeunes pousses, il faut certes leur donner du temps de jeu quand c’est possible mais il faut surtout leur donner confiance. Et construire les bonnes habitudes dès le début.
« On essaye de former ces jeunes mais on doit aussi leur apporter du renforcement positif, et ça veut dire qu’il faut qu’on gagne des matchs. On avait fait un écart en jouant d’une certaine manière, en jouant de la bonne manière. Mais on s’est un peu trop relâché en jouant pour jouer. On a perdu notre agressivité et il nous a fallu revenir dans le match, » conclut-il.
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Anonyme a dit : C'est vrai que, Bogdanovic mis à part, ils n'ont pas vraiment surnagé.


Aucun rookie n'a jamais aussi bien surnagé son premier match NBA!
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C'est vrai que, Bogdanovic mis à part, ils n'ont pas vraiment surnagé.
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fracassants les débuts des rookies ( je sais dans quelques années je regretterais de m'etre moqué d'eux apres leur premiers matchs )
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Ricky Rubio prolongerait aux Wolves pour 13 millions de dollars par an
Par Fabrice Auclert — Le 29 octobre 2014 à 11:51

Après Kemba Walker, c’est au tour de Ricky Rubio d’être en passe de prolonger avec son équipe de toujours, les Minnesota TimberWolves. Si ESPN parle encore au conditionnel, Marca évoque un contrat de 52 millions sur quatre ans, soit 13 millions de dollars annuels.
C’est plus que l’offre initiale (48 millions), mais c’est beaucoup moins que le maximum, semble-t-il, recherché par ses agents. Orphelin de Kevin Love, transféré aux Cavs, Rubio est désormais le leader des Wolves, et il aura pour mission de mettre fin à une série de 10 saisons sans playoffs !
A 24 ans, Rubio reste sur une saison à 9.5 pts, 8.6 pds, 4.2 rbds et 2.3 int par match. De jolis chiffres gâchés par une adresse catastrophique : 38% aux tirs, dont 31% à 3-points.
Pete
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13 millions pour Rubio, ça fait cher le point ou la passe.
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Le 29/10/2014 à 12:00
BASKET
NBA 1995, l'année où Kevin Garnett découvrait la NBA

Kevin Garnett va devenir mercredi soir le quatrième joueur de l'histoire à disputer 20 saisons de NBA. A quoi ressemblait la ligue en 1995, année de ses grands débuts?

Kevin Garnett va rentrer dans un club très fermé ce mercredi soir lors du premier match des Brooklyn Nets sur le parquet de son ancienne équipe, les Celtics de Boston, celui des joueurs ayant disputé 20 saisons NBA. Cette barre ne représente pas seulement un seuil symbolique de deux décennies d’activité dans une des ligues sportives les plus exigeantes du monde. C’est aussi un cap que de nombreuses légendes de ce sport n’ont pas réussi à franchir. Shaquille O’Neal, Karl Malone, John Stockton et Moses Malone, pour ne citer qu’eux, se sont tous arrêtés à leur 19e année d’activité. Ils ne sont que trois à avoir atteint la 20e : Kevin Willis, Robert Parish et Kareem Abdul-Jabbar.
En termes de matches joués, l’ailier fort de 38 ans, champion NBA en 2008 avec Boston et champion olympique en 2000, a l’occasion de rentrer un peu plus dans l’histoire, même si sa place dans le Hall of Fame du basket américain est déjà assurée depuis longtemps.
S’il dispute le même nombre de matches que la saison dernière (66, saison régulière et play-offs compris), il peut devenir le cinquième basketteur ayant disputé le plus de rencontres de l’histoire de la NBA (il est actuellement neuvième). Un «dinosaure», comme l’a récemment qualifié avec affection son ancien coéquipier à Boston Jared Sullinger (22 ans), qui prend de plus en plus de recul sur son immense carrière. «Je dois avouer que ces trois dernières années, j’ai pensé à la vie et au basketball en tant que priorité» a-t-il confié lors de la journée porte ouverte aux médias des Nets en septembre. Pour bien mesurer le chemin parcouru, un retour teinté de nostalgie s’impose : à quoi ressemblait la NBA en 1995, année où les Minnesota Timberwolves l’ont drafté en cinquième position ?
Les retours de Jordan et de Magic Johnson
Michael Jordan était revenu en NBA à la fin de la saison précédente après une incursion ratée dans le monde du baseball, mais cela n’avait pas suffi à empêcher les Houston Rockets, emmenés par Hakeem Olajuwon et Robet Horry, de remporter un second titre d’affilée. Lors de son arrivée en NBA, Kevin Garnett a assisté au vrai retour au plus haut niveau d’«Air Jordan», qui a passé l’été à tourner Space Jam tout en s’entraînant comme un forcené. Résultat : entouré de ses compères de toujours Scottie Pippen et Toni Kukoc, auquel s'est ajouté la recrue star Dennis Rodman, Jordan mène les Bulls vers leur quatrième titre, terminant au passage MVP de la saison régulière, des finales et du All-Star game. Les Bulls finissent avec le meilleur ratio de victoires cumulé (saison régulière et play-offs) de l’histoire (87-13).
Autre retour marquant, celui de Magic Johnson, qui revient après quatre ans de retraite pour disputer 32 matches avec les Lakers avant de s’arrêter définitivement. Kevin Garnett est le seul joueur en activité à avoir affronté Magic, c’était le 10 avril 1996.



