-- matisse a dit : -- Dice a dit : -- William A. Rawls a dit : Miami est de loin l’équipe la plus détestée de la ligue -- Celui qui a écrit cette article doit être fan des Lakers, parce que bon je pense que LA est toujours largement devant au niveau des équipes détestées. -- Ainsi que les Bulls et les Celtics (pout l'instant...) --
-- Dice a dit : -- William A. Rawls a dit : Miami est de loin l’équipe la plus détestée de la ligue -- Celui qui a écrit cette article doit être fan des Lakers, parce que bon je pense que LA est toujours largement devant au niveau des équipes détestées. --
Ainsi que les Bulls et les Celtics (pour l'instant...)
Chris Bosh reconnaît avoir joué avec le public avant de choisir Miami
Très franchement, on dirait que Chris Bosh le fait exprès…
Miami est de loin l’équipe la plus détestée de la ligue alors qu’il n’a même pas posé la moitié d’un orteil sur le terrain. Le néo-Heat ferait mieux de calmer un peu le jeu en attendant le début de saison. Interrogé par le New York Daily News sur la période qu’il a vécue entre son départ de Toronto et l’annonce de sa signature avec Miami, Chris Bosh a eu une réponse plus que surprenante.
« Pensez au nombre de fois où on vous demande ‘ça va ?’. C'est le même nombre de fois où on m'a demandé ‘ou allez vous signer ?’ Dans mon cas, je me suis dis, je vais en profiter pour m’amuser un peu. Je vais jouer avec les émotions des gens. Je vais être partout. »
On peut comprendre que les Three Amigos puissent être un peu agacés par le nombre de critiques qu’ils ont reçu depuis un mois mais ce n’est pas avec ces déclarations que Chris Bosh va apaiser la rancœur de certains fans. Ceux de Toronto ont dû particulièrement apprécier les propos de leur ex-franchise player et l’accueil qu’ils lui réserveront le 16 février prochain devrait être plein d’émotions, justement.
-- Anonyme a dit : Ils ont interet a labourer les parquets, s'ils battent pas le record des Bulls cette année ou la prochaine, c boys band sera un demi echec.... --
Pour moi, l'échec serait de ne pas être champion dans les 2 ans. Qu'on le veuille ou non, les Lakers ont encore le meilleur effectif. Le record des 72 wins est plus que secondaire et personne ne leur en voudra si ils ne l'atteignent pas. Excepté Jeff Van Gundy peut être...
Et pour assurer et maintenir une avance, tu peux toujours laisser un membre du Big 3 sur le parquet pour assurer le coup. C'est complètement fou comme équipe...
ce cinq de dingue, et y a moyen de reposer un all star pour qu'il encadre la second unit, d'ailleurs y a moyen de bencher un all star tout les soirs sans mettre l'equipe en peril , qui dit mieux en NBA
Mario Chalmers - Carlos Arroyo - Eddie House - Patrick Beverley
Dwyane Wade - Mike Miller - Kenny Hasbrouck
LeBron James - James Jones - Da'Sean Butler
Chris Bosh - Udonis Haslem - Juwan Howard - Shavlik Randolph - Jarvis Varnado
Joel Anthony - Zydrunas Ilgauskas - Jamaal Magloire - Dexter Pittman
Vous vous souvenez de Bonzi Wells, pas vrai ? Un ailier scoreur aussi difficile à contenir pour ses adversaires (dans ses bons soirs) que pour ses coaches (chaque jour) ? Et bien après être passé de club en club, des Blazers aux Hornets, en passant par les Grizzlies, les Kings et les Rockets, il avait fini par devoir s’expatrier en Chine pour trouver un contrat…
Désireux de faire un retour en NBA, il a annoncé sur son compte Twitter qu’il avait une équipe particulièrement en vue : le Heat.
“J’essaie de signer avec Miami, mais c’est compliqué”, a-t-on notamment pu lire ainsi que “J’adorerais être à Miami, c’est clair que je pourrais les aider”
Ouais les gens de la Nouvelle Orleans ont très mal vécu ton départ. Le président a d'ailleurs déclaré peu de temps après: NO gagnera le titre avant lui!
-- Miami Vice a dit : -- matisse a dit : C'est marrant, ses advérsaires joue en jaune et ils paraissent totalement perdus, on dirait les Lakers... -- Matisse mon noouveau pote !!! --
Par contre, BozZzo, tu feras pas comme LeBron, tu n'oublieras pas de réserver une page entière dans le canard de la ville pour remercier les fans de t'avoir intégré si rapidement dans leur(s) club(s) !
Par contre t'as du taf : entre Houston, Portland, Charlotte, Phoenix, Boston et surement d'autres que j'oublie, ca va te couter cher les 1ères pages d'autant de canards !!
En même temps, apelle le Miami Herald, il est possible que pour éviter de se choper un chat noir tel que toi, ils t'accordent un access pass que l'année prochaine quand le titre sera vraiment à la maison !