Hormis Garnett, une draft quelconque
Ses résultats scolaires insuffisants ont empêché le jeune Kevin Garnett d’intégrer une université et donc d’évoluer en NCAA ? Qu’importe, il devient le premier joueur depuis une vingtaine d’années à être drafté directement depuis le lycée, lançant une tendance qui verra Kobe Bryant, Tracy McGrady et LeBron James emprunter le même raccourci.



Celui qui totalise aujourd’hui 15 All-Star games ne parvient pas à se faire une place dans l’équipe type des meilleurs rookies de la saison malgré quelques actions impressionnantes qui laissent déjà entrevoir le joueur ultra-complet qu'il allait devenir :



Damon Stoudamire (rookie de l’année), Jerry Stackhouse, Antonio McDyess ou encore Michael Finley y trouvent en revanche leur place. Rasheed Wallace et Theo Ratliff font aussi partie de cette cuvée 1995 - restée dans l'ombre de l'histoire des plus grandes drafts NBA, avec seulement six futurs All-Stars. En comparaison, la draft suivante a vu émerger trois futurs MVP (Kobe Bryant, Steve Nash et Allen Iverson) et un total de 11 futurs All-Stars.
Jerry Stackhouse et Rasheed Wallace sont les deux camarades de promo de «KG» à avoir duré le plus longtemps, et ont tous deux pris leur retraite à la fin de la saison 2012-2013. «J’ai parlé à Sheed l’autre jour, a récemment confié au New York Times Garnett. Il était à la maison, sur le canapé, et faisait le gros.»

La NBA revient au Canada après 50 ans
KG a assisté lors de sa première saison au retour de la NBA au Canada après plus de 50 ans d’absence à travers deux nouvelles équipes, les Toronto Raptors et les Vancouver Grizzlies. Cette dernière franchise n’aura survécu que six ans avant d’être vendue et déplacée à Memphis, soit trois fois moins longtemps que la carrière de Garnett.

Une NBA sans Frenchies
Kevin Garnett a vu débarquer le premier joueur français en NBA, Tariq Abdul-Wahad, en 1997. A l’époque où il commence sa carrière, la Ligue est très loin d’être aussi internationale qu’aujourd’hui et ne compte qu’une trentaine de basketteurs étrangers originaires de 19 pays, contre 101 joueurs au moment d’entamer la saison 2014-2015, originaires de 37 pays.
L’origine des joueurs a également beaucoup évolué en 20 ans. En 1995, les joueurs de l’ex-Yougoslavie représentent le plus gros contingent, emmenés par des têtes d’affiche comme le Serbe Vlade Divac, le Croate Toni Kukoc ou encore le Bosnien Predrag Danilovic. Les pays d’Europe de l’Ouest ont peu de joueurs de premier plan, à l’exception notable de l’Allemand Detlef Schrempf. Les autres grands joueurs étrangers se nomment Dikembe Mutombo (République démocratique du Congo, ex-Zaïre), Gheorghe Muresan (Roumanie) ou encore Arvydas Sabonis (Lituanie), qui s’invite dans l’équipe des meilleurs rookies de la saison. Aujourd’hui, les pays les plus représentés en NBA sont le Canada (12 joueurs), la France (10), l’Australie (8), le Brésil (7) et l’Espagne (5).

Grégoire FLEUROT
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C'est pas la fête d'Heslip

#Twolves announce the team has waived guard Brady Heslip. The Wolves roster now stands at 16 players.
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Anthony Bennett : retour vers le futur
Par Emmanuel Laurin — Le 22 octobre 2014 à 12:2945 commentaires

Numéro 1 de la draft 2013, Anthony Bennett avait déçu pour sa première saison dans la ligue avec 4 points, 3 rebonds en 13 minutes de moyenne sous la tunique des Cavaliers. Jamais en forme physique, jamais dans le rythme, le premier canadien sélectionné en numéro 1 était devenue la risée du public à Cleveland et sa réputation en a conséquemment pris un vilain coup…
Mais le jeune ailier fort issu de UNLV n’a évidemment pas dit son dernier mot ! N’oublions pas que le gamin de Toronto, comme son nouveau coéquipier et compatriote Andrew Wiggins, n’a encore que 21 ans et il fêtera ses 22 printemps en mars prochain. Auteur de 11 points et 6 rebonds en 21 minutes de moyenne pendant la présaison avec les Wolves, Bennett a retrouvé du tonus et veut changer les mentalités pour sa saison sophomore.
« Il a été très bon, il a joué comme beaucoup de gens pensaient qu’il allait jouer l’an passé. » explique son coach, Flip Saunders. « C’est évident que l’échange qui l’a amené ici lui a donné une nouvelle énergie et beaucoup d’enthousiasme. Il s’est bien repris en mains, il faut dire. Il a perdu du poids, s’est bien remis en forme. Il a encore quelques petits soucis avec son genou, quelques douleurs, mais il se bat et a été très efficace pendant ses minutes sur le parquet. »

Plus en forme et plus confiant, Bennett veut exploser
Redescendu à 111kg, Bennett a effectivement retrouvé l’essentiel de l’explosivité qui avait fait de lui le premier choix de la draft l’an passé. Apprenant son transfert dans le Minnesota, le power canadien a aussitôt rejoint ses nouveaux coéquipiers, Shabazz Muhammad et notre Ronny Turiaf national du côté de San Francisco pour aller bosser le foncier avec Frank Matrisciano. Et les résultats sont probants !
« C’est définitivement une énorme différence pour moi. » confie-t-il sur ESPN. « Je me sens beaucoup plus confiant maintenant que je suis en forme. Je m’adapte encore au style de jeu qu’on a ici mais je dois simplement bosser dur chaque jour et ça ira. »
Entouré d’Andrew Wiggins ou Zach LaVine, plus Glenn Robinson ou encore Ricky Rubio, Anthony Bennett s’enthousiasme de faire partie d’une équipe jeune et pleine d’ambitions. Comme lui, les Wolves ont tout à prouver mais personne ne les attend vraiment au top niveau. A eux de saisir cette opportunité pour briller !
« C’est super d’avoir un groupe si jeune. Quand on est en déplacement, on s’appelle les uns les autres et on va manger un bout ensemble. On prend du bon temps tous ensemble. J’ai appris l’an passé que la NBA était un business, que c’était parfois difficile. Il y aura des bons matchs et des moins bons mais il faut simplement relativiser les choses et continuer à travailler dur. »
Parfois gêné par ses genoux, Bennett va devoir serrer les dents mais son potentiel athlétique et son tir en périphérie de plus en plus redoutable vont sans aucun doute lui permettre de passer un cap cette saison. Pour définitivement décoller l’étiquette « bust » qui lui colle à la peau !