-- ilyas#3 a dit : -- spurs9 a dit : -- Kneecap's a dit : 68 wins ! Plus ou moins... -- ben voyons ! il n'ose pas se mouiller pour le record ... -- C'est un spécialiste, il s'appel pas spurs9 pour balancer n'importe quoi à tout và. --
Il le dit.
Il est possible que le Heat atteigne les 70wins, mais en Conf'Est ils n'en auront pas besoin !
Et puis, il cite aussi les POs.
Ne pas trop se crever en SR.
Tiens j'avais zappé cet article de mon père spirituel !
Heat check: New Miami outlook Insider John Hollinger
After adding help in free agency, how many games will new-look Heat win next season ?
Three weeks ago, I took a quick look at how a team with LeBron James, Dwyane Wade and Chris Bosh might fare if the three were to join forces.
Now, after the shadiest summer in league history concluded with those three all on the same roster (not to mention the apparent shenanigans with James Jones and Richard Jefferson opting out from and then returning to the Heat and Spurs, respectively), that question has moved from a hypothetical "what if?" to a very real "it did."
Thus, it's time for a second, closer look at the same question.
In the first exercise, I plugged the trio into a lineup with 10 replacement-level players (those are the guys any team can pluck off the scrap heap) and came away with a figure of 61 wins for the imaginary Team Trinity. My assumptions for that exercise included a PER of 29 for James, 26 for Wade and 23 for Bosh, with James playing 3,100 minutes, Wade playing 2,850 and Bosh playing 2,600.
For the real Miami Heat? Let's revisit those assumptions.
First of all, the supporting cast is significantly better than we had projected. We had assumed the Heat would need to clear the decks salarywise, but because Bosh, James and Wade all took less money than they could have, it allowed the Heat to keep another decent player (Mario Chalmers) and sign two more solid contributors as free agents (Mike Miller and Udonis Haslem). Those three are significantly better than replacement-level, or at least they were last season, and so that should improve Miami's projection significantly.
From there, the players the Heat have filled out their roster with -- Joel Anthony, Zydrunas Ilgauskas, Jamaal Magloire, Carlos Arroyo, Juwan Howard, Jones and Dexter Pittman -- are more in line with the type of minimum-contract flotsam we'd expected them to land in the first exercise, so they don't change the outcome of our projection much.
But before we get to our answer, we have two other adjustments to make. The first is a technical one involving Bosh, Wade and James. Thanks to a bit of digging by ESPN researcher Keith Goldner, we have a much better idea about how the interplay of Bosh, Wade and James might work.
I had estimated earlier that each of Miami's big three would lose about 5 percent of his total possessions this season but could only speculate as to how that might impact their efficiency. Based on Goldner's work with the players' skill curves (a concept created by Denver Nuggets stat guru Dean Oliver that shows how players' efficiency changes with more or fewer touches), we can now estimate what might happen.
Looking at their skill curves for the past three seasons, we'd expect James' efficiency to increase by 1.19 points per 100 possessions, Wade's by 0.70, and Bosh's by 0.29.
Of course, they could also redistribute the possessions to optimize their efficiency. In that case, instead of reducing all three players by 5 percent, the correct strategy would be to diminish Bosh's touches severely, diminish James' touches slightly, and actually increase the touches by Wade -- up to a usage rate of about 40, he shows virtually no loss of effectiveness.
Because this scenario stretches the bounds of feasibility -- it's nearly inconceivable that Wade would have more touches than he did when he was basically playing 1-on-5 last season -- I won't dwell on it in this projection.
Besides, they're fearsome enough without such a severe adjustment. Pumping those changes into last season's numbers, one gets Bosh with a PER of 24.16, Wade with a PER of 27.39 and James at a robust 31.04. Basically, they wouldn't lose a thing.
Of course, they won't be playing with last season's Bosh-Wade-James tandem, but next season's version. This is an important distinction -- their numbers would have been likely to diminish slightly even if they had stayed on their own teams, simply because there isn't much room left for them to go up. My projection tool had James at a PER of 29.12, Wade at 26.31 and Bosh at 23.88 if each had stayed put.
Throwing in the skill-curve adjustment from above, we end up with James at 28.97, Wade at 25.60 and Bosh at 22.93. As noted above, my back-of-the-envelope estimate from three weeks ago had James at 29, Wade at 26 and Bosh at 23. Score one for the envelope.
Now there's still the matter of plugging in the rest of the roster. I ran all of them through my projection system and estimated minutes for the rest of the crew -- 2,000 each for Miller and Haslem, with Chalmers and Arroyo splitting the point duties and about 500 minutes left over for a "no-point" offense, and spot duty for the others. After two other slight adjustments -- putting my finger on the scale to improve what I felt was an unusually pessimistic projection for Miller, and replacing Jones (who rated far south of replacement level) with a randomly selected civilian, the answer it spat out was ...
68 wins.
Well, 68.3 to be exact, but it's not clear to me where the Heat will get the extra 0.3.