SES 13 POINTS, 8 REBONDS FACE AUX SIXERS

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Les Minnesota Timberwolves parodient la série TV « Beverly Hills 90210 »
Par Dimitri Kucharczyk le 22 oct 2014 - 8:11

Après l’échange de Kevin Love, les Minnesota Timberwolves ont désormais un groupe jeune et talentueux. Un nouveau départ qu’ils ont décidé de marquer… en parodiant la série TV « Beverly Hills 90210 », la famille Walsh étant originaire de Minneapolis.

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Les Wolves se séparent de Kyrylo Fesenko
Par Fabrice Auclert — Le 21 octobre 2014 à 10:41

Kyrylo Fesenko (2m15, 27 ans) espérait décrocher un contrat pour la saison régulière afin de ramener sa famille aux Etats-Unis… Malheureusement, son espoir ne deviendra pas réalité à Minnesota puisque les dirigeants des Wolves ont décidé de le couper après une présaison où il n’aura joué que trois minutes…
L’intérieur ukrainien, inquiet pour sa famille restée au pays, n’est pas parvenu à se faire une place derrière l’imposant trio de Minnesota : Pekovic, Dieng et Turiaf. Les Wolves possèdent désormais 17 joueurs dans leur effectif, et il leur faudra donc en couper deux de plus avant le début de la saison.
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Flip Saunders : « Les Wolves ne sont pas en reconstruction »
Par Jeremy Le Bescont — Le 21 octobre 2014 à 13:49

Si l’intersaison a été agitée du côté de Minneapolis, le plus dur est passé avec le départ, attendu depuis longtemps, de Kevin Love et les arrivées conjointes d’Andrew Wiggins, Anthony Bennett et Thaddeus Young. Désormais, le club dispose de deux n°1 de la draft et d’un effectif jeune et talentueux.
Pour beaucoup d’observateurs, les Wolves seront cependant encore absents des playoffs mais leur président, coach et propriétaire minoritaire, Flip Saunders, pense que le jugement est faussé par le feuilleton médiatique de cet été.
« Les médias nationaux ont une mauvaise interprétation de notre équipe. Ils pensent que nous sommes en reconstruction car nous avons échangé Kevin Love. Certes, Kevin est un grand joueur mais quand vous avez 11 de vos 13 joueurs de retour et que vous regardez simplement la situation d’une équipe qui a gagné 40 matchs l’an passé dans une conférence Ouest relevée, ce n’est pas une reconstruction. Nous construisons avec ces gars, » répond Saunders à la presse.
Ce dernier compte donc sur le noyau dur déjà présent pour continuer de progresser, tout en accompagnant les plus jeunes du club.
« Nous avons donc ajouté des jeunes éléments à ces gars. Nous espérons que certains joueurs que nous avions déjà continueront de progresser (…) Quand on regarde nos joueurs, la première impression qui nous vient est leur potentiel. Ce sont des gosses talentueux qui n’ont aucune idée de ce qui se trame. Nous allons devoir être là pour eux à chaque étape de leur développement, » poursuit le tacticien.
Sera-ce suffisant pour atteindre les playoffs après plus de dix ans d’absence ? Rien n’est moins sûr, mais l’optimisme est toujours de mise dans le Minnesota. Pourvu qu’il en soit toujours de même en avril.
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Les Wolves lèvent les options sur Anthony Bennett, Gorgui Dieng et Shabazz Muhammad
Par Jeremy Le Bescont — Le 19 octobre 2014 à 21:49

Comme prévu, les Wolves ont décidé d’activer les options sur la troisième année de contrat de Anthony Bennett, Gorgui Dieng et Shabazz Muhammad. Sauf transfert, les trois joueurs sont liés au club au moins jusqu’en 2016.
Après une fin de saison rookie prometteuse et une Coupe du monde détonnante (16 pts, 10,7 rbds), Gorgui Dieng est attendu comme l’un des piliers du système de Saunders la saison prochaine. En 3 matchs de présaison, il a compilé 12,3 points à 50%, 7,6 rebonds et 2 contres de moyenne.
Arrivé cet été dans le cadre de l’échange de Kevin Love, Anthony Bennett sera aussi très observé. Après avoir réalisé le pire exercice de l’histoire des 1er choix de draft (4,1 pts à 35,6%), le Canadien s’est pris en main cet été, a perdu du poids et retrouvé des sensations. Sa summer-league s’est avérée bien plus concluante et lors des deux premiers matchs de présaison, l’ex-Cavalier a tourné à 12,5 points à 46%, 9,5 rebonds et 1,5 interception. S’il continue sur sa lancée, il se placera comme l’un des candidats au titre de MIP.
La saison rookie de Shabazz Muhammad n’était guère plus fructueuse que celle de Bennett. Le 14e choix de la dernière draft n’a ainsi joué que 37 matchs (et 4 en D-League) avec un rendement famélique. Lui aussi s’est beaucoup entraîné durant l’intersaison et ses efforts devraient être payants. Il en a le talent.
Plus globalement, Minnesota montre sa volonté de construire sur le long terme avec un noyau de jeunes joueurs (25 ans de moyenne d’âge).
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Andrew Wiggins et Zach LaVine, les « frangins sur ressorts »
Par Emmanuel Laurin — Le 16 octobre 2014 à 19:42

Une semaine sans match, ce n’est pas courant et c’est forcément de la présaison pour les Wolves du Minnesota. Mais les jeunes ouailles de Flip Saunders ne se sont pas tournés les pouces pour autant dans la région des Milles Lacs. Hier encore, il y avait une grosse session d’entraînement avec des exercices de dribble, de la course et un match pour finir.
C’était notamment le retour en activité pour Kevin Martin, l’occasion pour le vétéran de l’équipe d’assister au plus près aux progrès de ses jeunes protégés, Andrew Wiggins et Zach LaVine, qui se surnomment les « Bounce Brothers ».
« Ce sont deux étudiants du jeu. » analyse Martin sur NBA.com. « Ils comprennent ce que la franchise voit en eux dans les quatre ou cinq prochaines années et ils prennent la bonne direction pour obtenir la confiance de Flip et du staff pour arriver à leurs fins. C’était particulièrement impressionnant de voir [Zach] reconnaître qu’il avait raté son premier match. La plupart des joueurs ne font pas vraiment la différence et lui le sait déjà. »

Un duel face à Jabari Parker vendredi
Particulièrement spectaculaires, les deux rookies de Minny s’en sont déjà donné à coeur-joie pendant le match d’exhibition qui était coquettement appelé « Dunks after dark » et leurs débuts respectifs en présaison ont été très corrects (malgré un petit raté pour LaVine comme le disait Kevin Martin).
Avec Anthony Bennett qui a retrouvé la forme après une saison rookie gâchée par une méforme physique et des pépins qui en ont été la conséquence directe, les Wolves pourraient bien avoir en leur possession le trio le plus athlétique de la ligue. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer leurs highlights contre les Sixers par exemple… Pour voir notamment l’aisance avec laquelle Wiggins va placer un alley oop en contre-attaque, avec le nez au niveau du cercle et sans même être à fond !
Et puis, la prochaine échéance des Wolves est pour le moins alléchante avec la rencontre vendredi soir face à Jabari Parker et les Bucks pour un duel au sommet entre les deux plus hauts choix de la dernière draft. Il y a fort à parier que les dunks pleuvent sur l’US Cellular Center de Cedar Rapids, dans l’Iowa.
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