Of course, there's one other important factor to consider here: The Heat probably don't need to win 68 games. My model assumes they'll play their best players as much as they can, but any such projection system breaks down a bit with elite teams that can coast at the end of the regular season. Most likely, the Heat will need to win only 63 or so to clinch home-court advantage throughout the playoffs. If they hit that mark with six or seven games to play, you can bet all the sugarcane in Florida that Wade, James and Bosh will see very little of the court.
As a result, the most realistic estimate for this team is more like 65 wins.
More importantly, it isn't 70 or 72 -- the targets that everybody might be talking about during the season if Miami appears on track to challenge the 1995-96 Chicago Bulls' all-time record of 72-10. To achieve the 70-win plateau, the Heat not only would have to be interested enough to play their starters during some meaningless April games but also would need better-than-average health from their three stars and/or surprise seasons from at least a couple of the role players.
But whether it's 65, 68.3, 70 or 72, the overriding conclusion is the same: Miami is now the favorite to win it all. With three stars and just enough role-playing talent around them to fill in the cracks, a Miami-L.A. Lakers Finals next June almost seems preordained.
Now if we could just get this pesky regular season out of the way ...
Interview de ron artest : http://www.fadeway.fr/article-artest-je-veux-devenir-coach-54721394.html
Question : L an prochain miami-lakers en finale ?
Réponse ; Il ne faut pas oublier boston mais j aime bien miami. Ce serait un honneur de se battre contre ces gars. Je vais prendre lebron, kobe sur wade, gasol sur bosh. Et il reste bynum s il est en bonne santé on est inarétable.
Eh ben donc on est tout à fait d'accord alors ! Parce que je ne dis rien d'autre depuis le début, même si je ne l'ai peut-être pas assez clairement exprimé...
-- The Worm a dit : -- "l'Elu" veut dire qu'on lui a filé les clés de la caverne d'Ali Baba du talent basketballistique, mais il ne pourra vraiment être à la hauteur de ce surnom que lorsqu'il aura convertit la passe qu'on lui a fait en haut lieu...
Et puis si on veut vraiment être tatillon, ce surnom n'est qu'une vaste escroquerie dans la mesure où, c'est bien connu, les voies du seigneur sont impénétrables...
Donc on ne sait pas vraiment qui a été choisi par qui vous savez ! Si ça se trouve, en fait c'est brian scalabrine le véritable chosen one, et on le sait pas...
-- Anonyme a dit : -- The Worm a dit : Les titres, c'est ce qui fait la différence entre un excellent joueur individuel et un très grand joueur, un "chosen one". pas d'accord. Pour moi, "The Chosen One", ça désigne pas "celui qui va tout gagner" mais "celui qui a reçu tous les dons pour être le plus fort". Le fait de gagner des tas de titres pendant sa carrière, c'est l'attente qu'on peut avoir s'il est le Chosen One, mais c'est pas "ce qui fait qu'il est le Chosen One". C'est l'attente, mais pas l'élément constitutif. Tu vois ce que je veux dire ? Et en effet, il a tous les outils pour le faire. Un rapport vitesse/puissance inouï (peut etre encore plus que Shaq), une sacré gnac dans les moments clés (je ne partage pas l'avis de... toi je crois, sur sa supposée lose dans le money time. Même si je reconnais qu'il s'est vautré sur les 2 derniers matchs contre Boston cette année, et qu'il n'a pas eu besoin de ses "mauvais coéquipiers" pour ça), et toutes les qualités techniques qu'un basketteur peut avoir, en somme. e. --
Pour ce qui est de sa loose dans le money time, ce n'est pas vraiment ce que je dis. A mon sens, là où il pêche, c'est dans le fait qu'il a tendance à lâcher un peu quand ça se complique vraiment. Non pas à la fin d'un match, ce qui peut arriver à tout le monde, mais sur la longueur d'une série de playoff au bout de laquelle on rentre chez soi. Tant que c'est à peu près équilibré, tout va très bien, mais dès qu'il est dominé collectivement, il a tendance à être moins agressif, à se frustrer tout seul, à ne plus jouer son vrai jeu...
Pour "the chosen one", ce n'est qu'un question de point de vue, et je comprend tout à fait ce que tu veux dire. Simplement, ça ne correspond pas à ma façon de voir les choses : à quoi bon donner tous les dons à un gars si ce n'est pas pour qu'il gagne des titres ?
Si au final le mec qui a tous les dons du monde ne gagne rien, ben c'est un mauvais choix de la part de la Maison Mère... Il a beau être le "chosen one" du grand manitou, ça reste une passe de alley hoop qui finit dans les gradins parce que le jumper a du beurre sur les doigts ou regardait le montant de son contrat avec Nike plutôt que de couper dans le dos de la défense...
Donc je suis d'accord avec toi sur le fait que "l'Elu" veut dire qu'on lui a filé les clés de la caverne d'Ali Baba du talent basketballistique, mais il ne pourra vraiment être à la hauteur de ce surnom que lorsqu'il aura convertit la passe qu'on lui a fait en haut lieu... C'est la nuance que je fais. Au final, l'Elu sans titre n'est qu'un mirage.
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